Chapitre 2

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Je m'approche d'elle, je lui prends les mains et lui parle doucement :

- « tout va bien, je suis là, pas de panique... On va venir nous chercher ».

Je l'aide à s'assoir contre la paroi de la cabine et je m'apprête à lui ouvrir le haut de son chemisier pour qu'elle respire mieux (j'ai quelques réflexes qui restent de mes stages de secourisme) et c'est là que je vois qu'elle ne porte effectivement pas de soutif sous son chemisier. Je ne m'étais pas trompée. Elle respire vite et à chaque inspiration, ses tétons foncés pointent. Cette vision me trouble. Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Je suis attiré par des seins maintenant ? Des tétons dressés m'excitent ? Parce que oui, ça m'excite... Je sens bien qu'il se passe quelque chose de « pas net » entre mes cuisses... Là où la couture du jean se glisse entre les lèvres de mon sexe. Je me sens devenir humide là... Et juste le jour où je n'ai pas mis de culotte...

Allez, reprends-toi ma fille !! Je déboutonne les 2 premiers boutons de son col et elle me regarde avec un sourire soulagé. Elle respire mieux. Je lui rends son sourire et lui prends les mains :

- Là, ça va aller, pas de panique, tout va bien se passer, je tente de l'apaiser par mes mots, elle me répond :

- Désolée Madame, je suis claustrophobe, être enfermée comme ça, ça m'angoisse.

- Madame ? Et puis quoi encore ? Appelle-moi par mon prénom ! Je m'appelle Lucille et toi ?

- Marie, Mada... euh Lucille.

- Ravie de faire ta connaissance Marie, même si ça aurait été sans doute plus sympa dans d'autres circonstances...

- Oui, vous avez raison.... Je ne me sens pas très bien...

- Qu'est-ce qu'il t'arrive, Marie ?

- J'ai chaud, j'étouffe...

- Enlève ton blouson, attends, vais t'aider.

En le faisant, j'effleure ses seins gonflés au travers de son chemisier et ses tétons durs. J'ai la sensation de devenir rouge comme une pivoine. Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Ils sont incroyablement gros et durs, ses tétons et si foncés... Je n'arrive pas à les quitter du regard... Lucille, reprends-toi, enfin !! Cette pauvre fille ne se sent pas bien et toi tu ne penses qu'à mater ses tétons ? La vache, mais c'est que j'ai chaud moi aussi... Je ne sais pas si c'est le confinement dans cette cabine ou la vue de ses tétons... J'enlève mon manteau moi aussi et le pose par terre.

- Pffou, j'ai chaud moi aussi.

- Vous ne vous sentez pas bien vous non plus, Lucille ? » me dit-elle inquiète. Ben oui, si je fais un malaise qui va s'occuper d'elle, cette petite chérie ? Arrête Lucile, tu n'es pas bien, Elle s'inquiète juste pour toi... Ça ne va vraiment pas ma pauvre fille...

- Si ça va mieux, maintenant que j'ai enlevé mon manteau.

- Moi, j'ai encore vraiment trop chaud.... » me dit-elle.

- Euh... à part enlever ta chemise, je ne vois pas ce que tu vas pouvoir enlever d'autre.

- Vous croyez que je peux au moins l'ouvrir ? Oh putain... Elle va me monter ses seins... Mais est-elle vraiment innocente ? Ou alors est-ce que je ne suis pas en train de me faire allumer par cette petite cochonne...Lucile, arrête de te faire des idées comme ça, elle a juste chaud !

- grtghjkplmendsqz.... » dis-je d'une voix sourde en rougissant de plus belle. C'est pas vrai, elle va le faire...

- Je prends ça pour un oui, Lucille ? » me dit-elle en souriant, en ouvrant sa chemise et en sortant les parties de son haut, entrées dans son pantalon.... Ses gestes ont écarté les pans de son haut et elle m'est apparue dans toute la beauté nue de sa poitrine et de ses jeunes seins. Ils sont tout simplement magnifiques : ronds ils ont l'air fermes et moelleux, les aréoles sont assez petites mais les tétons pointent, comme des petits cônes et semblent d'une dureté de pierre. Ils sont juste de la taille de mes mains... Mince, je viens de m'apercevoir qu'en pensant ça, je suis en train de regarder les paumes de mes mains... Mais qu'est-ce qui me prend ?

- Vous les trouvez beaux, Lucille ? me demande-t-elle en les prenant entre ses mains.

- grmpljktgfdrsnvbqdsrftr... » dis-je d'une voix encore plus sourde et en devenant aussi ecarlate qu'une écrevisse bouillie.

- Moi, je les aime bien, fait-elle en me regardant dans les yeux et en commençant à pincer ses tétons entre pouces et index. Mais je les trouve un peu trop gros... Vous en pensez-quoi ?

- ........ Non, ils sont parfaits, lui dis-je avec une voix que je ne reconnais pas... On dirait une souris qui parle avec un tout petit filet de voix complètement étranglée. J'ai les joues qui me brûlent, le cœur qui bat au moins à 200 à l'heure. J'imagine que l'entrejambe de mon jean est trempée. Mes tétons qui pointent comme jamais me font mal, engoncés comme ils le sont dans mon soutif.

- Lucile, vous me montrez les vôtres ?

- Mais enfin Marie, et si quelqu'un venait nous dépanner là, maintenant ? Qu'est-ce qu'il dirait ? Allez, ferme ta chemise.

- Vous bilez pas, on en a au moins pour une heure, me dit-elle avec un sourire coquin.

C'est pas vrai... Mais qu'est-ce qu'elle veut cette petite coquine ? Et si son malaise n'était que du cinéma ? Quand même, mignonne et jeune comme elle est, elle n'aurait pas flashé sur moi quand même ? Ou alors c'est qu'elle a juste envie de s'amuser ? Ou alors je me fais des idées, faut que je me réveille...

Comme pour lui donner raison, l'interphone de l'ascenseur se met à crachoter :

- Allo, allo, vous avez appelé ? Il y a un problème ?

- Oui, oui, on est coincées dans l'ascenseur ! Je crie.

- Pas besoin de crier ma p'tite dame, je sais bien que vous êtes coincée dans l'ascenseur, sinon, vous ne m'auriez pas appelé...

Non mais quel crétin celui-là... Et là tout me revient, le réveil à la bourre, les fringues de la veille, la réunion que je dois animer ce matin, la mauvaise nuit que j'ai passé, mon divorce, ma solitude... Et je fonds en larmes.

- Pleurez pas ma p'tite dame, on va intervenir, je vais même essayer à distance.

On sent la cabine bouger un peu, puis quelques soubresauts, quelques mouvements rapides du bas vers le haut, puis plus rien....

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