Un mois plus tard.

Le soleil se levait petit à petit dans l’horizon, ses rayons réchauffaient l’herbe verte du jardin.

Pdv de Alice

Lorsque ses doux faisceaux de lumière atteignirent mes yeux, cela me réveilla.

Je m’étirais alors dans mon lit puis regarda mon téléphone, il y avait un message de la parte de Laureline qui me proposait de se voir en cette belle journée.

Je lui répondis en lui demandant si cela dérangeait si Margaux et maitresse rosalie nous accompagnes, elle me dit que non, car il y avait Zoé qui viendrait aussi.

Je me levais donc pour m’habille et aller réveiller ma sœur et lui demande si elle voulait m’accompagner en ville pour voir Akio et Maya.

Elle me dit que oui cela serait une super idée, puis me demanda si elle devait ou pas se comporte comme ma soumise si notre maitresse n’était pas là, je lui donnais une petite tape sur les fesses et lui rappelais notre accord.

Une fois que nous étions prêtes, j’allais toque à la porte de notre maitresse pour la prévenir que nous sortions et lui demanda si elle voulait venir, elle me dit que malheureusement son travail ne lui permettait pas de venir, mais elle nous proposa de prendre notre petit déjeune en sa compagnie et qu’ensuite elle nous amènerait en ville. Nous acceptions sa proposition avec joie.

Le temps que maitresse rosalie descendre et s’habille, j’allais prépare un petit déjeuner solide ; des tartines ave du lard grillé et des jus de fruits frais.

Lorsque dame rosalie arriva dans la cuisine, Margaux me demanda si elle pouvait plutôt avoir un bol de céréales au chocolat.

Je poussais un faux soupire d’agacement puis lui servit sa demande.

Une fois nos assiettes finies, Maitresse Rosalie alla enfiler une tenue plus correcte que son pyjama, puis nous partîmes en direction de la ville pour aller à notre rendez-vous.

Après nous avoir déposée et nous avoir dit de l’appelle quand nous voudrions rentrées.

Nous allâmes avec ma sœur vers le petit café où nous attendaient Laureline et Zoé.

Nous les voyions les deux jeunes filles sur la terrasse en train de discuter, je rappelais à l’oreille de ma sœur que si elle était sage et ne faisait pas d’erreur je saurais la récompenser, elle acquiesça avec un petit sourire.

Nous rejoignions ensuite le duo et nous parlions du bon vieux temps.

Deux heures plus tard, je proposais que l’on manger toutes ensemble dans un restaurant que Margaux et moi connaissons bien.

En allant au restaurant, nous passâmes devant le magasin de Alicia, le regard de Laureline et zoé furent attire par la vitrine de ce dernier.

Elles nous demandèrent si nous pouvions jette un coup d’œil avant d’aller manger, je dis que oui c’était possible.

Une fois à l’intérieur, Alicia leva à peine les yeux de son livre tout en disant que le magasin allait ferme dans dix minutes.

Mais lorsque je lui demandais si c’était possible qu’elle reste ouverte le temps que mon amie fasse le tour, miss Kumo me regarda et me dit que oui s’était possible, mais a une seule condition, de pouvoir s’occupe de moi et ma sœur un peu plus tard si bien sûr notre maitresse était d’accord.

Je mentis alors en lui disant que Maitresse Rosalie nous avait donné carte blanche si nous voyons la nawashi, Alicia sourit à cette réponse.

Une fois que j’ai fini mon marchandage avec miss Kumo, Laureline vint vers moi et me demanda si je connaissais la vendeuse, je dis que oui même très bien.

Elle me demanda alors comment elle s’appelait, car son visage lui disait quelque chose, je lui qu’elle s’appelait Alicia Tagami, a ses mots Laureline et zoé s’étranglèrent en répétant son identité, puis elles dirent LA Alicia Tagami.

En entendant son prénom dit trois fois, comme un démon elle est apparue derrière les deux filles, elle leur sourit puis le redemande ce qu’elle pouvait faire pour elles.

Laureline sembla chercher ses mots puis demanda timidement au nawashi s’il était possible de la voir en action, car c’était un de ses plus grands rêves.

La jeune asiatique nous regarda tous les quatre puis nous propose d’aller manger ensemble et de parle un peu car normalement elle devrait rouvrir le shop après sa pause de midi, mais elle ne voulait pas que Margaux et moi rentrions trop tard en respecte pour notre Maitresse.

Une fois son magasin fermé, nous partîmes vers le restaurant.

Pendant le repas, Zoé annonça que tout ce qui était shibari ne l’intéressait pas à pratiquer donc nous serions quatre si nous en faisons, mais qu’elle regarderait avec plaisir par contre.

Je me proposais alors de pas participe non plus cette fois et de rattraper cela une prochaine fois, comme ça Miss kumo attacherait ma sœur et Laureline pourrait regarder. Alicia sans savoir les conséquences me fait une contreproposition, car elle voulait quand même savoir mon niveau si une fois elle avait besoin d’aide pour un cours, de plus comme nous n’avions pas demande avant a notre maitresse si dame Akio pouvait nous attacher. Elle s’occuperait de Laureline, si elle était intéressée, et moi de Margaux comme ça tout le monde y était gagnant.

À cette proposition, ma sœur et moi croyions avoir bien caché notre sourire.

Une fois, une fois notre repas de midi finit, nous partîmes tous les cinq prendre un bus pour rejoindre un hangar un peu à l’écarte de la ville.

Laureline, zoé, Margaux et moi regardions un peu surprise le bâtiment, avec un petit sourire Alicia nous dit que ce dernier lui appartenait, il lui avait fallu quelque année pour pouvoir réaliser son rêve, à peine avait — elle fini sa phrase qu’elle sortit une clef qu’elle utilisa pour ouvrir la porte. La jeune asiatique nous invita ensuite à entrer.

En rentrant, nous vîmes une grande structure en bois qui trônait au milieu du bâtiment, il y avait aussi rouleau des cordes de plusieurs couleurs accrochées à cette dernière. Le sol sous ce dernier était fait de tapis de bambou.

Lorsque nous revenons à la réalité, la nawashi était allé se changer dans un vestiaire à l’entrer, elle s’approcha de nous tous en disant que c’était provisoire et qu’elle donnerait aussi dans quelque temps des cours, car cela devenait problématique de devoir à chaque fois louer une salle pour ses cours de shibari et ses sessions avec Ahris.

Elle nous proposa ensuite de nous mettre à l’aise, puis elle nous proposa de commencer avec un sourire et de sa voix envoutante.

Notre performance dura pendant trois heures qui passèrent pour Margaux et moi beaucoup trop vite. Pour Akio le fait d’avoir pu d’un avoir vu Miss Kumo en action était déjà génial, mais en plus elle avant pu être dans ses cordes était pour elle vraiment parfait.

Au moment où nous partons, Alicia vint et me demande innocemment si notre maitresse était au courant de ma nouvelle relation avec Margaux, je fis ce genre de pas comprendre.

Elle me dévisagea quelque minute puis leva les épaules et nous dit de passe ses meilleures salutations a maitresse rosalie, je lui dis qu’il n’y avait pas de soucis avec un petit sourire.

Zoe et Laureline nous remercièrent pour cette journée et nous dirent que la prochaine fois on ferait une vraie visite du shop de miss Kumo.

Une fois qu’elles sont parties, j’envoyais un message à notre maitresse pour la prévenir que nous allions rentre, elle me répondit que malheureusement elle avait dû partir chez un client et ne pouvais donc pas venir nous chercher, mais qu’elle nous rembourserait le taxi.

Nous appelions donc l’agence puis rouillons en direction de notre maison, pendant tout notre trajet Margaux me remercia pour la journée en m’appelant maitresse Alice.

Lorsque nous fûmes devant la porte juste avant d’entré je lui fis promettre de cette fois garde notre langue pour ce qui c’était passé pendant notre rencontre avec Alicia.

Pdv de Alicia

Je buvais tranquillement ma tasse de thé à la menthe en me disant « Cette journée s’était assez bien passée dans l’ensemble ».

J’avais pu pratiquer un peu et rencontrer une fan de mon art, mais quelque chose me perturba quand je repensais à la réaction de Alice quand je lui avais demandé si Rosalie était au courant pour la relation de maitresse et de soumise qu’elle avait avec Margaux.

Je décidais donc d’éclaire cette histoire en appelant leur maitresse.

- Hello, comment vas-tu ? commençais-je. J’espère que je ne te dérange pas trop.

- Heu non pas du tout. Me répond la jeune fille d’une voix joyeuse. Je suis en route pour rentrer chez moi.

- Je voulais déjà te remercier pour la confiance que tu me portes. Dis-je ensuite.je me savais que tu m’appréciais vraiment, mais de l’a me donne le droit d’attache à tes soumises c’est un juste qui me touche vraiment.

- Heu. Comment ça. Dit-elle après quelque seconde de silence d’une voix un peu perdue.

- Tu ne leur as pas dit qu’elles pouvaient ? demandais-je comprenant que mes doutes étaient vrais.

- Je t’apprécie vraiment. Dit-elle d’une voix soudaine, calme et froide. Mais jamais je ne donnerais ce genre de droit et tu le sais non ?

- Je… je suis désolé. M’excusais-je en palissant, comprenant que j’avais merdé.

- Ce n’est pas grave. Me dit-elle sur un ton un peu moins froid. Cela me donnera une bonne raison de les punir.

- En parlant de ça… commençais-je. Tu sais que Libra se fait appelle maitresse Alice par Margaux ?

- … non, je ne le savais pas du tout. Dit-elle d’une voix qui trahissait sa déception après trente secondes de silence. Merci de me prévenir de ça Alicia.

- Tu vas faire quoi ? demandé-je comprenant que j’avais encore gaffé.

- Pour le moment je vais essayer de me calme…

- Je suis désolé de te la voir appris et d’avoir pas vérifié avant de leur propose une session…

- Ce. N’est pas grave… mais merci de me l’avoir dit. Bonne soirée, Alicia

En raccrochant je ne savais plus vraiment quoi penser je décidais donc de sortir faire un tour pour me changer les idées.

Au bout de vingt minutes, j’envoyais un message à la mentore de Rosalie. « Au point où je suis un peu plus de merde ou un peu moins, cela ne me changera rien et je n’ai pas envie que Rosalie fasse une connerie »

Pdv de Maitresse Rosalie

Il ne me restait plus que trente minutes avant d’être au manoir quand je reçus l’appelle de Alicia.

Au début j’étais très heureuse de lui parle, mais quand qu’elle m’avait annoncé ce qui c’était passe j’étais en colère, pas contre elle ni contre les deux fautifs, mais contre moi, comment avais je puis être aveugle a ce qui se passait sous mon toit.

« Était-ce moi le problème ? D’abord Virgo qui était au final une dominante et maintenant Libra qui est un switch, en soi ce n’est pas un problème, mais pourquoi elle ne m’en a pas parlé avant et me le cache. Ne me faisait-elle pas assez confiance ? » pensais-je en accélérant sans m’en rendre compte.

Soudain je reçues un appelle qui me ramena à la réalité et me fit ralentir.

- Allo ? dit en m’arrêtant sur le bord de la route.

- Bonsoir, Rosalie c’est Eva. Annonça ma mentore. Tu es où ?

- Heu sur la route pour rentre chez moi. Dit d’une voix un peu surprise.

- Tu es où précisément ? demanda Evangeline d’une voix calme.

- Je suis à cinq minutes de chez moi. Répondais-je d’une voix peu rassurée ?

- Ne bouge pas j’arrive. Annonça-t-elle d’une voix toujours aussi calme.

- Non c’est bon ne t’inquiète pas je vais rentrer. Essayais-je te lui dire en redémarrant ma voiture.

- NE BOUGE PAS ROSE ! m’ordonna-t-elle de sa voix la plus glaciale.

.

Eva arriva cinq minutes après m’avoir raccroché au nez, ce qui m’avait laissée paralysée sur place.

Quand elle sortit de sa voiture, je remarquais qu’elle portait juste une paire de baskets, un bas de training et un simple t-shirt militaire.

Elle s’approcha de ma voiture et me fit signe de sortir.

Avec beaucoup de lenteur, je suis sortie de mon véhicule, puis la rejoins devant la sienne.

- Rosalie Ren, auriez-vous quelque chose à me dire ? commença-t-elle d’une voix calme.

- Je ne crois pas. Dis-je en ayant une petite idée derrière la tête.

- Une chose en rapporte avec tes locatrices ? continua-t-elle sur le même ton.

- Je ne suis pas sûr de comprendre. Dis-je en pensant très fort « c’est très grave elle dit locatrices et pas ma soumise et kitty girl »

- seras-tu en train de te foudre te moi ? demanda-t-elle soudain d’une voix froide.

- Qui de l’a dit ?

- Alicia, cela doit être assez grave pour qu’elle me contacte.

- …

- Rose dit moi ce qui se passe, ne m’oblige pas à me répète.

- Alice et Margaux ne me font pas assez confiance pour me dire ce qu’elles veulent…

Me voyant pleurer, ma mentore me prit dans ses bras puis me serra très fort contre elle.

Elle semblait encore énervée, mais restait silencieuse.

Une fois que j’avais fini de pleure, ma mentore me regarda quelque seconde.

- Tu comptes faire quoi ?

- J’ai envie d’oubli cette histoire en tout cas leur pardonné, c’est arrivé que deux fois, et elles respectent le fait de ne pas le faire à la maison.

- Et si cela doit arriver ?

- Je… je ferais ce qu’il doit être fait…

- Je serai là si tu as besoin d’aide.

- Merci Eva, merci de me laisse faire comme je le sens.

- Pas de problème rosalie, juste promets moi de respecte ta parole.

- Je vous le promets, dame Eva.

Avec un petit sourire, elle me fit un câlin puis remonta dans sa voiture.

Une fois que j’ai respiré un grand coup je remontais dans la mienne et rentra priant que cela ne soit que des accidents de parcours.