La rose écarlate

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Deux semaines plus tard.

Pdv de Alice

Les rayons du soleil traversaient la vitre de ma chambre, j’ouvrais avec peine un œil. Je pris mon réveille et regarda l’heure ; 8 h 10. Je m’étirais alors doucement et sentis la douleur dans ma cheville moins fort. Je me décidais après quelque minute à enfin me lever, je quittais la pièce sans réveille Margaux qui dormait encore dans mon lit.

Je descendais doucement les escaliers m’appuyant parfois sur la rambarde.

Une fois en bas, je me dirigeais vers la cuisine pour me servir un jus de fruits. J’allais ensuite dans le salon pour le boire.

Soudain le téléphone sonna, je me dépêchais d’aller répondre, Rosalie, à l’autre bout du fil, me prévenue que son séjour pour son travaille prendrait un peu plus de temps. Elle me demande ensuite comment cela se passait au manoir. Je la rassurais alors en lui disant que tout se passait bien, que ma cheville était presque guérie et que Margaux arrivait enfin à finir son travail dans les temps.

À cette réponse mon interlocutrice rit doucement, puis me dit enfin la phrase que j’attendais, elle me permit de redevenir sa soumise et de m’occuper du manoir en me ménageant le plus possible, à ses mots je sentis quelque larme couler.

Avant de raccroche, elle donna son accord pour le retour de Luna et qu’une lettre m’attendait dans mon bureau si je pensais que Margaux avait été sage. Je posais donc le téléphone et remontais ensuite d’un pas léger chercher l’ensemble de Luna et l’huile.

Je réveillais doucement la petite chatte, elle s’étira dans une symphonie de craquement et me demanda quelle heure il est, comme seule réponse je lui tends un plateau avec un petit déjeune léger et lui montrais de la tête la housse accroche contre mon armoire. Elle semblait un peu perdue puis comprit enfin ce qui se passait.

La jeune femme finit sa comporte de pomme et son verre de lait très rapidement et se mit tout aussi vite nue. Je l’aidais d’abord à mettre ses lentilles de contact, puis étale doucement l’huile sur son corps et l’aide a enfile sa tenue.

Juste avant de lui mettre son masque, je lui dis que notre Dominante serait absente pour encore quelques jours, mais lui promit une surprise si elle était sage pendant cette journée, elle hocha la tête en signe d’approbation.

Une fois prête, elle courut se mettre sur le canapé en boule pour se rendormir.

J’allais dans ma chambre et m’habille un peu décontracte puis commence alors à faire mes tâches ménagères, en faisant attention de ménager au maximum ma cheville, de plus pendantes encore une semaine je ne devais pas faire mes heures de sport. « La reprise va faire très mal, je vais avoir de ses courbatures après », pensais-je. Je devais par contre faire mes heures de yoga, mais en faisant très attention.

Vers midi je préparais pour moi des pâtes sauce tomate et pour Luna une salade de thon et saumon.

Le souper finit, étant un peu en avance sur mon programme, je décidais de voir si Luna respecterait sa parole, je montais donc dans la salle de bain et j’appelais cette dernière.

Elle entra timidement dans la salle de bain le visage avec quelque tache de sauce à salade et des morceaux de saumon, je me pose sur le rebord de la baignoire et l’invite à venir.

Au début, la petite chatte ne semblait pas vouloir approcher, puis soudain, comme si elle avait reçu un courant électrique, elle vint timidement dans la baignoire. Je fis doucement couler une eau tiède sur elle et commença à la laver.

Une fois bien séchée, je la félicitais avec quelque caresse et retournais à mon travail.

Le soir venu, je préparais des lasagnes aux légumes pour moi et Luna.

Pendant tout ma préparation et ma journée Luna était restée tranquille dans son coin ou venant me demande quelque caresse de manière polie.

Le repas servit, je lui dis qu’après mange elle aurait droit à sa surprise. Elle miaula gaiment et commença à manger dans sa gamelle les lasagnes.

Une fois la vaisselle faite et rangée, je montais dans ma chambre et sortis l’enveloppe de mon bureau, je l’ouvris et une fois son contenu lu, je dus me mettre sur ma chaise. J’appellerais d’une voix tremblante Luna, quand elle entra dans la pièce malgré son masque, je sentis son inquiétude.

Je commence par lui enlever son body, ses gants et tous ses accessoires. La jeune fille me regardait un peu perdue. Je lui demandais ensuite de m’attendre dans sa chambre, à genoux dos à la porte sans son collier à clochette.

Je sortis ensuite de ma chambre pour entrer dans celle de notre Maitresse, je respirais un grand coup et alla chercher dans une grande armoire une robe en latex Bordeau et une simple robe noire en tissus. Je pris dans une autre armoire une laisse et des bracelets en métal avec une boucle dessus.

Pdv de Margaux

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en général quand on m’appelait avec cette voix, en tout cas mes parents, c’était pour me punir ou gronder par ce que je n’avais pas fait mon travail correctement.

De plus elle m’avait enlevé ma tenue et ne m’avais pas permis de mettre quoi que ce soit.

Je ne pouvais même pas essaye de me calmer, je n’avais pas de collier.

Pdv de Alice

Une fois que j’eus tout récupéré, je retournais voir ma sœur de soumission. Quand je rentrais dans la pièce, je vis dans son reflet que ses mains tremblaient un peu.

Pour commencer, je posais mon chargement sur le lit, puis alla m’agenouiller derrière elle, je lui demandais ensuite si elle était prête et si tout allait bien, elle hochait timidement la tête. Je la rassurais quelque minute puis lui demandais de ferme les yeux et de relevé ses cheveux. Je pris quelque grande respiration et alla prendre dans mon bureau mon collier en cuir avec une boucle, je le lui passais au cou tout en la renommant et ferme avec un petit cadenas le bijou.

Je me mis alors sur mon lit et l’appelais par son nouveau prénom ; Orphéa, elle me répondit timidement un « oui Madame ? » je lui ordonnais d’une voix un peu tremblante de me tendre ses mains, je lui mis calmement les bracelets que je fermais aussi avec des cadenas.

Je me levais alors et lui ordonnais de m’aide à m’habille, Orphéa enleva timidement mon top, mon soutien-gorge, mon short et ma culotte, puis elle commença à étale de l’huile sur mon corps.

Elle m’aida ensuite à enfiler la tenue bordeau, une fois habillée je lui tendis la petite robe qu’elle enfila rapidement. J’accrochais ensuite à son collier une laisse, nous nous dirigeâmes, en silence, vers le donjon.

Une fois à l’intérieur, je la lâchais et elle alla s’agenouiller sur un coussin sans que je ne lui dise rien, je m’éclaircis un peu la voix assise sur le trône, puis lui annonça que jusqu’à ce que notre Maitresse revienne, j’étais une Dominante et que je pouvais faire ce que j’avais envie de ma sœur ce soir et que j’allais l’entraine pour Rosalie. Margaux avala avec peine sa salive, mais hoche lentement la tête de haut en bas.

Je m’approchais d’elle et lui releva délicatement la tête, puis déposa un baiser sur son front. Je la fis se lever, en tirant sur la boucle du collier, puis l’attache face à la croix. J’allais ensuite prendre un martinet très souple en cuir. Je retournais ensuite vers elle et commençais lentement à faire des mouvements de l’infini avec ce dernier dans son dos.

À chaque contact avec son dos, la jeune fille sursautait et comptait les coups. Au bout de vingt, je m’arrêtais, m’approche d’elle et commençais doucement à lui caresser le corps tout en la félicitent, je lui demandais, après quelque caresse, si elle se sentait capable de recevoir les coups directement. Elle hocha timidement la tête, je relevais donc sa robe de manière à découvrir son corps.

Je me remis à ma place et commençais une nouvelle série de coups un peu plus lente. Quand ce fût fini, je retournais vers Orphéa et la félicitais, je la détachais ensuite de la croix et lui ordonnais de se couche sur dos.

Je me posais alors sur son bassin et commençais doucement à jouer avec sa petite poitrine. Au bout d’un moment, je remarquais qu’elle se mordillait la lèvre inférieure d’excitation. Mes caresses descendirent vers ses hanches et je commençais à sucer son téton.

Après un moment je me reculais un peu sur son corps et commençais à la caresse d’une main son entre-jambes. Au bout d’un moment je l’entendis me supplier et me prévenir qu’elle n’est pas loin de l’orgasme.

Je remontais alors ma tête puis lui chuchotais à l’oreille la permission de venir pour ensuite commença à lui mordiller son lobe, après un long gémissement je sentis un peu de liquide couler sur mes doigts, je souris et porta mes doigts à ma bouche.

Une fois sa respiration revenue à la normale, je me levais et l’appellerais Margaux pour l’inviter à prendre une douche chaude. Elle me suit dans la salle de bain et une fois lui avoir enlevé son collier je lui retirais sa robe et enlevais la mienne, quand les deux nous fûmes nues et que j’ai mis les vêtements dans le panier à linge sale, nous allâmes sous l’eau.

Alors je me lavais tout en lavant ma sœur, elle me plaqua soudain contre le mur, coinça mes bras au-dessus de ma tête et colla sa bouche entre mes seins pour commencer à faire des suçons sur tout mon buste et mes épaules.

J’essayais un peu de me débattre, mais lorsque je sentis sa main sur mon entre-jambes je perdis un peu le contrôle et laissa mon côté passif sortir.je senti après quelque minute sa bouche sur mon entre jambes, je tournais ma tête et commençais à mordre mon bras pour ne pas gémir.

Quand finalement elle me lâcha les poignets, je lâchais un petit cri de plaisir et lui ordonnais de continue. Je posais alors une main sur sa tête et recommence à mordre mon autre bras pour par hurle de plaisir.

Pdv de Margaux

« Je ne trouve pas très sympa que je sois la seule à avoir pris du plaisir, elle en mérite aussi », pensais-je lorsqu’elle m’invita sous l’eau.

Ne sachant pas vraiment si elle allait être réceptive, j’essaye de faire comme j’avais lu dans un de mes doujin ; je lui mis les mains au-dessus de la tête puis commençais par m’occupe de ma « dominante », elle sembla d’abord refusée, mais quand je mis ma main entre ses jambes elle s’arrêta de de battre, je fois que ma bouche descendit vers son entre-jambes, je la vis se mordis le bras.

Lorsque je lâchais ses poignets elle poussa un petit cri de plaisir puis pose une de ses mains sur ma tête et m’ordonna de continue avant de se mordre l’autre bras.

Pdv de Alice

Quand, j’atteins à mon tour le septième ciel. On sortit de la douche, je lui tendis un linge et en pris un pour moi.

Une fois bien sèche, on alla dans ma chambre s’habiller pour la nuit.

Une fois prêtes, nous nous couchâmes, je l’embrassais une dernière fois sur son front et lui interdit de jouer avec moi pendant mon sommeil, comme seule réponse elle se blottit contre moi, me promettant de toujours être sage, si je la récompensai toujours comme ça.

Puis elle commença à ronronner. Je finis par m’endormir en relisant la lettre me donnant la permission pour cette fois uniquement Si j’avais envie d’enlever le collier de Margaux pendant l’absence de maitresse de Rosalie et de l’initiée au monde du bdsm dans la limite du raisonnable malgré l’absente de notre Dominante.

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