Chapitre 4

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L’amour de deux personnes.

Quelques semaines après le meurtre de M. Rousol, la vie a repris son cours normal avec des modifications. Clarrence commença à s’ouvrir à Eric puis à Alie François et Enzo. Eric et Clarrence continuaient à s’embrasser, mais cela n’allait jamais plus loin qu'à un baiser simple. Mais depuis quelque temps, je commençai à me sentir bizarre en sa compagnie, le cœur qui bat à cent à l’heure, le visage rouge et un sentiment de jalousie qui l'envahit de tout son corps quand il voit d’autres lui parler et il ne sait pas pourquoi je suis comme ça.

- Toi, tu es amoureux. - Dit François.
- Quoi ?! - Dit-il surpris.


- J’ai dit, tu es amoureux - Redit François.
Il sentit ses joues être rouge qu'il tourne sa tête pour regarder ailleurs, mais maintenant que Eric a sa réponse à ses questions tout devenait plus clair.

Il est tombé amoureux de Clarrence… Cela ne faisait que trois mois qu’elle fût étudiante ici, il regarde Alie qui discutait avec Clarrence et il ne peut que la regarder sourire et rire de temps en temps et merde ! François a raison, il est clairement fous amoureux d’elle ! Et Eric n’en peut plus de la voir avec quelqu’un d’autres que lui, il se lève et se dirige vers elles voyant un gars en train de séduire SA Clarrence, il arrive à leurs hauteurs et tira Clarrence vers lui.

- Dégage ! Elle est prise. - Dit-il énerver.

Le gars en question s’en alla en soupirant.

- Eric ? Ça va ? - Dit Clarrence.

- Mieux maintenant – Lui dit Eric.

Il la prend dans ses bras la serrant doucement pour ne pas lui faire de mal.

- Ok ? - Dit elle dans l’incompréhension.

- Hou~Y en a un qui est amoureux~ - Dit Alie.

Eric la regarde en rougissant tandis que Clarrence fit de même cela le rassure d’un côté et de l’autre, il fut surpris, car il pensait que cela n’allait pas être réciproque, mais si ça l’ai.

- Ho ça va vous deux, avouer le que vous êtes amoureux l’un envers l’autre – Dit Alie.
- T Tait toi Alie – Dit Clarrence.

Le jeune étudiant les regarde toutes les deux avant de partir aux toilettes pour homme et se rinça le visage avant de se regarder dans le miroir avec quelques gouttes d’eau qui tomba de son visage, il ne put m’empêcher de penser à l’avenir, à ce qu'il voulait devenir. Son rêve est de devenir artiste est même être enseignant, aujourd’hui, il va les réaliser, mais depuis l’arrivée de Clarrence tout à changer, il ne sait pas quoi choisir… Clarrence ? Ou son rêve ? Il soupire et se sécha le visage avant d’aller rejoindre les filles qui sont avec Enzo et François. Le reste de l’après-midi se passait bien même s'il était ailleurs la moitié du temps.

Le soir venu Eric fut allongé sur son lit de son studio regardant le plafond, il était comme face à un mur entre deux choix : Clarrence ou l’enseignement ? Il est comme perdu… Ne sachant pas quoi y faire, il prit une grande décision, aller voir François avec un peu de chance sa lumière est encore allumer, il prit sa veste et ses clés avant de partir vers chez son ami. Et comme prévue, sa lumière fut encore allumée, il prit des petits cailloux avant de les lancer à sa fenêtre jusqu’à ce qu’il se décide à lui ouvrir la fenêtre. Eric le vit l’ouvrir et il lui fait signe de grimper pour rentrer dans sa chambre, il commença donc à grimper vers sa chambre et ferme la fenêtre. En se retournant, il le vit assis sur son lit avec son ordinateur ouvert.


- Salut François – Dit-il en souriant.
- Eric, on c'est vu de toute la journée, et qu’est ce que tu veux il est tard – Dit François.


- François, j’ai besoin de toi… - Lui dit son ami.
- Mon aide ? Et pourquoi ? - Lui demande François.


Il le regarde hésitant puis décide de se lancer.
- Je crois que je suis Tomber amoureux de Clarrence. - Lui dit Eric.


François le regarde surprit ne sachant pas quoi dire.


Cela allait faire cinq minutes qu'ils sont devenus silencieux, depuis qu'Eric a dit à François qu'il croit être amoureux de Clarrence.


- François ? - Lui dit Eric.

Mais ce dernier ne lui répond pas encore sous le choc.


Il soupire doucement et s’assoit sur son lit attendant qu’il puisse réagir ou bouger un petit doigt, mais non rien.


Cette aide dont Eric avait temps besoin va mettre plus de temps à arriver que convenue.

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