Chapitre 21 : Les péripéties d’avant TEC

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Ah oui, je n’avais pas fini mais il fallait bien vous laisser du suspens. Il faut bien que je vous tienne en haleine… Parce que bon… Pour être honnête, c’est compliqué en ce moment de vous publier des choses.

Quand j’ai écrit le 1er septembre, je ne vous ai pas tout dit. D’abord parce que j’ignorais ce qui allait suivre et ensuite, effectivement, pour faire durer.

Le mercredi 2 septembre, j’ai vu mon kiné en urgence car j’avais mal à mon bras. Cette douleur persistait depuis 28 août mais avec tout ce que je me traîne je n’avais pas pensé à quelque chose d’important.

Le samedi 29, j’ai commencé à avoir des plaques rouges et chaudes.

Le dimanche 30, j’avais des bleus à l’endroit des plaques et bien sûr la douleur augmentait.

J’ai pris un doliprane et le lundi 31 ça allait un peu mieux. J’avais toujours mal mais ça se tenait. Les bleus s’estompaient, certains apparaissaient mais la douleur était supportable.

J’ai quand même appelé mon kiné, lui demandant de me recevoir rapidement car je pensais, bêtement, m’être coincé un tendon, un nerf ou déplacé une vertèbre.

Mon kiné m’a renvoyé vers mon médecin traitant, qui m’a envoyé aux urgences pour suspicion de phlébite dans le bras.

Bilan : 5 h d’attente aux urgences + 1 h d’attente dans le box tout ça pour une pauvre prise de sang puis 1 h d’attente de résultat... Tout va bien ce n’est pas ça.

Je ne m’étalerais pas sur le fait que gérer 1 personne par heure pour un service d’urgence je trouve ça limite. En sachant qu’il n’y avait pas de trauma grave (heureusement pour eux) ni d’ambulance qui est arrivée pendant ces 7 heures.
On est rentré à 3 h du matin, chéri à dormi 3 h bref... Encore une péripétie dans mon histoire ^^.

Le samedi 5 septembre, j’avais ma première injection en Intra-musculaire profonde (dans la fesse) de progestérone.

À quoi ça sert ?

Eh bien, la progestérone (par injection et par voie vaginale) permet d’éviter les fausses couches.

Vous vous rappelez du Fyremadel ? Cette injection dans la cuisse, qui était décrite par les médecins et les autres Fivettes comme « douloureuse » ?

Sachez que, le Fyremadel… est presque agréable… à côté de cette injection de progestérone.

C’était une douleur… je ne saurais même pas vous la décrire. Vraiment, ça m’a fait très mal et très, très longtemps. L’injection a eu lieu à 11 h à peu près.
Nous étions chez des amis le soir même… et j’avais encore mal !

Apparemment, le corps s’habitue au fur et à mesure des injections. Le samedi suivant, elle était un peu moins douloureuse j’admets mais c’est resté longtemps quand même.

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