4.

Une minute de lecture

La mère de Julia eu tellement de pressions qu’elle s’immola.

La police avait abandonné les recherches.

Julia et Timi furent en sécurités.

Ils eurent un garçon qu’ils appelèrent finalement Arthur.

Ils s’en occupèrent avec beaucoup d’amour.

Ce jour-là, le père de Timi arriva avec une mitraillette, défonçant la porte et menaça son fils.

« Es tu fous ? » Dit Timi qui recula.

Julia prit la défense de son amour.

« C’est notre histoire d’amour! »

« Foutaise ! »

Puis il mitrailla les murs du logement.

Arthur pleura.

Julia plongea avec le père de Timi de la fenêtre et tombèrent blessé.

Julia fut égratignée et mal en point.

Timi courut avec leur enfant.

« Non , non , respire ! »

Le père de Timi prit la fuite.

« Ma vengeance sera terrible, con de fils qui fréquente une riche et volé ensemble ! »

Julia fut conduit à un hôpital spécialisé des lésions.

Timi était là puis il y eut une visite mystère.

« Je suis le cousin de Julia, je sais ce qui est arrivé, quel courage ! »

« Enchanté Timi ... »

« Moi c’est Laurent. »

« Vous ... »

« Non je ne crains pas les gitans, ils sont trop marginalisés et préjugés de voleurs … Julia est une bonne personne. »

« Merci, j’espère qu’elle s’en sortira. »

« Je suis arrivé en Grande-Bretagne y a quelques mois. Puis j’ai vu votre logement. »

« Alors … Vous nous soutenez ? »

« Oui … Je vous laisse, bon rétablissement à ma cousine ... »

Quelques semaines plus tard, Julia se releva, elle fut en fauteuil roulant et manquant de consciences.

Elle ne parlait pas.

Timi versa des larmes.

Ils rentrèrent et avaient reçu une lettre de menace rouge sang.

Gitans de France, demandons de nous rendre le vrai Timi, sinon ce sera la guerre. On sait ou tu vis, on te ramènera chez nous, ou tu seras persécuté pour avoir fêlé nos traditions !

Signé le père de Timi.

Timi resta déconcerté.

Il amena Julia et fuirent de nouveau.

« On va prendre le train, direction Munich, on a pas trop le choix »

Ils prirent le train vers Munich, un gars à lunettes ronde les observa avec son cigare.

« Hey André, c’est pas eux ? »

« ça fait des mois, je suis un compte, c’est une bourgeoise elle reste bourgeoise ! Suivons les ! »

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