Chapitre 2

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Tous deux avec rage essayant de le frapper, or malgré sa taille démentielle esquive et contre-attaque avec une vitesse fulgurante, d'un coup de queue Nathanaël se fait projeter contre la vitre la brisant sous le choc, se relevant fonçant sur lui ou plutôt sur eux une participante à le temps de les protégés derrière une barrière, le laissant devant le requin qui charge.

« Rentre ! » crie-t-elle

« Pas la peine, je vais lui apprendre à m'énerver »

Souriant crée une centaine de lui qui nage le frapper et l'envoie s'écraser contre le mur, l'aidant l'homme noir le copiant se jetant sur lui l’enchaîne de coup de poing, l’assomme puis nageant à toutes vitesses passe un tunnel se retrouvant au sec avec ses vêtements dans un salon, le salon de luxe invité par des employés s'installe sur un canapé avec d'autre participant déjà présent, les saluant aussitôt s'approche d'eux pour discuter sursautant, se recule et s’assoie dans un coin grignotant une barre de céréale, ce sentant coupable une jeune femme et son ami tremblotant, s'approche timidement ainsi voulant remercier leur initiative s'approche, tombant à genoux se mettent à pleurer en brandissant une roseraie contre lui.

« Pathétique ! Si vous n’arrivez même pas à me regarder sans pleurer, ce seras quoi quand vous devrez affronter des problèmes ! Tu veux faire quoi avec t’as croix ? Me rendre religieux ? Je suis un ogre pas un vampire, et puis même ça fonctionne pas »

Sortant du sol, un homme s'interpose et prenant Nathanaël par le col le menace de le frapper, le jeune homme noir de tout à l'heure intervenant arrête le coup, d'un simple regard il le fait trébucher.

« Nathanaël on m'envoie te prévenir que tu t'es trompée de chambre, au passage... »

Le remerciant, l'observe et d'un cri le reconnaît d’une tape amicale s'enlace, heureux de voir un compatriote qui a souffert autant que lui, le suivant débat avec lui sur ses exploits, rejoignant les autres participants qui ont réussi l'épreuve les voyant crier de joie, gesticuler dans tous les sens quittant tous la pièce en courant se retrouvant seul et dans une incompréhension totale se regarde bêtement, rattrapant des participants soit s'évanouissent en sursaut, soit se font insulter.

« Yo ! Je ne vois pas en quoi vous êtes effrayant, tant de rumeur et de bruit pour vous, tout ce que je vois, c'est deux beaux hommes... »

Ahurie par le fait que cette jeune femme, ne fuit pas comme tous les autres, heureux d'une vague d'émotion l'enlace, puis la lâchant d'un flash des centaines de souvenirs remontant les vois se faire persécuter, fuir où chaque jour, ils étaient poursuivis par leurs camarades, frapper à coup de battes et quand ils répliquaient se faisaient punir.

« Vous avez souffert tant que ça ! Je suis désolé, c'est une honte comment osé juger quelqu'un pour son apparence, certes vous avez une apparence sombre mais faut pas abuser vous n'êtes pas si effrayant, au passage moi c'est Cassandra Damascena, mais tout le monde m’appelle Cassia je vous fais un topo en gros demain il restera une épreuve à faire, dont une maintenant qui est éliminatoires un parcours extrême »

« Donc si on réussit l'épreuve on est sûr d'être pris, si je devine bien l'épreuve de demain décideras aussi des classes, chambre etc.… » raisonne Neven

« Bingo, nana je sens que ta des questions, j'y répondrais mais faut qu'on y aille »

Courant dehors, retourne au cœur du stade modifié en un énorme parcours acrobatique, digne d'un héros sans limite, composé d'un parcours du combattant tous au-dessus de l'eau, dans tous les sens à l'horizontale, vertical et diagonal devant parcourir toutes sorte d'obstacle sans toucher le sol, les regardants tous échoués, s’avançant curieux personne n'osant s'avancer un groupe de six personne dont Klaus monte sur l'estrade, le voyant tous porter un ou plusieurs handicaps certain ont un bras attaché le long du corps, les jambes nouées, des poids[...] dont Klaus.

« Pourquoi il son chargé comme ceci ? » demande-t-il

« Pour ceux qu’ils le veulent ils peuvent faire le parcours avec un handicap et selon la distance qu'ils ont fait ils peuvent s'assurer une place ou non, tu peux trouver les handicaps au stand derrière »

D'une idée pouvant l'aider pour son avenir, regardant autour de lui trouve un guichet ou une dame, une adulte banal d'une vingtaine d'année avachie sur un fauteuil écoutant de la musique à fond, jouant sur son portable, tout en mastiquant de la patte à mâcher goût fraise bruyamment, sursautant en voyant Neven et Nathanaël essoufflé en voyant leur visage son imagination rocambolesque prend le dessus, cours hors du guichet et s'agenouillant en pleurant le supplie de l'épargner, soupirant comme habitué à ce genre de réaction, continuant leur chemin son arrêter pas un bras qui s'allonge et les entoures pour les tirés vers lui.

« Meuf ai un peu de dignité pour toi, c'est vrai ils sont effrayants je te le concède mais c'est des bon gars, natanales...natna...bon déso mais ton blaze est super cool mais chiant à prononcer, comme on est pote, à partir d’aujourd’hui je vais t’appeler Nate, bref c'est des participant tous comme moi et ils veulent juste récupérer du matos au passage moi c’est Icarus au passage... »

Le regardant attentivement, comme une impression de déjà vu l'observe et voit un jeune homme caucasien de leur âge, de stature fine et élancer faisant environ une tête de plus qu'eux deux, vêtu de survêtement sportif, ayant des cheveux blanc courts sur les côtés et derrière, dont une épaisse chevelures ondulé sur le sommet, pouvant le décrire comme le cliché de hippie ou baba-cool, mais non le cliché frustrant qui frustre les gens leur donnant envie de le gifler sans raison, mais un jeune homme au visage synonyme de paix intérieur, un visage à la symétrie presque parfaite combiné à sa chevelure blanche neige, accentuant son charme de l'âme philosophe libre et paisible, un visage aux traits fin mais sec au style mannequin américain, les poignets remplies de bracelets en tous genres, le coups d'un collier en argent avec en pendentif une balle en or avec gravé S.S et gravé sur le côté plat le chiffre trois et deux boucle d'oreille un trèfle à quatre feuille en diamant et un smiley souriant en métal, d'un déclic revoie ce jeune homme qui les salut avant de leur montrer une figure acrobatique en roller, dans un parc spécialisé pour puis ce revoie quelque jours plus tard dans deux compétitions différentes.

« Icarus ! Je savais que ta tête me disait quelque chose ! Encore désolé j'aurais, je voulais prendre ton numéro mais j'ai eu un problème à régler, d'ailleurs comment ta réussi à faire le falcon grace ? Je me marave à chaque fois ! »

« Je te révèle le secret si tu m'explique comment durant la course ta réussi à faire le virage de l'enfer, comment ta réussi ce truc ?! Littéralement tout le monde a fini dans le décor, le virage est tellement chiant à prendre qu’ils faits partie du top 10 des pires virages de course »

« Excellente question ! Si y a avais pas eu ce virage de merde ! J'aurais gagné ! » s’énerve Neven

« Le talent tu l'as ou tu ne l’as pas, mais en réalité c'est simple, tout est question de timing et angle faut prend le virage bien au centre, et le corps faut qu’ils soient au ras du sol, sans toucher le sol »

Ennemie d'un jour devienne amie d'une vie, discutant en continuant leur chemin l'observant au loin comme une mère fier de son fils, Lara cherche s'est autre ami voit Karma assis en tailleur jouant sur son ordinateur portable très puissant spécialisé pour les jeux-vidéos et modifié par ses soins, lui laissant sa forme musclé et futuriste dans les couleurs de l'univers avec écrit en écriture gothique Azran tapant à une vitesse inconnue grâce à des caméras obtient un plan qu'elle modifie en une version 3D lui donnant un schéma exact de l'arène avec un algorithme qui calcule le meilleur plan d'attaques, contente et satisfaite de sa découverte d'un sourire fatidique se relevant regarde le public arrangeant sa belle et longue chevelure, se mordant la lèvre inférieure, réveillant des pulsions ou hormones chez les hommes, s'approchant comme des loups remplie d'idées, se posant sur son épaule un corbeau aux yeux rouges sang croassant tirant un laser au niveau de leur pieds, de son bec leur volant dessus essaye de les frappes de coups de bec

« Don ! Ce n’est pas le moment de jouer avec des abrutis ! Analyse-moi les mouvements de Klaus »

« Mais qu'est-ce tu stress ! T'es bien plus intelligente que tous ses primates »

D'un grognement comme des enfants immatures, la chargeant soupirant soudainement tremblant de douleur, saignant glisse et s'évanouissent.

« Ce que tu viens de dire est très offensant, même si c'est vrai on a tous nos qualités et défauts, bref les gars je suis occupé donc on discutera plus tard et je m’excuse de son comportement, il a tendance à être arrogant et vulgaire, mais il n’a pas mauvais fond »

Pendant que Lara s'étire, sur cet immense parcours acrobatique recouvert d'une camisole de force lui laissant un seul bras de libre, coinçant et restreignant tous son corps dans une apesanteur étouffante, d'un bras attrape une barre horizontal et regardants les autres participant angoissé d'un cri gravi chaque échelon jusqu'à atteindre une rangé d'anneau, d'une insulte se retournant un laser cogne sa main, au moment de l'impact son corps absorbe les laser et d'un clin d’œil renvoie le laser en pleine tête, de manière à qui soit assez fort pour le paralyser mais pas assez pour le tuer.

« Crétin ! C'est bien beau de foncer tête baisser mais si le mur en face de toi est invulnérable, ton geste n’est pas seulement débile mais aussi inutile » assure-t-il en continuant sa route ne reste plus que lui et un autre participant.

Focalisé sur l'arrivé, ignorant les cris d'encouragement, de rage et de jalousie l'adversaire de Klaus lui les yeux bandés et les mains noués dans le dos, à tout ça comme si sa suffisait pas des boulets traînes à ses pieds et malgré tout ça baillant avance comme un bouc sur vitaminés, dans son élément naturel rebondissant passant les obstacles avec une aisance qui frustre le public, notamment Klaus qui haletant atteint une plateforme toujours plus épuisé, devant une épreuve ou ils doivent rebondir contre des fragiles plateforme en diagonale pour attraper un anneau qu'ils, alors que son adversaire sifflotant est déjà arrivé, le bras épuisé, tremblotant, en sueur, regardants derrière lui apercevant des anneaux sur lequel il a du se projeter de l'un à l'autre, une barre qu'il a du faire glisser pour attraper une corde pour grimper et atteindre une tyrolienne.

D'un côté, il entend les cris d'encouragement, tout le monde le soutient or affaler au sol sur le dos, bien trop épuisé pour bouger, murmurant quelque chose d'un coup se relève, du moins essaye avant de tomber titubant se laisse tomber sur la face, pour le soutenir Lara ayant les mêmes handicaps le rattrape et lui murmurant ce qu'il ne fallait pas, réveille en lui une force mystérieuse et sur un bras rebondit sur les plateformes et rigolant son corps lui fait comprendre une chose, trébuchant tombant à l'eau dans ca chute Icarus regarde sa victoire couler.

Se réveillant trois heures plus tard, dans les vestiaires pour hommes soupirant n'osant pas se relever face à sa défaite, se sentant honteux conte les carreaux aux plafonds.

« Tous le monde est parti nana ? J'ai échoué ?! »

« Toi aussi quelle idée de te donner un tel handicap pareil, si les militaires n'y arrivent pas tu crois que nous on va réussir ? Les autres sont partis ils avaient des trucs à faire »

Ainsi rentrant chez eux, attendant les résultats bien trop anxieux pour rester sans rien faire, n'arrivant pas à se distraire, criant quelque chose courant dans le salon où ses parents, en regardants ses parents on sait automatiquement de qui il tient cette apparences effrayante, non laide au contraire mais difficile à regarder, une apparences sombre, ténébreuse de son père un militaires grand et musclé grâce à son débardeur on peut voir que sa carrière n'as pas été toujours facile, à très peu de cicatrices mais celle présente le rendent effrayant et dur à regarder, trois énorme cicatrices sur tout le visages en diagonal de la droite à la gauche descendant au cou jusqu’à l’épaule, ayant l’oreille droite, l’avant-bras gauche, les tibias et la main droite en acier à donner à son fils son côté sombre et sa mère son côté sauvage, leur expliquant qu'il a besoin de ce changer les idées comme à son ordinaire après une liste de sermon, finissent par accepter courant hors de sa maison prenant ses roller et un casque Bluetooth en chemin soupir en sur le porche de sa maison.

Regardants ce jardin dont sa mère s'épuise à s’entretenir divisé en deux par un chemin pavé en damier, connectant son gros casque à forme futuriste, dans sa musique se met à courir sur le trottoir esquivant les passant avec une aisance dépassant le naturel, on voit qu'il a des années d'expériences et d'acharnement, roulant pendant une dizaine de minutes, esquivant une poussette en sautant et tournant sur lui-même, retombe avec grâce sur une rambarde se laissant glisser jusqu'à qu'il saute d'un salto avant pour rejoindre la suivante, esquivant ainsi des escaliers recevant un message tourne la tête à gauche et voit Lara sur un vélo qui tourne sur lui-même assis en tailleur le saluant.

« On se revoit en bas » nargue-t-elle

Rigolant oubliant les raisons de son angoisse, descendant à toute vitesse pouvant percuter Klaus qui lui aussi en roller bien trop concentré sur son portable gloussant en regardant son portable, soupirant d'un salto latéral atterrit au sol sur une jambe dérapant pour s'arrête à côté de Klaus, dérapant devant eux sur son BMX Karma d'un doigt les saluts.

« Le dernier arrive à la base, paye les pizzas »

D'un sourire Klaus range son portable et tous ensemble observant se parc banal en cercle avec un soûle pleureur géant au centre, sur un terrain sable avec un buisson entourant l'arbre et d'autre entourant le cercle derrière des bancs.

« Encore avec une de vos course » ricane une adulte lambda d'une quarantaine d’année à l'air toujours souriant, donnant une image d'un professeur cultivé et simple

« Richard ! Je croyais que t'étais parti enseigner à Londres ? »

« Je pars dans quelques jours, comme je ne peux pas dire adieu à tout le monde, je salue les personnes qui m'ont le plus marquer, en rentrant chez moi je comptais appeler vos parents mais tant que je vous tiens, je tenais à vous remercier pour toutes ses années, on a vécu plein de choses j'ai eu la chance de vous en apprendre... »

« C'est à nous de te remercier, sans toi ont aurait mal tourné... »

« T'exagère ! Mais c’est vrai que notre vie n’aurait pas été la même » acclame-t-il

« Ah bon ? Toi nana t'as envoyé à l’hôpital tous un gang de motards parce qu'ils ont renversés les glaces de tes sœurs, je sais que t’aime tes sœurs mais c’est exagéré, toi Tech tu faisais voler toutes les personnes qui s'approchait de toi »

« Ils n’avaient pas qu'à chercher la merde ! Mais j’admets j'ai abusé » répondent-ils

Après une bonne discussion de dix minutes, saluant leur ancien professeur comme signe d'adieu pour une dernière fois le laisse se mettre en position et d'un coup de sifflet les regardent partir émue, leur souhaitant bonne chance.

A toute vitesse, Karma et Lara prennent de l'avance se tapant le poing en guise d'amitié et d'accord, tournant vers un banc saute et glisse dessus pour contourner et dépasser les filles, rigolant s'attendent aux mêmes résultats venant des filles d'un clin d’œil sur leur vélo tout terrain rebondissant contre le banc pour d'un salto avant finir devant, applaudissant les garçons accélérant se tenant la main le tirant Nathanaël soulève Klaus dans les airs, pour qu'il retombe sur ses épaules et d'un saut tournoyer se jetant vers l'avant Klaus tire Nathanaël avec lui et dérapant en parfaite synchronisation prennent un virage extrêmement bas, au ras du sol, se relevant repartent plus vite, glissant sur le plat des escaliers, positionnant leur pieds en diagonal dans le même sens de manière à glisser plus facilement et rapidement, atteignant une vitesse qui rend le décor indescriptible, à côté les filles sur leur vélo glissant et sautant de rampe en rampe finissent tous la course en bas de l'escalier, essoufflé en même temps se retrouvant au cœur d'une zone industrielle remplie d'usine en tous genre, avec quelques restaurants, pharmacie et divers se reposant sur un banc, Nathanaël et Klaus reçoivent des messages sous la colère le premier broie son portable dans sa main et le deuxième le réduit en fumé, puis criant de rage ayant pour avoir détruit leur portable, d’un soupir Karma sort de son sac à dos, deux smartphone qu’elle a elle-même construit, jusqu'à la dernière respiration se levant d'un air macabre, les filles les retiennent.

« J’avais prévu de les mettre dans la base au cas où, mais ils seront plus utiles avec vous, sinon ne me dites pas que c'est encore les jumeaux ! » crie Karma

« J’ai l'habitude de leur connerie, coup bas et manigance mais là c'est trop, faut que je leur donne une leçon, Klaus... »

« Avec plaisir, qu’ils s’en prennent à moi c'est une chose mais qu’ils s’en prennent à des innocents s'en est une autre, cette fois-ci c'est trop, ils veulent du sang je vais leur en donner »

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