Explication

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J'allais avoir 18 ans quant c'est arrivé, enfin la majorité. On c'était dis qu'on se retrouverai avec Sophie quant on aura 18 ans et qu'on sera ensemble, mais je dois avoué qu'avec toute ses année passer sans elle et bien... elle était toujours importante pour moi mais plus vitale, j'avais contre mon grès appris a vivre sans elle.

Et je m'étais remis à flirter, j'ai rencontré quel que mois après notre arrêt de sexe avec Ben un mec adorable, un peut brut sur les bords mais j'avais besoin d'être un peut secouer pour me sortir de la spiral autodestructrice dans la quelle je m'étais enfermé. Il s'appelé Adrien, il était boxeur, enfin il voulais le devenir, c'était son but, donc autant vous dire qu'entre les séances de boxe qu'il fessait 5 jours sur 7 et des séances de musculation il était pas mal baraqué et sa ne fessait que gonflé.

Il était grand, environ 1m85 90, blanc, chauve car il disait que les cheveux le dérangé et que sa fait plus sexy sur les femmes que sur les hommes, aux yeux marron, et avais 2 an de plus que moi.

Et surtout se que j'ai beaucoup aimé cher lui sais sa patience avec moi, car en 8 mois de vie de couple, a part quel que caresse sensuel on n'avait jamais couché, je lui avais dis un mensonge de pourquoi je ne voulais pas coucher, un truc sur le faite que j'avais failli me faire violé ou un truc du genre, j'en étais pas fière mais sa ma permis de vraiment m'attaché a lui et pas a ses prouesse au pieux.

Mais évidement elle a refait éruption dans ma vie, mais d'une manière que je ne pouvais prévoir.

Se jour la j'allais de magasin en magasin pour trouvé un petit boulot pour me mettre de l'argent de coté et commencer ma vie car j'avais presque fini mes études et ne voulait pas galérer a trouvé un boulot et glandé cher mes parents entre temps. Ne voulant pas re-sombré

Et alors que je sortais d'une grande surface ou je venais de poser un CV en précisant ma situation je suis tombé nez à nez devant elle.

- Sophie ?

Je ne l'avais pas tout de suite reconnue, elle avait changé, elle avait les cheveux court avec une mèche plus long sur le coté droit de son visage cachant sont deuxième œil. Mais le reste rien n'avais changé, sauf qu'elle était plus grande et que visiblement elle avec perdu du pois.

- Salut Gwen.

N'y l'une n'y l'autre ne sachions comment réagir, même si on c'était imaginé se moment des millions de fois dans nos têtes.

Après presque une minute a nous regardé, on ses toute les deux rapproché l'une de l'autre et on ses enlacer. A peine je me suis retrouvé dans ses bras qu'elle et tombé en sanglot en me demandant pardon mille fois. Et rien qu'au son de sa voix je comprenais qu'elle ne m'avait pas oublié, mais qu'elle avait vécu l'enfer.

C'est la qu'un frisson ma traversé le corps, comme si j'avais senti se qui lui était arrivé. Je les regardez et j'ai poussez la mèche de cheveux.

Personne n'est près a se genre de surprise... et encore moins envers une personne qu'on aime.

Son œil était blanc avec une cicatrice partant de l'extrémité vers l'oreille.

- J'ai eu un accident, c'est pour sa que je ne répondais pas.

On et aller s'asseoir sur un banc pour se poser et parler. Elle raconta se qui lui était arrivé.

Quant elle et arrivé a Paris elle à directement eu des problèmes avec des élèves de son établissement, des garçons voulant se la faire, la baisé pour la gloire, une bande de fils de pute en somme. Sa ne l'atteignait pas et continué sa vie, mais sa la tendait a toujours devoir être sur ses gardes pour évité les problèmes. Ses parents savais qu'elle parler avec moi en cachette et on donc confisqué son portable et ordi. Après sa les choses on empiré, les garçons n'arrêté pas, et sa s'empiré de jour en jour, allant jusqu'à des attouchements. Étant pas du genre à se laisser faire elle se défendait, mais un jour elle a défoncé la gueule a l'un d'entre eu car il l'avait plaqué contre un mur et lui touché l'entre jambe et a même réussi a déchiré ses vêtements mettant un de seins a nue. Heureusement il était seul car sinon on ne sait se qui aurait pue se passer. Elle la tellement frappé qu'elle a du appelé les pompier car il était inconscient.

Elle ses fait viré de l'établissement et renié et jeter comme une merde part se parents l'obligeant a trouvé un appart et a se débrouillé part elle même. Le soir même, alors qu'elle déambulé dans les rues, une voiture grilla un feu rouge la renversant a plus de 60 kilomètre heure. Sa tète a violemment frappé sur le part brise, et en tombant du capot après l'impact son œil frappa sur un morceau de la carrosserie détruisant les lésions nerveuse de son œil du a la coupure et au choc.

Inconsciente elle fut emmené d'urgence a l'hôpital ou il fut obligé de lui rasé la tète pour vérifié si elle n'avait pas de lésion et opéré sans problèmes.

Elle et rester dans le coma quel que jour après l'incident, puis elle du se rééduque avec un œil en plus des dégâts a sa jambe droite du au choc. Après la fin de sa rééducation elle parti pour Perpignan pour me retrouvé et elle et arrivé, a téléphoné a mes parents pour savoir si j'étais a la maison, ils lui ont dis ou je compté aller, et elle ma attendu.

Autant vous dire que quant elle ma raconté tout sa j'en et pleuré, et je me sentais coupable de rester bloqué sur son œil blanc.

- Tu a le droit de m'en vouloir, rien ne m'empêcher d'emprunté un portable a quel qu'un et te tenir au courant connaissant ton numéro part cœur mais... je... je n'ai pas eu le courage de le faire, je ne voulais pas que tu et a t'inquiété pour moi et se qui m'arrivé sachant que tu ne pourrais rien faire...

- Je serai monté a Paris a pied si il aurait fallu et tu le savais.

- Je... je suis désolé... tellement désolé Gwen. Fondant en larme.

On ses toute les deux mise a pleuré, elle de chagrin et moi de stupeur voyant tout se qu'il lui était arrivé, me rendant compte que je les trahie en couchant des centaines de fois alors qu'elle ne voulait que moi et n'avais eu aucune relation depuis.

J'étais obligé de lui dire, donc après qu'on se soit arrêter de pleuré je lui et tout dis.

Racontant a mon tour tout se qui m'était arrivé, se que je ressentais et mes nombreuse tromperie.

Sa raiponce ma laisser sans voix

- Je suis heureuse pour toi. Tu as souffert et tu t'es quant même relevé, tu as continué à vivre et a profité sans que je te fasse obstacle, je ne tends veux pas.

Elle prit mes mains et les serra fort

- J'espère que ton bonheur continuera...

A ses phrases je sentais qu'elle allait faire une erreur

- Que... qu'es que tu veux dire ? Qu'es que tu va faire ?

- Quitter ta vie, arrêter d'être un obstacle pour toi, je veux ton bonheur, j'aurai voulu être tout pour toi et sais se que je veux encore aujourd'hui, mais je me rends bien compte que je suis devenu un frein et ne peut vivre en me disant cela et...

Je serra également ses mains pour l'empêcher de partir en entendant ses mot qui me fis comme un cou de poignard dans le cœur.

- Arrête, arrête, ne fais pas sa.

- Je n'ai plus aucune raison de vivre, mes parents mon renié, je suis défiguré, j'ai perdu la seul femme que j'aimai car elle elle a réussi à reprendre sa vie en main, je n'ai plus rien...

Elle se leva et s'apprêta à partir. Je me leva et la rattrapa, me mis devant elle et lui mis une clac. Elle me regarda sans comprendre pourquoi j'avais fais sa.

- Je t'interdit de dire sa, je t'interdis d'abandonné comme je t'interdis de pensais que tu et un frein a ma vie. Toute les fois ou j'ai rencontré des difficultés ses en pensant a toi que j'arrivé a les surmonté, pas l'inverse. Et tu n'es pas moins belle maintenant qu'avant, je ne m'arrête pas au physique comme quatre-vingt dix neuf pour-cent des gens dans se monde de merde. Je t'aime, je t'aimai avant que tu partes, je t'aimai quant tu n'étais pas la et je t'aime toujours d'un vrai amour. Je n'est pas refait ma vie mais je les maintenu a flot en attendant que tu revienne ou que je puisse te rejoindre. J'ai fais des erreurs, j'ai trahi ton amour, mais je n'est jamais et je ne cesserait jamais de t'aimai.

A ses mot elle m'enlaça, je pris sa tète entre mes mains et l'embrassa. Et toute ses choses que je vous et décris sont réapparue, toute ses sensation unique qui me manquait son revenu.

On s'embrassa durant de longue minute avant que je ne lui dise de venir avec moi. On et aller cher moi ou il n'y avait personne, mes parents étant parti pour la soirée chez des amies de la famille.

Sophie était très nerveuse, moi aussi d'ailleurs,

- Je... je sais pas si on devrait et... Me dis-t-elle devenant toute rouge.

- Tait toi et embrasse-moi. Répondis-je en l'attrapant le bras et la tirant vers moi pour l'embrasser.

Nos baisé était emplie de passion et de liberté, la liberté de pouvoir enfin se revoir et de ne plus attendre, on y était, on c'était enfin retrouvé.

Je la voulais, même avec son accident et sont œil devenu blanc elle était toujours magnifique, et même si sa aurai était plus grave je l'aurais quant même embrasser.

Alors que nos langue s'entre lasser mes mains caresser sont corps qui m'avais temps manqué, le déshabillant petit à petit pour qu'elle finisse en sous vêtement. Je ne pouvais attendre plus longtemps, je la fis donc doucement tombé sur le canapé du salon et m'allongea sur elle et me mis à embrasser son corps presque entièrement nue.

Mais j'aperçus une chose qui me sauta aux yeux, elle était passive, tétaniser. Je sentis qu'elle en avais envie, son corps le disais pour elle, mais je sentait bien aussi que quel que chose n'allait pas.

- Quel que chose ne va pas ? Lui demandai-je

- Je... je sais pas, j'arrive pas a me calmé, je... je suis tétaniser part la peur et l'anxiété, j'ai... J'ai rêvé de se moment depuis que je suis parti mais... mais maintenant que je suis la je n'arrive pas a m'enlevé de la tète que tu ne m'aime plus.

Je vous avoue sa ma refroidi d'un seul cou...

- Avant même que tu me dises se que tu a fais je penser sa et... et maintenant qu'on et la, toute les deux, sur le point de le faire je... je sais plus se que je fais n'y se que je pense, j'ai envie de toi mais pas envie de te faire souffrir n'y croire des choses qui ne sont pas vrais, comme l'impression que tu m'aime encore alors que se n'est pas le cas et...

Je l'arrêta dans ses parole qui me fessais souffrir en mettant ma main sur sa bouche. Je voyais clairement que la Sophie que je connaissais avais était brisé, que la vie l'avais enfoncé et qu'elle n'avait pas réussi a se relevé. Écrasé part tant de violence.

- Excuse moi, Lui dis-je après quel que seconde de silence, Je me suis peut être trot emballé, mais comme toi j'ai imaginé se moment des centaines et des centaines de fois, ton corps et ta manière d'être, tout. Je n'ai pas vécu se que tu as vécu ses vrai, mais je peut comprendre que sa t'es fais mal au point de ne pas réussir a te relevé. Je comprends.

J'ai enlevé ma main de sa bouche et me suis rhabiller correctement et me suis assise sur le canapé.

- Tu peux dormir ici si tu veux, demain on parlera. Et sache que se que j'ai dis avant de venir ici et vrai, Je T'aime. Vraiment.

Je me leva, l'embrassa et parti en direction de ma chambre, espérant qu'elle dise quel que chose ou essaye de m'arrêter, mais non, elle me regarda partir en silence.

La nuit venu, alors que j'étais dans mon lit entrain de dormir, du moins j'essayé, n'arrivant pas a penser a autre chose que Sophie se trouvant non loin, mais ne voulais pas la brusqué du cou je suis resté dans mon lit à attendre que le sommeil vienne.

Après quel que heures je dirais, j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir, je penser d'abord a un courant d'air, il suffisait que j'ai mal fermé la porte et elle se serait ouverte toute seul. Mais ses quant elle ses refermé que j'ai compris que se n'était pas sa.

J'ai donc regardé se que c'était et je vis Sophie juste devant moi entièrement nue.

- Sophie ?

Elle ne dit rien, tout se qu'elle a fais a était de saisir ma couverture et de l'enlevé pour s'allongé sur moi et m'embrasser en mettant l'une de ses mains directement entre mes jambes et en enfonçant l'un de ses doigt en même temps, en me fessant évidement réagir en conséquence.

Son baisé était langoureux et fougueux, sa respiration était rapide et saccadé, pénétrant un deuxième doigt et commençant a me doigté de plus en plus fort et rapidement. Moi je comprenais pas vraiment se qui se passer, j'étais entrain d'essayé de dormir et l'instant d'après je me retrouvé avec Sophie allongé sur moi entrain de me faire l'amoure.

Se n'est pas dans mes habitude d'être passive, mais la j'étais tellement surprise et sous l'extase que tout se que j'arrivé à faire c'était de bougé ma langue et de touché son corps avec mes mains.

Après un long baisé, ses lèvres descendirent jusqu'à mes seins pointant au maximum de l'excitation, mon corps tout entier trembler, non pas de froid mais d'envie et d'excitation, comme à l'époque où on était ensemble. Elle se mit à me lécher les seins et a les malaxé sensuellement tout en continuant a me masturbé sous les mouvements incontrôlable de mon bassin l'accompagnant.

J'approché de l'orgasme et elle l'avait bien senti, juste avant que je jouisse elle retira ses doigts et passa sa jambe au dessus ma tète pour se mettre en 69, j'avais son intimité collé sur mes lèvres tendis que les sienne me lécher avec fougue pour me faire jouir.

C'est a cette instant que j'ai arrêté d'être passive et je lui et saisi les fesses et j'ai écrasé son bassin sur mon visage et me suis mise a lui dévoré l'entre jambe en laissant mon désirs pour elle me submergé. Se ne fut même pas les cous de langue de Sophie qui mon fais jouir cette nuit la, car des que je me suis mise a la léché elle n'arrivé plus a rien faire si se n'est poussé des gémissements qui eux mon fais jouir tellement il était excitant. Pour qu'elle jouisse quel que seconde plus tard.

Et on a passer de facilement la moitié du reste de la nuit a faire l'amoure elle et moi. Et cette nuit fut l'une des plus belles et des plus excitantes que j'ai vécu dans ma vie avec Sophie.

Mais alors que je penser avoir enfin retrouvé celle que j'aimais et qu'on allait pouvoir construire ensemble l'avenir, le lendemain la surprise fut de taille.

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