Bonus 1

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Vendredi matin, Rosalie éteignit son réveil, puis sortit de son lit en repoussant son lourd duvet. Elle se dirigea ensuite vers sa salle de bain pour prendre une douche tiède pour se réveille.

Une fois habiller, la jeune fille alla prendre un petit déjeune rapide, un jus de pomme et une salade de fruits. Quand elle regarda sa montre, puis se dépêche de mettre sa vaisselle dans la machine et partie finalement en trombe à son travail.

Quand elle arriva à son entreprise, la jeune fille vit que son casier était entre ouvert, une fois ouvert, elle découvrait que ses affaires avaient été tâchées avec de l’encre. Après avoir poussé un lourd soupire, elle alla mettre au sale ses habits et en prit des propres pour aller commencer à travaille à son bureau.

Quand vint la pause de midi, la jeune fille alla manger comme à son habitude seule, ses collègues ne l’aimaient pas trop étant donné qu’elle était un peu trop douée pour le travail et qu’elle était la nièce d’un des PDG de la boite. Elle regarda un peu dans le vide en mangeant son sandwich au poulet.la jeune fille et retourna ensuite au travail un peu déprimer.

Quand enfin, son travail fut fini, elle partit discrètement après être sûr d’avoir bien verrouille son casier. La jeune fille rentra dans son studio, une fois arrive-t,— elle regarda sa montre, puis poussa un soupir de soulagement il lui resta encore quelque heure avant la soirée. La jeune femme enfila donc une belle robe noire et bleue, puis coiffa ses cheveux en un gros chignon serré.

La jeune fille pris son sac à dos, puis monta dans sa voiture et partit pour se change les idées.

Elle arriva finalement devant un club avec un attroupement de personnes venant de tout horizon.

Une fois son véhicule parquer, la fille alla se mêler à la foule.

Quand finalement les portes s’ouvrèrent, elle était dans les premiers à entrer, puis alla comme à son habitude à sa table au fond de la salle, après avoir pris un mojito sans alcool.

La soirée se passait au début comme souvent, tout le monde restait tranquille ou jouait avec leur partenaire habituelle. Au moment où elle allait partir la soirée battait son plein, on l’interpela, elle se retourna donc et son cœur s’arrêta quand elle vit deux hommes dont, l’un des deux porte un collier en métal.

— alors la ratte Rosalie quitte déjà le navire, commença à se moque un des deux

— Non je ne pense pas plutôt qu’elle n’a pas trouvé une pauvre victime pour s’amuse pendants cette soirée. Continue l’autre sur un ton arrogant.

La jeune fille essaya lentement de partir, mais l’un des deux l’attrape par le bras.

— lâche-moi sinon je vais crier, menaça la jeune fille en essaye de se dégage

— ho comme c’est mignon elle essaye encore de se faire passe pour une Dominante, rigola l’autre homme

Les deux jeunes hommes amenèrent alors de force Rosalie, qui se débat, dans une salle déserte.

Après avoir fermé la porte, celui qui la tenait dite ;

— ici au moins on sera tranquille pour lui montre sa vraie place.

Rosalie commença alors à trembler, se rappelant la dernière fois qu’elle avait croisé ses deux jeunes hommes. C’était un duo d’amis qui aime bien briser les Dominantes un peu débutantes, mais ils le faisaient toujours sans transgresse les règles du bdsm ou mettaient une pression pour ne pas être dénoncé.

La fameuse soirée de leur rencontre, l’un des deux s’était fait passe pour un débutant et avait pas arrêté de faire des fautes de manière à rentre folle Rosalie et la faire pleure, ils l’avaient aussi humilié en la traitant de fausse Dominante.

Rosalie se libéra et alla se mettre alors dans un coin en boule, laissant couler quelque larme de peur de ce qui l’attendait. Le duo s’approcha lentement d’elle avec un sourire mauvais, ils commencèrent par la tirer vers une chaise équipée de bracelet en cuir.

Après l’avoir attachée, l’un des deux sortit un couteau et commença doucement a coupé la robe dans la longueur, Rosalie commença à les supplie d’arrête. Une fois qu’elle fut nue, l’autre homme détacha son propre collier, puis le passa au cou de la jeune femme.

— Voilà tu as vraie place ma petite, tache de t’en souvenir et de plus venir pavane ici avec tes airs de Dominante en papier. Menaça l’homme

Rosalie en pleure et se laissa entièrement faire en priant pour quelqu’un vienne la sauve.

Soudain un bruit se fit entendre contre la porte, qui fit sursauter les trois personnes, les deux hommes se dirent que la porte était trop solide pour céder, mais tout à coup la porte tomba par terre hors de ses gondes, à ce moment-là une jeune fille habillée d’un simple pantalon noir et d’un corset et d’un long manteau gothique apparue. La jeune femme s’approcha alors et dit :

— Je ne vous dérange pas j’espère. Demande d’une voix très froide la nouvelle venue.

— heu non pas vraiment, balbutie le jeune homme

— Tout va bien ? demande-t-elle en se tournant alors vers Rosalie.

Étant donné qu’elle savait que l’un des deux a un couteau, elle répond que tout va bien

— À tes yeux, j’ai plutôt l’impression que je tombe à pic. Dis ironiquement la nouvelle venue.

Les deux hommes essayent de sortir discrètement de la salle, pendant que la nouvelle venue libérait Rosalie.

- Hé vous deux, haleta la jeune fille en tendant sa veste à la rescapée, j’ai quelques mots à vous dire.

Les deux hommes s’arrêtèrent alors ne sachant pas vraiment ce qui se passerait ensuite.

- Je ne vous avais pas déjà prévenu que je voulais plus vous voir ici ?

- On fait ce qu’on veut, en plus ce n’est pas ton problème, se défendit l’un des deux hommes

- Vous amusez a humilie des soumises ou des Dominantes c’est mon problème.

- Tu vas faire quoi nous jeter dehors, lance l’autre homme au couteau.

- Cela serait pas mal, mais je pense qu’une bonne correction sera très adaptée avant de vous bannir

- On est deux et tu es seule, tu n’as aucune chance, rigola l’autre pas sûr de lui

À peine a-t-il fini sa phrase que la jeune fille lui envoya un coup de pied au niveau de sa nuque qui le mets ko. L’autre sortit alors son couteau et se mit en position, la jeune combattante rigola puis lui envoie un coup à niveau de la gorge avant qu’il se rente compte.

- Bon je vais appeler la police et retourne à ma soirée, je pense. Dit-elle en finissant de libéré Rosalie .

La nouvelle venue sentit alors au moment de parti qu’on lui tient le bras. Elle regarda alors la jeune fille portant le collier, elle se remarqua alors que la jeune fille est en état de choc. La jeune femme proposa à l’autre de se mettre sur le banc pour parle un peu.

- Que s’est-il passé ? demanda la combattante d’une voix étonnamment douce

- je… j’étais simplement venu ici pour me change les idées comme chaque vendredi, et quand j’ai voulu parti ils m’ont obligé à venir ici, ils m’ont ensuite humilié et sans vous j’aurai surement passe un mauvais quart d’heure.

La jeune femme écouta l’histoire avec attention en serrant ses poings de temps à autre. À la fin de l’histoire elle proposa à Rosalie de rentre et se reposer cette dernière accepta et l’autre fille la raccompagne alors dehors tout en lui donnant une carte, où était écrit Eva Smith, organisatrice et dominante, pour si des détails lui revenaient pouvoir l’appeler. Quand elle est chez elle, la jeune fille alla mettre ses lambeaux de vêtement dans un sac poubelle puis alla cacher le collier tout au fond son armoire.

Le matin suivant, Rosalie resta au lit pour essaye de revenir à la réalité et si tous qui c’était passer le soir d’avant n’était pas un cauchemar.

Lorsqu’elle finit par se lever en début d’après-midi, elle vit dans sa poubelle le reste de sa robe et une carte de visite sur sa table de nuit. Rosalie décida donc d’appeler sa sauveuse pour la remercier à nouveau et lui rendre son long manteau. Elles se donnèrent donc rendez-vous dans un petit café, quand l’autre jeune femme arriva, Rosalie ne l’a reconnu pas tout de suite, elle portait une longue robe rose pâle et ses cheveux était coiffe en une longue tresse.

Après avoir l’avoir remercié chaleureusement, Rosalie lui demanda depuis combien de temps Eva pratique le métier de Maitresse bdsm. L’autre fille lâcha un petit rire amuse puis lui expliquant que son vrai travaille est avocates, qu’elle était co-propriétaire du club et était Maitresse bdsm pour arrondir les fins de mois et ça depuis cinq ans.

À ses mots Rosalie rougis un peu de honte, comme pour détendre l’ambiance, son interlocutrice lui posa la même question et quel travail elle faisait dans la vie. Rosalie dit en détournant ses yeux qu’elle était entrée dans le monde du bdsm que depuis cinq mois et travaille dans une boite d’informatique. Au fur et à mesure de la discussion, Rosalie s’ouvrit et se confia à Eva, mais n’osa pas lui avoue qu’elle était dominante.

Au moment de se quitte, Eva demanda gentiment si elle aurait le plaisir de voir Rosalie a la prochaine soirée qu’elle allait organiser, la jeune fille répondit qu’elle ne savait pas trop, mais qu’elle allait y réfléchir étant donné qu’elle était sûre de plus croiser les deux hommes.

Quand vint la fameuse soirée, Rosalie se prépara en enfilant une simple robe blanche mi-longue, un peu hésitante, elle mit le fameux collier dans son sac à main.

Quand elle arriva au club, elle se parqua comme la dernière fois un peu à l’écart, elle allait ensuite à l’intérieur, à sa place avec sa consommation et commença à regarder toutes les autres personnes partager leur savoir et leur technique.

Elle sent soudain après quelque heure une présence dans son dos, lorsqu’elle se retourna, elle tomba nez à nez avec Eva portant cette fois-ci un ensemble rouge en latex.

- Tu ne portes pas aujourd’hui ton collier ? demanda cette dernière intrigue

- Heu, non, je ne me sens pas vraiment en forme pour me faire soumettre. Mentit Rosalie.

- Tu es sûr que c’est ça ma petite, questionna l’autre avec un petit sourire animal aux lèvres.

- Heu, oui. Lâcha Rosalie un peu impressionnée par l’aura que dégageait soudain Eva.

- Tu es sûr que ce n’est pas plutôt que ce n’est pas ta place de porte le collier, demanda la jeune fille toujours avec son sourire et sa voix un peu plus ferme.

- Je ne comprends pas vraiment où tu, heu excuse-moi où vous voulez en venir, dit Rosalie un peu panique

- À ta gestuelle et à ton regard, je sens que tu n’es pas vraiment la soumise que tu prétends.

- …

- Je me demande si tu n’es pas plutôt une Dominante

- Même si c’était le cas, vous avez vu comment ça s’est passé la dernière fois face à ces deux soumis

- Je pense que peu de dominants auraient su quoi faire.

- Vous avez bien su gérer

- À ce moment-là, je n’étais pas une Dominante, mais une femme qui aide une autre en détresse.

- … même, je ne pense pas qu’être dominante sois fait pour moi…

- Ou simplement il faudrait que tu aies une personne pour te montre comment faire.

À ses mots Rosalie ne savait plus vraiment quoi dire, certes elle adorait prendre soin des autres et les dominer, mais en même temps avec ses dernières expériences elle avait un peu perdu la foi d’être capable de devenir la Dominante qu’elle voulait.

- Si tu as vraiment besoin d’un guide, je suis là. La rassura Eva de sa douce voix.

- Je n’ai pas envie d’être un poids pour vous, en plus je ne suis pas vraiment fait pour ce rôle. Dit Rosalie avec une petite voix

- déjà arrête les-vous avec moi, ensuite je t’ai déjà observé et tu sembles tout à fait être capable de devenir une bonne Dominante. Répondit son interlocutrice rassurante.

Rosalie poussa un soupir et demanda timidement comme Eva comptait lui montrer les ficelles pour être une Dominante qu’on allait respecter.

À ses mots, Eva sourit amicalement et lui expliqua que tout simplement Rosalie devrait commencer par avoir confiance en elle, ensuite elle devait là chaque soirée être là pour accompagne son mentore et observer comment Eva fait.

Jusqu’à la Rosalie semblait tout à fait d’accord, quand la propriétaire du club lui annonça que parfois son élevé devra avoir des devoirs à faire par exemple aide à punir des soumis, de plus parfois, elle devrait aussi avoir des sessions privé avec sa mentore pendant les quel elle serait soumise, cette dernière hésitait un peu, mais quand Eva lui posa sa main sur la sienne le fini par accepte cette relation d’apprentissage.

- Rassure-moi juste sur une chose, tu es bien majeur, questionna Eva un peu plus sérieuse.

- Oui j’ai vingt ans, répondit Rosalie un peu surprise

- Hum, cela devra jouer, je pense alors, rit alors sa professeure.

- Et toi ?

- Je vais sur mes vingt-neuf

- Tu es un fossile dit donc.

Les deux éclatèrent de rire. Le reste de la soirée, Eva montra à Rosalie ses capacités de Dominante et a lui expliqua les règles de base.

Le lendemain matin

Rosalie ouvrit les yeux, elle resta quelques minutes dans son lit à fixer le plafond ne sachant pas si la soirée d’avant, sa rencontre avec sa mentore et si son nouveau statut était un rêve ou pas.

Soudain son téléphone sonna, elle répondit alors sans regarder ;

- Bonjour, chère élève, bien dormis ? demande une voix douce à l’autre bout du fil

- Heu. Bonjours, oui, et vous ? répondit la jeune fille un peu surprise et se croyant retourne à l’époque où elle était à l’école

- Tu n’as pas besoin de me vouvoyer pour me moment. Répondre son interlocutrice d’un ton rassurant, oui j’ai assez bien dormi.

- Oserais-je demander qui est à l’appareil ? demande Rosalie encore un peu perdue.

- C’est Evangeline Smith, on a parlé de quelque chose hier, et je voulais savoir si tu avais le temps plus tard pour un café pour en parler.

- Heu oui normalement je n’ai rien à faire d’important

- Ho tant mieux je t’attends donc au même café que la dernière fois.

Une fois qu’elle a raccroché, rosalie sortie de son lit et chercha des vêtements potables pour rejoindre sa mentore, elle prit une robe bleu clair qui lui arrivait aux genoux, une petite jaquette noire et enfila des petits talons. Elle coiffa ensuite ses cheveux en un chignon bien serré.

La jeune fille prit ensuite sa voiture puis partit en direction de son rendez-vous.

Une fois arrivée à destination, elle se parqua près de l’entrer puis entra dans le café, elle regarda si Evangeline était déjà, mais ne la voyant pas elle prit une table près d’une fenêtre et commanda un thé noir pour se réveiller, elle mit ensuite ses écouteurs pour se changer les idées.

Après quelques minutes, la jeune fille sentit une présence dans son dos, lorsqu’elle se retourna, Rosalie tomba nez à nez avec Evangeline qui portait une simple robe rouge avec une ceinture en cuir noir.

- Bonjours, madame Smith, dit Rosalie tout en rangeait ses écouteurs et son téléphone dans son sac

- Salut rosalie, tu sais que tu n’as pas besoin d’être aussi formelle avec moi. dis son interlocutrice avec un petit sourire

- Je… je sais, mais comment dire… vo… tu me fais m’impression encore un peu quand même. Avoua la jeune fille en rougissant.

- On me le dit souvent. Répondit Evangeline avec petit rire, en général c’est surtout quand j’ai en main un fouet.

- …

- Bref, arrête les plaisanteries et parlons de choses sérieuses, puis je me mettre à ta table ? demande Eva sur un ton neutre

- heu… Oui bien sûr ça prend seulement place. Dis Rosalie en montrant la chaise en face d’elle.

- Bien je voulais te voir aujourd’hui pour être sûr de ce dont on a parlé hier au club. Dit son interlocutrice une fois installée

- Je ne connais pas trop ce genre d’univers donc je te fais confiance.

- Tu ne m’aides pas vraiment là, rosalie il faut que tu t’affirmes plus que ça sinon tu vas te faire macher dessus

- désoler c’est juste que… comment dire tu dégages une telle aura que je me sens vraiment sans défense face à toi.

- Ho je vois, bon quel sont des limites en tant que dominante ?

- J’aimerais être respecté et pas craint par ma ou mon soumis

- Bien, est-ce qu’il y a une chose que tu n’accepteras jamais comme punition ou châtiment ? En tant que dominante et en tant que soumise.

- — je refus tous qui est marque définitive en tant que dominante et tout qui est punition trop douloureuse en tant que soumise

- C’est-à-dire ?

- Le marquage au fer, le tatouage d’appartenance ce genre de choses et pour la punition le jeu d’impacte jusqu’au sang ou les aiguilles.

- C’est déjà un bon début.

Après cinq grandes tasses de thé et de café pour Evangeline, les deux jeunes femmes avaient pu dresser et mettre au clair les limites de Rosalie.

Elle partir ensuite faire du shopping pour commence un début de garde-robe de dominante.

Evangeline amena ensuite sa future élève à son club pour qu’elle puisse mettre sur papier leur nouvelle relation.

Quatre ans plus tard.

Rosalie était devenue une programmeuse à son compte, elle avait encore quelquefois des contacts avec sa mentore, elle avait déjà eu une soumise, mais étant donné que cela c’est mal passe, elle était à la recherche d’une nouvelle partenaire après avoir failli tout abandonne après sa soumise Virgo. Ella avait aussi rencontre et refuse la proposition de Margaux qu’elle trouvait trop jeune.

C’est comme ça qu’elle était tombée sur mon profil ; Alice Haibīsukasu 27 ans, à la recherche d’une relation à long terme bdsm

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