Chapitre 5

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« Je te l'ai déjà dit, nos enfants ne sont pas des soldats donc arrête de vouloir les préparer pour quelque chose qui n'arriveras... »

« Et ce qui s’est passé y a huit ans ! Ce n’est pas pour ça ! Je veux juste faire en sorte qu'ils puissent affronter toute épreuve de sang-froid et la tête haute, pendant que les autres paniqueront eux serons quoi faire, mais t'as raison maintenant ils sont assez grand pour s’entrainer par eux même, sinon pour la voiture jamais ! Personne à part moi conduit cette beauté »

Criant de joie saute dans la voiture et satisfait imagine déjà toutes les possibilités, ainsi qu'une vie sans cri, coup et combat une vie ou ils pourront enfin vivre comme des adolescents normaux, d'un appel vidéo enfilant des écouteurs sans fils avec ses trois meilleures-amis discutant de tous et de rien, rigolant aux blagues de Klaus, se moquant de lui avec Karma, soutenant Lara.

« Sinon vous allez où ? »

« Comme d'hab deux mois aux State pour voir la famille... »

« C'est génial ! »

« Non pas cette fois, mon père veut me présenter sa copine avec qui il veut se marier... »

« Genre ton père celui qui passe son temps à courir après des culs, qu'on surnomme le fournicator à décider de se caser, ça doit être un sacré morceau pour calmer ce taureau en rut, bref moi cette fois-ci je vais en Inde »

« Tu me diras comme toujours, vous aux moins c'est logique vous suivez vos origines, moi je vais à Cuba... »

« Ne te plaint pas ! Moi je vais chez ma grand-mère qui habite dans le trou du cul du monde, où il n’y a pas de réseaux, elle habite sur une montagne ! Qu'est-ce que t'es partie te foutre là-haut ! Pourtant la Pologne est un pays magnifique, il y a énormément de chose à voir, connaitre mais non elle est partie s’enterrer dans le trou du cul de la Pologne, cette ville n’est même pas sur les cartes, comme si ça ne suffisait pas, elle n’habite même pas dans la ville, ça aurait trop beau, non encore plus loin, heureusement on y va que le deuxième mois »

Prenant un des écouteurs Annabella une des petites-sœurs de Nathanaël, les saluant la tête posée sur l'épaule de son frère en train de caresser la tête de son autre sœur sur ses jambes prend part à la conversation, discutant ainsi sur tous le chemin avec devant les parents dans leur monde bien à eux, ignorant les conversations de leur enfant.

Arrivant à l'aéroport remplie d'une foule comme à son habitude, ou soit un jour banal dans la vie d'un aéroport entre cris, bavardage, des magasins remplies à en déborder, des personnes qui cours dans tous les sens, d'une idée les filles font passer les hommes en premier ainsi subitement l’aéroport se calme, devient un silence effrayé par la rage du bruit, ainsi passe devant tout le monde et en un temps record font toutes les formalités comme des personnes normales, mais sans l'attente.

Discutant en famille et se voyant déjà sur la plage, imaginant toutes les activités possibles du coin de l’œil croit voir Klaus, lui courant après l'interpellant un jeune homme lambda ressemblant vaguement à Klaus bégayant par en s'excusant.

« Ce n’est pas gentil d'effrayer les inconnues »

Se retournant d'un bond son cœur saute de bonheur en voyant Cassia qui souriante lui tends ses joues, au même moment reçoit un message de Klaus se moquant de lui, qu’il a vu au loin, s'excusant mais qu'il est presser parce qu'il a perdu trop de temps à danser avec une hôtesse de l'air, soupirant montre le message à Cassia et ensemble part retrouver leur famille, qui entendant leur parent se chamailler, avec la mère de Cassia qui a la plus grande surprise de Nathanaël mère et fille ne se ressemble pas énormément, il voit très bien le lien familial or la mère plus grande et élancer, elle baigne dans une apparences mystérieuse et ténébreuse, avec un soupçon d'arrogance qui clairement ne laisse pas indifférent, les rejoignant n'en pouvant plus de cette dispute et curieux de ce qu'il se passe les jumelles jouant sur leur portable, ignore les cris commençant à perturber les autres clients, frappant sur la tables fait sursauté tout le monde.

« Je ne sais pas à quoi vous jouer, mais calmez-vous, vous déranger tout le monde, c'est quoi l'histoire ? Vous pouvez discuter normalement ? »

« Je t'explique mon cher fils, je te présente Giulia la mère de Cassia, amie de longue date et premier amour de ton père, peut-être que toi tu pourras mettre du plomb dans la tête de ton père, on ne va pas rentrer dans les détails mais ton père était en couple pendant cinq ans avec la mère de Cassia, et ils ont eu l'intelligente idée de me le révéler qu’après notre mariage et puis... »

« Attend ! Ne va pas m'inventer des vies ! Oui j'ai été dans une relation physique avec ta sœur, mais c’était avant toi ! Je ne te connaissais pas ! Comment j’étais censés savoir que t’avais une sœur jumelle ?! Déjà quand on s'est mis en couple avec Giulia je ne te connaissais même pas, ça remonte au lycée ! Je tiens à te rappeler qu'on s'est mis en couple on avait la vingtaine ans, puis tu ne peux pas nous en vouloir pour quelque chose qui s’est passé bien avons notre rencontre, c'est ridicule ! Désolé d'avoir eu une vie avant toi, tu t'attendais à quoi ?! Que je t’attendais ?! T'as cru que je me suis dit faut que je me préserve pour ma future femme ! »

« Maman désolé de te dire ça mais il a raison, oui ils ont été ensemble et alors ? C’est vrai que sur le coup je ne m’attendais pas à ça, mais ce n’est pas comme s’il était sorti avec toi et elle en même temps, donc relax c’est pour ça que notre deuxième prénom c’est Giulia »

« Tes filles ont raison vous aller pas continuer à ressasser le passé, oui ton père est mon premier amour une histoire qui a eu lieu y a plus de vingt ans, oui j'ai été en couple avec ton mari quand on était jeune, on s’est énormément aimé puis on s'est quitté, les relations amoureuses c'est comme un roman les chapitres se suivent, mais ne ressemblent pas ce qui me fait penser à vous dire, surtout toi Anna que vous aviez raison sur toute la ligne sur Ricardo, en plus de me tromper il en avait deux autre.... Même si ça fait déjà quatre ans, j’ai toujours autant envie de l’anéantir, le pire ce n’est qu’aucune de nous n’étais au courant, vous me connaissez je lui en ai fait payer les conséquences, du moins on lui a fait, le pire ou plutôt l’ironie du sort c’est que je suis devenue proches des autres mères »

« Ne m’en parle pas… Même si ce qu’il a fait est impardonnable, il reste mon père, ma relation ne seras plus jamais la même, mais il a quand même toujours été là pour moi, l’avantage ça me fait deux frères et deux sœurs comme je l'ai toujours rêvé, en plus on s'entend super bien, on discute tous le temps, sinon vous allez où ? Nous à Cuba »

« Belle coïncidence pareil ! »

Discutant et découvrant ses deux familles se rapproche, font plus ample connaissance.

Arrivé au village vacance, le premier jour s’installant chacun confortablement dans leur chambre au sein de leur bungalow, passe deux ou trois jours, a visité l’endroit, profiter du panorama ensemble à discuter, les parents d’un côté et/ou avec leur enfant, se baladant.

Un matin allant rejoindre ses sœurs et Cassandra pour un petit-déjeuner, buffet à volonté, dans un des restaurants du village vacance, déjà assise à mangés, se faisant dragués par d’autres jeunes de leur âge ou plus vieux, s’approchant simplement, n’ayant encore rien dit, se sentant intimidé et effrayé voulant défendre leur honneur et paraitre masculin, le prenant par le cou, faisant tous une tête de moins que lui, les regardant avec un grand sourire, commençant à l’insulté soupirant.

« Ta gueule ! Commence pas, j’ai faim et suis pas de bonne humeur le ventre vide, d’ailleurs pourquoi tu m’agresse ? Dégagez avant que je m’énerve ! »

Un d’eux le frappant au torse, se brise la main sur lui, soupirant d’un simple regard furieux, le rendant encore plus effrayant que d’ordinaire, le suivant pour éviter de trop déranger les gens, revient quelque minute plus tard, avec un plateau dans chaque main remplie de pâtisseries et des chocolats chauds.

« Tu vas manger tout ça ?! Tu manges autant que t’es sœurs ! »

« Ça dépends des jours en réalité, l’expression avoir un appétit d’ogre, n’existe pas pour rien, mais la plupart sont des clichés, on mange pas autant pour calmer des pulsions meurtrières, c’est juste qu’on a besoin de beaucoup plus, du coup on mange plus, c’est pour ça que le budget nourritures chez les ogres, orcs, dragons et certain animathropes est élevés, ce qui explique aussi pourquoi savoir cuisinés est extrêment important pour un ogre ou un orcs, ont aiment manger et bien mangé »

« Si je vous invite dans un restaurant à volonté ont peut dire que vous êtes rentables »

Cassandra après avoir fini son plateau et s’être servi quelques friandises, rassasié fini digérant ahuri et heureuse comme une grand-mère les observent mangés avec joie, se dirigeant par la suite dans une promenade digestive, avant d’aller fait quelque activité aquatique, en commençant par du Jet-Ski, Galileo le père de Nathanaël conduisant, eux sur une banane en mousse géante, portant des gilets de sauvetage géant, s’amuse à les faire voltiger dans tous les sens, son gilet se décrochant tombant à l’eau, ne sachant pas nagé et d’un traumatisme, Cassandra, se revoit enfant entraîné dans les fonds marins par une créature flou, pleurant, criant, panique.

Sans hésiter, son cœur ne voulant pas accepter de la perdre, se jetant à l’eau, respirant sous l’eau la récupère et l’emmène sur la plage, la sauvant d’un bouche à bouche, pleurant la voyant sauf et inquiet l’ausculte, heureuse l’enlace, sentant son cœur s’affoler mais non pour ses mêmes raisons.

« Pourquoi tu l’as pas dit ?! Y a pas de honte à ne pas savoir ! Je peux t’apprendre à nager et je sais respirer sous l’eau donc y aucun problème »

« Demain je viens de me noyer, j’ai assez d’émotion »

Certain à Cuba à surfer d'autre sont partie se ressourcer avec leur origines et familles, comme Karma, Lara, Klaus et Neven d'autre rester au domicile dans leur pays d'origine comme Icarus et tous dans tous les cas vivant des vacances des plus normal, sauf peut-être pour un individu.

Quant à lui baillant se baladant sur une avenue dans une ville très similaires à New-York, les même longue et large avenue remplie de magasins en tous genre, un homme caucasien grand, très construit et très musclé, aux corps entraînées pour le combat bien perçu malgré le fait qu'il porte des vêtements amples et confortable, tous passant à côté de lui le dévisage dans cette ville aux diversités, aux extravagances innombrables où toutes tenues et apparences est acceptés, discutant en anglais au téléphone, soupir et raccroche en pliant un de ses vieux portable jetable à clapet, tournant dans une ruelle quitte automatiquement cette univers jovial remplie de vie, passant d'un côté insalubre, lugubre, toquant trois fois à des intervalles différentes à une vieille porte rouiller qui a passer son temps, ouvrant la porte un cuisinier déjà d'un certain âge voit un homme à l'air dépité ou plutôt désabusé, comme si dans sa vie il avait déjà tous vue, lui montrant ses majeurs, des doigts en acier si réaliste qu'on pourrait les confondre avec des vraies, sortant un smartphone prend en photo le côté droit de son doigt ou plus précisément une tête de lion à corne de gazelle, soupirant rentre et observant cette cuisine d'un restaurants haute gamme, très bien entretenue remplie d'employés surchargés de travail et d'ustensile pouvant hypothétiquement servir d'arme, prend un couteau le plus gros et large, soit un hachoir, regardant son reflet voit des yeux bleu à nuance de gris attristé sans option.

« Je te l'empreinte » lui assure-t-il en russe

Le saluant prenant un couloir à droite de la cuisine au croisement avec la salle du restaurants, sur une porte tape un code et descend à la cave, une cave à vin, d'un grande respiration respire une forte mais agréable et nostalgique odeur d'alcool cette odeur aigre, qui lui rappelle tant de souvenir disposé en deux partie la partie des mur en pierre apparente de toutes les couleur, donnant une harmonie paisible remplie d'étagère toute incliné ou sont disposé des vins de toutes les origines et saveur, avec au centre de cette cave un salon de la renaissance aux meubles anciens mais chic et dédaigneux, ainsi que confortable dans un ton rouge bordeaux, traversant se salon devant une grosse porte métallique épaisse avec une meurtrière, soupirant, toquant d'un coup la meurtrière s'ouvre puis se referme et la porte à son tour d'un grincement hideux, à en devenir machiavélique grinçant, rentrant avec un sentiment de colère grandissant, regardants un homme en caleçon banal et ordinaire, synonyme même de normalité dans toute sa splendeur, ligoté à une chaise fébrile, le visage défiguré en sang, tailladé et le corps recouverts de blessure, soupirant pointant un de ses trois sbire dans la pièce, celui à sa droite.

Le pointant du doigt, du majeur qui brillent d'une lueur violette souriant d'un claquement de doigt, ce sbire ou cet homme de grande corpulence et musclé, d’un simple mouvement fini au sol et d'un craquement comme si des os se cassait une boule d'énergie blanche translucide ensanglanté, traverse la pièce et se loge dans se prisonnier qui instantanément voit toutes ses blessures se guérir.

« Je vous l'ai déjà dit, je déteste les bruits de grincement, je hais ça ! » crie-t-il

D'un simple geste un se transforme en chaise et l'autre en trépieds, s'asseyant confortablement, soupirant regarde son prisonnier, qui malgré ses blessures guérit à l'air encore de souffrir.

« Malheureusement pour toi, ma bosse veut une réponse dans dix minutes et si ça se passe mal pour moi, je peux t'assurer que tu ne reverras plus jamais la lumière, non ! Je ne suis pas un monstre ! Suis un démon te torturer jusqu'à ton dernier souffle seras bien plus divertissant voyons, tu nous rends ce petit service et on te récompensera, réfléchit tu pourrais enfin avoir une vie de luxure, et enfin pouvoir payer l'opération à ta fille, tu ne veux pas que ta fille vive ? »

« Comment tu sais ça ? »

« Ah putain ! Encore un con ! Ta jamais vue de film sur la mafia ? A ton avis abruti ! Mais je te comprends tu es déboussolé mes larbins ton maltraité et j'en suis désolé pour me faire pardonner... Non tu sais quoi les actions parlent mieux »

Sortant un portable de sa poche, envoyant des messages quelque minute plus tard une femme portant une cagoule rouge en cuir à corne sans rien dessus et uniquement un sourire en noir, apporte une mallette, se levant au seuil de la porte.

« Ma chérie je te laisse finir et au passage tue les ils ne portaient pas leur masque »

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