Au fond de ma grotte de pierre, comme chaque hiver je dormais,

Allongés au creux de mon ventre, mes tendres oursons,

De mon someil de plomb d'hibernation, je me réveillais,

De ma langue douce et chaude, je léchais mes nourrissons,

Une vie de joie et de bonheur, nous vivions, nous, mammifères,

Mais mes petits devinrent ours et ourses indépendants, ils quittèrent la taverne,

Avec un compagon ou une compagne, leurs propres familles se formèrent,

Une mort solitaire après ma vie de prospérité, je vécu au fond de ma chère taverne.