devrions nous uniquement paraitre? par-être? Ce n'est pas être, alors il nous faut oublier de vivre et plutôt juste se soucier que les autres pensent que nous vivions." L'enfer, c'est les autres" je ne crée rien de nouveau. Mais une fois ce constat fait, que fait-on? une fois la parole proferée, il faut agir. Deux choix sont alors possibles. Deux possiblités s'offrent à nous mes chers amis.

Le premier, polir cette belle partie de l'iceberg que nous voyons à l'air libre, la rendre belle et fière, faire en sorte qu'elle soit une proue, un phare dans l'obscurité qui guiderait une génération vers un modèle de réussite et d'épanouissement. Dans ce cas, la réussite ou la mort. En effet, une obsession pour son image ne peut être l'histoire d'une semaine, d'une journée, mais bien l'affaire d'une vie entière. Dans ce cas, qu'avons nous à gagner? Une vie tranquille, sans histoires sans doutes ( si on a bien fait son boulot). Mais est-ce satisfaisant pour autant? Une vie à courir après l'affection et le respect. On risque d'y laisser beaucoup... La réelle affection, le bonheur, la satisfaction au profit de la notoriété et la réussite.

le second choix, quant à lui, est beaucoup plus difficile à porter. En réalité, c'est un veritable chemin de croix. Reussir à savoir se trouver, savoir être ce que l'on veut et réussir à garder cette ligne, ce fil, au profit des autres. Renoncer à la notoriété, à la bienséance, mais être soi, être peu entouré, voire pas. Mais, quand celà arrive, bénéficier d'une aide qui ne faillit pas. Bien-sûr, on vous dira, on dira nous même, que, c'est ce chemin que nous suivons, que nous essayons de suivre. Mais, souvent, nous reversons plus facilement dans le premier à dire vrai. Alors ici quel sera notre bilan? Bien trop aléatoire pour savoir. Ce qui est sûr c'est qu'il sera extreme. D'admiré de tous à rejeté de la société, la loterie la plus grande et injuste de l'histoire.

à nous de choisir, et, de renoncer.