chapitre 5

14 minutes de lecture

Mes yeux on du mal a s'ouvrir, coller par les larmes.

Les sanglots et les pleurs on du me bercé, jusqu'à ce que les forces m'échappe et que la fatigue prenne le dessus sur mon corps. J'ai comme un poids sur le cœur, gênant ma respiration. Mon sommeil a été malgré tout salutaire et plaisant, hanté par des souvenir heureux, mon derniers passage a Glen il y a 4mois environ.

Ces images atténue le pincement dans ma poitrine, mais la vision de la boite ravive ma douleur. Martia n'est plus, nous sommes seul a présent... Je ne m'étais jamais retrouvé seul, ormis quand Martia partais pour la ville, ce n'était que quelques heure de solitude. Mais là, je pourrais resté assise a attendre, des heures, des journée, des mois. Elle ne passerais plus le seuil d'une porte, illuminant mes journée de sa présence. Je revois son visage souriant, je ressent sa main sur mon front quand la fièvre me prenais, je ressent sa présence auprès de moi comme les première nuit chez elle ou elle se blottissais et me serrais fort contre elle...

La porte s'ouvre avec fraca, je ne sais si la fatigue est encore un peu trop présente mais je sursaute et me retranche dans l'angle du canapé. Mes yeux cherche désespérément Max.

Une personne avance vers moi, caché derrière une pyramide de buche de bois. Elle s’accroupit devant la cheminé, me tournant le dos, dépose les morceaux de bois dans la panière en osier. Sont corps est couvert d'une parqua orange et d'une cagoule rouge.

Max le suis, queue battante regards vif. Il ne cesse de sautiller autour de lui. J'observe la seine interloqué. La personne se retourne, je ne distingue rien jusqu'au moment ou elle retire sa capuche et la cagoule couvrant son visage. Ses cheveux blond et ses yeux noir me font que me recroquevillé un peu plus derrière le plaid.

Comme si celui-ci allais me protéger de toute agression! Et Max, comment peut il être aussi démonstratif envers cette homme? Le chauffeur qui nous avait emmené de force dans cet endroit?


Les mots de Martia résonne dans ma tête. Il est peut être l'un des seul en qui je peu avoir confiance, mais après les derniers événement...; et puis ou était il passé ces derniers jours?
Il dépose son mentaux sur la table basse, se met à la hauteur de Max pour lui faire une caresse. Il semble attendre quelque chose de ma part, mais je reste là, inerte. Comme si le fait de ne pas bouger et couper ma respiration lui ferais oublier ma présence. Il contourne la table, puis le canapé, pour allez dans la cuisine. J’entends ses pads crisser sur le sol, frottement entre les chaussure couverte de neige et le bois. Il dépose une assiette sur la table et s’assoit à l'extrémité du canapé. Son regards semble ailleurs. Ses yeux son cerné, comme si lui aussi savait pour Martia… Elle n'avait confiance que en peu de monde, ce qui me laisse supposé qu'elle et cet homme était extrêmement proche. Il reste là, immobile comme un fantôme, ou plutôt comme une marionnette scrutant les flamme. Une marionnette dépourvue d'âme, attendant que l'on tire les ficelles pour la faire vivre...

- Une journée de plus et tu n'aurais plus eu de bois. Sa vois est douce, lointaine.

Il finit par me regarder et me sourire. Ses yeux se pose sur la boite, son regards devient triste et se replonge dans les flammes. Peut être l'avait elle informé que si quelque chose lui arrivait on me la ferais parvenir, néanmoins je n'aime pas la façon dont il regarde le cube de bois. L'assiette qu'il m'a apporté est garnis de madeleine. Max est déjà a ma droite attendant que je lui en donne une, en espérant peut être même en avoir deux.


- Je vois que Dimitri est passé te voir, il fait un signe de tête vers la boite. Tu ne devrais pas la laisser ainsi en vue, on ne sais jamais. Pardonne moi de n'être pas venu plus tôt. Sa voie se casse.


Il porte le visage entre ses mains. Pause ses coude sur ses genoux. Il n'est plus si effrayant à présent. L'atmosphère et le silence qui reigne est pesant. Même les crépitement du feu on cessé, comme pour accorder quelque minute en la mémoire de Martia. Sa douleur rejoint la mienne, un vrombissement me tord les tempes m'annonçant le début d'une bonne migraine. Je me masse la tête doucement tout en fermant les yeux, espérant que celle ci aura disparue quand je les ré ouvrirais. Nous restons là, immobile. Les minutes passe, ma main se tend vers l'assiette.


- Je ne sais pas si cela sert encore a grand chose que tu en preine. De plus je ne suis pas aussi bon cuisiniers que ma sœur.

Sa phrase arrête mon geste, ma main frôle presque la coque délicate des gâteaux qui, par je ne sais quel miracle paresse encore chaud. Aussi bon cuisinier que sa sœur? Donc cet étranger est le frère de Martia? Et pourquoi sa ne sert pas a grand chose que je mange des madeleine?s Cela me parait complètement dingue!


Malgré mon regards incompréhensif, il reste inerte, l'air absent.


-Mon nom est David, je suis le frère de Martia.
- Sa je l'avais deviné, laissais-je échapper en un soupir.
- Au moins les quelque jours ici ne t’ont pas rendu muette, il à l'air d'être amusé par ce que je viens de dire. Le fait de sortir une vieille blague idiote qui ne fait par rire aurais donné le même effet.
- A ce que je vois tu n'as pas pris le temps de visiter les lieux?

Sa bouche fait une légère grimace. Il est vrai que depuis mon arrivé je ne m'étais pas changer, le fait de prendre une douche était la dernière de mes pensée et je n'avais même pas pris le temps de brosser mes cheveux. A coté de moi Max semblait sortir d'un de ces catalogue de chien, ou ceux ci sont pomponnés et tirés a quatre épingle.

Il laisse échapper un rire face à ma gène. Son bras se lève pour m'indiquer l'escalier à côté de la porte d'entrée.


- Tu monte, première porte sur la droite. Pour l'eau chaude ne t'en fait pas, j'ai apporté un générateur et ai fait les branchements.

Jusqu'ici j'étais restée cloitrer au rez de chaussé. Même si la demeure paraissait chalheureuse, les ombres dansantes dans l'escalier me glassait le sang. Mes yeux fixe le sol. Je le remercie et me presse à atteindre l'escalier.

Il y a 14 marches grinçante à souhait avant que je n'atteigne le palier. Les sols et les innombrables porte sont du même bois qu'au ré de chaussé. J'ouvre la porte à ma droite et m'empresse de tourner la petite clef en cuivre dans la serrure. Ma tête se pose contre le bois les yeux fermé. Je soupir, mon cœur bas fort dans ma poitrine. J’attends que la douleurs tambourinant dans mes tempes passe, je me retourne et reste émerveillé.

En bas tout semble vieillot et inhabité depuis des lustres. Cependant la salle de bain est pareil aux grands catalogues d'hôtels que nous recevions à la ferme.
En face de moi une grande baignoire blanche avec des pieds en forme de pate de lion couleur or, une douche à l'italienne sur le même pan de mur gris brillant. Un évier de la même couleurs que la baignoire est à ma gauche, et une ouverture sur le pan de mur en oblique à ma droite laisse entré la lumière du jours. Mes affaires on été déposées sur un meuble bas noir.
Je me tourne vers le miroir. Ma chevelure blonde brille à la lueur du soleil, mon visage est pale et fatigué. Mes yeux on une couleur noir piqueté de trais orange. Martia savait toujours quand j'étais contrarié car mes yeux prenais cette couleurs. Elle les comparais souvent à la peau de la salamandre.

Je me dirige vers le bac a douche et fait couler l'eau. Je ne met pas longtemps avant de me glisser sous le jet d'eau chaude. Chacun de mes muscles se détends, la chaleurs semble comme s'engouffrer jusque dans mes veines. Mes pensées s'évapore avec la buée émanant de mon corps. Je me sent vide. Je m'empresse de sortir me sécher.

Il y a tant de questions auxquelles j'aimerais que ce fameux David me réponde. Je me dirige vers le meuble noir ou étaient posé mes vêtements. Le sac n'est plus là et a été déplacer à coté du lavabo. A la place de celui-ci, une petite boite. Je retourne a la porte manquant de glissé sur le carrelage blanc. Pourtant elle est bien fermé! Si quelqu'un était rentré je l'aurais surement entendu! Je retourne à la boite quelque peu tremblante. Aerin y est inscrit. Donc sans aucun doute c'est pour moi.

A l'intérieur, je découvre des sous vêtement neuf vu l'étiquette accroché dessus, un débardeur noir et un jean strech. Je m'empresse de retirer les étiquettes et les enfiler de peur que David ne face irruption dans la pièce. Je me retourne devant le miroir afin de mettre un peu d'ordre dans ma crinière. Vu la vision que me reflète celui ci j'en ai grandement besoin. On dirait que j'ai mis la main dans une prise!

Mes nouveaux vêtement épouse mon corps a la perfection, n'omettant pas de dévoiler chacune de mes courbes gracieuse et ma poitrine quelque peut envahissante. L'eau comme par miracle à effacer les traces des dures moment vécu. Je ne semble plus la même, ma peau est éclatante, mes sernes on disparue et je me trouverais presque belle. Chose qu'il me semblais impensable jusqu'à aujourd'hui. Moi qui fuyais les miroir aussi loin que remonte mes souvenir, je me surprend à resté immobile, comme si je découvrais pour la première foi mon reflet.
Un léger claxone me sort de mes pensées. Je me retourne et tente de regarder par la fenêtre en montant sur le petit meuble. Je ne vois rien d'ici. Rien d'autre que l'immense forêt. Je n'ai pas entendu la porte claquer, David est encore en bas… Si un danger était présent il m'aurais évidement alerté ? Je redescend et retourne chercher dans mon sac ma brosse et un élastique afin de les attacher. Je m'applique à ne laisser aucune bosse dépasser, tirant avec la paume de ma main les mèches rebelles. De léger reflet noir apparaisse et suive mes mains au fure et a mesure de leur balancement. Je m'empresse d'attacher le tout avec un chouchou noir prune et fixe mes cheveux dans le miroir.
- Tu dois être encore fatigué ma pauvre, me dis je.
J'ouvre la porte, des bruis de conversation me provienne du rez de chaussé. Le battant méchappe, étonnament malgré le poids de celle ci, elle c'est refermée sans un bruit. Surement une porte anti bruit? pensais je. Je ré-ouvre la porte et entame ma descente. Je m'arrête à la dernière marche. David est toujours assis au même endroit que tout à l'heure, en pleine discutions avec un homme. Je ne le vois pas mais en vue de son timbre de voie je devine que c'est un homme, ou bien une femme grande amatrice de cigarette!
- Max! mon ton est désapprobateur mêlé de surprise.
Il me regarde de ses petit yeux malicieux, assis de toute son poids sur les genoux du nouvelle arrivant. Il n'avait jamais fait cela avec qui que ce sois, moi y compris. Et en vu de son air je comprend vite qu'il n'est pas près à ce déloger. Il tourne sa gueule vers son "fauteuil" et lui lèche le visage. L'homme ris et lui fait un signe de la main pour le faire descendre. Il attrape une madeleine et la lui lance en l'air. Ni une ni deux, Max se cambre sur ses pattes arrière et l'attrape au vol sous le regard amusé de David.

L'homme se lève et je reste là, inerte. Je sent de légé picotement courir dans mon cœur, s'échapper, atteindre ma nuque pour se propager dans chacun de mes cheveux. Je reste là, à le dévisager. Je ne me souvient pas avoir vu un homme aussi beau et avec autant de prestance. Il a l'allure athlétique et son pull blanc laisse apparaître sa musculature. Ses cheveux son noir, coupés court, continuant leur course de chaque coté du visage pour former un collier de barbe, comme ceux que j'avais pu voir sur les vieux vinyle de Martia. Ses yeux vert ressorte de son teint halé. David ne cesse de rire, comme si la situation était comique. Je distingue mais n'enregistre pas le changement de couleur subtile sur les pupille de l'inconnu, seulement une légère rougeur sur ses joue, il baisse le regards gêné, et tente de détourner la situation en jouant avec Max. David ne cesse de balancer son regards entre moi et l'homme. Un léger malaise remplis la pièce. David se lève à son tour, manquant de trébuché sur la table basse.
- Aerin, je te présente Dimitri, mais il me semble que tu l'a déjà rencontré? Sa voie est amplis de fierté, comme si c’était le président en personne qu'il me présentait.
Sa présence me pic au vif, qui est cet homme ? Il ne ressemblais nullement a la boule verte qui m'avait livré le colis il y a quelque jours, même si sa voie m'étais familière...
- Je vois que tu as trouvé les vêtements que je t'ai apporté?, chantonne Dimitri comme pour me mettre à l'aise.
De nouveau ce picotement, des fourmis on maintenant élus domicile dans mon ventre et s'amuse à faire une guéria, mes joue s'enflamment.
- Trouvé? En même temps je ne risquais pas de les loupé vu que l'un de vous deux c'est immiscé dans la salle de bain pendant que j'étais sous la douche! Ma voie est furieuse, bien plus cassante que je ne l'aurais voulu.
Le regards de David fixe le sol. Dimitri coupe le silence embarrassé.
- David m'a dit que tes vêtement étais un peu grands, je me suis permis de t'en acheter de nouveaux et de te les apporter... Je n'ai pas fait le voyeur, j'ai juste déposé les affaires et je suis sortis. Pardonne moi si cela était déplacer.


La simple idée que cet homme soit rentré dans la pièce ou j'étais dans mon plus simple apparat me refis rougir de honte. Laissant mes émotions de côté, je me dirige par politesse lui serrer la main.
- Ce n'est rien, c'est oublié... Pardon de m'être emporté... Ma voie est douce, presque inaudible, comme une enfant ayant fait des bêtises.


Il répond a mon bras tendu, glisse sa main dans la mienne dans un sourire pour répondre à mon bonjours. Son visage se fige, la chaleur me brûle chaque centimètre de ma peau, j'aimerais la retirer mais je n'y arrive pas. Le regards de Dimitri semble s'enflammer et passer par toutes les couleurs. Son visage se tords de peur. Mon corps ne répond plus à mes volonté. La chaleur remonte le long de mon bras, électrisant mon coude, s'emparant de tout mes membres. Ma tête s'enflamme, le picotement dans mon cœur redouble, les fourmis dans mon estomac on décidé de tirer un feu d'artifice. Je sent mes jambes s'effondrer sous mon poids, je sent Dimitri vacillé dans son esprit. Des sensations étrange s'empare de moi, des pensées qui ne sont pas les miennes. Des mains me rattrape avant que je ne m'effondre sur le sol.
- Bon sang c’était quoi sa? la voie du nouvel arrivant se fait lointaine, je ne suis pas la seul a avoir reçus le choque apparemment.
Il en a été renverser sur le canapé. Max tourne en rond entre nous deux pour s'assurer que nous allons bien.
- Euh.. David semble hésiter.
Je n'entend pas la suite de ce qu'il lui répond. Un silence s'installe.
- C'est impossible, pas avec si peu de temps de sevrage, si? sa voie est effaré.
- Je ne sais pas, répond David mais a ce que j'ai vu c'est possible, et vu ta réaction à sa présence et son touché sa ne trompe pas.
Il ne précise pas sa pensé malgré le regard interrogateur de son interlocuteur. David parait inquiet mais amusé par le spectacle. Je sent ses bras me porter, l'un sous ma tête et l'autre sous mes genoux. Mon nez effleure son coup, une vague de tristesse mêlé d'inquiétude m'envahis.
- C'est pas vrai m....! S'exclame David manquant de me faire tomber. Première directive que je te donne depuis qu'on se connais Dimi, AUCUN contact entre vous deux autrement que verbale, tant que je n'aurais pas eu une bonne discutions avec elle tout au moins et surtout tant que ces choses se produirons !
A en juger par sa réaction, je ne sais pas ce qu'il se passe, mais il ne s’attendait pas à sa ! Je le sent monter l'escalier, comme si mon corps n'étais pas plus lourd qu'un sac de plumes. Sa jambe gauche se lève pour me maintenir, le temps que sa main retrouve une clef pendu tel un pendentif à la chaîne de son coup. Le cliquetis laisse s'ouvrir la porte donnant sur une grande chambre. Il me dépose sur le lit qui est au centre et sort en marmonnant. Dimitri à du lui emboîter le pad, une discutions assez proche me parviens. Ils doivent être sur le palier.
- Comment vas elle? murmure t-il.
- Comme quelqu'un a qui l'on a privé tout ses sens de vie depuis bien trop longtemps... Laisse la se reposer.
J'imagine que David a du le retenir pour ne pas qu'il vienne vu son ton ferme.
- Tu as grand besoin de te reposer aussi, repris t il.
- Seulement quelque minute, je ne la toucherais pas, juste le temps que tu remonte le sérum.
- Ok, mais au moindre truc bisard tu sort de cette pièce. Elle est comme un nouveau né qui se vois recevoir chacune de ses faculté en un temps divisé par milles! Il faut que je contacte les autres, si on attends de trop sa va devenir ingérable et aucun de nous n'a les qualifications pour devancer ce qui va arrivé. C'est la première foi que je vois sa... Sa voie est effaré et angoissée.


Je l'entend dévaler les escaliers. J'entrouvre les yeux et l'aperçois. Il semble inquiet et si vulnérable. Il s'approche doucement se penche au dessus de moi. Sa main écarte une mèche de cheveux de mon visage. Son regard semble s'électriser de jaune et de bleu. Je sent son odeur envahir mon esprit, essayant de s'agripper à moi comme par peur que je l’oublie ou la repousse. Il fait un bon en arrière en entendant David remonter à la hâte, s'écarte pour le laisser passé.
- Tu es sur de ce que tu fais?
- Ne t'en fait pas Dimi, c'est soit elle ne réagit pas, soit l'effet la calmera et l'aidera. Dans aucun des deux sa ne lui feras de mal.
- Et pour toi?
- J'en ai toujours en secours ne t'inquiète pas, et tu sais a mon âge je n'en ai plus vraiment besoin!

- Pardonne moi de te dire sa,… mais avec ce qui est arrivé à Martia tu pourrais en avoir besoin…

- J'arrive encore à me contrôler Dimitri ! Sa voie est coupante.

- Toi qui vois, juste que je ne tiens pas a faire la surveillance de…

- Ca n'arrivera pas, maintenant si tu permet...
Sa main remonte le long de mon bras, tapotant pour trouver une veine, je sent un léger pincement, le liquide commence sa course propulsé par les battement de mon cœur. Ma migraine commence à s'estomper, je me sent comme aspirer par la couverture en laine rouge laissé sur le lit. Leurs voies me semble de plus en plus lointaine. Le silence s'empare de moi, mon cerveau fait comme abstraction de tout et bloque mes pensées. Seul des flash de couleurs alternative, tel du morse, m'apparaisse sous mes paupière clause. Vert, violet, rouge, marron, bordeaux, bleu, jaune, vert, rouge, marron, jaune, violet....


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