Nous voici dans les locaux du gang. Nous traversons des salles propres. Ce n'est pas un labo. Nous arrivons finalement au niveau d'une porte assez épaisse. Une fois que le dealer l'a ouverte, il nous laisse passer devant et ferme derrière nous, nous laissant avec le chef de cette zone. Il commence par parler:

-Si j'ai bien compris, vous voulez nous rejoindre c'est ça?

-En effet, on ne veut plus avoir à faire à ces soit-disant empereur, quel que soit leur univers d'appartenance.

-Seriez-vous prêt à comettre des actes horribles?

-Une vie gagnera en valeur si sa mort permet au monde de se rapprocher de la liberté.

-Ça c'était la théorie, maintenant la pratique...

Il claque des doigts et la porte s'ouvre. Le dealer qui nous a amené ici est en train de poussé deux personnes. On dirait un couple au vu de regard qu'il se jette entre eux. Ils connaissent leur sort, mais on dirait que cela fait depuis bien longtemps qu'ils ont abandonné. Ils se regardent puis nous regardent puis se reregardent entre eux. Le dealer les agenouille puis le chef dit:

-Ce sont des conspirationistes. Ils ont voulu nous dupé, tuez les.

-Mais nous n'avons pas d'armes.

-Si. Utilisez vos mains.

Je jette un regard à John. Même s'il s'est longtemps entraîné, c'était pour tuer des criminels dans le but de rendre le monde meilleur. Pour ma part, je n'en ai rien à faire de leur mort. J'ai déjà failli détruire mon propre univers sans aucun remords, alors pourquoi deux personnes changeraient la donne. Je demande alors:

-J'ai le droit de choisir qui je vais tuer?

-Bien évidemment du moment que tu le fais.

-Je prends la femme.

Je sais que John était très attaché à sa mère, je ne vais pas l'obliger à tuer une femme. En passant à côté de John je lui susure:

-Il y a deux criminels qui ont disparus dans cette région récemment.

Il a compris où je voulais en venir. La personne qu'il allait tuer étais coupable d'un certain nombre de crimes. Ceci était bien évidemment faux, mais la situation appelait au mensonge. Il prit une lente inspiration puis s'approcha de l'homme. Pendant ce temps je regardais la femme. Mes mains s'accrochère à son cou. Ses yeux déjà sans vie semblait être heureux. Je ne comprendrais décidemment jamais les mortels. Être attiré par la mort au point de la souhaiter. C'est pour ça qu je ne vois dans ce regard qu'une vaste folie. On ne peut souhaiter sa propre mort. Je sérais plus fort. Les secondes s'écoulèrent. Ses yeux passaient de l'apaisement à la peur sans cesse. Avant de lâcher son dernier soupir, elle sourit. Au vu des marques que son corps revêtit, elle a dû être torturée pendant plusieurs semaines voir mois. Ses ongles étaient d'un noir charboneux, il y avait une bague à son annulaire gauche. Elle était en sous poids et pourtant elle souriait face à la mort. Les mortels ont une si faible volonté?

C'était au tour de John. L'homme, ayant vu sa femmme mourir, eu un rire de folie. Il se tu un instant et regardant John avec des yeux exprimants à la fois une peine et une folie gigantesque il dit d'un ton joyeux:

-C'est mon tour. Aller tue moi.

John se rapprocha de lui, il releva les mains lentement, puis les mis autour du cou. Il sérait fortement, mais l'homme ne mouru pas par asphyxsie. Un craquement retentit puis le corps de l'homme sans vie tomba. John avait brisé la colonne vertébrale de cette personne. Le chef avec un sourire béant dis:

-Toi je t'aime bien. Tu t'appelles comment?

John se releva et dit:

-Je m'appelle Joseph Walden.

C'était son faux nom. Puis le chef se retourna vers moi et dit:

-Et toi, le mec sans originalité?

-Micheal knowles

-À partie de maintenant vous faîtes partie de mon groupe. Bienvenue. Pour l'instant, vous êtes ce qu'on pourrait nommer des recrues, alors suiver bien les instructions, car aucun écard ne sera toléré.

Il dit cela en pointant les cadavres.