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Célia Dri

Mérignac.

Bonsoir à toutes, bonsoir à tous,

Après une longue absence, je remets mon profil à jour.

Quoi de mieux qu'un texte en guise de présentation ? Rien d'autre selon moi.

Aujourd’hui encore, je dois accepter l’inconnu à venir.

Que vais-je donc faire ? Ecrire oui, mais écrire quoi ?

L’inspiration va-elle venir à celui ou celle qui me tient entre ses mains ?

Je pense que je vais bientôt le savoir car me voilà sorti du sac et posé sur la table. Je regarde autour de moi. Il y a plein de choses posées sur la table. Du thé, des gâteaux, des cahiers, des stylos. Tant mieux, je me sentirai moins seule. Les personnes arrivent petit à petit. Je pense que ce sont les amies de ma propriétaire car des bonjours chaleureux et des sourires bienveillants s’échangent.

Puis après, vient le temps des retrouvailles et des papoti papota, avant de commencer mon travail d’écriture.

Le plaisir d’écrire viendra-t’il jusqu’à ma propriétaire aujourd’hui ?

Bien évidemment, comme toujours !

Bienvenue sur mon profil Scribay et bonne lecture !

Je découvrirai vos textes avec joie !

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œuvres
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défis réussis
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"J'aime" reçus

Œuvres

Célia Dri

Eh bien, moi Lisa, je crois que j’ai trouvé le bonheur. Cela fait des années que je l’ai découvert grâce à ma meilleure amie qui à cette époque inventait toutes les excuses possibles pour en avoir recours.
Depuis, il n’est jamais loin de moi. Pour l'attraper, je n’ai qu’à ouvrir une porte lumineuse et il apparaît devant moi. Enfin… Pas trop devant mes yeux afin que je puisse y résister. Tantôt la raison prend le dessus… Tantôt la tentation est trop forte pour ne pas sentir cette délicieuse odeur qui m’appelle.
Dans ces moments-là, je me dis qu’il aurait mieux valu pour moi et ma nutritionniste que j’aime les endives au jambon.
Mais bon, je n’y peux rien-moi si je crois que le chocolat est notre meilleur allié en cas de coup de blues.
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Célia Dri

Chère amie,

 
Je t’écris cette lettre en étant paisiblement installée dehors, allongée sur un plaid, posé sur l’herbe. Comme tu peux l’imaginer, je suis en vacances. Oui enfin en vacances ! Il me semble me rappeler que tu vas bientôt y être, toi aussi !
Pars-tu ? Moi, en ce qui me concerne, je suis déjà à des kilomètres de l’effervescence de la ville. Je me sens enfin reposée, la tête légère, prête à profiter pleinement de la tranquillité de la campagne. Je passe de nombreux moments en famille, et plus particulièrement avec mon grand-père. Je suis très proche de lui car nous avions une passion commune qu’est l’écriture. Auparavant, il était un grand écrivain. Je pense fortement qu’il m’a transmis sa passion. Quand j’étais petite, j’aimais beaucoup lorsqu’il me lisait des histoires… Ces histoires, inventées ou vécues, mais c’était ces histoires. Pendant longtemps, il a cessé d’écrire. Sûrement par manque de temps ! Mais, depuis qu’il a pris sa retraire, il s’est remis à l’écriture.
Je me rends compte que je suis en train de m’éloigner de la lettre que je t’envoie et du récit de mes vacances. Mais, tu m’as dit un jour que tu appréciais beaucoup lorsque je te contais les histoires de mon grand-père. Alors voilà, celle-ci viendra s’ajouter aux autres.
Par ailleurs, pendant mon séjour en famille, j’aime me promener et redécouvrir encore et encore, les différents éléments qu’offre la vie à la campagne. J’apprécie chaque fois que je découvre une nouvelle trace laissé par un animal près de la maison.
De temps en temps le matin, je déguste mon petit-déjeuner sur la table de la terrasse du jardin. Pour mon plus grand bonheur, mon grand-père a mis pleins de produits frais à ma disposition dans la cuisine. Je n’ai que l’embarras du choix et j’emmène ce qu’il me faut dehors. Et là, au loin dans les champs, je distingue des fermiers sur leurs tracteurs. Ils labourent leurs parcelles, en prenant grand soin de laisser derrière eux les empreintes de roues des tracteurs. Cela leur permettant ainsi de ne pas revenir sur le travail déjà effectué !
Ah, j’aperçois mon grand-père s’approcher de moi. Je pense qu’il m’appelle. Il doit avoir besoin de moi. Je te raconterais donc la suite de mes vacances dans une prochaine lettre.
J’attends avec impatience que tu me donne de tes nouvelles.
 
Je t’embrasse.
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Célia Dri

Quatre grands-mères sont assises sur un muret pour papoter. Je les regarde. Je les écoute. Je suis tranquillement assise sur un banc moi aussi. Un peu éloigné de ce petit groupe, mais pas trop quand même pour avoir leurs histoires. Une grand-mère commence par raconter la sienne. Elle a, pendant de longues années, habité à Castellane. C’est un petit village à côté du très joli lac de Castillon. Elle nous raconte sa vie au village, nous décrit sa maison qu’elle a élégamment décorée de lavandes, d’huile et d’olives. C’est cela, la mode des maisons du Sud. Tel est le climat du Sud : calme et apaisant. La deuxième grand-mère prend alors la parole. Elle a toujours habité à Digne-les-Bains. Auparavant, elle était lavandière. Lavandières, étant les personnes s’occupant de la récolte de la lavande. Elle adorait se balader dans les champs de lavande où la couleur violette est partout. Vint le tour de la troisième grand-mère. Elle connaît les Gorges du Verdon par cœur, et pour cause elle habite à côté. Il lui arrivait de faire la même route tous les jours. Même des fois, plusieurs fois par jour. Elle ne s’en est jamais lassée. A chaque fois, arrivait le moment où, sur le côté de la route, un cabanon, caché derrière un parterre de lavande. Elle s’est toujours demandé ce qui se trouvait à l’intérieur de ce cabanon. Mais, elle n’a jamais osé y entrer. Quant à la quatrième grand-mère, elle sortit de sa poche trois bouquets de lavande, qu’elle offrit à ses amies, en concluant par cette belle phrase : notre paysage ne nous laissera jamais tomber !
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

Pourquoi écrivez-vous ?

J'écris parce que j'adore poser des mots sur un papier. Ces mêmes mots qui viennent créer des phrases. Ces phrases qui viennent créer des paragraphes, pour ensuite créer un texte et ainsi de suite...
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