Ce n’était rien, juste un baiser
Dans l’ivresse d’un soir de fête.
Ton optimisme aphérésé,
En silence, tu perds la tête.

Dans l’ivresse d’un soir de fête,
Car lui n’avait d’yeux que pour toi.
En silence, tu perds la tête,
Prisonnière de tes abois.

Car lui n’avait d’yeux que pour toi,
Tu t’intriguas de ce sourire.
Prisonnière de tes abois,
Ce mal que tu ne sais décrire.

Tu t’intriguas de ce sourire,
De ses mots doux toujours flatteurs.
Ce mal que tu ne sais décrire,
Il te vicie l’âme et le cœur.

De ses mots doux toujours flatteurs,
Il abreuva tes innocences.
Il te vicie l’âme et le cœur,
Vertige défait de la danse.

Il abreuva tes innocences
En se glissant dans ton giron.
Vertige défait de la danse,
Extase liquide en flacon.

En se glissant dans ton giron,
Il te fit faire des giries.
Extase liquide en flacon,
Tout ce qu’on voit, c’est l’hystérie.

Il te fit faire des giries,
Tu oublias de refuser.
Tout ce qu’on voit, c’est l’hystérie,
Ce n’était rien, juste un baiser.