L’envers du miroir

11 minutes de lecture

Quelque semaine plus tard, les doux rayons du soleil disparaissaient derrière les collines du jardin.

Pdv de Alice

Je finis de vérifier les derniers détails pour la soirée qui s’annonce tout en regardant la grande horloge.

J’étais rassurée, j’avais encore un peu de temps avant l’arrive des invites pour finir de me préparer.

Lorsque je fus sûre que tout est bien fait en vue de la soirée, je montais ensuite dans ma chambre pour m’habiller. Je décrochais d’une main tremblante la longue robe en latex violet, ouvert au niveau de la poitrine, de la porte de mon armoire. Je me déshabillais puis étala sur ma peau l’huile et enfila la robe, je mis ensuite de très grands talons.

Une fois prête, je me regardais quelques secondes dans le miroir du meuble, et rougis un peu. Je partis ensuite d’un pas maladroit vers la chambre de ma Maitresse puis toquais à sa porte d’une main un peu assurée.

Après quelque minute, elle me donna la permission d’entre. Une fois à l’intérieur, je la vis de dos dans un magnifique ensemble en latex rouge et noir, je fus émerveillée par sa beauté.

Quand elle se tourna vers moi, je baissai rapidement les yeux en lui murmurant timidement un compliment sur sa beauté.

Je l’entendis arrive près de moi, je sentis ensuite une main me relever la tête de manière que nos regards se croisèrent. Elle me sourit et me rassura un peu sur le déroulement de la soirée. Quand elle a fini et qu’elle est sûre que je suis prête, elle alla ensuite chercher dans une armoire un harnais de tête avec une boule et un pair de menottes avec une longue chaine.

À peine les accessoires en place, la sonnette de la porte d’entrée retentit. Nous descendîmes donc les escaliers ensemble et quand nous nous séparâmes, la jeune fille me donna une légère tape sur les fesses d’encouragement.

J’ouvris la porte un peu tremblante puis invita les personnes devant la porte à entrer.

La première invitée était une femme un peu plus âgée que moi portant un long manteau noir qui cache ce qu’elle portait, elle tirait derrière elle une grande valise à roulettes. La deuxième personne semblait être légèrement plus jeune que moi, elle portait une simple cape laissant apparaitre un corset en latex noir des grands gants noirs également et des grandes bottes montantes rouges.

Une fois débarrassé de leurs manteaux, je vis que la plus âgée de deux ne portait qu’un harnais de cuir et un lourd corset de cou avec une boucle. Nous nous dirigeâmes ensuite dans le grand salon où attendait ma Dame. Quand nous fûmes arrivées, je vais timidement me mettre à côté de du fauteuil de ma Maitresse, après quelque minute elle me fit signe de m’agenouille sur le coussin.

Quant aux deux femmes, la plus jeune prit place sur le canapé et l’autre lui servit de repose-pied. J’étais un peu déroutée de la situation, mais me repris très vite quand ma Maitresse me donna l’ordre d’aller chercher les verres dans la cuisine.

Quand je revins dans la pièce, je vis l’autre dominante s’amuser à planter ses talons dans les fesses de sa soumise qui poussait des petits cris à chaque piqure. Je tendis d’une main tremblante son verre et alla amener le sien à ma Maitresse.

Malheureusement lorsque je tendis le verre à ma Dominante, je perds l’équilibre à cause de mes chaussures et renverse-le contenue du verre sur ma Maitresse. Je me mets alors automatiquement à genoux en position d’excuse, tout en posant le plateau au sol.

Ma Dominante se releva, laissant glisse le liquide par terre, puis alla chercher une canne dans l’entrer, elle revint ensuite au milieu de la pièce et m’appela, je m’approchais d’elle à quatre pattes honteuses, je lui tendis ensuite mes paumes de main pour recevoir ma punition.

Après dix coups que j’ai comptés à haute voix, je nettoyais le liquide au sol.

Elle sortit ensuite deux clochettes, enfermer dans un sachet, de son sac à la main et me les accrocha sur mes piercings de tétons, nous allâmes ensuite dans la salle à manger, je sers ensuite maladroitement les assiettes à ma Dame et son invitée en faisant tinter les clochettes.

Une fois l’assiette devant ma Maitresse me fît signe de m’approcher, elle me libère la bouche de la boule en caoutchouc et me laisse aller manger à la cuisine mon repas.

À peine ai-je fini mon repas qu’un son de clochette retentit, je levais rapidement pour répondre à l’appelle. Lorsque j’arrivais, la scène que je vis me paralyse sur place. L’autre soumise mangeait, les mains lier dans son dos, à ras le sol les restes que sa Maitresse lui donnait.

Un autre son aigu me ramena à la réalité, je m’approchais donc de ma Dominante et attendis ses ordres.

Elle me demanda poliment qu’une fois tout soit débarrassé et laver, que je mets deux fauteuils et un coussin dans le donjon puis d’attendre son arrive sur le traversin.

Une fois la vaisselle faite, je réussis avec peine à monter les meubles dans la pièce, puis m’agenouilla à ma place.

Quelque minute après la porte s’ouvre. Ma Maitresse vint se mettre à côté de moi dans le siège. Les deux autres femmes vont quant à elle se mirent au milieu de la pièce face à nous.

L’autre Dominante ordonna sèchement à sa soumise, qui avait aux mains attacher dans le dos, de l’attendre.

La jeune femme alla ensuite chercher un paddle, avec des petits clous, au mur.

Elle retourna ensuite vers sa soumise, l’attrapa par son collier et la tire en avant sèchement. L’autre femme se laisse faire en poussant un petit cri de surprise.

Une fois que son cul est bien tendu, sa Dominante fit pleuvoir vingt coups dessus.

Lorsque la jeune femme eut fini, elle vint se mettre sur l’autre siège, puis se tourna ensuite vers moi et me tendit l’instrument de torture. J’hésitais ne sachant pas quoi faire. Quand soudain une main rassurante me caressa les cheveux, je me levais donc puis pris le paddle et m’approchais de l’autre jeune femme soumise.

Je respirais un grand coup, réfléchissant puis me rappelais les consignes que ma Maitresse m’avait données plutôt dans la journée. Je donnais pour commencer quelque coup délicat, puis alla ranger le morceau de cuir à sa place, puis pris une cravache contre le mur et un bandeau dans une commode.

Je retournais ensuite vers la soumise pour lui bande les yeux. Je recommençais ensuite à donner des coups de plus en plus fort. Au bout d’une trentaine de coups, je tirais la jeune femme en arrière en tirant sur sa chevelure. Je m’agenouillais alors et me collais à elle, je lui fis ensuite tenir la cravache entre ses dents.

Je commençais ensuite à la caresse d’une main un peu hésitante et gêne de le faire en public. Après plusieurs minutes, mes caresses se furent plus aventureuses.

La jeune femme commença à gémir tout en garde la cravache entre ses dents. Mes mains allèrent petit à petit vers son entre-jambes. Une fois arrivé, les doigts de ma main gauche commençaient à jouer avec son petit bout de viande et de mon autre main je griffais le haut de ses cuisses.

Au bout d’un moment, je sens un liquide coulé et remarque que j’avais de la salive sur mon bras gauche.

Malgré cela je continuais mes stimulations et allais délicatement faire entre deux doigts dans sa fente, pour commencer ensuite de longs aller venue. Mon autre main remontait alors sur un de ses seins pour commencer à le malaxe.

Après quelques minutes, les gémissements de l’autre jeune femme se firent plus fort. Sa salive coula en continu sur son corps, mon bras et ses jambes qui s’écartaient de plus en plus.

Après plusieurs minutes, je sentis qu’elle atteignait bientôt ses limites, je tournais donc timidement ma tête vers sa Dominante, je remarquais alors que la jeune femme se masturbait en nous regardant.je demandais d’une voix tremblante si je pouvais la laisse jouir. Elle me fit signe de la tête non et me dit de redoubler d’efforts. J’obéis un peu à contrecœur et recommençais donc mes stimulations de plus belle en lui chuchotant à l’oreille les consignes de sa Dominante.

Au bout d’un long moment, sa Maitresse se leva et vint se mettre devant sa soumise. Elle enleva ensuite la cravache de la bouche puis lui mit son entre jambes, déjà bien humide de son plaisir personnel, à quelque centimètre de la bouche de jeune femme.

Cette dernière se met alors au travail en donne de grands coups de langue sur les grandes lèvres qu’on lui présentait.

Après plusieurs minutes, un liquide transparent coula de la fente, la soumise lécha avidement le liquide et l avala.

Une fois soulage l’autre jeune fille retourna à son fauteuil tout en permettant, d’un ton sec, sa soumise de jouir.

Alors que je vais me relever, la soumise me supplia de la laisse me donner autant de plaisir que ce que je lui avais donné. Je fus complètement désarçonné, car on ne m’avait donné aucune consigne pour ce genre de cas et je n’avais, à ce moment-là, jamais été touche pas une autre personne que ma Maitresse de manière sexuelle. Comme si Rosalie savait à quoi je pensais, elle leva de son trône et s’approcha de nous.ma Dominante vint me chuchoter à l’oreille tout en me prenant la main, que si je ne m’en sens pas prêtée, je pouvais refuser.

Je serre délicatement sa main comme seule réponse. Ma Dominante se tourna alors vers l’autre Maitresse, Rosalie la remercia, mais elle déclina la proposition que sa soumise m’avait faite. L’autre jeune femme sourit puis s’approcha ensuite de sa soumise, elle lui rend ses sens, elle la félicite, d’une voix étonnamment douce, pour tous qu’elle avait tenu ce soir.

La session étant finie, nous allâmes dans le salon, je m’approche après quelques minutes de l’autre soumise et m’excuse de n’avoir pas accepté. Elle me regarde et retient un petit rire, puis me sourit en me disant amicalement qu’elle ne m’en voulait pas d’avoir refusé.

Les deux invitées montèrent peu de temps après dans leur chambre avec moi, qui portant leur valise, elles nous souhaitèrent une bonne nuit puis allèrent se prépare pour la nuit.

Au moment où je descendais, j’entendis un son de clochette dans le salon.je me dirigeais donc, d’un pas lent à cause de la fatigue, vers l’origine du bruit. Je vis alors ma Maitresse sur son trône à côté de la cheminée.

Elle me fit signe de m’approcher. Une fois près de la jeune femme, elle attrapa délicatement mon collier et me tira tout à coup en avant.je sursautais légèrement à ce geste, ma maitresse ne dit rien, je tremblais un peu de peur que ma Maitresse me punisse pour l’avoir fait perdre la face à l’autre jeune femme. Mais au lieu de cela elle m’embrasse langoureusement.

Une fois notre baiser terminé, elle me félicita pour le comportement que j’avais eu pendant la soirée, puis nous montâmes dans sa chambre.

À peine les menottes et les clochettes enlevées, Rosalie me poussa sur le lit et commença à me déshabiller. Une Fois nue, elle commença ses caresses. Le contact de ses mains sur mon corps me donne de grands frissons de plaisir, je poussais alors des gémissements. La jeune femme me chuchota doucement à l’oreille d’être plus silencieuse pour pas dérange nos invitées sinon elle me devrait me faire taire. Je serre donc les dents, malgré ses caresses.

Après quelques minutes, ma Maitresse se leva, enleva ses vêtements et alla chercher quelque chose dans une de ses armoires, lorsqu’elle revint vers moi, je vis qu’elle portait une ceinture étrange avec un vibromasseur accroche dessus.

Elle l’alluma et vint lentement se mettre sur moi de manière que l’appareil appuyait sur mon entre-jambes et le sien, elle prit ensuite dans une de sa main mes poignets et griffa délicatement ma poitrine de l’autre. Après de plusieurs orgasmes et de longues embrassades langoureuses, elle se coucha à côté de moi en éteignant la machine. Elle enleva ensuite sa ceinture et la déposa à côté du lit. Elle me prit ensuite délicatement dans ses bras et s’endormit dans cette position, je me blottis contre elle respirant sa douce odeur et celle du latex et m endormit à mon tour.

Le lendemain, quand les rayons du soleil traversèrent la vitre, je me réveillais et quittais discrètement le lit. Je descends, préparez un petit déjeune copieux. Je remontais ensuite avec deux plateaux, un pour nos invites et un pour ma Maitresse.

Je toquais à la porte de la chambre de nos invités. L’autre soumise vint alors ouvrir et me remercia d’un grand sourire puis prit le plateau. Je vais ensuite amenez le petit déjeune à ma Maitresse, au moment où je vais toque la porte, elle s’ouvrît et Rosalie me prit le plateau de la main et le déposa sur la table et alla se mettre sur une chaise. Elle me fit signe ensuite de prendre place en face d’elle. Quand notre plat fut fini, ma Maitresse me regarda en souriant et alla chercher des vêtements dans son armoire, elle me tendit une longue robe bleue. Une fois habillée, je vais l’aide à mettre une robe rouge avec un serre-taille.

Une fois, prêtes, nous allâmes attendre nos invites dans le salon. Quelque minute après notre arrive, nous vîmes arriver les deux autres jeunes femmes. La Maitresse était habillée d’un top bleu ciel et un jeans, l’autre femme portait une tunique vert clair et tirait la valise d’une main et tenant le plateau de l’autre.

Vers midi les deux femmes partirent de la demeure. Nous passâmes avec ma Maitresse une journée, où je pus être « libre », nous allâmes entrer le jardin, pour profiter du beau temps ou respirer l’air pur, et le salon. Avec des moments tranquilles à lire des livres ou des moments câlins.

Pendant cette après- midi, nous reparlâmes de cette soirée avec Maitresse Hanna et son esclave Diana, Rosalie m’expliqua les grosses différences entre être soumise et esclave, en tant que soumise j’avais le droit de refuse si quelque chose me déplaisait ou me posais un problème alors qu’en tant qu’esclave je ne pourrais rien refuse et je serais une poupée taille réelle entre les mains de ma Maitresse. En apprenant ça, je fus heureuse d’avoir ce statut de soumise. Maitresse Hanna était une amie de ma Dominante, elle était du genre à aimer humilier son esclave, mais prend énormément soin de Diana pour qu’elles puissent encore la servir pendant de longue année, quant à son esclave Diana, elle était une personne qui adorait tous qui est extrême, c’est pour cette raison qu’elle portait en plus de son collier l’inscription « propriété de Dame Hanna » au fer rouge dans le bas du dos, cette marque elle l’avait reçu devant une assemble trier sur le volet il y avait quelque année auparavant.

Le soir venu et le repas fini nous remontâmes à l’étage, ma Maitresse alla dormir dans sa chambre et moi dans la mienne, au moment de se dire bonne nuit, la jeune femme me prévient que le jour suivant tout redevient comme avant.

Annotations

Vous aimez lire elynna ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0