Le miroir sans tain

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Point de vue de maitresse rosalie pendant le chapitre enfer

Le matin suivant, je n’avais pas beaucoup dormi, je me réveillais au son de mon téléphone, lorsque je répondis enfin ma mentore était à l’autre bout du fil.

- Bordel, Rosalie, dis-moi ce qui se passe sinon je viens chez toi. Menaça-t-elle d’une voix qui traduisait son inquiétude.

- J’ai eu un gros problème avec ma soumise. Commençais-je. Je suis désolée si je t’ai inquiété.

- Dis-moi juste une chose et je viens la récupère pour lui faire comprendre son erreur a cette sale ingrate. Dis Evangeline de sa voix la plus glaciale.

- Cela va aller, je vais gère. Mentis-je.

- Non, rosalie, je sais que tu me mens. Dis mon amie d’une voix soudain très douce. Je te connais. Tu ne vas pas réussir à le faire, car je suis désolé de te le dire, mais tu n’es pas une dresseuse de brat.

- …

- Ne t’inquiète pas, je ne vais pas la tuer. Dit-elle sur le même ton. J’ai toujours dressé les soumis(e)s sans jamais dépasse leurs limites.

- Laisse-moi lui demande si elle a envie de continue et si oui je te l’amènerai

- OK, je te fais confiance, courage ma petite rose, tu en auras besoin.

Je sortis de mon lit puis allais dans mon bureau puis écrivit une lettre tout d’abord mon ressenti puis lui demandait si Alice voulait toujours continue notre relation, finir pas la prévenir que si elle voulait continuais sa punition serait terrible.

Une fois la lettre dans une enveloppe avec la clef du cadenas puis allait prépare son petit déjeune « je n’espère pas son dernier dans cette maison », pensais-je.

Une fois ce dernier prêt, je mis son assiette, son verre de jus d’orange, l’enveloppe et un stylo sur un plateau que je recouvrais d’une cloche en métal.

Je montais ensuite vers la salle d’isolation en respirant calmement.

Après avoir déverrouillé la porte, je dépose rapidement mon chargement devant Libra qui m’attendait dans la bonne position.

Après avoir verrouillé la porte, je repartis ensuite en direction de la salle de bain pour prendre une douche pour me réveiller.

Une fois ce dernier fini, j’allais enfiler des vêtements corrects pour aller voir ma mentore ; une simple robe noire.

Lorsque je fus prête, j’allais voir ou en était ma « soumise », je respirais un grand coup puis entra dans la pièce où elle m’attendait cette fois encore dans la bonne position.

Je m’approchais d’elle d’un pas très lente, puis une fois près d’elle je soulevais la cloche et ressentis un mélange de joie et de crainte par apport à son choix « bien, je dois envoyer un message à Evangeline, elle est compétente pour ce genre de choses peut-être même un peu trop » pensé-je en sortant avec le plateau.

Une fois le plateau ranger et l’assiette dans l’évier, je pris la clef que je mis dans une nouvelle enveloppe avec les limites de ma soumise et ma demande de pouvoir être présente lors de sa punition.

J’allais ensuite récupère quelque accessoire dans le donjon avec des larmes aux yeux.

Une fois que j’ai tout ce que je devais, je retournais voir ma soumise en séchant mes larmes.

- Laisse-toi faire ! dis-je d’une voix autoritaire.

Je commençais d’abord par retire sa tenue ensanglantée, je lui attachais ensuite les poignets et les chevilles, je lui bandais finalement les yeux puis attachait une laisse a son collier.

Je retirais ensuite la chaine de sa cheville, puis lui ordonnais de me suivre.

Pendant tout mon trajet jusqu’à ma voiture, je laissais couler mes larmes en silence en la prévenant lorsqu’il y avait un obstacle.

Une fois dehors, je la tirais vers mon coffre de voiture ouvert.

- Entre là-dedans. Ordonnais-je en tirant la laisse en direction de réceptacle.

Une fois l’avoir enfermé, je pris place et nous partîmes en direction de la maison d’Evangéline, pendant toute la route j’étais attentif au moindre bruit de panique et regardais de temps en temps la caméra pour voir si tout se passait bien dans le coffre.

Lorsque nous arrivions finalement, ma mentore dans une tenue très stricte m’attendait devant sa porte.

Elle s’approcha de ma vitre, je lui donnais alors ma lettre.

Une fois qu’elle a pris connaissance de son contenu, elle hocha la tête en signe d’accord, Evangéline alla ensuite sortir de sa prison ma soumise.

Elle fois qu’elle tient Libra, je démarrais pour aller me parque un peu plus loin en laissant couler mes larmes.

Point de vue de madame Evangéline

Je tenais Libra sa soumise, si celle avait été ma soumise j’aurai arrête notre relation ce matin, mais ma petite rose était trop gentille. « Ho toi ma petite, je ne vais pas du tout d’épargner », pensais-je en la tirant vers mon donjon.

Une fois que nous fûmes arrivées, je la fis tout d’abord se mettre à genoux, je lui retirais ensuite son bandeau tout en lui libérant les poignets.

Je me penchais ensuite à son oreille.

- Bonjours Libra. Dis-je d’une voix glaciale. Je m’appelle Evangéline Smith, pour toi cela sera madame Eva Est ce que c’est clair ?

- Oui, madame Eva. Répondit-elle d’une voix tremblante.

- Les deux jours que tu vas passer avec moi, continuais-je d’une voix très lente. Seront gravés à jamais en toi autant physiquement que mentalement.

- … elle n’osait pas répondre

- Sache que tu n’auras droit à aucun safeword pendant tout ton séjour. Sauf si tu es vraiment en danger ou que c’est trop pour toi, tu auras juste à dire « rose ».

- … elle hocha la tête en signe d’accord

- Tu as aussi une nouvelle position à prendre pendant ton séjour, attention si tu ne la respecteras à la lettre.

Après lui avoir bien expliqué, je montais chercher la lettre de mon élève à l’étage.

Une fois dans le salon je vis que Rosalie était dans le salon avec les yeux rouges d’avoir énormément pleuré.

- Tu sais que ce n’est pas bien pour toi ni pour elle si tu es là ? demandais-je d’une voix douce en m’approchant d’elle.

- Je ne peux pas reste chez moi sans savoir ce qui va lui arriver.se défendit la jeune fille avec les yeux remplis de larmes.

- Je ne travaille pas normalement dans ses conditions. Continus je en lui tendant un paquet de mouchoirs, mais je veux bien faire une exception pour toi, mais a une condition.

- Je vous… je veux dire, je t’écoute.

- Je t’interdis d’intervenir sauf si je te le permets, est-ce que j’ai été assez c’est clair ?

- Oui, très claire, merci, Eva.

Je la pris dans mes bras pour la console puis retournais auprès de sa vilaine soumise.

Je descendis les escaliers en lisant les limites de Libra.

« Elle accepte quand pas de choses pour une débutante, ma petite rose a trouvé un joli diamant brut », pensais-je en récupérant un collier dans l’armoire avant mon donjon.

Une fois que j’en ai trouvé un parfait, je rentre dans la salle à ma grande surprise, la soumise était toujours dans la position que je lui avais imposée.

Je m’approchais d’elle guettant ses moindres réactions, une fois près d’elle, je lui libérais les chevilles et son cou.

Je la laissais un peut se détendre puis fermait son nouveau collier à son cou.

J’allais ensuite cherche une barre d’écartement dans une armoire puis la lui mis au niveau des poignets, je la relevais ensuite pour la tire sous une des attaches du plafond.

Une fois qu’elle est installée, je sortis ma boite à aiguilles « commençons directement fort comme ça elle sait à quoi s’attendre », pensais-je.

Une boite pose à côté de la crème anesthésiante et du désinfectant sur la table à côté d’elle, je commençais par nettoyage grâce à l’alcool ses seins puis étalais la crème pour calme un peu la douleur et commençais finalement à décore sa poitrine avec les petites aiguilles.

Quand je mis la première pointe, à ma grande surprise, elle ne cria pas tout en laissant couler des larmes de douleur.

Une fois que j’ai mis trente aiguilles, je vérifiais que tout saignait bien, je sortis ensuite une petite chaine avec des clochettes dessus, je fis tenir cette dernière avec huit nouveaux piques.

Ne la voyant toujours pas plus réagit, je décidais de voir jusqu’à où elle pouvait résister.

- Sors ta langue. Ordonnais-je d’une voix froide.

Je pris deux dernières aiguilles et les plantèrent dans sa langue.

Une fois avoir tout mis je souris « au moindre signe de faiblesse de sa part, il faut que je sois prête à réagir »

Je la laisse dix minutes faire sonner les clochettes, puis la libère lentement de sa position.

Une fois décrocher, elle tomba au sol.

- Couche-toi sur le dos. Lui ordonnais-je récupère sur le chariot de la crème cicatrisante.

Une fois qu’elle fut en place je m’agenouillais à côté d’elle et commençais à étaler de crème pour la soulage un peu et ne pas laisser trop de cicatrices.

- Je… je vous remercie madame Eva pour la punition et les soins. Articula-t-elle d’une voix tremblante.

- Je ne t’ai pas donné le droit de me parle. Dis-je en la giflant.

Elle se tut alors et me laissa mettre sur toute sa poitrine de la crème.

Après avoir laissé quelques minutes la crème agir, je lui ordonnais de me suivre.

À ma grande surprise, elle ne se levait pas et me suivit à quatre pattes.

Nous allions donc vers un banc à fesser, je la fis ensuite grimper dessus.

Une fois en place, je lui attachais les poignets au pied du meuble grâce aux attaches dessus.

Dans cette position, ses fesses étaient très exposées, je partis ensuite chercher une badine que j’utilisais en général pour des soumises un peu plus expérimentées.

Lorsque je revins vers elle je lui donnais un premier coup et pour mon plus grand plaisir elle ne le compta pas.

Après vingt coups, elle n’en avait compte aucune ce qui me motiva à utilise mon taser pour lui rappelle les bases.

Je l’allumais, le régla sur le voltage le plus bas puis l’électrocuta au niveau de ses fesses.

- Haaaaie. Hurla-t-elle de douleur et de surprise.

- Je crains devoir de rappelle que tu dois compter les coups, à peine avais-je fini de dire ma phrase que je lui envoyais une nouvelle décharge.

- Haaaaie, je suis désolé de mon oublie, je vais faire plus attention. S’excusa-t-elle les yeux brillants à cause de la douleur.

Lance que je lui donnais à nouveau un coup avec la tige en bois, elle commença à compter d’une voix tremblante.

Quand elle arrive à vingt-cinq coups sans dire le mot d’arrêts je ne puis m’empêche de me dire « elle est résistance cette Libra, ma petite rose l’a déjà bien habitude à ce genre de traitement »

Une fois que j’ai fini de maltraiter ses fessé je fis passe les points de mon taser pour voir si elle sentait encore quelque chose.

Je décidais ensuite de la laisse là le temps de prépare son « lit » et sa nourriture.

Je montais donc à la cuisine et fis rapidement un bol de riz puis récupérais une bouteille d’eau dans le frigo.

Au moment de descendre dans mon donjon, je vis Rosalie dans l’encadrement de ma chambre d’amis.

- Elle supporte ton traitement ? demanda-t-elle d’une voix qui trahissait son inquiétude

- Oui, mais plutôt bien. Lui répondis-je sachant ce qu’elle allait dire.

- Je ne peux pas descendre la voir, je présume. Dit-elle d’une voix triste

- C’est exact, je suis désolé rosalie. Confirmais-je. Tu dois respecter ma condition sinon tous qu’elle a fait jusqu’à maintenant n’aura plu aucun sens.

- Je voudrais tellement descendre pour la félicité ou même la prendre dans mes bras.

- Je sais, en tout cas je suis heureuse pour toi, tu as trouvé une soumise dévouée.

- Ce n’est pas ce que tu m’as dit au téléphone ce matin.

- Rien n’est encore sur ma chère rose

- Tu m’avais promis de plus m’appelle comme ça

- Je sais je suis désolé, je devais juste de rappelle à qui tu t’adressais

- Je vous remercie maitresse Eva

Une fois notre discussion finie, je partis ensuite installer le repas de Libra dans une cage. En pensant très fort « cette Libra est quand même un cas, mais je peux comprendre Rosalie, ma chère apprentie y tiens beaucoup à sa soumise tout comme moi à l’époque de mira et moi ».

Une fois la place faite, je récupérais dans une commode un rouleau de cordes puis alla libérer la soumise de Rosalie du banc.

Une fois qu’elle fut libre, je lui ordonnais de se lever et de mettre ses mains dans son dos.

Je lui attachais donc les poignets de manière stricte puis je la tirais grâce à son collier vers sa place pour dormir.

- Bonne nuit Libra, repose-toi, car demain cela sera tout autant éprouvant. Dis-je après avoir verrouillé sa cage.

Je remontais ensuite faire à manger a rosalie et moi.

Pendant le repas Rosalie ne quitta pas l’écran de sécurité et ne mangea pas beaucoup.

Pdv de maitresse rosalie

Pendant toute la journée, j’avais regardé grâce à une petite tablette la punition de ma soumise. Chaque nouvelle étape, je me disais qu’elle allait craquer et dire le mot d’arrêt. Mais non à chaque fois qu’elle tenait bon et semblait repousse ses limites.

Quand Eva était remonte pour chercher a mangé pour Alice, j’étais sortie de la chambre où je me terrais.

Je lui avais demandé pour être sûr que ma soumise supportait tout ce qu’elle avait déjà reçu.

Elle me rassura et après que j’ai dit mon hypothèse, elle me la confirma et me rappelait en suite qu’elle était connue et respectée dans le milieu pour son travail. Juste avant de partir, elle fit un compliment sincère sur ma soumise, ce qui me fit sourire et me serra le cœur.

Quand elle m’invita ensuite à mange des pâtes au champignon, je pris avec moi la tablette et ne mangea presque rien.

Après qu’elle m’ait dit bonne nuit, elle me dit que si je voulais vraiment je pouvais aller regarde ma soumise qui dormais profondément, mais que j’avais interdiction de la touche ou lui parler.

Je la remerciais alors et descendis à pas de loup pour regarde ma petite Libra.

La voir aussi proche et pourtant si loin me fit monte des larmes de frustration.

Après l’avoir regardé pendant les dix plus belles minutes, je remontais dans ma chambre pour aller dormir un peu rassurée sur le fait que finalement peut-être Alice était la soumise qui me convenait.

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