... pour New York
Dès qu’elle fut pa’tie, je fe’mais la po’te à clé et cou’ais au lavabo pour me nettoyer le visage.
J’eus beau f’otter, f’otter et encore f’otter, ce satané ci’age ne pa’tait pas. Je estais toujou’s aussi noi’.
Mon Dieu, que m’a’’ivait-il ?
Pas d’affolement.
Epassons le film à l’enve’s.
J’a’’ive à NY, ville que je découv’ais pou’ la p’emiè fois. Plus p’écisément à Ha’lem. On m’avait p’évenu : Si tu tiens à ta peau, il ne faut pas que les gens de Ha’lem découv’ent que tu es blanc.
Je me passe donc le visage au ci’age noi’ et je pa’s bosser. Je suis ep’ésentant.
Je devais ester deux jou’s.
A mon hôtel, je demande à la éception de me éveiller à 8 heu’. Je vais voi’ mon client et cou’s à l’aé’opo’t pou’ ent’er à Pa’is. NY, c’est infe’nal. On ne peut pas y ester t’ès longtemps.
A l’aé’opo’t, je demande où se t’ouvent les toilettes pou’ me nettoyer le visage. Le ci’age su’ le figu’e c’est pénible.
Et là, je f’otte, je f’otte et ien à fai’, toujou’s aussi noi’. C’est te’’ible quand même !
J’y suis : La éceptioniste de l’hôtel a éveillé un aut’e client à ma place. Elle va avoi’ affai’ à moi !
Je me disais aussi : j’ai un d’ôle d’accent aujou’d’hui.
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