Chapitre 1

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Disparaissant en fumé, le vrai l'original est chez lui en pyjama, dans sa chambre et part manger.

Leur restant quelques semaines de vacances avant de commencer leur nouvelle vie, chacun de leur côté en profite, Nathanaël jubile de son couple, profite de chaque moment ensemble, découvre des nouvel sensations, se sent aimé à en oublier les regardes accusateur, les remarques sur son apparence, se découvre, les autres profites de la vie et de leurs amies, jusqu'au jour de rentrer dans leur académie où ils y passeront les trois prochaines années, le matin dans sa chambre enfilant son uniforme scolaire, sa combinaison noire corbeau à rayures blanches, des bottes de combats jaune de paires avec des gants en cuir jaune avec le chiffres 5 dessus en motif métallique, ce regardants dans le miroir de chambre, se trouve plus que beau, se complimentant sa mère le cri ou plutôt l'appelle.

Dans le salon d'un air cérémonieux, sa mère larmoyante ne pouvant s'en empêche enlace son fils, fier de lui mais triste de le voir partir, souriant accepte avec joie son amour.

« S'il vous plaît, on sait tous comment ça va finir et on sait promis de pas pleurer en plus je dois y aller, ils vont m'attendre »

« Avant de partir, on voudrait de te donner tes cadeaux de départs, ça c'est de ma part, des ta naissance on voulait que peu importe ce que tu fasses, tu ne te perdes pas dans la vie, donc tiens mon poussin »

Ouvrant un coffret y voit un collier en cuir tresser en une natte avec en pendentif un cristal bleu taillé en losange, ricanant en reconnaissant l'objet sourit, d’une idée transforme ca carte en une aile d’ange en acier rajoutant ça touche personnel et utile, le tout accompagné une envelopper sceller, enlaçant fortement sa mère, l'embrasse sur le front lui chuchotement quelque mot à l'oreille, se regardants avec ses sœurs une des deux lui lance un bracelet rouge, fait d'une corde particulièrement résistante et élastique et de perles rouges incrusté d'une étoile doré, rigolant heureux embêtes ses sœurs une dernière fois, ricanant se jette sur ses sœurs et les décoiffent.

« Comme ça t’arrêtera de nous casser nos chouchous ! On ta préparer une boite avec plus d'une centaine de chouchou, juste la couleur qui change, on l’est à commander exprès pour toi »

« Parfait vous allez survivre sans moi ? N’oubliez pas de … »

« Chut ! On connait le discours par cœur, toute façon maintenant ils sont à la retraite donc du temps ils en ont à perdre, donc relax »

Préférant fuir avant de s’effondrer en larmes, passe par le garage voire son père, qui ricanant comme mauvais méchant de film d'action caressant un coutelas au manche en métal à motif spirale et la lame rouge sang, de son air effrayant Nathanaël en a des frissons, le rangeant dans le fourreau accueille son fils, d'une main sur son épaule prend une profonde respiration d'un coup de poing sur le torse.

« A ton tour fils, fait honneur au Giorno »

« Avec plaisir, plus important j'ai le droit moi aussi ?! »

« J’en ai fait pour chacun de vous, au cas où vous prendriez cette voie, et merci fiston comme mon père à mon tour de te donner la première lame pour te gravé ton chemin »

« C’est à moi de te remercier sans toi je n’en serais jamais la aujourd’hui, sans toutes ses explorations, ce que tu m’as appris je n’aurais jamais réussi à intégrer ce lycée »

Larmoyant accepte avec grande joie admirant deux couteaux ressemblants à un simple manche en métal ressemblant à du cuir noir à motif étoilé, de dix centimètres gravés en bas d'un G majuscule, dans un losange fissuré du côté droit en haut, d'un geste une lame aussi en acier de cinq centimètres.

« Avant que tu partes je voulais que tu sache à quel point je suis, nous sommes fiers de toi mais n'oublie pas les trois règles de notre famille, plus important entre nous deux, je sais à quel point ça peut être dur d'être jugé sur son apparence, d'être vu comme le coupable alors que t'es la victime et tu sais déjà ce que j'en pense, mais tous ce que je peux rajouter c'est méfie-toi, sur ce file et oublie pas repasser au moins pendant tes vacances »

Ne pouvant s'en empêcher cette famille se regroupe pour des salutations, dans la maison d’à côté sa voisine et meilleure-amie, déjà prête à partir dans sa tenue un pantalon cargo style camouflage bleu clair à tache violette, un t-shirt à manche longue et à col roulé moulant violet, sans oublier des bottes de combats jaune de paires avec des gants en cuir jaune avec le chiffre 5 dessus en motif métallique.

Dans son salon assis sur une chaise, face à face discutant de la vie, Lara s'installe devant ses parents et ses quatre petite-sœur, tous des copies carbones d'elle-même, en les voyant il est impossible de douter de leur lien de parenté bien trop flagrant, perçu souvent comme une réunion de mannequins, ses parents affalés sur le canapé devant la télé, la salut d’un geste dérisoire et aléatoire, ses petites-sœurs en larme mais fière de leur sœur, après des adieux larmoyant la regarde partir.

De son côté aussi sermonné par son père, Karma déjà en tenue aussi, baillant assis sur une chaise se faisant couper les cheveux, l'ignore, d'un coup d’œil regardants sa fille bien aime, d'un flash revoie sa mère dont elle a pris énormément de chose, notamment le caractère, la retournant comme un artiste admirant son œuvre malgré le fait qu'il s'est contenté de lui raccourcir, ça longue chevelure au bas du cou, lui faisant fermer les yeux, lui enfile autour du cou un collier shamballa, un long collier de plusieurs mètres fait d'une corde inconnue extrêmement résistante, composé de perles de toutes les couleurs, de bois et de pierre précieuse, rouge, bleu et verte, toutes parfaitement ronde, envelopper dans une nattes tressé, un collier qui autrefois était à sa mère, émue elle en pleure heureuse, lui promettant d'en prendre soin.

Comme tous les autres eux aussi ont le droit au long discours interminable, mais notice à venir pour éviter tous problèmes pouvant les faire souffrir, finissant par s'enfuir comme prévu s'attendent dans leur base secrète, comme toujours Klaus arrive en retard, ou plutôt n'est toujours pas parties vient, déboulant dans sa chambre son père, le voie sous un drap dans le noir, à jouer à la console.

Retenant ça colère, autour de sa main une douce fumée doré, ouvre les volets l'aveuglant de la lumière du jour, tirant le drap sursautant l'insulte, or réagissant comme l’adolescent qu'il est se rebellant file dans la salle de bain, se laver sursautant lui-même face à son miroir, en caleçon de poussin nous pouvons seulement voir un léger changement, la sclérotique de ses yeux devient noir corbeau, l’iris devient jaune aux bords rouges, sa pupille dilatée en un trait comme les reptiles, ses canines s’allonge, sa peau devient rouge, ses ongles s’allongent d’une dizaine de centimètres.

« J'avais complètement oublié que je ressemblais à ça »

Regardant une dernière fois son reflet, revoie une société, un monde où démon mais préférant le terme de noctis des créatures différentes des humains, aux pouvoirs dit démoniaques, destructeur, sombre, toxiques[...] des créatures qu'on pourrait décrire de fantaisiste, mais pas comme nous le connaissons normalement comme les lycanthropes, vampires et ainsi de suite, aux mœurs, physiques, vies oxymorique aux humains dont une moitié est profondément mauvaise, malsaine, sadique et remplie d'envie négatif, d'idée sociopathe, créant un conflit viscérale durant déjà depuis bien trop longtemps, malgré qu'il y ait d'énorme perte des deux côtés, un seul est vu comme le grand méchant de l'histoire, même si les tensions se sont atténués elles sont bien toujours présente, soupirant en connaissant la fin pour son espèce reprend sa forme humaine, se prépare et descendant son père le ferme lui donnant un long collier en cuir avec au bout une perle d'or retenant une plaque métallique gravé de symbole étrange, lui donnant la version bracelet un à chaque poignet, aux pieds, même aux oreilles, l’enlaçant.

« Je sais que c'est chiant, crois mois ça ne m’amuse pas non plus de porter ça, mais c'est le seul moyen pour pas qu'on détecte qu'on est des démons, et oublie pas à part notre famille, uniquement nana et sa famille doivent savoir ce qu'on est, ça doit... »

« Crois-moi je n'oublierais jamais ce jour, mais t'es sûr que maman va se taire ? »

« Ta mère est une personne horrible, a fait des choses inimaginablement malsaines...(soupire) tu me diras j’ai pas fait mieux, des défauts elles en a plus pouvoir à compter, mais quand elle donne sa parole c'est définitif, sur se dégage et garde ce qu’on est secret, et au cas où d’une façon ou d’une autre tu dois le révéler assure toi que ses personnes son capable de l’accepter, car même s’il existe une minorité qui ne fait pas l’amalgame entre un démon et être démoniaque, la majorité pense le contraire donc… »

Rigolant sortant de chez lui, d'une agilité inconnue en acrobaties rebondit de maison en maison, allant toujours plus vite laissant le vent caresser sa nouvelle chevelures, toujours aussi flamboyante, heureux ou soulagé d'une vie passé, de sa vue quasi parfaite voit au loin, à quelques kilomètres, ses amis dans un tramway entre de se diriger vers un port, prenant une grande respiration toujours en continuant son chemin, des étincelles rouges et noir grésille à ses pieds puis prenant appuie sur une cheminée et d'une explosion sans rien détruire se propulse sur le tramway, arrivant plus vite que prévu voulant freine d'une vague d'énergie or trop tard se cogne la tête la première à pleine vitesse, sur le tramway désorienté ratant la rampe glisse et se fait happer par un autre tramway qui arrivait à côté, dans le sens opposé.

Assis sur les quais du ferries à observe le soleil se refléter dans l'eau, d'un signal le bateau s'approchant soupirant déjà en retard le premier jour, toujours à cause des mêmes, commençant à se plaindre, le critiquant comme toujours et comme d'habitude Nathanaël le défend uniquement au début, regardants le bateau partir qui déjà à bonne distance, d'un cri reconnaissent Klaus qui sautant rigolant laissant derrière lui une trainé d'étincelle, tombant sur le bateau leur fait un doigt en particulier en leur tirant la langue, vexé, relevant le défi Lara et Nathanaël prennent de l'élan, elle court sur l'eau et monte sur le bateau, violemment Nathanaël du ciel tombe sur le bateau, lui rendant ses doigt avec en bonus une grimace, remarquant que sur le bateau il y a uniquement des étudiant pour le même lycée, une centaine d'étudiant disperser sur les trois étages du bateau.

D'une annonce rentrant dans un des salons toujours sur le pont du bateau, saluent d'autre bateau affilié à l'école, tous confortablement installé portant un casque à réalité virtuel, le proviseur de l'école un chat bipède noir aux yeux marron clair, en smoking ressemblant à un chat tous ce qui a de plus normal, mais qui marche sur deux jambes avec des mains et reconnaissable par une crête rebelle rouge et des yeux hétérochromes, un rouge et un bleu.

Dans ce monde, une fois intégré la zone virtuelle qui n'est d'autre que leur lycée, d’une technologie si réelle que chaque élève se croirait déjà sur place, leur présentant dans tous les détails leur campus, avec en bonus un discours, voir un sermon, même le sermon du bon combattant, explorateur valeureux, ainsi pendant trois heures ou plus, les élèves tous sans exception, d'une union soudaine maudisse leur proviseur.

Arrivant enfin sur l’Île, d'un long chemin pavé de pierre emmenant devant l'endroit où ils grandiront durant trois ans, un lieux qui sera pour trois ans leur deuxième maison, le cœur remplie d'espoir, d'idées, d'excitation s'avance tous dans le silence, observant cet endroit remplie de leur futur aventures, souriant mais anxieux un très vaste paysage, ressemblant de loin comme de près à un immense château de luxe pour princes et princesses, commençant par des imposants et gigantesques portails à perte, avec de chaque côté deux petit bâtiment s'occupant de cette partie de la sécurité du lycée, et aujourd’hui deux gardes font l'accueil des nouveaux arrivés portant la même combinaison que la plupart des élèves, en noir avec écrit en gros sécurités sur le torse et dans le dos, reconnaissable par deux badges un pour le lycée, une version adulte et passe partout des cartes lycéenne, ainsi que leur badge personnel celui qui certifie pour qui ils travaillent et leur niveau d'accréditation, passant tous deux par deux se faisant ausculter et vérifier, avec des deuxième et troisième années qui leur donne à chacun un bandeau et deux bracelets éponges avec le motif d’Arcadia en jaune, tous ahurie et n'en comprenant pas l'intérêt accepte le cadeau.

« Pour les nouveaux, je sais ce que vous pensez et je suis d'accord, pourquoi cette école nous emmerde avec tous leur attirail, l'uniforme, les cartes ce qu'on vous donne techniquement servent déjà à différencier un premier année d'un deuxième et ainsi de suite ou toutes vos données personnelles sont écrites dedans, qui accessoirement permet de manger au réfectoire, rentrer dans les salles de classe à rentrer/sortir du lycée, dans les dortoirs, et certains lieu, sert carnet de santé, bulletin[...] et carte de crédit car avec les notes qu'on obtient qui se transfère en point qui justement nous permet, de payer les repas, acheter des objets dans des boutiques spécialisé ou qui ont le partenariat, pour faire simple le principe de cette école est que tous ce mérite, que la vie n'est pas gratuite dans le respect d'autre, car uniquement le propriétaire de la carte peut l'utiliser, mais si vous la perdez-vous êtes quand même dans la merde, vous pouvez même pas rentrer chez vous... » annonce un troisième année un étudiant lambda qui passionné par ce qu'il dit fait de grand geste.

Tout ennuyés sans exception par son discours, chuchotant tous entre eux, mais n'osant pas répliquer car même ennuyé ça reste leur avenir, se regroupant nos héros, dont une sursaute en voyant l'énorme chevelure de Neven qui cheveux libres, au naturel, non tresser ou autres, à une énorme touffe crépue, ondulés, bouclés noir à l'extrême, lui retombant aux épaules et sur les paupières, ahuries remarque des détails, comme si elle ne connaissait plus cette personne.

« Crois-moi si je pouvais me faire la boule à z je le ferais, mais vous ne pouvez pas me comprendre ma douleur déjà que des cheveux de black de base c'est une souffrance, c’est archi beau mais aussi compliqué à entretenir, le pire ils sont invulnérable alors crois moi tu maudis l'univers, même dieu s'il existe en plus de ça, ils sont bouclés, ondulés, crépue et tous ce que tu veux, c’est chiant ! Trois heures pour coiffer tout ça ! »

« Klaus je peux plus me retenir, il s'est passer quoi ? On ta brisé le cœur ? Tu t’es enfin fait prendre en gang bang par tes ex ? Sinon, ça te va bien super bien, ce côtés rebelle hipster je kiffe » demande et se moque Karma

« Comme on dit nouvelle vie, nouvelle coupe »

« Ah le menteur ! Klaus ce n’est pas bien de mentir, je te vois arriver je ne lis pas dans tes pensées, mais je suis aussi empathique et je sais très bien ce que tu ressens »

« J’admets ! Hier j’ai eu un imprévu, je partais faire des courses pour mon père, je me suis brûlé en me coiffant mais … »

« Arrête ! Sale menteur ! La vraie histoire, c’est que ce con à force de sortir avec plusieurs meufs en même temps, juste pour faire du cul, elles se sont vengées pour lui faire la peau et s’il s’est coupé les cheveux, c’est parce qu’une meuf lui a jeter de l’acide au visage, mais grâce à son invulnérabilité il n’a rien eu, seul ses poils sont vulnérables »

« Ah ! Encore une fois j’avais raison ! Comme toujours ! Mais bon te connaissant tu vas continuer tes conneries, j’espère sincèrement qu’une fille va te briser, comme ça tu comprendras réellement » s’acclame Karma

Suite aux problèmes de tous jeunes la fainéantise, Klaus lui à couper à blanc sur les côtés et derrière, laissant son épaisse crinière en haut, quant à elle à raccourcie en un dégradé en haut de sa nuque ajouter à couleur naturelle des nuances de blond platine dans ses cheveux, validant leur changement, Cassia est plus étonné par la chevelures rocambolesque de Neven, la coiffure inchangé d'Icarus ou la longueur de ceux de Nathanaël et Lara qui leur arrive aux niveaux des genoux, comme une découverte étonnante, elle le signal et connaissant les questions, d'une main la stop.

« On sait, ils ont toujours aussi long, malheureusement ou heureusement on ne peut pas les couper, détruire ou je ne sais quoi, on en a juste marre de les coiffés en plie, je sais avec mes longs cheveux je fais encore plus film d'horreur et elle déesse on connaît le refrain »

Débattant comme dans un salon de commérage, le temps passant, d'un bruit d'impact, le troisième années vol au-dessus d'eux.

« Toi ferme ta gueule ! Tu parles toujours trop ! Ils viennent de passer trois heures à écouter un documentaire barbant ! Donc ta gueule ! Ta gueule ! »

Rigolant tous les étudiants en oublient le temps perdus pour eux jusqu'ici, rentre dans cette immense campus sur plusieurs hectare, commençant par un chemin pavés en damier noir et blanc, sur les côtés une pelouse bien entretenue avec un énorme bâtiments de chaque côté, n'étant que d'autre les bâtiments pour la sécurités, longeant tous le chemin pavés amenant plus loin à une fontaine en ivoire avec la statue du principal tenant un vase dans chaque main ou y sort l'eau, à gauche à quelque kilomètres un énorme manoir au toit bleu identique à l'autre à droite au toit rose, les deux sur six étages recouverts de lierres dans un style Anglais, le dortoir pour les première année, en suivant le chemin après sur un immense terrain vague, le lycée un immense et ridiculement grand château, prenant plusieurs hectare digne d’un riche prince égocentrique, au style médiéval dont chaque étage correspond à une année scolaire, avec sur chaque côté un énorme bâtiment, sur quatre étage dans un style plus moderne, ressemblant étonnamment à un mille-feuille dont une partie sur deux est recouverte de baie vitré, un étant le dortoir, salles de repos, des professeur, l’autre tous ce qui est administratif et divers, entre les deux bâtiment encore une autre cette fois-ci en cercle comme un macaron sur six étages, consacrés à l’entretien physique, au fond plus loin se trouve d’autre dortoir toujours par genre, plus précisément deux du côté à gauche et deux à droite, un pour les deuxièmes année, et pour finir visible au loin de leur dortoir, sur sa petite ile privé, la villa au sang latin du proviseur enfermé dans un dôme.

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