chapitre 4

17 minutes de lecture

Les rayons du dieu soleil, Hélios caresse mon visage. Emmitouflé sous les couverture, la tête au creux de mon coussin, je me souviens d'un passage de livre que je m'étais permis d'emprunter à Martia. La légende disais que Hélios vivait sur une île appelé Aéa dans un palais recouvert d'or, de bronze et d'ivoire. Il attachais ses quatre chevaux Pyroïs, Eoos, Aethon, Phlégon à un chard, puis partais survoler le ciel. Il passait ses journée à surveiller les hommes et les dieux. J’aimai a croire que les champ de blé étais ce soleil, Martia et Max mes dieux,,,

La lumière se reflète dans les gouttes de rosé sur ma fenêtre. La pensé des images qui se dessinaient dans mes rêves me revient. La grande ferme clôturée de vieille barrière en bois étais pareil au palais d'Hélios. Demeure coupé du monde, l'herbe dansant au rythme de la brise, pareil au mouvement des nuages. Les montagnes environnante imitant les vagues de la mer figé sur une toile.

Ce qui avais été ma maison depuis près de 9 ans, me semblais être minuscule entourée des 6hectares de terrain. Tout en bois et d'un seul bloque, sa devanture était peinte d'un blanc nacré, on pouvait discerner les rainures des lattes de bois. Le rouge des encadrement de fenêtre était pareil à la couleur des roses que l'on avaient plantées sous chacune des fenêtres. Une dizaine en tout.
Peut être que de là haut elle me regarde, veille sur Max et moi? Pensais-je.

Mon esprit me projette des images, le mécontentement de Martia quand elle c’était rendu compte que je lui avait emprunter le livre. Ses yeux qui habituellement était vert, c’était obscurci. Ses pupilles étaient dilaté. L'une des première et dernière foi que je la voyais ainsi! La reliure en cuire marron avait été arraché de mes mains me laissant échapper un cris. Je n'ai jamais revus les files gris entrelaçant les pages, ni les dorures du titre écrite dans un dialecte qui m'étais inconnus. Les textes étaient écrits en français à l'intérieur, ce qui m'avait semblé plutôt étrange. Nous n'avons jamais reparlé de cet incident. Et vu la colère dans laquelle Martia c'était mise, j'avoue ne pas a avoir non plus engager la discutions sur ce sujet. La porte du bureau depuis ce jour était resté inaccessible à ma personne.

La veille de tout ce chamboulement à été comme chacune des soirée d'été, même si elle précédais un jours spéciale.

Nous nous étions installé Max et moi sur la balancelle, attendant que Mani vienne dévoilé chaque étoile de son monde. Le soleil nous a offert l'un de ses plus beau spectacle, mélange de jaune orangé, piqueté de vol d'étourneau. Leurs danse était si magnifique. Hélios a, comme chaque soir, enflammé les collines d'herbes puis finit par s'endormir, laissant la place instantanément à Mani. Comme si celui ci était réellement poursuivit par le loup Hati.

Les guirlandes de lumière, comme collé au ciel n’ont pas tardé à se montrer. La troisième constellation, semblais briller de ses 7 étoiles comme nul autre soir. Comme si, elle aussi savait. Nous sommes resté là, mes pieds aidant au balancement, laissant les chaînes grincé au rythme des vas et viens. Le chant des grillons annonçais une belle journée pour le lendemain. Et comme à l'heure habitude il ne se trompais pas.

L'odeur des madeleines mêlé au vieux bois brûlant dans la cheminée me sort peu a peu de mon dure réveil. Martia est déjà levée. L'arôme remontant le long des marches de l'escalier et du couloir me dit que depuis plus d'une heure elle est dans la cuisine à me préparer un de ses petits déjeuner dont elle a le secret. Elle avaient pour habitude de se lever aux aurores, de préparer ses 3 fournée de madeleines que j'aimais tant et dressais la table en attendant que je me lève.
Max doit être déjà entre ses jambes, balançant la tête de chaque côté, essayant de trouvé le bon angle ou le regard qui fera amener à sa gueule une de ses délicieuse friandises. Je vois déjà les filets de bave tomber sur le sol et sa mine abattu. Martia n'aime pas qu'il reste ainsi à qu'émender, mais finit toujours par lui céder. Sa main descend le long de son tablier comme par peur d'être surprise, et dépose dans la gueule du mastodonte un gâteau. Le regard de Max alors s'enflamme et il ressort tête haute et queue battante pour engloutir son petit déjeuner sur la terrasse en bois. Je ne sais pas s'il a le temps d'avoir un goût en bouche vu à la vitesse qu'il mange.
Après avoir réussi à m'extirper de la douceur de mes draps, non sans grande peine, je me dirige vers la sortie de ma chambre, donnant sur un couloir long de six mètre.

Il dessert la salle de bains, les deux chambres et le bureau. Son sol est en carrelage, celui-ci ayant été collé sur ce qu'on devine être un parquet. Les carreaux blancs devait être sûrement trop petit, dévoilant entre leurs bordure et les plaintes une teinte marron tranchant avec l'ensemble. Les mur son tapissé d'une fibre peinte d'un beige presque transparent. Aucune décoration n'a été accroché au mur, seul un cadre de la liseuse fait fasse à l'escalier. Les marches sont d'une couleur prune, protégé par un garde corps en fer travaillé à la main. Les entrelacement m’ont toujours fait pensé aux vagues dessiné sur les livres de compte.

Malheureusement je n'ai jamais vu la mer, les vagues... Mais les descriptions dans les récits que j'ai lu me semble si réel.

Mon pied se pose sur le sol en bois. Son contact est légèrement désagréable. Quelques accros laisse dépasser des éclis de bois me rappelant l'ordre de ne pas marcher pied nu.

J'entre dans la cuisine, Martia me tourne le dos. Ses cheveux châtain brille à la lumière du soleil. Elle c'est mise sur son trente et un aujourd'hui. Le simple jean et tee shirt blanc porté habituellement à été mis au placard pour laissé place à une robe d'été blanche à fleur jaune, dévoilant ses fine jambes. Elle chantonne comme a son habitude. La radio sur le dessus de sa tête, laisse échapper un léger son. Je n'en distingue à peine les paroles. Je contourne la table qui nous sépare et dépose un léger baiser sur sa joue droite. Sa peau est douce et sent l'abricot. Elle sourie.
- Dépêche toi de manger, me dit elle d'une voie douce. Enfin sauf si tu ne veut plus m'accompagner?
Son regard malicieux en coin me surveille, et ma réaction à ses paroles ne manque pas de la faire rire.
Je m'empresse d'avaler le bol de café, une dizaine de madeleines et de me changer.
Le vrombissement du moteur se fait vite entendre. La fenêtre de ma chambre donne sur l'entré de la maison.

Je m'étonne que "ce pot de yaourt" démarre encore au quart de tour. Martia ne l'utilise que une foi par moi, elle me laisse seul le temps de partir à la ville faire le ravitaillement. Elle n'aime pas me laisser seul à la ferme.

Il n'y avait que une foi dans l'année, le 16 août, ou elle me permettais de l'accompagner. Je gouttais alors au douleurs dans le bas de mes reins quand la petite fiat esquissais maladroitement les cahots. L'air n’engouffrais par le toit ouvrant, faisant volé mes cheveux blond blé. Je gouttais alors au bonheur de l'évasion. Mes yeux se fermais, je me laissais porter par les effets des 85km heure que plafonnais notre moyen de transport. Max glissais entre les deux places passager à l'arrière a chaque virage. Sa langue pendais a cause de la chaleur, les courants d'air chaud remontaient les poils lui couvrant les yeux.

En a peine 10minutes je suis déjà dans la voiture. La chaleur y est aussi suffocante à l'intérieur qu'à l'extérieur. Mes yeux se pose sur le paysage. Nous parcourons les quelques mètre qui nous sépare de la sortie du terrain, passons sous l'arceau de branche entrelacé surplombant l'entrée, et nous laissons happé par la campagne.

Encore 10 minute et nous pourrons bientôt apercevoir l'intersection du pendu. Dans la région nous l'appelons ainsi car à chaque coin de la route a été planté un platane. Certains disent que ceux si servais à pendre les hommes et les femmes jugés par chaque ville. Quatre arbre pour quatre villes. Je me rappel d'un ancien m'ayant dit un jour:
- De mon temps ma p'tite, à chaque solstice chaque habitant se réunissais autour de son arbre. Chacun comptais le nombre de pendu, et la ville qui en avais obtenus le moins étais considéré comme étant la plus agréable à vivre. Sa voie étais pensive, je buvais ses paroles tout en étant choqué, puis il c’était mit à rire devant ma tête déconfite.
La vision de corps suspendu me glaçais le sang, et imaginé que des personnes puisse se réunir pour les compté? Je trouvais sa plus que macabre et dépourvus de respect envers ces pauvres gens. Si son histoire avait quelque soupçon de vrai, l'ancien ne devait avoir que dans les 90ans ce qui ne remontais les fait qu'à quelques année. Son récit d'humour noir restais d'écalé par rapport à la vision du monde que je m'étais faite. Et quand on a 11ans la vision reste peut être vague, mais amplis de paillette et "de tout le monde il est beau et gentil".

Martia me fait un signe de la main m'indiquant que c'est le moment. Sans attendre qu'un son ne sorte de sa bouche, je me glisse sous le tableau de bord à en collé ma tête au planché.

Ce passage précipité au jeu de cache cache était devenu un rituel depuis mon premier trajet jusqu'à chez Martia. Je ne la connaissait pas encore, l'homme mystérieux qui me conduisait à la ferme non plus d’ailleurs. Du haut de mes 9ans, j'avais simplement demandé à celui qui se présenta par la suite comme étant Alexandre, qui étaient ces gens au pieds des arbres, et pourquoi ils avaient se « machin » autour du coup. Son visage c'était recouvert d'une panique sans nom et m'avait expressément demandé de fixé un point sur la boite à gan. La voiture avait alors redoublé de vitesse jusqu'à ce que je découvre ce qui allait être mon nouveau chez moi.

Des bout de terre, gravié et miton son collé à la moquette laissant échapper une légère odeur de croupis. La nosé me prend, je respire par la bouche afin de l’atténuer. Les cailloux me ronge les genoux. Quel idée m'a pris de prendre exemple sur Martia et mètre une robe? Celle ci étant légèrement trop petite. En m'accroupissant elle était remonter le long de mes jambes, bien trop remonté! Martia me recouvre chaque centimètre de peau à l'aide du tissus de la couverture de pic nique. Bientôt ma tête, mon dos, et mes jambes nu disparaissent. Je sent qu'elle dépose délicatement un carton. Rapidement je sent mes jambes fourmillé, encore 30 minutes a tenir ainsi et nous serons arrivés.

Le balancement et les cahots ne me donne pas les meilleurs impressions de ce voyage. Mais cela vau réellement le coup! Ma tête heurte la ferraille de la porte. Je sent une légère douleurs, mais rien qui me semble grave. Le saut à faillit renverser le carton et retourner la couverture. Je me doute donc que nous avons passé la moitié du chemin. Je sent la main de Martia replacer l'ensemble à la hâte, j'agrippe les quelques centimètre de tissus. Tous les ans je me heurte à ce moment à la portière, et tout les ans je ne prend aucune précaution. L'énervement et le sourire grandissant à l'approche de Glen, c'est comme sa que Martia appel cette ville, me fait oublié toute pensée et bloque ma concentration. Un petit trou sur la couverture me laisse entrevoir de grande masse verte, quelques oiseaux jaune tacheté de bleu saute de branche en branche. Le feuillage est tellement danse qu'il en occulte les rayon du soleil. Peu à peu, une lumière éblouissante se glisse à travers les carreaux, comme si celle ci devenais transparente. Un éclair violacé me fait vite fermé les yeux. Une larme coule le long de ma joue. Ma main se glisse doucement contre celle ci afin de l'essuyer. Mes yeux commence à se réhabituer à la lumière, il y a quelque seconde je ne voyais rien. La brume sur mes pupille s'efface pour me laissé voir la splendeur des arbres. Les feuilles verte son maintenant prune. Des veine marron semble palpiter, les branche se balances, comme si les arbres étaient vivant. Leur balancement s’intensifie, comme pour nous dire d'accélérer l'allure. Comme si Martia percevais leurs message, je sent la voiture accélérer. Le changement de vitesse bloque mon coup à l'assise du siège, me coupant la respiration. Le chantonnement de ma conductrice faisant office de radio à laissé place à un silence pesant. J’entends ses mains tapoter nerveusement le volant en cuir beige. Elle ne dit aucun mot et je n'ose lui faire part de mon ressentis. Une légère décharge par de ma nuque pour redescendre dans le bas des reins.
Soudain des bruits se font entendre. De simple murmure et tapotement pour commencer. Il s'accroissent à mesure que l'automobile s'approche, comme si elle était aimanté par eux. Des rires, des ronronnements de voiture, des chien qui abois, un battement sourd et régulier comme quelqu'un aèrent un tapis.
La voiture ralentie à mesure que nous approchons. Je la sent tourner de droite et de gauche si rapidement que je dois posé une main sur la portière et l'autre sur le sol à son opposé. J'imagine la tête de mon pauvre Max, et espère que son estomac tiendras le coup jusqu'à notre arrivée0 Les pneus crisse sur le sol, je suis d'un coup collé au siège à cause d'une pente que la voiture à bien grande peine à surmonter.

Le silence envahis l'espace de nouveau, seul l'auto ronronne. Le chant des oiseaux c'est éteint. Un chien s'approche en aboyant, puis nous court derrière jusqu'à ce que la voiture s'arrête.
- Surtout ne bouge pas d'ici. La voie de Martia ce veut rassurante, mais je sent le léger pic d'inquiétude.
J’entends sa portière claquer, ses pads s'éloigner rapidement sur le carrelage. Quelque chose tourne autour de la voiture. TIC TIC, TIC TIC. Probablement Astix, le gardien de la maison depuis 3ans. Un chien aussi grand que Max, d'une couleur noir ébène avec une petite collerette et des yeux jaune feu. Le cliquetis de patte s'arrête a coté de ma porte, un léger reniflement les succèdent. Aucun doute, c'est bien Astix! Il a cette petite respiration bien a lui, orchestré comme une musique avec un tempo bien régulier. Max s'agite à l'arrière. Je m'apprête à me retirer de ma cachette quand les paroles de Martia résonne dans mon cerveau. Vu l'atmosphère pesante avec elle tout à l'heure, il me semble bon de ne pas désobéir et de resté bien caché.
Des murmure incompréhensif me parviennent. Ils doivent être juste derrière la porte à l'avant droit de la voiture, à quelques mètre. La porte s'ouvre en un grincement, se claque en un bruit sourd. Quelqu'un s'approche.
- Astix, laisse moi la place. La voie est grave, tout aussi inquiète que celle de Martia.
Ma porte s'ouvre doucement, on me libère du poids du carton sur mon dos. Une truffe se glisse en dessous de la couverture, laissant échapper une langue visqueuse et râpeuse s'attaquant à mon visage. Des pattes m'escalade et je sent le mastodonte passer à l'arrière de la voiture. Le véhicule se met à tanguer au rythme des jappement de joie. Une main se glisse sous le tissus et le soulève.
- Tu compte rester toute la journée là dessous princesse?
Un sourire se tend sur mon visage, ni une ni deux je saute dans les bras d'Alex. Je le nomme ainsi mais son vrai nom est Alexandre. Il doit avoir dans les 35-40ans, deux ou trois tête de plus que moi.. Son odeur emplis mes narines, quelque peu agressive mais si agréable, si familière. Des larmes de joie coule le long de mes joues. Je m'écarte tout en restant agrippé a lui comme un singe à sa mère, sa chevelure blonde faisant ressortir ses yeux noisettes qui se plonge dans les miens. La lueur de bonheur et malicieuse s'efface rapidement. Il me pose à terre et recule d'un pad. Il m'observe de la tête au pied.
- Tu as bien grandit depuis la dernière fois. Sa te fait quel âge aujourd'hui… 18 ans… ?

- 20 !!!

Je prend mon air outré les main sur les hanches, il esquisse un sourire et me fait signe de la main droite.
Je me dirige dans la direction indiqué, me bas avec le groume qui coince, et passe le pad de la porte par laquelle Alex était arrivé. Nous arrivons dans le salon, rien à changé depuis l'année dernière. Toujours les deux fauteuils face à la porte, le grand tapis beige sous la table basse en bois et le carrelage ivoire. La cheminée est en route, ce qui me frappe avec les chaleur suffocante de l'extérieur. Pourtant l'air est frais. Martia est au téléphone dans la pièce en face. Je devine un bureau surchargé de papier, une grande bibliothèque. Elle déambule en cercle, le regards dans le vide et l'air inquiet. Elle a du nous entendre, son regard se pose sur moi, essais d'esquissé un léger sourire et referme la porte.
- Bon, on va tout de suite commencer par les choses qui fâche Aerin?
Je le regarde, sans un mot et lui sourit.
Je le suis dans la pièce a droite, il n'y a que ce minuscule bureau en bois avec son banc. Un petit bloc de feuille et un crayon m'y attende déjà. La fenêtre est toujours condamné par des planches en bois clouté sur le mur en pierre.
- Je sais que ce n'est pas comme sa que nous fonctionnons d'habitude, mais il faut que je m'entretienne avec Martia. Le plaisir viendra ensuite. Quand tu auras terminé toc a la porte et attend que l'on vienne te chercher.
J'acquiesce d'un signe de la tête et vais m’asseoir sur le bois dure. Je relève la tête mais il est déjà partis et un cliquetis se fait entendre dans la serrure.
Chaque année Alex me faisait faire un bilan sur les court que Martia m'avait donné, voir ce qui était acquis et valider mes compétences. J'avais le droit à des court particuliers et les journée se faisaient un peu en fonction de mes envies. La pile était moins épaisse que d'habitude, je pense ne pas en avoir pour plus de deux heure. Je me plonge rapidement dans mes devoirs, tout temps perdu sera du temps de moins à passé en compagnie de ce qui constituais ma famille. Un ans était dure à rattraper et une journée passait grandement vite.

J'avais du m'assoupir sur la dernière page remplis de chiffre trigonométrique. Je lève la tête, la feuille collé à ma joue. Je ne sais pas depuis combien de temps je dors. Les ronflement de Max et Astix s'engouffre par dessous la porte. Je ne suis pas la seul à avoir succombé aux bras de Morphée apparemment! Des voie chuchotes et grondes. J’essaie de comprendre la conversation et me dirige vers la porte pour y coller mon oreilles.
- Tu est inconscient Alexandre... C'est la voie de Martia, elle a l'air complètement outré.
- Mart, je n'ai pas eu le choix!
- S'il te plais Alexandre, moins fort, Aerin pourrais nous entendre.
Martia et Alexandre on l'air en pleine dispute. Je me colle un peu plus, essayant de faire corps avec la porte.
- Q'aurais tu fais? Chuchote Alex impuissant.
- Je les ai eu au téléphone,... Aerin doit... Catiopé est en danger ici... décision... Astix passe encore mais....
La conversation est saccadé je n'en comprend pas le sens, qui est Catiopé? Et qui sont ses gens avec qui Martia était au téléphone?
Quelqu'un met la radio en marche, laissant échapper une musique classique. Celle ci couvre les voie. Je reste là quelque minute à essayé d'écouter la conversation. La musique est trop forte. Je retourne à mon pupitre, relis mes feuilles tout en étant distraite par ce que je venais d'entendre.

Jamais je n'avais vu ou entendu Martia et Alexandre se disputer ainsi. Une foi terminé ma relecture sans grande conviction, je la repose sur l'angle de la table, me lève pour aller toquer à la porte et signalé que j'ai finit.

Le cliquetis de la serrure se fait vite entendre, la poignée ronde se tourne pour laisser entrer la lumière du jour. Être resté à la lumière de la lampe a huile ne m'a pas réussi, et les éclair du soleil m'agresse les yeux. Une foi réhabitué à la lumière naturel, je vois Martia assise sur l'un des fauteuil, et Alex se tenant à l'entrée de la porte. Ils ont l'air de faire mine de rien, leurs visages dessinant ce qu'on pourrait dire normal. Une petite main se dessine sur le genou droit d'Alexandre. Je le regarde perplexe puis me penche sur le côté pour voir qui se cache derrière.
Alex me regarde, amusé.
- Je te présente Catiopé.
Je sursaute au son de sa voie si grave. Derrière lui une petite fille se cache, tant bien que mâle. Sa tête lui arrive aux hanche. Se qui m'interpelle tout d'abord c'est ses cheveux. D'un roue ambré, avec des reflet jaune. Les reflets parte tel des électrode de son cuir chevelu pour disparaître au boue des pointe de ses mèches. Ses yeux son vert émeraude, aussi brillant que des diamant. Elle me regarde d'un air penaud, je m’accroupis, lui tant la main pour la salué, en lui faisant mon plus grand sourire. A mon grand étonnement elle s'avance vers moi et me serre contre son petit corps. Une chaleur m'envahis. De sa joue touchant la mienne, elle descend le long de ma nuque. Martia se lève d'un bon et nous sépare rapidement sous l'œil effaré de Catiopé.
- Pas de contacte. Sa voie est tranchante et je ne comprend pas.
Alexandre reste surpris, mais pas du comportement de Martia. Son regard se pose sur moi et la petite fille. Il essais de dire quelque chose mais les mots ne veulent pas sortir. Même les deux molosse se sont levé et reste là, gueule ouverte a nous toiser.

Ce n'est pas la question sur les mèches étrange qui ressortais de la chevelure de Catiopé, ou le pourquoi de la présence de cette jeune fille qui sortis en premier de mes lèvres sur le chemin du retour. Pour la première il étais normale pour ma part de voir sa, les cheveux de Martia était toujours plus ou moins habités par des étincelles de couleurs ; ni la deuxième, la présence de Catiopé était pour moi mon derniers soucis. Mais le pourquoi de la dispute, je voulais savoir pourquoi ils avaient l'air d'avoir si peur, et qu'escequi c'était produit ? Je ne comprenais pas la réaction de mon corps au contact de la fillette…

« -D'une part tu n'as pas a écouter au porte Aerin, quand au pourquoi ce n'est ni le lieu ni le moment ! »

Ne pas écouter au porte, je n'en avait pas vraiment eu besoin vu qu'il se disputais à proximité de la pièce dans laquelle j'étais ! Quand à l’excuse ni le lieu d'accords mais le moment arriverais quand ? Je n'avais pas chercher plus loin face au regard furibond de Martia et le reste du trajet ainsi que la soirée fut d'un silence glacial.

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