Princesse papillonne pour prendre plus de plaisir. Plaisant papillon qu’eussent aussi satisfait ceux qu’elle ne cessa de sucer qu’assoupie, c’est ainsi !

  Sans soucis, cette histoire de sucette la mena subrepticement à s’introduire dans des espaces interstitiels surprenants, soulageant son penchant pour cette spécialité masculine, l’uranisme.

  Et c’est sans s’extasier sur les performances respectueuses de chacun, jusqu’au spasme final, extase souhaitée mais un peu douloureuse, qu’elle chuchota dans l’ouïe de son amant : « suçote-moi le bouton, fourrage et farfouille entre mes lèvres et tripatouille bien l’ensemble avant d’y glisser cette batte audacieuse qui m’enverra peut-être sous des cieux plus jouissifs.

  Enfin ! Enfile-moi ! Quoi ! Et ne déconne pas, je veux dire reste bien au chaud, jusqu’à mon retour de ce ciel... si je l’atteins !

  Ensuite, tu n’oublieras pas le café et les croissants !

Drrriiinng !

  Et mon rêve se mua en cauchemar, 6h30 le réveil sonnait.

JI 19/08/18