Chapitre 2

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Il me ramena dans la rue d'où nous sommes partis et disparu à travers un portail qui s'ouvrait sur la ville que je devais trouvé. Avant de fermer le portail, il dit:

- Je vais accélérer le temps de ton univers, comme ça je n'aurais pas trop à attendre. Donc ne t'inquiètes pas si tu mets trop longtemps.

En continuant le chemin pour aller à l'université, je me suis dis que, au vu de mes notes, je pourrais bien demander une légère faveur de la part de l'État.

Une fois à l'école, je suis allé dans le bureau du principale. Je n'avais pas besoin de rendez-vous, après tout, tout le monde me connaissait là-bas. En entrant, avant même que je ne lui dises bonjour, il dit:

- J'accepte.

Je me doutais qu'il savait pourquoi je venais. Je lui en avait déjà parler quelque fois et jamais je n'était venu avant un cours. Il a donc tout de suite deviné pourquoi j'étais là.

-Quand vais-je les passer?

-Demain. Ça te va?

-Bien sur. À demain.

-À demain.

Le lendemain, j'allais donc dans la salle du directeur passer le test afin d'obtenir un master de physique quantique, chimie, biologie, biochimie, mathématiques, physique des atomes et astrophysique. Cela aura prit 2 semaines et comme à mon habitudes j'ai fait un sans faute. Je me retrouvait avec 7 masters à l'âge de 20 ans. Le directeur, après la remise de diplômes, me demanda si j'avais besoin d'une recommendation auprès d'un centre spécifique. J'ai répondu que j'avais besoin d'une recommendation auprès de Midas, de son vrai nom David Davis, l'homme le plus riche du monde. Même si j'étais dans une haute université, le directeur n'avait qu'un contact qui connaissait quelqu'un qui connaissait Midas. Au vu de mon parcours, il a préféré essayer avant de dire que c'était impossible, contre toute attente Midas me contacta le soir même. En répondant au téléphone je n'y avais pas cru, mais, peu à peu, j'ai compris que c'était vraiment lui. On a commencé à parler chiffres. Il m'a dit:

- Écoute. J'aime la science et souhaite la faire progrésser. Tu aurais besoin de combien d'argent et de combien de temps.

- Tout le temps possible et pour l'argent que diriez vous de 2 milliards de dollars.

Je tiens à préciser que ce que me fournissait l'État à l'époque était juste assez pour vivre. Contre toute attente il a répondu:

- Pas plus?

Je savais que cet homme était d'une grande générosité et qu'il possédait plus de 500 milliards, mais de là à dire ça... Je lui ai donc répondu ironiquement:

- Dans ce cas, pourquoi pas 100 milliards...

-ok

J'ai cru à une réponse sarcastique, mais je me suis retrouvé avec la 3ème plus grosse fortune du monde. En rappelant, pour comprendre pourquoi, il a justifié cette action ainsi:

- J'ai un préssentiment. Il faut que je te donne le plus possible.

Il continua avec ça:

- Au passage j'ai un laboratoire ultra moderne ça te dirait de venir.

J'étais déconcerté, comment un simple préssentiment pouvait pousser quelqu'un a donné un cinquième de sa fortune et l'un des lieu dont la quasi totalité des scientifiques rêves de pouvoir diriger à un seul homme. Puis, je me suis souvenu que tout ça avait commencé parce qu'un gars voulait jouer à chat avec moi...

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