Adeline cherche un job étudiant

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La colocation a toujours été un moment important dans la vie de tout étudiant qui s'y est lancé. En plus du fait de quitter le cocon familial et de se prendre soi-même en main, c'est le moment rêvé de tenter des expériences en toute sécurité. Les colocataires sont là pour veiller l'un sur l'autre, s'entraider. Mais dans la colocation des Sardanapales, la notion de plaisir est tout aussi présente. D'autant plus qu'aucune n'a de loyer à payer!

Mais pour garder les apparences auprès de ses parents qui n'ont pas les moyens de payer un appartement à Adeline, elle se lança dans la recherche d'un job étudiant. Impossible de s'abaisser, tout de même, à travailler dans un McDo. Alors l'idée vint en partie de Truc, qui se faisait un plaisir de passer deux soirées par semaine au service de ses Maîtresses. Lui qui aimait être humilié et maltraité, il était servi! Sept belles jeunes femmes prenaient un malin plaisir à lui faire faire ou subir les pires choses, sans aucune limite.

Cette soirée-là, elles avaient grandement abusé de leur soumis, qui gisait au milieu du salon, allongé sur le ventre, les fesses striées de coups de cravaches appliquées par séries de cinq, chacune leur tour. Armées d'un gode ceinture, six d'entre elles l'avaient sodomisé jusqu'à l'en faire pleurer, pendant que Sybille le maintenait le visage au sol, le pied chaussé d'un talon aiguille appuyé fermement sur son visage.

Le salopiaud avait joui trois fois. Il avait donc dû nettoyer son propre foutre avec la langue. Maintenant, elles étaient là à discuter comme si de rien n'était, nues, un verre à la main.

-- Quitte à trouver un job, il faudrait qu'il serve notre cause, dit Sybille à Adeline en lui caressant le creux du cou.

-- J'avais pensé à faire livreuse, lui dit Adeline en souriant. Ça me permettrait peut-être de découvrir l'adresse de personnes importantes, de m'introduire chez eux quelques instants, ne serait-ce que le temps de picorer quelque info qui pourrait nous servir. Quand les gens se font livrer à manger, ils ne sont pas méfiants.

-- Chez La Boîte, lança Truc depuis le sol.

-- Qu'est-ce qu'il dit? répliqua Sybille en présentant la pointe de sa chaussure près du visage de l'homme.

-- Lorsqu'il y a des réunions ou des réceptions, tout le gratin se fait livrer par La Boîte, le traiteur. Ils font aussi de la livraison express. Je le sais, mon fils y a travaillé. Il est souvent allé livrer des repas à la mairie, quand les réunions s'éternisent.

Truc se vit récompensé en passant sa langue sur le cuir des chaussures à talons aiguilles de Sybille et dès le lendemain, Adeline s'était attelée à contacter le traiteur en question. Il lui avait fallu faire des pieds et des mains pour décrocher un entretien, mais au sixième appel en une seule journée, la secrétaire avait bien voulu lui passer son boss et celui-ci avait fixé un rendez-vous pour deux jours plus tard.

Alors Adeline avait décidé de mettre toutes les chances de son côté. Non seulement elle avait choisi une tenue qui mettait tous ses atouts en valeur, mais en plus, elle avait appris un maximum de noms de rues et leur emplacement sur une carte, pour montrer que si le GPS tombait en panne, elle saurait trouver sa destination sans aucune difficulté.

Dans son tailleur à pantalon, avec les manches qui s'arrêtaient juste au-dessous du coude pour une impression de décontraction, Adeline n'avait rajouté qu'un petit t-shirt au col en V. Rien en dessous. Avec la veste, cela ne se remarquait pas, mais elle espérait grandement que le patron à la voix suave apercevrait un téton pointer sous le léger tissu. Niveau maquillage, elle y était allée doucement, si ce n'était son rouge à lèvre flamboyant qui, elle le savait d'expérience, ne laissait vraiment aucune trace, si elle faisait un minimum attention.

Arrivée aux bureaux de La Boîte, elle dut attendre la fin d'une réunion. La secrétaire semblait être une vraie peau de vache, mais il fallait bien avouer que monsieur Canné savait s'entourer. Le décolleté de la femme était sûrement ce qui lui faisait supporter son humeur bovine.

Il vint lui-même accueillir Adeline en lui tendant la main qu'il serra chaleureusement. L'homme était bien plus jeune que ce qu'elle avait pensé, peut-être la trentaine. Il est vrai que Truc lui avait dit que le monsieur Canné qui avait monté cette entreprise avait pris sa retraite quelques années plus tôt et que son fils avait hérité de sa place de dirigeant.

Elle le suivit dans son bureau, appréciant la coupe de son pantalon qui mettait ses fesses en valeur. Mais elle devait faire attention: il portait une alliance. Elle allait donc devoir s'y prendre avec tact.

Coup du destin, sûrement, l'homme lui expliqua qu'un des livreurs s'était cassé une jambe en début d'après-midi, pendant son entraînement de foot. Elle répondit à toutes les questions que monsieur Canné lui posait à la chaîne, comme s'il avait un questionnaire dans la tête. Il ne prenait aucune note, ne la quittait pas des yeux une seule seconde. Le trouble d'Adeline la fit bafouiller une ou deux fois, mais elle maintint bien sa position assise, faisant juste glisser ce qu'il fallait de sa veste pour qu'il voie son téton qui dardait sous le tissu. Il finit par se gratter la barbe naissante en la reluquant d'une manière qui excita Adeline. Était-ce de l'envie qu'elle lisait dans son regard? Ou du doute?

-- Je dois vous avouer que vous me semblez avoir beaucoup des qualités requises pour ce poste, lui dit-il enfin. Mais c'est un boulot assez physique, et vous me semblez plutôt... fluette, sans vouloir vous vexer. Je suis plus habitué à embaucher des hommes pour ces tâches.

-- Les efforts physiques ne me font pas peur, monsieur. Et je suis prête à vous le prouver dès maintenant.

Elle laissa un petit blanc en plongeant son regard sombre dans celui bien plus clair du boss des lieux:

-- De quelque manière que ce soit.

Elle reçut d'abord un sourire en coin. Mais lorsqu'il se leva de son siège, elle fut déçue de ne pas le voir déjà en érection. Alors elle ne le laissa pas enchaîner. Elle devait prendre le dessus, ne pas arriver et quémander du travail, mais recevoir ce qui lui revenait de droit. Car à son visage, il semblait clair à la jeune femme qu'il s'apprêtait à lui dire qu'on la rappellerait. Et il en était hors de question.

-- Croyez-moi, monsieur Canné. Vous ne trouverez pas plus dévouée à son travail.

L'homme avait beau s'approcher d'elle, ce n'était que pour se diriger vers la porte. Elle se leva alors d'un bond et lui barra le passage, se retrouvant presque nez-à-nez avec lui. Ce qu'elle fit ensuite ne fut pas dirigé par le désir, loin de là. Ce fut l'image de Sybille déçue qu'elle n'ait pas réussi à décrocher ce job qui la fit plaquer sa main entre les cuisses de l'homme, puis serrer sa verge molle pour qu'il ne recule pas tout de suite. Il ne fallait pas lui laisser le temps de cogiter, alors elle lui dit sur un ton tellement autoritaire qu'elle en fut surprise elle-même:

-- Je n'ai sûrement pas les atouts de votre secrétaire acariâtre, mais il y a des missions pour lesquelles vous ne pourrez pas faire appel à elle. Et croyez-moi...

Voyant que l'homme restait là où il était, droit comme un piquet, les yeux écarquillés, Adeline commença à ouvrir sa braguette, tout en se plaquant contre lui pour lui susurrer à l'oreille:

-- Lorsque vos clients auront été servis par mes soins, ils seront fidèles à votre enseigne pour toujours.

Son visage avait rougi, il suait des tempes. Sur la pointe des pieds, elle en lécha une goutte tout en appréciant la grosseur dans sa main plongée dans son caleçon. Elle se mit à le branler doucement, maintenant sûre qu'elle l'avait en son pouvoir. Elle s'écarta légèrement de lui, juste assez pour baisser les yeux sur son entre-jambe, comme si elle s'apprêtait à faire surgir son membre pour le faire gicler.

-- Vous avez besoin de moi... Ici et maintenant. Vous devriez en profiter pour appeler votre service comptable, afin de finaliser l'embauche.

Puis d'un coup sec, elle baissa caleçon et pantalon. Juste assez pour que son pieu dressé se retrouve à l'air libre. Elle passa une main sur ses bourses et lui souffla:

-- Prenez le téléphone, monsieur Canné. Vous ne le regretterez pas.

Le souffle coupé, le boss hésita un instant, mais finit par s'exécuter.

-- Allô, Jean-Paul? Oui... Je... J'aurai besoin que tu me sortes un...

Adeline, surexcitée par la situation et l'ascendant qu'elle avait sur cet homme pourtant si puissant, à la tête de cette entreprise, lui pressa fort les couilles en se mordant la lèvre inférieure. L'homme grimaça, marquant une pause, mais reprit rapidement le cours de sa conversation:

-- Un contrat de livreur. Oui, j'ai...

Deuxième pause marquée lorsque la jeune femme s'amusa à l'astiquer énergiquement, tout en gardant ses boules pressées.

-- J'ai trouvé une remplaçante pour le petit Damien... Oui, une remplaçante...

Tout en écoutant son collègue tergiverser sur le fait d'embaucher une femme à ce poste, il baissa les yeux sur son sexe ainsi remué dans tous les sens. Adeline lâcha un léger ricanement en le voyant serrer les mâchoires pour ne pas gémir. Mais elle sentait bien qu'il allait très bientôt décharger. Alors elle se mit à genoux, la langue tirée, prête à recevoir son jus.

-- Je sais, finit-il par répondre à son DRH. Mais c'est comme ça. Et je crois qu'elle est prête à commencer dès maintenant.

Adeline fit un oui de la tête.

-- Oui, pas de souci. Comme ça, elle pourra s'occuper des commandes de Damien pour ce soir, et pas besoin de revoir tous les plannings.

L'argument fit mouche. Monsieur Canné n'en pouvait pourtant plus. La bouche ouverte en un O muet, il regardait Adeline le branler avec un plaisir que personne avant elle n'avait pris à faire cela.

-- Bien, je te l'amène dans deux minutes.

Il raccrocha et s'agrippa au bureau. Aussitôt, un formidable jet de sperme éclaboussa le visage d'Adeline. Elle se jeta sur son gland turgescent et l'aspira violemment. Il ne put pas râler tout son saoul, mais elle l'entendit grogner sourdement pendant qu'il remplissait sa bouche de foutre chaud et épais.

Rapidement, l'homme lui tendit un mouchoir pour qu'elle nettoie son visage.

-- Vous... vous êtes...

-- Oui, lui dit-elle simplement. Il paraît, en tout cas.

-- Vous en avez encore... commença-t-il en désignant ses cheveux.

Mais Adeline s'était déjà retournée vers la porte.

-- À bientôt, monsieur Canné! Encore merci pour tout!

Puis elle ouvrit la porte en grand, surprenant l'homme qui se rua comme il put derrière son bureau pour que personne ne puisse voir qu'il avait le pantalon aux chevilles. Sortie du bureau, elle se dirigea droit vers la secrétaire aux gros seins et lui sourit de toutes ses dents:

-- Monsieur Canné m'a dit d'aller directement aux ressources humaines! s'exclama-t-elle avec la joie d'une adolescente qui vient d'être tirée au sort pour le gros lot.

Pourtant, la femme lui présenta des yeux tout ronds. Elle ne pouvait pas passer à côté de cette mèche de cheveux devenue collante à cause du liquide blanchâtre qui lui coulait juste à côté du sourcil droit. Elle se reprit rapidement mais elle bafouilla sa réponse, indiquant à Adeline où elle devait se rendre. Fière d'elle, Adeline se mit à rouler du cul exagérément en empruntant le couloir désigné par la secrétaire. À peine eut-elle tourné à droite qu'elle entendit la femme quitter son poste et se rendre dans le bureau de son patron.

Avant d'arriver au secrétariat de ce fameux Jean-Paul, qui ne semblait pas approuver qu'une femme prenne ce genre de poste, elle avait bien nettoyé les résidus de sperme sur son front. L'homme était un rondouillard qui lui demanda son nom, prénom, adresse, date et lieu de naissance, ainsi que son numéro de sécurité sociale sur un ton peu engageant. Mais Adeline signa son contrat.

-- Vous irez voir ma secrétaire. Elle vous donnera un téléphone portable, pour qu'on puisse vous joindre en cas d'urgence, ainsi qu'un trousseau de clés.

-- Oh merci! s'exclama Adeline qui comptait bien profiter de la situation. Vous verrez, vous n'aurez pas à le regretter! Je serai une parfaite petite livreuse qui satisfera tous vos clients!

-- Ce qui sera le seul moyen pour satisfaire votre patron et garder votre job, répondit-il sèchement.

Alors avec un regard des plus provocateurs, Adeline ne put s'empêcher de rétorquer:

-- Je connais bien d'autres moyens, pour ça...

Aussitôt, le regard sur elle changea. Elle le savait. Ce mec était un sale pervers, du genre à dénigrer les femmes uniquement parce qu'il s'en veut de ne pas leur résister. Alors elle allait lui en donner, des remords, à cet enfoiré. Elle ricana, mais avant qu'il ne se vexe et fasse machine arrière, elle lui lança:

-- Faites-moi donc voir ce que j'aurais à satisfaire, pour le moment.

-- Je comprends mieux, répondit-il avec un sourire en coin qui le rendait encore plus laid, tout en se massant déjà l'entre-jambe. C'est pas vraiment une livreuse qu'il a embauché, mais une petite salope qu'a pas froid aux yeux, hein?

Il ouvrit son pantalon et présenta une demi-molle à Adeline, qui savait exactement ce qu'elle avait à faire. Elle se déhancha jusqu'au bureau et tendit une capote à l'homme tout en se penchant en avant et en descendant son pantalon de tailleur, lui présentant sa croupe encore toute reluisante d'avoir fait jouir le boss.

Avec des gestes pressés et maladroits, il enfila le bout de plastique sur son sexe qui semblait avoir un peu de mal à durcir. Adeline hésitait, mais à coup sûr, ce devait être le stress qui l'empêchait de bander bien dur. Une fois en elle, il en serait sûrement autrement.

Il posa ses grosses pattes sur ses petites fesses rondes puis s'aida de sa main pour l'enfiler. Heureusement qu'elle était déjà bien lubrifiée, sinon sa mollesse n'aurait jamais réussi à la pénétrer.

-- Et pas un bruit, hein. Faudrait pas que ça se sache, autant pour moi que pour toi... Bien compris?

Elle tourna son visage vers lui, prenant un air de chien battu et hocha vivement la tête pour signifier son accord. Il commença alors à la limer, retenant déjà difficilement ses gémissements. Adeline dut mettre tout son art pour simuler le plaisir en silence. Il avait beau durcir en elle, son sexe ne semblait pas grossir pour autant. Elle n'avait jamais ressenti ça. En même temps, en y repensant, elle n'avait jamais pris en elle un sexe qui n'était pas à son paroxysme de l'érection.

Du plaisir, pourtant, elle en ressentit, même s'il ne vint pas des petits à-coups que lui donnait l'homme. La satisfaction commença à s'insinuer en elle en regardant la photo de sa femme sur le bureau. Elle devait dater, car lui n'était pas aussi rond. Elle était une femme moyenne. Pas vraiment belle mais avec du charme. Et ce salopard était en train de la rendre cocue. Et ce n'était sûrement pas la première fois. Elle sourit et se mit à accompagner des reins les mouvements de l'homme, allant même jusqu'à le regarder en lui soufflant:

-- Oh oui... Elle est bonne, ta bite, continue...

Le cocufieur ne put s'empêcher d'accélérer. Et le plaisir d'Adeline monta d'un cran en décidant qu'elle allait venger cette pauvre femme. Elle haleta doucement jusqu'à le sentir jouir dans le plastique. Alors elle fit mine de l'accompagner dans la jouissance:

-- Hummm, aaahh!!! eut-elle le temps de lâcher tout haut avant que l'homme ne lui mette la main sur la bouche.

Il se retira aussitôt et Adeline fit semblant d'être désolée. Il se rhabilla rapidement, elle en fit de même, et sortit en lui souhaitant une bonne journée. Mais dès que la porte se ferma, elle prit une triste mine pour aller voir la secrétaire.

Celle-ci la regarda de travers. Entre femmes, on se comprenait sans avoir besoin de se parler. Votre meilleure amie pouvait savoir quand vous aviez fait l'amour pour la première fois avec un homme rien qu'à votre regard, et n'importe quelle femme savait ce qu'était la honte de s'être donnée pas tout à fait malgré soi.

Adeline savait pertinemment qu'elle imaginait très bien ce qui s'était passé dans le bureau. Peut-être même l'avait-elle vécu aussi? Qui sait... Pourtant, elles ne se dirent mot. La dame lui donna son portable, en lui disant qu'elle recevrait son planning dessus. Les clés lui servaient à avoir accès aux garages où étaient entreposées les voitures pour les livraisons, ainsi qu'aux lieux de stockage.

Elle devait arriver le soir même avec une demi-heure d'avance pour que monsieur Canné lui-même lui fasse faire le tour. Elle lui précisa avec un grand sourire, qui prouvait que le boss était plus qu'apprécié dans cette entreprise, que monsieur Canné mettait un point d'honneur à faire faire le tour du propriétaire en personne à chaque employé, afin de connaître tout le monde. Elle lui fit le laïus sur la famille qu'était La Boîte, mais de par son coup d'œil vers la porte du directeur des ressources humaines, Adeline comprit que comme dans toute famille, il y avait des membres indésirables.

La jeune femme quitta les locaux de La Boîte avec l'espoir que cette secrétaire connaissait la femme de son supérieur et lui toucherait deux mots sur la façon qu'il avait de traiter les nouvelles recrues. Adeline, elle, allongea le pas pour retrouver la douceur de ce qu'elle considérait déjà comme son nouveau foyer.

Sybille allait être fière d'elle, c'était certain! Et ce soir, dans le salon, Adeline serait fêtée par les six autres Sardanapales.

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