Il y a comme un air de vacances

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Chère amie,

 

Je t’écris cette lettre en étant paisiblement installée dehors, allongée sur un plaid, posé sur l’herbe. Comme tu peux l’imaginer, je suis en vacances. Oui enfin en vacances ! Il me semble me rappeler que tu vas bientôt y être, toi aussi !

Pars-tu ? Moi, en ce qui me concerne, je suis déjà à des kilomètres de l’effervescence de la ville. Je me sens enfin reposée, la tête légère, prête à profiter pleinement de la tranquillité de la campagne. Je passe de nombreux moments en famille, et plus particulièrement avec mon grand-père. Je suis très proche de lui car nous avions une passion commune qu’est l’écriture. Auparavant, il était un grand écrivain. Je pense fortement qu’il m’a transmis sa passion. Quand j’étais petite, j’aimais beaucoup lorsqu’il me lisait des histoires… Ces histoires, inventées ou vécues, mais c’était ces histoires. Pendant longtemps, il a cessé d’écrire. Sûrement par manque de temps ! Mais, depuis qu’il a pris sa retraire, il s’est remis à l’écriture.

Je me rends compte que je suis en train de m’éloigner de la lettre que je t’envoie et du récit de mes vacances. Mais, tu m’as dit un jour que tu appréciais beaucoup lorsque je te contais les histoires de mon grand-père. Alors voilà, celle-ci viendra s’ajouter aux autres.

Par ailleurs, pendant mon séjour en famille, j’aime me promener et redécouvrir encore et encore, les différents éléments qu’offre la vie à la campagne. J’apprécie chaque fois que je découvre une nouvelle trace laissé par un animal près de la maison.

De temps en temps le matin, je déguste mon petit-déjeuner sur la table de la terrasse du jardin. Pour mon plus grand bonheur, mon grand-père a mis pleins de produits frais à ma disposition dans la cuisine. Je n’ai que l’embarras du choix et j’emmène ce qu’il me faut dehors. Et là, au loin dans les champs, je distingue des fermiers sur leurs tracteurs. Ils labourent leurs parcelles, en prenant grand soin de laisser derrière eux les empreintes de roues des tracteurs. Cela leur permettant ainsi de ne pas revenir sur le travail déjà effectué !

Ah, j’aperçois mon grand-père s’approcher de moi. Je pense qu’il m’appelle. Il doit avoir besoin de moi. Je te raconterais donc la suite de mes vacances dans une prochaine lettre.

J’attends avec impatience que tu me donne de tes nouvelles.

 

Je t’embrasse.

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