*CLIC*

• “Comme je ne voyais pas comment l'enquête pourrait avancer avec des personnes aussi compétentes que Corbino, j'ai décidé d’aller, seul, dans mon coin, interroger les employés de la maison et toutes les personnes qui auraient pu voir passer cette femme…. Je partis donc vers les commerces en face de la première entrée. Mais… aucun propriétaire ne semblait avoir vu quelque chose. Je leur ai demandé si je pouvais avoir accès aux vidéos de surveillances. Mais... toujours rien. Castelli s'était trompé. Sûrement. Je vais donc voir la seconde entrée, à l'arrière du chalet.”
• Il marche lentement et regarde attentivement les environs.
• “La cour de ce chalet est très spacieuse: un jardin garni de toutes sortes de fleurs, à l'arrière une cabane en bois et d'énormes abreuvoirs et mangeoires pour oiseaux. Mais les seuls piafs que j'apercevais étaient des corbeaux sombres et lugubres.

Donc, à première vue, je sais qu'elle n'est pas passée par l'autre entrée. Celle-ci étant encombrée: les barreaux sont détruits et la route derrière n'a pas l'air en bon point. Pas du tout. C'est réellement abandonné.”

• Il s'arrête. Prends le temps avant de sortir de sa poche un... une... quelque chose. Une photo ?
• “Ce que je vois d'ici, maintenant d'ailleurs, je les vois d'en bas… AH.. c’est idiot… je me perds”
• Il regarde sa montre. 19H.
• “Ils ont l'air de s'être calmés là-haut et même, ils ont décidé de ranger leurs équipements. Hm.. Où sont les employés de cette maison ? Je vais demander à Corbineau plus de détails.”
• Une photo? C'en était une ? Non une simple image. Mais il y avait une personne sur celle-ci, je pense. Il fait trop sombre pour penser. Peut-être demain ou plus tard ?
• “Inspecteur !”
• Il soupire.
• “Encore une mauvaise nouvelle Yang?
• Oui euh… le vieux domestique à l'hôpital a disparu.
• Elle est douée. Vraiment. Elle a donc effacé beaucoup de témoins sur son chemin… Je crois que pour l’instant notre seule piste c'est la liste de noms des victimes. On pourrait peut-être établir un rapport entre ces victimes et E.H..., Interrogeons les familles.
• Les autres ne sont donc plus obligés de rester là. Réplique alors Corbineau.
• Vous non plus. Vous devriez boucler le périmètre. Ça nous serait vraiment utile.
• D'accord… il faudrait voir ça avec le chef.
• Merci bien.
• Le ciel commence vraisemblablement à s'assombrir…

Il rentre donc dans son -superbe hôtel réservé par l'agence gngngn-. Il a pas l'air enthousiaste à l'idée d'y rentrer. Il rentre. C'est charmant. J'aurais aimé être à sa place. C'est chanceux. Il y a une réceptionniste qui à l'air pas très mal. Belle, belle comme une fleur parfumée de sensualité. Sensualité qui émane de sa voix:

• Bienvenue à Hampton Inn, que puis-je faire pour vous?
• Nous… J'ai réservé une chambre pour moi et une amie au nom de Bertrand Lagaffe.
• Oui effectivement. Je vois aussi que vous avez demandé de réserver les chambres autour pour vos problèmes d'oreilles.
• En effet, oui.
• Elle lui demande sa pièce d'identité.Il lui tend son faux passeport. Elle vérifie un instant. Elle l'observe. Le fixe. Cet homme aux cheveux noir, bouclés et soyeux, proche d'elle. Des traits fin de la vingtaine. Des yeux sombres dans lesquels on pourrait s'y perdre. Elle hésite à lui donner les clefs.
• M-merci, voici les clefs de vos chambres.
• Merci, bonne soirée.
• Il appuie sur le bouton de son dictaphone.
• Wow!
• il fait un peu le tour.
• Très chic!
• La chambre est vraiment grande.
• Ils ont vraiment réservé une chambre comme ça pour une "simple" enquête. Bon je dois attendre Léonne pour lui exposer les faits...

*Toc toc… toc toc toc… toc*

C'est elle?

• La main sur son arme, il se tourne vers la porte.
• Prudence quand même.
• Il marche sans bruit vers celle-ci.
• Oh allez ouvre là ! J'vais pas rester dehors quand même. J'ai un mal de cul en plus.
• Il soupire.
• C'est bien elle. Il ouvre donc la porte.
• C'est pas croyable, j'aurais cru que ta longue chevelure serait décoiffée avec tout ce vent!
• Ça fait du bien de voir une tête habituelle .
• C'est vrai que le nombre de gros con que j'ai croisé... Bon on s'en fou, parle moi de l'enquête!
• Pendant un moment, ils discutent.

Mais.. quelque chose d'étrange s'est passé...

*CLIC*

• Après une heure de rigolade et d'apéritif, puisqu'on est humain quand même, je la fait découvrir la scène de crime, la première et seule suspecte et je l'ais présenté aussi les personnes que j'ai rencontré. Elle me dit, sans aucune raison, qu'il faut se méfier de Castelli. Je comprends. Un hacker engagé il y a très peu, peut être vraiment suspicieux.
• Mern?
• Euh... oui?
• Tu disais ?
• Euh.. je disais donc que, dès que possible, nous devrions interroger les familles des victimes.
• Yep et faudrait qu'on interroge d'abord les vieux et la sœur de Koinsky.
• Hm, pourquoi ?
• Bah c'était la meilleure amie de l'autre E.H. là!
• Quoi?
• Elle lui montre sur sa tablette le compte Instagram de Ninoshka koinsky et effectivement elle apparaît aussi dans quelques photos de E.H. comme étant sa "Reine".
• Mais j'comprends pas pourquoi t'es pas déjà parti chercher sur les réseaux.
• Effectivement... c'est idiot de ne pas y avoir pensé...
• La famille de Nino n' habite pas très loin du chalet. Il faut les appeler…
• Bonswèr! Je suis du FBI, nous aurons quelques questions à vous poser pour… Hmhm …. Oui … d'accord ben à demain.Bonne soirée. *Tuut tuut*. Et voilà !
• En avance comme toujours.
• Yep. Et maintenant une petite musique pour cette journée ….
• Journée où tu n'étais pas vraiment là. En plus...
• Chut... listen to the Queen….
• Ils écoutent alors une chanson se nommant Bohemian Rhapsody. Ils commencent à chanter tout en buvant les verres de bière du minibar de la chambre.

“Mise en pause automatique, voulez-vous continuer?"

-il faut vraiment que je change ce système de mise en pause.