La France

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Hello mes petits lecteurs adorés~ je poste mon histoire (pas la plus longue) mais celle qui à un succès un peu plus important que les autres. J'espère que vous aimerez voyager à travers différents points de vue et personnages ~

Bon bah, comme vous le savez bonne lecture à vous et n'oubliez pas de mettre des commentaires c'est important pour moi. Bisous ~!

Avez-vous déjà essayé d'imaginer la vie au temps de Louis XIV ? Je suis Maria James Lancaster, troisième fille de Lord Lancaster. Je ne suis pas destinée à beaucoup de choses excepté devoir me marier à un jeune Lord moins élevé que ma famille dans la hiérarchie anglaise car le privilège des plus hauts est réservé aux ainés de chaque sexes et donc à mon frère John Peter Lancaster et ma sœur Elisabeth Lisa Lancaster. J'ai demandé à mon père à partir quelque temps en France malgré les rancœurs qui persiste entre nos deux pays, j'ai toujours été passionné par celui-ci. Mais j'en avais oublié une choses...

Le voyage a été tellement éprouvant autant pour moi que pour mon estomac, je ne me rappelais plus pourquoi je ne voulais plus voyager : bien maintenant je m'en souviens ! À chaque fois je me vide à cause du mal de mer. Je suis une Lady anglaise pas forcément très proche de la Famille Royale mais pas très loin non plus. Je suis venue en France pour découvrir se qu'il s'y passe et comment ils vivent surtout. Et une fois arrivée sur les quais la seule chose qui me saute au nez c'est l'odeur immonde de merde, d'urine et d'alcool. Je ne vois que de viande saoule devant moi quand je ne vois pas carrément des pickpockets faire les poches des autres passager heureusement pour moi je n'ai rien de valeur excepté ma robe offerte par ma famille avant mon départ.

Après le bateau, un long voyage en calèche s'en suit, et ceux juste pour se rendre à Paris. Les paysages défilent un à un, je me rends alors compte à quelle point la France est comme l'Angleterre : composée de diverses décors, visages mais aussi de misère malheureusement. J'étais bien contente d'être seule dans cette calèche, je n'aurai plus supporté encore d'autres odeurs fortes, pour cela le bateau avait su me le faire sentir ; je ne sentais que la campagne et la pluie qui faisait rage à l'extérieur. Je sorti alors ma tête par la fenêtre :

_ Messieurs ?

_ Oui Mademoiselle ?

_ Pourrions-nous nous arrêter, vous risquez d'attrapé la mort si cela ne s'améliore pas.

_ Vous êtes bien gentille Mademoiselle, Henry tu entends ça ?

_ Oui Bertrand, merci à vous.

_ Je pense surtout à vos dames, ce qu'elles me reprocheraient si par ma faute vous tombiez malade !

_ Ah bah ça ! Ca ne fait aucun doute. Bertrand il y a une auberge à gauche allons-y.

Nous avons alors tourné et nous sommes arrivés devant un corps de ferme au toit de chaume qui dégoulinait d'eau plus la pluie se faisait intense. Nous nous sommes dépêchés de rentrer, à l'intérieur la chaleur du foyer rendait la pièce agréable malgré l'odeur immonde d'alcool qui flottait. La tenancière me décortiqua de haut en bas avant de nous montrer une table vide où nous pouvions nous asseoir et nous rassasier un peu. Je me suis bien abstenue de parler du faite de mon accent encore un peu trop prononcé malgré mes dix dernière années à apprendre les langues étrangères dont le français. L'homme qui se faisait appeler Bertrand s'était occupé de tout, nous avions deux chambres assez proche en cas de problèmes. Mais par chance la nuit fût calme, nous avons pris un petit déjeuné copieux avant de reprendre la route qui me séparait encore de Paris. Et dans la journée, les quelques kilomètres restant passèrent vite. Je me vis dans l'obligation de dire aurevoir à mes cochés qui venaient de trouver de nouveaux clients pour le retours.

Je me laissai bercer par la beauté de Paris en ce 15 Octobre 1664, l'automne créait une forme de nostalgie avec ses feuilles qui virevoltaient au bon gré du vent, la vie qui y était pourtant ne semblait pas s'en préoccuper. Des enfants courraient ici et là, des femmes achetaient de la nourritures ou en vendaient, les hommes vendaient ou bien étaient attablés à manger ou bien à boire. J'empruntai une petite ruelle où l'agitation se faisait de plus en plus forte grâce au marché, je marchai errant de stand en stand passant d'odeurs douce de fleurs à forte de fromages, de subtile du cuire à animal d'un vendeur de bête de trait ou de chevaux, ... Lorsqu'une grosse mains se posa sur mon bras me serrant tout en m'écartant de la foule. Devant moi se tenait deux hommes l'un grand, gros et la figure déformée et à l'haleine pestilentiel d'ail; l'autre homme était petit, trapu et ressemblait à un troll comme décris dans les livres pour enfants coiffé d'un grand chapeau de paysans.

_ Bonjour Mademoiselle, on visite Paris ?

_ Viens avec nous, on t'faire une visite guidée !

_ Lâchez moi ! Et puis que me voulez-vous ?

_ Ca ma jolie tu vas très vite le savoir !

_ Lâchez moi c'est un ordre ! Ou sinon !

_ Ou sinon quoi petite fille !

_ Nia ! je leur assainirent un coup de pied à chacun et commençais à m'enfuir lorsque qu'une mains m'attrapa de nouveau après avoir percuté quelque chose. Ou plutôt quelqu'un, il s'agissait d'un bel homme brun aux yeux vert émeraude aux touches dorées. Et d'un autre blond, tout aussi beau, aux yeux bleu perçants. J'ignorai s'ils lisaient la détresse dans mon regard, mais lorsque mes assaillants arrivèrent en colère et essoufflés, j'en eu le souffle coupé de peur.

_ La garce ! où est-elle ?

_ Là regarde !

_ Mademoiselle, c'est hommes vous importune ? me demanda le brun.

_ Pitié aidez moi ! priai-je .

_ Eh toi là-bas lâche cette fille, elle est a nous ! le brun me confia au blond qui m'éloigna légèrement d'eux.

_ Elle n'a pas l'ère ni de vous appréciez, ni même d'avoir un quelques lien avec vous. De plus, il s'agit d'une femme et non d'un objet !

_ Pff... On veut jouer les héros, gamin ? Tu vas le regretter !

_ Ouais tu vas le regretter !

_ C'est plutôt vous qui allez passer un sal quart d'heure ! dit-il en dégênant son épée.

_ ! Merde il est armé... J'ai mieux a faire plutôt que de rester là !

_ Moi... Moi aussi ! Vite filons ! dit le troll en prenant ses jambes à son cou avec l'autre porc.

_ Mademoiselle, ils sont partis. Vous allez bien ? me demanda le brun.

_ Je... Je crois, merci de m'avoir sauver.

_ Vous savez, il n'a rien fait d'extraordinaire, tous le monde peut le faire. répondit le blond.

_ Oui mais vous l'avez fait !

_ Mademoiselle, vous allez bien ?

_ Hein ? mon corps se mit à trembler de lui-même, ensuite les paysages autour de moi me parurent d'un coup très flous, puis se fût le tour des voies qui se faisaient de plus en plus lointaines, puis le noir total.

_ MADEMOISELLE !!! crièrent-ils.

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