Dans le train, tout semblait calme.

André était à l’autre cabine, juste à côté.

« Jalbert, je m’en charge et toi tu t’en charges à Munich s’ils réussissent, ils vont payer leurs déshonneurs familiaux. »

André ouvrit la cabine voisine, mais personne.

« Ils étaient là ... »

Puis Timi donna un coup de pied dans le dos d’André et le projeta la tête en bas vers les roues.

« Sale gitan ! »

Puis Timi continua.

André tomba du train.

« Sale traîné, on se retrouvera ! »

Jalbert entendit ce qu’il s’était passé, il analysa la situation avec minutie.

Julia demeura encore les yeux fermés et inconscientes.

Ils passèrent devant la cabine de Jalbert.

Jalbert eut un plan diabolique, il se rendit vers la cabine conducteur et frappa celui-ci.

Il prit contrôle du train et mit l’accélérateur au maximum, puis prit la fuite quelque part hors du train.

« Que se passe t-il ? » Paniqua Timi.

« à l’aide, quelqu’un a rendu le train fou et le conducteur est inconscient. »

Timi ne pouvait pas laisser Julia seule.

Ils sautèrent du train malgré tout et tombèrent d’une colline.

Julia fut imperturbable ! Mais blessé.

Timi fut en colère.

« On a voulu nous tuer, ça va on est plus trop loin de Munich. »

Ce soir-là, Timi et Julia arrivèrent à Munich et se dirigèrent vers un parlement mais c’était interdit.

« Non, vous êtes du peuple ? »

« Non. »

« Alors Dégagez ! »

« J’ai un message à faire passer. Je vous en supplie. »

« Bon entrez ! »

« Merci »

Au parlement, les politiciens débattirent sur le handicap.

Puis Timi rentra avec Julia en fauteuil, les gens furent choqués.

Timi se justifia.

« J’ai à parler aux politiques du monde entier ! »

Puis les politiciens critiquèrent son arrivé étonnante.

Le président de l’assemblé se tourna vers lui et Julia.

Il fit signe de la main de s’approcher du micro.

Toutes les TV du monde entier se focalisa sur ce discours, les gitans de France regardèrent avec attention.

« Je me nomme Timi et je ... »

« Allez-y n’hésitez pas … Votre message semble si important ! » Dit un Sénateur.

Timi prit sa respiration et respira un bon coup.

« On vous écoute ... »

« Deux secondes ... »