Cet homme aux charmes irrésistible n'est pas mon copain!

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Je suis avec Matt, mon copain, assise sur un banc, nous attendons le train pour rentrer chacun chez lui. Un homme, plutôt grand, la vingtaine s'assoit près de moi, il est magnifique, très beau, il provoque en moi une sensation que je n'ai jamais ressenti auparavant. Ses cheveux châtains sont gracieusement ébouriffés et retombent légèrement sur ses yeux verts émeraude. Il est tellement sexy, charmeur avec ses dents blanches dignes d'une publicité pour Colgate. Soudainement, je sens qu'il met quelque chose dans la poche de ma veste discrètement, je le regarde avec dans les yeux de l'incompréhension et il me lance un sourire ravageur, puis il se relève est entre dans le train.

[Le lendemain à 16 heures]

Je range mon appartement, fais ma chambre et le salon, et le linge. Je suis sur le point de mettre la veste que j'ai portée hier dans la machine à laver quand un bout de papier en tombe, je le déplie et lis ce qu'il y a griffonné:

"06 41 50 07 35. Diego. Appelle-moi"

Je souris et compose ce numéro sur mon téléphone. Après quelques sonneries, j'entends:

- Oui ? Qui est-ce ? dit-il d'une voix extrêmement sexy et rauque

Je raccroche immédiatement. Mais que suis-je en train de faire? Pourquoi est-ce que j'appelle un inconnu qui m'a donné son numéro ?

La sonnerie de mon téléphone coupe court à mes pensées:

- Oui Allo ? Je lance.

- Allo, pourquoi as-tu raccroché? Qui es-tu ?

- Euh. Je... dis-je en balbutiant....c'est Isabella, la fille du train

- Oh! S’exclame-t-il, j'espérais que tu m'appelles ma Beauté

-Ah oui? Répondis-je joueuse

- Et oui! Répondit-il d'un air amusé. Je t'ai vu, et tu me plais, j'aimerais beaucoup qu'on se voit. Je suis un peu occupé là, il ajoute. On se retrouve cet après-midi au Lounge Del Castro vers 19 heures, précise-t-il en raccrochant, sans me laisser le temps d''ajouter quoique ce soit.


Je suis face à un dilemme, j'ai promis à Matt de l'accompagner acheter des cadeaux pour sa famille que l'on ira visiter demain mais je veux absolument voir Diego, il est si beau, si craquant....

"Oulah, tu t’emballes, me hurle ma conscience, tu as une situation stable avec Matt, pourquoi cherches-tu à rencontrer cet inconnu ?" Je chasse cette pensée d'un revers de main.

Je prends mon téléphone, et écris un message à Matt :

« Coucou, je suis malade, dsl, je peux pas venir faire les magasins avec toi. Xoxo »

En moins d’une minute, il répond :

« Coucou ma Bella, attends je t’appelle »

Oh non. Je suis très mauvaise comédienne.

Mon téléphone sonne, je réponds :

- « Kof Kof », j’imite une toux, Coucou bébé

- Oh non, tu vas vraiment pas bien mon ange « Kof Kof », je fais en l’interrompant, Repose toi bien mon amour

- Oui, ne t’inquiètes pas ça va passer bébé, tu peux aller avec ta sœur pour acheter à tes parents des cadeaux, dis-je en reniflant

- Oui, j’irais avec elle, tu es sûre que tu n’as pas besoin de consulter un médecin ? ajoute-t-il

- Non, un peu de repos, c’est tout, je lui réponds en reniflant

- Comme tu veux Bella, bisou, je t’aime

- Bisou, je réponds avant de raccrocher

Il est déjà 17h30. Je prends un bon bain avec des huiles essentiels, m’épile rapidement et me parfume, avant de m’habiller. Je mets une longue robe noire, avec deux petites fentes sur les hanches, parsemé de dentelles blanches argentées sur la poitrine et sur les manches trois quarts. Je me maquille légèrement avec un trait d’eye liner sur les paupières, une légère couche de rouge à lèvre bleu nuit qui va avec la robe et du blush sur les joues. Et pour couronner le tout, je mets un collier noir et doré et des créoles argentées. Pour finir, je mets des talons compensés noirs et prends une pochette de soirée grise.

A 18h45, je prends ma voiture et me rends en 20 minutes au Lounge.

Il est 19h05 quand j’y rentre, je jette de rapides regards autour de moi quand nos regards se croisent, il se lève et sort d’une loge privée. A quelques centimètres, il s’exclame « Tu es magnifique ce soir ». Je souris et lui lance d’un air coquin « tu n’es pas mal non plus ». Il sourit et me prends délicatement par la main, il m’emmène dans la loge où il était quelques minutes auparavant.

Des lumières de toutes les couleurs pénètrent dans cette petite salle même si les vitres ne sont pas complétement transparentes. Sur la table, est disposée une bouteille avec deux coupes de champagne. Un agent de la sécurité est posté près de la porte et la referme quand nous sommes à l’intérieur. A ce moment-là, Diego me plaque contre un des canapés et m’embrasse langoureusement.

Je n’ai même pas le temps de respirer, qu’il me murmure dans l’oreille « puis-je te débarrasser de ta sublime robe ? ». En me mordant la lèvre, je lui réponds d’un hochement de tête. Il descend la fermeture éclair, et le contact de ses doigts avec ma peau nu me fait frissonner.

J’ai envie de lui, de son corps. Je le déshabille en même temps, je fais valser sur le canapé sa chemise blanche de soie et me concentre sur ses abdominaux parfaitement dessinés. Il enlève son pantalon et descends ma robe. Il sourit lorsqu’il se rend compte que je ne portais rien en-dessous et lance « petite coquine ».

Il m’allonge sur le canapé et me mets à l’aise. Nous sommes tous les deux complétement nus et chauds bouillants. Il commence à m’embrasser sur mes lèvres, et continue sur mon cou, je l’attire contre moi, le contact de nos peaux me remplit d’un étonnant désir, en plus de la magnifique vue qui s’offre à moi : son imposante érection. Je n’hésite pas et le renverse sur le canapé, et je viens me placer entre ses jambes, je les écarte et je saisis sa verge en érection pour la malaxer. Après de délicats vas et viens, je la prends dans ma bouche tandis qu’il se tortille et gémit. Je vois dans ses yeux que le désir augmente, alors je fais de plus en plus vite.

Pourquoi attendre ? Sa verge est pas mal, assez large, je suce son gland et je descends le long de sa protubérance, la léchant avec passion avant de m’attaquer à ses couilles. Je les lèche, tandis qu’il grogne mon prénom, je descends le plus possible pendant que je le branle doucement, ne voulant pas qu’il gicle tout de suite. N’en pouvant plus, il recommence à grogner de satisfaction. J’accélère un peu le mouvement de plus en plus rapidement. Il éjacule dans un jouissement animal et sauvage me faisant mouiller.

Il me porte avant de me déposer sur le dos, sur le canapé. Il m’embrasse le ventre tout en malaxant mes seins. Je gémis et souffle son nom. Il sourit et embrasse mon sexe d’un air amusé, je suis extraordinairement excitée et il en joue. Il entre brusquement un doigt en moi m’arrachant un petit cri de surprise, et sourit lorsqu’il se rend compte à quel point je suis humide à l’intérieur. Il commence à effectuer de petits mouvements en moi rythmés par mes gémissements, il pénètre un second doigt tout en m’embrassant sur les lèvres.

Il me présente sa verge devant mon sexe; il s’introduit en moi et je sens sa queue large pénétrer mon minou, je grimace de plaisir. Je me remets à gémir et j’écarte moi-même mes fesses en me cambrant pour qu’il s’introduise bien profondément. Il est au-dessus de moi et il me besogne ainsi, prenant son pied à me laminer, me fessant de temps en temps pour son plaisir et le mien également.

Il attrape mes cheveux, les tire en arrière délicatement et me pénètre de plus en plus vite ; je sens son membre au fond de moi et en quelques coups bien placés il parvient à me faire jouir. J’ai du mal à me retenir et crie fort son nom. Je finis sur le canapé, extenuée et le sexe en feu.

Diego me retourne alors, se plaque au-dessus de moi et commence à se masturber de plus en plus vite, je comprends son petit jeu et j’ouvre la bouche instinctivement pour sortir ma langue et tout recevoir ; en quelques secondes son sperme jaillit une seconde fois dans la soirée, et je reçois tout, il m’inonde en tapant avec sa queue sur mon visage, je le suce encore un peu toujours exténuée, je sens son goût délicieux et salé.

Nous restons l’un dans les bras de l’autre quelques instants essoufflés, avant qu’il ne dise « c’était foutrement bien », je lui souris n’ayant pas la force de répondre, et il m’embrasse.

Je me réveille dans un lit, habillée de ma robe mais pas dans ma chambre, je sens un poids sur moi et remarque Diego, je le secoue délicatement. Il se réveille et dit :

- Tu t’es endormie au lounge ma tigresse, je suis sûr que je t'ai bien épuisée

- Rouge de honte, je réponds, comment ai-je atterrit ici ?

- Je t’ai habillé, puis portée jusque dans ma voiture et enfin je t’ai reposée sur ce lit pour que tu te reposes, murmure-t-il tout en souriant

- Merci Diego dis-je avant de retourner dans les bras de Morphée

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