De retour à Cuba avec un de nos protagonistes ou plutôt deux, s'approchant d'un groupe de jeune pour leur rendre une balle de volley-ball qui a volé à ses pieds, ou Cassandra était en pleine partie, en deux groupes filles contre garçon, aussitôt se faisant insulté, soupirant leur lance la balle et retourne sur un chemin pavé, observant et admirant se village vacance aux airs festive, jovial et chaleureux comme un village fantaisiste, un long et interminable chemin pavé de pierre une rouge et une bleu et ainsi de suite, séparé par des muret entourant des parcelles de terrain où directement à sa droite on trouve la plage du village, qui est en partie la raison de son succès une plage extrêmement longe parcourant tous le villages sur des kilomètre, aux sables dorés toujours chauds mais pas brûlant bien au contraire, apaisant et relaxant sous les pieds, une mère turquoise brillant la nuit de mille couleur, à sa gauche peut trouver une grande piscine avec toboggan, des terrains de basket, tennis, un parcours d'accrobranche, un centre de soin, soupirant partout où il passe soit les autres personne le dévisagent, se recule, crie, bien trop habitué par ses réactions n'y prêtent plus attention et fait ça vie, lui sautant une de ses petites-sœurs toutes excités les yeux qui brillent lui montre sur la plage une cabane ou on peut faire du jet-ski, proposant une course, trouvant l'idée amusante se donne rendez-vous dans dix minute, courant se changer dans la maison louer par sa famille étrangement juste à côté de celle Cassia et sa mère, recevant un message le cœur qui bat à toute vitesse, le lisant rougit, puis se tournant lui touche la joue.

En instant son cœur s'arrête puis repart, ne comprenant pas pourquoi mais ne peut s’empêcher de regarder ses lèvres le cœur haletant, puis voit leur deux ombres mains dans la main, se promener ensemble, fuyant.

« Bella, Lisa, vous aviez raison je suis amoureuse de Nana, dès que je le vois, j’ai envie d’être avec lui, de lui faire plein de chose, l’idée de le voir avec une autre fille m’énerve »

La trouvant adorable, d’une idée sournoise d’un clin d’œil rigole d’avance.

« Ma chérie ta mère ta fait tomber sur la tête à la naissance ou quoi ?! Sérieux nana ! J’aime mon nana plus que tous, mais faut être réaliste t’as vu son visage ? Digne d’un film d’horreur... »

« Critique pas ton frère ! L’apparence ne joue pas tous dans la vie ! C'est un mec merveilleux, doux, attentionné même si je ne le connais pas bien ce que je compte bien changer, contrairement aux autres mecs il m'écoute réellement, s’intéresse à moi, viennent pas juste pour essayer de me mettre dans leur lit, t’en connais beaucoup des mecs qui aiment coudre, qui a cousue plus d’une centaine de peluches juste pour les données à un orphelinat, qui m’as cousue un plaide uniquement parce que je lui ai dit que j’avais un peu froid la nuit, j’aime sa manie de se toucher le lobe d’oreille quand il est nerveux, et puis moi je le trouve incroyablement beau, oui il a une apparence disons ténébreuse mais c’est ça qui fait son charme ! Et si les gens ne le comprennent pas tant pis pour eux, au moins je n’aurais pas de rival, si les autres ne l’aiment pas, moi je l’aime ! Putain, c’est plus grave que ce je pensais »

« Tu vois quand tu veux, et c'est vrai que notre nana est un amour, à la maison c'est toujours lui qui fait à manger, toujours en train de veiller au grain qu'on manque de rien, comme une fois on avait des problèmes d'argent dans la famille à cause d'un abruti, bref du coup les parents sont partir régler le problème bref il a pris deux boulot pour être sûr qu'on ait à manger tous les soirs, en plus de ça tous les soirs il nous aidait à faire nos devoir, jouait avec nous, nous faisait des cadeaux, toutes les punitions il a pris pour nous, cependant il sait être directif et dur quand il le faut, je vais pas te mentir, ils nous punissais quand on faisais des bêtises…Il a peut-être murit un peu trop vite à cause de nous…bref maintenant tu sais ce qui te reste à faire, malheureusement tu seras obligé de faire le premier pas, il le feras jamais, il est persuadé qu’il n’as rien à offrir à cause de son apparence, mais t’inquiètes pas on va faire en sorte qu’il essaye de te le dire »

« C’est même le cas contraire, d’ordinaire étant télépathe je peux entendre ce que les gens pensent et je vous assure que ça peut vous traumatise, mais avec lui je n’entends rien et c’est relaxant, ça m’oblige à essayés de deviner »

Quant à elle précisément de nouveau dans un aéroport, celui de Kochi en Inde heureuse de voir sa meilleure-amie, comme si elles ne s'étaient pas vues depuis des années se saute dans les bras, se regardant Lara voit une Karma épanouie, souriante et détendue en sarouel babouche et débardeur, les cheveux attachés en queue de cheval par deux nattes, la regardant à son tour la voie en tenue de vacancière short, tong, chemise hawaïenne et traînant des valises.

« Tu m’a manqué Sunny ils nous restent un mois, je vais te faire faire le tour de ma ville natal, là où suis née et grandi mais d'abord ma famille t’attend et un cousin nous attends avec sa voiture, pourquoi ce changement ? Tu ne devais pas être avec t’as grand-mère ? »

« Bornée comme pas possible, elle s’est bloqué le dos comme une idiote, j’adore la Pologne mais on y va tous les ans, au moins une fois par an, sauf que je veux changer de paysage moi ! »

Discutant ou rattrapant le temps perdus ses deux amies discutent de leur mois précédent, ce qu'elles ont vu, entendue, vécue, se racontent tous leur commérage, sortant de l'aéroport le cousin de Karma, lui bloquant commence à la draguer.

(Chère lecteur imaginez la conversation, Karma et son cousin discute en Hindi, je ne sais pas parler Hindi et encore moins écrire en sanskrit donc on va se contenter du français)

« Ahbra qu'est-ce que penserais Daksha de ton comportement ? Je te rappelle que t'es marié et père surtout que tu ne peux pas lui faire ça après tous ce qu'elle a sacrifié par amour ! »

« Cousine détends toi, j'apprécie uniquement la beauté humaine et puis flirter ce n’est pas tromper »

« Mon poing dans ta gueule ce n’est pas frapper ! »

La suite mieux vaut pas la traduire ou l'imaginer, sur la route observant ce paysage qui n'as rien n'as jalousé des mille et nuits, s'éloignant de la ville rejoint une villa digne d'un sultan richissime, rentrant aux abords de la villa commençant par un long chemin, sursautant se retrouve devant une réplique du Taj Mahal, admirant une merveille d'architecture se laisse succomber par la beauté mystique des lieux, libérant un sentiment de pureté.

(Parle en français quand elles sont toutes les deux)

« Ta famille est riche »

« Plutôt mon oncle et ma tante, un est chirurgien et l'autre businesswoman, ils ont fait fortunes et on bâtit cette villa pour que ma famille puisse vivre sans inquiétude »

Arrivant chez elle, de devant cette villa ressemble voire est identique au Taj Mahal, accueillit en fanfare comme l'élue heureuse de se sentir autant apprécier se prend au jeu, observant et ahurie par cette immense villa bien trop spacieuse pour une seule famille.

Un mois passe assez rapidement, Karma qui a fait découvrir la culture Indienne à Lara, Klaus qui à jouer libertin aux États-Unis, Nathanaël et Cassia qui se sont amusé en famille et énormément rapprocher l'un de l'autre, devenant des amis remplie d’ambiguïté, d'un message les quatre amis, se retrouve tous dans leur base secrète avec un carton, ouvrant le carton soigneusement plié y retrouvent une tenue, ou leur uniforme, un grimoire avec une couverture en cuir marron, des gants et une paires de bottes, une carte d'identité métallique avec leur photo et à côté, nom/prénom, âge, taille et classe avec au dos ayant l'emblème d'Arcadia ou soit l’œil de la providence comme symbole de la connaissance, un œil dans un triangle, pour finir une enveloppe.

« Chère étudiant d'Arcadia, tous d'abord on vous souhaite la bienvenue parmi nous, ainsi qu'un destin remplie de lumière, si vous recevez ceci c'est que d'ici quelque jour vous rentrerez dans nos rang pour devenir des futur agent d'Arcadia, mais avant tous des aventuriers assoiffés de connaissances, dans votre colis vous trouverez votre uniforme scolaire, personnalisé selon vos directives et nos conformités, une tenue qui vous permettras d’étudié sans distinction, ainsi que vivre vos aventure équipés confortablement, de plus un grimoire qui représenteras votre devoir de chercheur, durant ses cinq années vous en ferez un bestiaire digne de votre reflet, ceci seras noter à chaque fin de trimestre et compteras pour 20% de chaque évaluation final, quant à votre carte, elle vous représente, elles vous permettras de faire toutes les choses dites dans votre manuel d'étudiant, cordialement votre proviseur et ami Monsieur Genos »

« Ok cool... J'ai une idée si on demandait au quatuor de jauger nos tenue, histoire de voir que c'est moi le meilleur ? Le dernier paye une tournée de pizza »

Se sentant insulter, ils relèvent le défi appelant ses frères quelques secondes, plus tard toque à la porte et rentre en premier deux jumeaux d'une ressemblance indéniables avec Karma, ou soit une version masculine et d'une tête de plus qu'elle.
Rentrant se regardants puis les regardants assis voir leur sœur dans une combinaison en jean ample une pièce, grise argenté avec une bien trop grande capuche avec des oreilles et une queue de chat, avec des poches à fermeture éclair jaune de tous les côtés trois sur chaque bras, une grande devant une autre sur la jambe gauche, trois petites sur la droite avec le chiffre cinq en pendentif en argent sur les languettes et une poche standard sur chaque hanche, à côté Lara porte un pantalon cargo style camouflage rose à tache violette, un t-shirt à manche longue et à col roulé, avec des poches à fermeture éclair jaune de tous les côtés trois sur la jambes gauche à la suite, une grande sur le droit, avec le chiffre cinq en pendentif en argent sur les languettes et une poche standard sur chaque hanche.

Dans le même style Klaus, porte une combinaison en jean, avec une grande capuche au bords couvert de fourrure(fausse), cousus un peu partout de drapeau de pays d’un peu partout, d’émoticône souriante, énervé, séducteur, démon, tête de mort, avec des poches à fermeture éclair jaune de tous les côtés trois sur chaque bras, une grande devant une autre sur la jambe gauche, trois petites sur la droite avec le chiffre cinq en pendentif en argent sur les languettes et une poche standard sur chaque hanche.
Quant à Nathanaël, il porte une combinaison ample noir corbeau comme ses cheveux, à rayures rouge, comprenant au total trois poches une sur les hanches, une sur le bras gauche une sur chaque hanche, sans capuche avec un col assez long pour cacher le bas du visage.

Ayant tous en commun des bottes de combats jaune de paires avec le chiffre 5 en acier sur les côtés, avec des gants en cuir jaune avec le chiffre 5 dessus en motif métallique.

« Chakra, Sutra alors c'est qui le meilleur ? »

« Vous n’allez pas avoir froid ou chaud ? En été ou en hiver ? » demande Sutra un des deux jumeaux aux cheveux cours et l'oreille droite percé en bas et en haut.

« Ironiquement les tenues des cavaliers ne sont pas très différentes, et les ingénieurs ont travaillés sur les tenues pour que les cavaliers et futur cavaliers, puissent exécuter leur mission en toutes sérénité, on dirait pas mais elles sont très résistantes, par balle, imperméable, littéralement elle absorbe les éléments, se régénère, en plus les uniformes sont conçu pour toutes saison à température toujours idéal, les uniformes de base soit la combinaison, soit l’uniforme dit militaire, on a le droit de modifié mais en suivant les consignes, mais vous ne répondez pas à la question » explique Karma

« Déjà Tech et Nana, j'aime le côté simple mais frappant avec une touche personnelle, accentuant vos charmes personnel, Sunny classique comme quoi les fondamentaux sont insatiable, Jay ce petit côté aventurier sans frontière insouciant te va à merveille, on ne peut pas choisir, chacun à votre façon êtes parfait, donc aucun gagnant ? »

« Sinon à quoi sert nos badges ? » demande Klaus

« Déjà à prouver qu'on est des futur agent d'Arcadia, qu’on appartient à un lycée d’Arcadia mais je préfères le terme d’explorateur, je trouve que ça fait plus mystérieux, excitant, intrépide, bref le badge sert, basiquement à rentrer dans le lycée, manger au réfectoire, sert carnet de santé, bulletin et carte de crédit car avec les notes qu'on obtient se transfère en point qui nous permet, de payer les repas et d’autre bonus, tous est écrit dans le manuel, donc la perds pas, sinon plus important Nathanaël Giorno, explique moi j'étais au téléphone avec ... » explique karma

« Je sais ! Mais j'ai une tronche à jouer le rôle d'un psychopathe dans un film d'horreur, c'est facile pour vous ! Vous êtes tous putain de beau ! C'est... »

« Ta tâche n’est pas de chercher l’amour, mais simplement de chercher et de trouver toutes les barrières en toi que tu as construites contre elle »

Lui créant un portail pour aller devant chez lui, encore à l'intérieur abasourdie par cette réplique, bouche bée s'étonne de Klaus et ses bons conseils.

« T'as volé ça a qui ? »

« J’ai mes sources » assure-t-il d’un sourire narquois

La narguant, vexé elle part à son rendez-vous mais d'abord passe chez elle ce changer, arrivant au planétarium, assis sur un banc jouant à un jeu sur son portable, arrivant en retard s'excuse et l'observant à son tour son cœur s'accélère la voyant reconnaissant ce doux et beau visage d'une jeune femme d'origine indienne, brune aux vert, à la peau mate de stature athlétique et petite ne faisant qu'accentuer son apparence adorable et attendrissante comme celle d'un être doux qui a besoin de protection, ou celle d'une jeune femmes aux visages fin remplie de tache de rousseur synonyme de tranquillité et douceur, aux regards subtile et dessiné délicatement, des longs cheveux lisse, soyeux et ondulés, un petit nez adorable, tous comme la décrivant comme cette chose adorable, habillé comme simplement rigolant d'un simple regard, lui sourit puis le prenant par la main, rentre dans le planétarium, payant deux place, traversant un couloir obscur ressort dans une pièce plongés dans le noir, éclairés par des étoiles.

Émerveillé par la beauté de l'univers, écoute une douce voie féminine leur révéler les secrets de l'univers, parcourant ce jardin d'étoile entouré de couple amoureux qui roucoulent, se demandant si eux aussi sont perçu comme tel, la regardants curieux la joie joyeuse qui lui expliques chaque constellation et son histoire, les yeux remplies de lumière, rigolant se laisse entraîné, la séance finissant, leur propose de se reposer dans un restaurants toujours dans cette univers, remplie d'étoile et de fantaisie, assis une table tous sans exception ont l'impression de manger au cœur de l'espace, de nulle part Neven sort un appareil photo, comme l'expert prend plusieurs cliché du restaurants, puis s'installant discutant de tous et de rien mais essentiellement de science et tous ce qui s'en rapproche, leur yeux s'illuminant pour la première fois à part son père et ses frère elle peut enfin débattre de science, avec un autre scientifique passionné qu'elle tous en mangeant, leur yeux illuminant ignore les regards étonnés sur la différence de ce tandem, l'un effrayant qui fait miroité les têtes de peur dans un sens et l'autre d'admiration de l'autre, une heures et 37 minute plus tard et un message, lui montrant se dépêche, Neven insistant paye l’addition et s'enfuyant tous deux en courant.

Plus loin, Lara, Klaus et Icarus dans un parc de sport extrême s'amusant à faire des acrobaties sur une rampes, Lara sur son vélo à faire des salto arrière pour retomber sur une roue, Klaus et Icarus à côté la narguant sur leur roller, prenant de l'élan pédalant à toute vitesse sur la rampe, décollant de l'autre côté et tournoyant en spiral retombe sur la roue avant et du majeur les défis, or recevant un message, s'alarmant Klaus crée un portail au pied de la rampe se jetant passe de l'autre côté, ou vers un parc plus sobre, classique, un simple parc comme on peut en trouver partout à Paris, se pressant de se cacher derrière des buisson, observe Nathanaël et Cassandra assis sur un banc, timide, nerveux mais certainement amoureux l'un de l'autre.

Écoutant son cœur battre plus en plus fort à son sourire, accélérant pensant à quel point il aime être en sa compagnie, à quel point elle le fait sentir simple et heureux, le faisant oublier tous les préjugés qu’il a entendue, pour la première fois une fille en dehors de sa famille ou Karma et Lara, l’acceptent sans le juger voir plus, passer des heures voir des journées à discuter avec elle, entendant ses amis et sa famille qui l'encourage, inspirant profondément, se retournant se met en tailleur sur le banc et la fixant, elle aussi se retourne et connaissant déjà ses sentiments, ayant utilisé ses dons, est sûr de ce qu’elle veut faire.

« Si je t'ai demandé de venir, c'est que j'ai plein de chose à te dire, je sais qu'on se connaît depuis pas longtemps, mais on est devenue rapidement très proche, avec toi je me sens libre, j'ai toujours et j’effraie toujours les gens autour de moi, aussi loin que je me souvienne, peu importe ce que je dis, ce que je fais, à cause de mon visage je suis le méchant de l'histoire et tu peux pas savoir à quel point c'est douloureux, les gens cherche même pas à comprendre automatiquement c'est de ma faute et avoir des amis qui m'accepte comme je suis sans préjuger, sans insulte pour moi c’est une chance et j’ai peur que…ou re (ce mord langue)...Merde ! »

Le voyant essoufflé, pleurant, tremblotant essayant de s'exprimer mais effrayé des conséquences, à son tour ressent tous ses sentiments venant de lui, en étant plus qu'heureuse, l'embrasse et tous deux en ce moment précis se sentent comme le noyau de l'univers au goût de fraise, décollant ses lèvres, sortant un mouchoir essuie tendrement ses larmes.

« Désolé, mais t'es tellement craquant, écoute même si je ne peux pas lire tes pensées, je peux ressentir ton cœur et au-dessus de ça je sais très bien que malgré ta carapace tu es un nuage, doux et tendre, donc à partir de maintenant autant que ce soit clair et que tu le sache, tu es mon petit-ami, et je suis ta petite-amie et que ce soit clair notre relation est exclusive, en gros on est un couple et uniquement toi et moi comme j'avais prédit ses événements j'ai préparé quelque chose pour symboliser notre amour, le début de notre relation et je le pense réellement fait moi un cadeau si t’en as vraiment envie, parce que j’ai trop vécu ça avec mes parents, qui se sentait obligé de me faire un cadeau pour mes anniversaires, ou pour ce déculpabilisé, pour moi un beau cadeau est spontanée et/ou symbolique, genre pour célébré nos cinq ans, que t’as intérêt à faire, sinon là je te ferais la gueule »

Sortant de son sac à bandoulière une boite à bijou, enroulé d'un beau nœud, l'ouvrant trouve deux bracelets, deux en argent, mais un bleu et l'autre rouge, toutes deux sculpté en forme de couronne de laurier ce recentrant au milieu vers un cœur violet.

« Comme je t'aime et que je ne veux pas qu'on te pique à moi, plus pour te le prouver, c'est bracelet sont magique, tu peux savoir où est le détenteur de l'autre est, communiquer par télépathie avec peu importe la distance, je dois passer pour une folle, désolé… »

« Pas du tout, je trouve ça adorable, je te rassure avec ma tête t’auras pas de rival, au contraire »

Chargeant sur eux, un groupe de trois adolescent masculin cliché des rappeurs dépasser par la mode, prennent en menace Nathanaël, l'accuse de crime indigne de son innocence, un va jusqu'à le prendre par le col, pendant que les deux autres protègent la demoiselle en détresse soit Cassia.

« L'exemple parfait de ce que je te disais, t'es sûr que tu veux être en couple avec moi ? Avec moi t'auras le droit à sa souvent, mais genre très souvent, tu peux demander aux autres »

« Je sais déjà dans quoi je m’embarquais, et pour moi un couple un vraie, peut tous régler ensemble, donc oui j’en suis sûr et certaine… »

« Tu sors avec ça ! Ta vue sa gueule il pourrait même effrayer un démon »

Ayant bien trop l'habitude des remarque déplacés, insultes, n'ayant pas non plus la volonté de contredire d’une simple idée, respirant profondément, d’un geste Cassia comme une toupie les faits tournés dans les airs à toutes vitesses puis les poses aux sols

« Que ce soit clair, il est à moi et personne ne l’insulte à part moi ! J’hallucine ! »

D’un bruit d’explosion, les cheveux en feu deux jumeaux sont obligé de sortir de leur cachette, de jumeaux de petite taille, petit pour leur âge un peu grassouillet, d'apparence ordinaire, commune, ni beau, ni affreux, deux adolescents issus d'un métissage leur donnant une belle peau, couleur caramel, à l'épaisse chevelures bouclés, ondulé et crépue, des yeux marron clair et cet air toujours enragé.

D'un cri un des deux projette de son corps, un pic de bois se cassant sur lui d’un air ennuyé, soupirant connaissant déjà la fin, utilisant sa super-force en instant se retrouve devant lui d'une gifle l'envoie s’écrase contre arbre, regarde le deuxième et d’une simple pichenette l’envoie s’écraser sur son frère, assommant le frère qui se relevait, l’un comme l’autre, savent pertinemment la fin, son frère déjà hors service, d’un cri de rage lui cri un jet d’acide qui dissolvant rapidement une partie de son t-shirt, le laisse indemne, soupirant prend une poignée de terre, d’un coup juste devant lui jette dans les yeux, le faisant pleurer au sol, lui tire les sous-vêtements faisant passer sa tête dans une des manches de force, le jette dans une poubelle suivie par son frère, le visage inquiet de Cassia, ne sachant pas quoi faire lui sourit timidement.

« J'aime ton empathie, mais t'en fait pas pour ses deux idiots, je n’ai pas mis toutes ma force, je te présente Lord et Duke, mais on les appelle minus et microbes depuis la maternelle pour je ne sais quelles raisons me détestent, et honnêtement c’est réciproque déjà à cause de ses abrutis j’ai eu énormément de soucis, j’ai failli finir en prison, ils ont clairement essayés de me tuer, ils mon poussés d’une falaise, brûler, essayé de me noyer, mais le pire c’est qu’ils ont voulue violer mes sœurs heureusement grâce aux entrainements de mon père, mes sœurs ont failli les envoyés à la morgue, donc tu peux garder ta pitié il la mérite pas, des abrutis qui mérite que de la haine »

« Je peux confirmer plus d’une fois qu’une, depuis la maternelle ils nous font chier, quand ce n’est pas nana c’est moi, combien de raclé tu leurs a mis cinquante ? Cent ? » assure Lara

« Quatre cent cinquante et un maintenant » assure-t-il d’un ton narquois vérifiant sur son portable

Vexé d'avoir été espionné, le coinçant entre bras la décoiffe, se quittant pour se préparer.

Se téléportant devant chez lui, ou ce qui a l'air de ressembler à un énorme pavillon, plus gros que les autres, avec au premier niveau un bar restaurant dans un style parisien, avec une touche festif, à la devanture classique, une baie vitré donnant sur un salon mondain, de cuir et velours, où des hommes de toutes société peuvent se confondre sans se soucier des apparences ou principes, dans un milieu élégant mais simple d'un côté le bar en chaîne gravé de symbole celtes, menant sur la cuisine sentant la renaissance qui à garde sa nostalgie, tous en allant de l'avant, rentrant dans le bar, salut un homme qui lui ressemble énormément comme si Klaus avait un double plus grand, plus musclé et plus vieux, à la barbe soigneusement taillé, les long cheveux attachés en un chignon, aux même charme arrogant mais à l’apparence plus douce, simple comme si il était deux facette d’une même pièce, doux d’un côté mais arrogant de l’autre, des yeux marron quasiment noir.

D’un signe faisant un détour, une jeune femme de son âge bloque le passage, une jolie brune, la reconnaissant comme une de ses nombreuses conquêtes accompagnées de six autre.

Rigolant nerveusement se retrouve encerclé par d'autre fille victime de ses charmes, ne pouvant fuir, attiré hors du bar jusqu'à un parc rarement fréquenté ou ils sont isolés du monde extérieur, s'asseyant sur un banc avec en face ce groupe, une dizaine de jeune femme, d'ex petite-amie remonté dans le mauvais sens prêt à en finir et à en découdre, d'un flash les insultes et critiquent fuse, puis de nulle part une femme forte physiquement, soit enrobé, en larme le soulève par le coup tout en l'étranglant.

« Vu que t'aime jouer avec les autres, à mon tour, plutôt à notre tour de te voir souffrir, tu nous as sous-estimé et tu vas le regretter »

Le jetant au sol, toutes sans dires de mots repartent, se fait battre de tous les côtés, rigolant nerveusement sort son portable de sa poche arrière et envoie un message, ricanant en regardants le ciel qui même lui l'insulte et le méprise, laissant son cœur s'exprimer à travers ses larmes, repensant à tous ses mots et à son passé, au fond de lui sais pertinemment qu'elles on raisons, se relevant s’assoie sur un banc philosophant sur ses actes et sa vie, passant plusieurs heures jusqu'à que Nathanaël le rejoignent au coucher du soleil, s'asseyant à côté de lui.

« Bien fait pour ta gueule ! Souffre ! Je suis désolé, mais tu l’as amplement mérité, à force de jouer au bourreau des cœurs avec plusieurs filles, ça t’est retombés dessus et violemment, tu crois que c'est une vie ! Regarde ton père, même si c'est quelqu'un de bien, ses actions, on fait souffrir plein de personne, je sais que tu as vécu des choses horrible enfant, mais ce n’est pas une raison ! Si on devait agir en fonction des autres, moi je serais un psychopathe, tueur en série et puis tu m’as toujours dit que tu refusais d'être comme le reste de ta famille, mais en agissant ainsi, tu ne fais que suivre leur idéologie, donc arrête tes conneries ! N’oublie pas ce qui lui est arrivé à cause de ses actions à ton père, rappelle-toi à quel point ça la détruit, vous n'avez pas suffisamment souffert ?! Réfléchis à ce que je viens de te dire, mais te connaissant tu vas continuer, mais soit intelligent pour une fois dans ta vie, ok tu veux que du sexe et tu veux ce que tu veux de t’as vie, t’es con et puis c’est tous, mais au moins par respect fait leur comprendre dès le début, soit honnêtes, au lieu de sortir avec une fille, pour lui faire l’amour et après l’ignorer, tu lui vends une image de toi qui es fausse, soit clair dès le début, tu leur dis dès le début texto, je veux que du cul ! »