Deux mois plus tard, le soleil se levait dans l’horizon.

Pdv de Alice

J’ouvris avec peine les yeux à cause des rayons du soleil. Lorsque ma motivation fut assez grande, je me levais et rangea ma couverture, je remarque à ce moment-là un message posé sur la table de nuit de ma Maitresse. Son contenu était de reste dans la chambre jusqu’au retour de la jeune femme avec seulement une culotte dans ma position d’attendre.

Après ce qui me sembla être une éternité, la porte de la chambre s’ouvrit, laissant apparaitre ma Dominante, je remarquais alors un sac en toile dans sa main droite et une housse noire est posée sur son autre bras. Elle s’approcha du lit pour y pose son chargement.la jeune femme ouvrit le premier sac et sors un rouleau de cordes en chanvre, puis vint se mettre derrière moi.

Elle m’ordonna d’une voix douce de me lever puis commença à m’attacher, au contact de la corde contre ma peau, je frémis de plaisir. Chaque passage de cordes était juste assez serre pour m’empêcher de remplir trop mes poumons et appui où il faut sur mon entre-jambes.

Une fois qu’elle eut fini, la jeune femme sortit du deuxième sac, une longue robe de soirée bleue très légèrement transparente. Elle m’aida à l’enfiler, puis vérifia si on pouvait voir quelque chose à travers.

Nous nous dirigeâmes ensuite vers sa voiture. Une fois l’intérieure je compris ce qui était en train d’arrive, ma Dominante était entrain réaliser un de mes plus grands fantasmes : aller me balade en ville, faire du shopping et mange dehors avec de cordes sous mes vêtements.

Pdv de maitresse rosalie

J’avais décidé qu’après tout ce temps où ma petite Libra c’était bien comporté et avait aussi bien travaille j’allais réalise une de ses demandes qu’elle avait faites pendant nos échanges virtuels, Cela me semble être une récompense correcte.

Je m’étais donc levé tôt pour aller chercher en ville sa nouvelle robe de soirée, pendant tout le trajet je refaisais le déroulement de notre journée pour être sûr de rien oublié.

Une fois de retour à la maison, je montais chercher dans le donjon plusieurs rouleaux de cordes en chanvre que je mis dans un petit sac puis partis ensuite en direction de ma chambre.

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Notre première destination fut un magasin d’habits sur plusieurs étages. Le but de cette idée un peu folle était pas t’acheter, mais de m’obliger à monter des escaliers. Car à chaque pas, un nœud bien placé allait me donne une douce torture. À chaque nouveau lieu, mon excitation grandissait de plus en plus.

Lorsqu’on rentra finalement à la maison, ma Maitresse me félicita d’avoir tenu.je lui sourit heureuse et la remercia de m’avoir permis de réalise ce fantasme. Nous nous dirigeâmes ensuite vers la salle de jeux.la jeune fille commença lentement à me déshabille, je souris un peu gênée. Le tissu glissa à mes pieds.

Elle me demanda ensuite de me tenir à une barre accroche au mur, puis alla ensuite chercher quelque chose contre le mur dans mon dos. Après un court instant, je sentis le contact d’une cravache sur mon dos. Je souris encore plus, quand le premier coup toucha ma fesse. Je commençai donc à compte. Plus la punition avançait, plus j’avais envie d’en avoir plus.

À la fin du compte je suppliais ma Maitresse de me punir encore plus, de me laisser aller encore plus loin dans cet univers. La jeune fille sourit alors d’une manière bizarre, mais elle enleva lentement les cordes et alla chercher un harnais cuir, des petits poids et des bracelets en métal dans une armoire.

Une fois qu’elle avait installé les accessoires, elle prit une laisse de sa ceinture et l’accrocha à mon collier. Elle m’amena ensuite dans un coin de la Piece, vers un banc en bois massif, elle m’ordonna de me mettre en position et prit le martinet à sa taille, elle se recula ensuite de quelque pas et commença doucement à me frappe en augment petit à petit la force, au bout de cinquante coups, elle s’arrêta, à ce moment-là je la suppliais à nouveau d’une voix frémissante alors de continue que j’aimerais encore plus. Elle me regard alors avec une lueur étrange.

Pdv de maitresse rosalie

La matinée et l’après-midi s’étaient passés exactement comme je voulais, ma soumise était aux anges, j’avais ensuite décidé que nous allions faire quelque funition pour bien finir la journée. Mais une fois que j’avais fini de lui donner vingt coups de cravache, il se passa quelque chose qui me dérouta un peu.

- Je vous remercie maitresse pour ses coups. Commença-t-elle.

- Je t’en prie, ma petite Libra. Répondis-je avec un sourire.

- Je voudrais encore aller plus si vous plait. Me demanda-t-elle ensuite.

- Heu. Si c’est ton souhaite. Dis-je un peu perturbée en souriant toujours.

Je lui enlevais donc les cordes puis alla chercher quelques accessoires en plus.

Une fois que je les lui ai mis, je pris la laisse à ma taille et l’amena vers mon banc a fessé.

Commençais par lui ordonner de se mettre dessus puis j’allais cherche un martinet pour continue à faire notre session.

Je donnais les coups comme ma mentore m’avait appris en commençant gentiment et en augmentant tous les dix coups la force d’impact.

Au bout de cinquante coups.

- Je vous en supplie maitresse. Dit-elle d’une fois tremblante d’excitation. Continue de me m’affliger de la souffrir, je mérite tellement plus de douleur.

Je ne compris pas tout de suite ce qui se passait et ne dit rien.

Quand je compris que ma soumise avait coulé dans sa subspace, je ne suis plus du tout quoi faire, je me rappelais alors de ce qu’Evangeline m’avait dit sur ce sujet. Je devais arrête la session autant pour Libra que moi. Car j’avais fait quelque chose qui allait à l’encontre de mes principes.

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Puis soudain elle tomba à genoux, puis lâcha son outil.

- Purple. Murmura-t-elle d’une voix tremblante puis elle se mit a tremblé et a pleuré.

Je me rendis alors compte de la signification de son regard et son sourire, ma Maitresse venait de dépasser ses limites ; celle de ne jamais punir sa soumise sans raison. Elle la fait pour moi, pour me faire plaisir. Je me relevais malgré la douleur et m’approche d’elle pour la prend dans mes bras.

— Rosalie je… je suis désolé. Excusais-je. Ne t’inquiète pas, je vais bien.

Elle se colla alors contre moi, se calmant peu à peu contre ma poitrine.

Après un très long moment, elle me regarda et me fit un de ses sourires d’ange qui faisait tout son charme, je la regarde dans les yeux

- puis-je embrasser pour te remercier de tout ce que tu as fait pour moi ? demandais-je innocemment.

Comme réponse, Rosalie attrape délicatement maa tête et m embrasse langoureusement.

Une fois ce moment romantique fini, nous allâmes nous coucher après avoir enlevé les accessoires.

Quand nous furent dans la chambre, elle me montra son lit timidement, je m’y installais et attendis ses ordres, la seule consigne que j’ai reçue fut de la serre très fort contre elle. Avant de m’endormir, je me jurai de mieux me contrôle.