Chapitre 37

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Ça devient presque un réflexe, chez Amandine. Le dimanche, elle se réveille tôt, elle prépare le petit déjeuner le plus discrètement possible, pose le tout sur un plateau et vient attendre que je me réveille. Ce matin, c'est l'odeur du café dans la chambre qui me fait émerger. Elle pose le plateau sur la table de lit que j'ai achetée il y a peu, puis se met à genoux près de moi, au sol, attendant que je me réveille. Je prends mon temps, appréciant cette présence docile. Je sais que ce moment lui tend déjà les seins de plaisir. Rien que cette position d'attente, les mains sur les cuisses, les jambes légèrement ouvertes, lui procure un plaisir bien plus spirituel que physique.

Je dois prendre trop mon temps à son goût, car je la sens tirer sur la couette jusqu'à révéler mon sexe déjà à moitié tendu. La sachant alors préoccupée par ça, j'entrouvre un oeil et la voit se mordiller la lèvre inférieure, trémousser du bassin. Lorsqu'elle voit mon sexe grossir encore, elle ne peut s'empêcher de tendre sa main vers cette érection. Avant même qu'elle ne me touche, je toussotte et elle sursaute en reprenant sa position, tête baissée.

-- Tu te permettrais de toucher ton Maître sans sa permission, petite chienne?

-- Pardon, mon Maître. Mais c'est tellement beau...

-- Je pensais pourtant que les choses étaient claires, lui dis-je en m'asseyant. Attendre en position, sans bouger. Va chercher le sac, salope. Tu commences bien...

-- Oui, mon Maître, je suis désolée, mon Maître.

Se déplaçant à quatre pattes, Amandine file vers le sac posé dans le coin de la chambre. Elle croche avec ses dents dans les poignées puis revient près de moi, à la fois excitée et craintive. Une fois le sac déposé au pied du lit, elle reprend sa position d'attente et me demande:

-- Maître? Tu ne préfères pas corriger ta chienne le ventre plein?

-- Tu sais que le dimanche, je ne mange rien les couilles pleines, lui dis-je en attrapant la cravache dans le sac. Et si tu crois que tu vas me sucer avant ça, tu te mets le doigt dans l'oeil. Debout!

Je me lève d'un bond et la regarde se mettre debout. Elle sait d'elle-même quelle position prendre. Elle écarte légèrement les jambes, de façon à avoir les pieds bien plantés au sol et garder un bon équilibre. Elle remonte ses bras et croise ses mains derrière la nuque, puis bombe le torse. Ses mamelons sont tendus et cette vision m'excite. État que je sens partagé lorsqu'elle prononce ces mots:

-- Ta chienne te remercie de prendre le temps de l'éduquer avant le petit déjeuner. Je te suis si reconnaissante.

Je ne réponds rien. J'ai remarqué que je suis plus à mon aise dans ces moments sans parler. Je la caresse du bout de la cravache, la passe sur son pubis pour la faire frémir de plaisir, sous ses aisselles et elle se tend pour ne pas rire. Aussitôt, la cravache claque contre son sein. Elle se plie en deux, les mâchoires serrées pour ne pas crier. Je lui tapote le menton pour lui signifier de se remettre droite. Une fois la position reprise, elle n'hésite pas, le regard bien décidé à encaisser pour me rendre fier:

-- Merci Maître... Putain que c'est bon...

L'autre sein prend aussitôt et elle réussit à ne pas bouger, me souriant même en coin, fière de ne pas broncher. Jusque-là, elle a toujours eu du mal à supporter la cravache, qui est plus cinglante, plus aigue, que ma main. Mais il semblerait qu'elle évolue. Aujourd'hui, même si ça reste difficile, elle réussit à prendre sur elle, à rester quasiment droite. Elle contrôle sa respiration, garde les yeux ouverts pour anticiper au mieux le moment où l'outil de torture va s'abattre sur elle.

De mon côté, je prends mon temps. Pas d'acharnement, comme il peut m'arriver lorsque je la fesse copieusement. Je lui laisse le temps de reprendre son souffle. La voir ainsi est tout simplement impressionnant. Je tiens mon rôle au mieux car j'ai remarqué que si je montre un peu d'empathie, elle se laisse aller à la plainte. Alors que ce qu'elle désire, c'est se dépasser. Devenir ce dominant sans pitié va donc bien au-delà du plaisir de la dominer, de la maltraiter. Je ne vais pas mentir en disant que je n'y prends pas mon pied, mais une chose est claire: je ne prendrais jamais de plaisir s'il n'y avait pas son consentement. C'est ce qui fait toute la différence, et grâce à elle, grâce à cette relation, je comprends mieux, interprète mieux, tout ce qui se dit par rapport à ce fameux consentement.

Avec le sien, j'abats la cravache à de nombreuses reprises partout sur son corps. Les seins, bien sûr, mais aussi les cuisses, les molets, les fesses, le ventre et le dos, sans oublier ses bras. Je tourne autour d'elle et fait claquer le cuir où bon me semble. En ce dimanche, elle résiste particulièrement bien. Mon excitation diminue, je deviens plus concentré sur elle, ses ressentis, sa douleur. Son attitude m'aide aussi à continuer. D'autres fois, j'aurais déjà arrêté. Mais la voir trembler ainsi, tout en restant debout, se remettant tout de suite dans la position initiale lorsqu'un cri la plie en deux... c'est tout simplement magique. Surtout qu'au fur et à mesure que je marque sa peau, je vois son sexe couler de plus en plus, au point qu'un filet de cyprine pendouille entre ses cuisses, elles-mêmes reluisantes de son nectar si abondant malgré le traitement infligé.

Lorsque je pose la cravache sur le lit, elle est haletante, le corps en feu. Des larmes ont coulé sur ses joues mais elle ne renifle pas. Je m'approche d'elle, une main baladeuse sur sa peau striée.

-- As-tu appris quelque chose, petite chienne?

-- Oui, Maître, dit-elle péniblement. Tu ne laisseras rien passer lorsque je serai à tes pieds. Et je devrai toujours penser à ce que tu voudrais que je fasse, même si tu dors. Et je te remercie pour ça, pour faire de moi une bonne chienne comme j'ai toujours rêvé de l'être.

Je me plaque derrière elle. Rapidement, mon érection a repris toute sa vigueur et vient se loger contre sa vulve dégoulinante. Je passe mes bras autour d'elle et la serre contre moi, malaxant ses seins avec douceur et ondulant contre ses fesses brûlantes.

-- Tu m'as demandé de prendre cette place, et je m'applique à t'offrir ce que tu désires. Aujourd'hui, tu m'as montré à quel point nos dernières séances ont été bénéfiques. Tu sens comme je suis fier de toi, salope?

-- Oh oui, mon Maître. Je suis si heureuse que tu bandes aussi dur pour moi.

-- Je vais donc te donner autre chose que tu désires tant.

Je la déplace face au lit et m'assied devant elle, le sexe érigé à son paroxysme. Je lui dis de se mettre à genoux en gardant ses mains où elles sont, et j'insiste bien sur le fait qu'elles doivent y rester. Difficilement, elle descend puis ouvre aussitôt la bouche, le cou étiré vers ma queue pour l'avaler. D'une main dans sa tignasse, je l'oblige à tout avaler d'un coup.

Elle remue sa langue tout le long de ma verge, comme elle sait si bien le faire. Ça m'épatera toujours, autant que ça me rend dingue. Rapidement, elle en a des hauts le coeur, mais je ne lui relève que légèrement la tête et elle tousse en bavant sur mon chibre. Par réflexe, alors qu'elle perd un peu son équilibre, ses mains se posent sur mes cuisses et je la remets à genoux. Ses yeux expriment la surprise, la crainte, la déception de n'avoir pas pu garder ses mains où elles étaient. Et ma réponse ne se fait pas attendre. J'attrape ses tétons dans mes doigts et les écrase en tirant dessus et les tournant:

-- Je t'ai pas demandé grand-chose, petite chienne...

-- Je... suis désolée, Maître, je... aïe! J'ai perdu l'équilibre!

Je me lève d'un bond, encore une fois, et vais moi-même jusqu'au sac, puis reviens avec les menottes. Je lui attache les poignets et reviens à ma place avec un sourire en coin:

-- Maintenant, plus le choix. Tu apprendras que je préfère que tu tombes, plutôt que tu me désobéisses.

-- Oui, Maître, pardon!

Je passe ma main sur sa joue et la caresse avec tendresse. Mais je ne peux m'empêcher de lui sourire, de cette façon qui annonce une connerie, et je pense qu'elle sait déjà ce qui va se passer. Je la pousse sur le côté et la regarde tomber au sol, les mains toujours sur la nuque. Aussitôt, elle roule sur le côté pour se mettre sur le dos, sans rien dire, sans se plaindre. Je sais ce qu'elle pense, et je vois dans ses yeux qu'elle a aimé ma réaction. Mon coeur fait un bond, et je me jette sur elle.

Je plonge mon pieu de chair dans sa bouche et la baise ainsi. Pendant de longues minutes, il n'y a plus que mes râles, ses gémissements, ses étouffements, ses crachats, ses grandes inspirations pour remplir ses poumons d'air. Sa salive couvre toute ma longueur, mes bourses, mon bas-ventre, et coule sur son visage et même son cou. De ses yeux coulent des larmes abondantes et pourtant elle est heureuse, elle prend son pied.

À deux doigts d'exploser au fond de sa bouche, je relève mon bassin, haletant, en nage, et m'assieds sur sa poitrine pour la regarder. Son regard est plus qu'explicite: elle est exactement dans le même état que moi, prête à jouir sans même que son sexe ait été stimulé. Il ne m'en faut pas plus pour que mon foutre épais du matin asperge son visage, et je la vois jouir avec moi.

-- Oh merci, mon Maître! Tu es si bon avec ta petite chienne! s'exclame-t-elle en se trémoussant sous moi.

Je ne peux m'empêcher de me pencher sur elle, l'embrasser à pleine bouche, partageant mon jus qu'elle a réussi à recueillir dans sa bouche. Puis je descends, lèche ses seins gonflés, son ventre, passant sur les marques encore visibles de la cravache, avant de plonger entre ses cuisses. Une véritable flaque a souillé le sol et je me bâfre littéralement de son nectar légèrement sirupeux pendant qu'elle explose à nouveau, cette fois en couinant à en réveiller les voisins.

Je relève ma tête après ce qui me paraît un long moment et la vois quasiment inerte, le corps meurtri, reluisant de sueur, le visage poisseux de sperme et de bave... Et un large sourire accroché à ses lèvres. Je vais chercher la clé et lui détache les mains pendant qu'elle me regarde comme si j'étais un dieu, ce qui est aussi jouissif que déstabilisant.

-- Je vais devoir réchauffer ton café, me dit-elle toujours au sol en ondulant de plaisir.

-- Et prépare le tien en même temps, lui dis-je. Tu le prendras avec moi, aujourd'hui, à genoux au pied du lit. Mais avant ça...

Amandine me regarde avec étonnement en se relevant pour se mettre difficilement à genoux pendant que je vais ouvrir l'armoire et fouille dans l'étagère du haut. J'en sors un collier et une laisse, que je suis allé acheter il y a déjà plusieurs jours. On jouait déjà avec le sien mais celui-ci est, je trouve, beaucoup plus beau. Il semble que j'ai d'ailleurs bien choisi car dès qu'elle le voit, elle est excitée comme une gamine.

-- Oh putain, tu... Il est magnifique!

Et sans même que je ne lui demande quoi que ce soit, elle relève ses cheveux blonds pour que je puisse le lui passer. Fin et orné d'un anneau pour y accrocher la laisse, il est tout simple, mais à la fois solide et confortable. J'accroche la laisse puis recule un peu pour la regarder, les yeux pétillants de joie autant qu'elle.

-- C'est toi qui es magnifique, lui dis-je. À partir de maintenant, tu le mettras dès le réveil, le dimanche. Ça veut dire que si on part en soirée le samedi, tu devras penser à le prendre au cas où on ne rentrerait pas.

-- Bien, mon Maître! Tu peux me croire, je n'oublirai jamais de le prendre! Peut-être même devrais-je l'avoir tout le temps dans mon sac à main, au cas où, non?

Je ricane en guise de réponse, puis l'aide à se relever avant d'attendre mon petit déjeuner au lit. Et c'est pendant que nous mangeons, sans beaucoup se parler, mais que nos regards en disent long sur nos sentiments, que je décide de la suite de la journée. À quatre pattes, je la mène jusqu'à la douche où nous nous lavons l'un contre l'autre, avec forces caresses sensuelles et baisers langoureux.

Avec le temps qui passe, j'en ai oublié notre différence d'âge, et je suis vraiment de plus en plus heureux avec elle. Je n'ai plus aucune retenue dans l'expression de mon amour, même s'il reste que je suis amoureux de deux femmes et elle d'un seul homme. Je dois bien avouer que je soupçonne qu'elle aussi ait des sentiments pour Annais et Stéphane, qui ne s'expriment que lorsque nous sommes tous les quatre ensemble. Mais au lieu de me sentir jaloux, je pense pouvoir dire que c'est parce qu'elle partage cet amour pour eux que je l'aime autant, que je me permets de l'aimer autant.

C'est en début d'après-midi que je décide de mettre mon plan à exécution. Je lui passe moi-même une robe d'été fine à travers laquelle je peux voir ses aréoles plus sombres que sa peau, tout comme ses tétons qui pointent. N'étant pas tout à fait à l'aise avec l'image que peut renvoyer le fait de traîner sa compagne par la laisse en public, je la garde dans la poche alors que nous allons jusqu'à ma voiture. Elle a beau me demander ce que j'ai en tête, je ne lui dis rien et roule. Une fois sur la voie rapide, je lui dis de relever sa jupe, d'enlever ses chaussures, et de poser ses pieds sur le tableau de bord, puis lui donne la laisse pour qu'elle l'attache à son collier.

-- Maintenant caresse-toi, doucement. Sans jouir.

Je continue de rouler tranquillement, ma main droite malaxant ses seins au point de les faire sortir de la robe. Elle est rapidement trempée, les klaxons des gens qui nous dépassent l'excitant au plus haut point. Parfois, ils sont choqués, parfois excités, ou même hilares. Mais lorsqu'une Clio remplie de jeunes garçons nous surprend et ralentit pour rester un moment à notre hauteur, je décide qu'il est temps de faire ce que je voulais depuis le départ. Je n'ai pas le temps de tous les voir, mais les deux du côté passager sont plutôt mignons et devraient plaire à ma belle chienne qui semble aussi excitée que stressée en comprenant que je leur fais signe de nous suivre.

-- Tu es le mec le plus pervers que je connaisse, Maître, me dit-elle une fois que la voiture se soit remise derrière nous.

Je prends la première sortie et rapidement, nous nous retrouvons sur des routes de campagne. Il me suffit d'entrer dans un chemin en terre qui mène à des champs de maïs. À cette époque de l'année, les agriculteurs ne s'en occupent pas. Lorsque je stoppe le moteur, nos cinq jeunes gens mettent un petit moment avant de descendre. Ils finissent pourtant par pointer le bout de leur nez et je remarque qu'un d'entre eux est une demoiselle. Ils arrivent tous côté passager et j'ouvre la vitre en annonçant la couleur:

-- Vous pouvez la caresser, vous faire sucer, mais elle ne sort pas de la voiture. Si vous respectez les régles, on va tous bien s'éclater. Sinon, on se barre.

Ils hochent la tête, bavant déjà sur ma belle blonde qui leur sourit en continuant de se caresser. Je remarque que la demoiselle reste en retrait. Je sais que je vais essayer de la faire passer de mon côté, mais pour l'instant, je m'occupe de m'assurer que tout se passe bien. Dans un premier temps, ils restent plutôt sages, passant des mains à travers la fenêtre pour caresser les seins d'Amandine qui me lance des regards en feu. J'attrape sa laisse et la tire vers moi pour l'embrasser à pleine bouche.

-- Merci, me souffle-t-elle à mi-voix. Merci Maître.

Et dans un sourire, je montre aux petits jeunes comment la caresser mieux. Ma main malaxe son sein, puis vient tirer sur son téton. La douleur la pousse à se branler de plus belle, en gémissant déjà. Je lui claque le sein et lance aux voyeurs:

-- Faites-vous plaisir, cette petite salope ne demande que ça.

Je comprends alors que l'excitation a monté d'un cran dans sa tête quand je l'entends leur dire:

-- Sortez vos queues, les gars, je vais tous vous faire gicler.

Ils hésitent pourtant. Sortir leur queue les uns devant les autres, ils ne l'ont sûrement jamais fait, et encore moins devant leur copine qui a reculé un peu, laissant la place aux gars, restant simple spectatrice de ce moment pervers, le plus pervers de sa vie. Amandine se jette sur le premier qui ose enfin exhiber son sexe tendu. Il râle d'un plaisir intense en sentant la langue de ma blonde s'agiter le long de sa verge qu'elle a avalé en entier.

-- La vache! lâche un des autres gars.

N'y tenant sûrement plus, il ouvre son pantalon à son tour pendant que la fille a ses deux mains devant la bouche en assistant à la scène. Bientôt, ses quatres amis ont la bite à l'air et se branlent doucement en attendant leur tour, tendant les bras comme ils peuvent pour caresser ou pincer les tétons d'Amandine qui pompe maintenant sérieusement le premier alors que le deuxième la doigte vigoureusement.

C'est en sentant ma propre queue pousser sur mon jean que je me rends compte que je me retrouve à la place de Stéphane. Je comprends tout à fait pourquoi ça l'excite autant. Je continue de tenir sa laisse en la regardant, hypnotisé. Une douleur entre mes cuisses me fait revenir parmi eux et je braque mon regard sur la jeune fille qui, tout en paraissant outrée, ou hallucinée de ce qui se passe, s'est rapprochée et regarde ma chienne sucer son pote avec une certaine envie dans les yeux. Je la surprends même à regarder les pieux tendus des autres, n'ayant peut-être jamais imaginé à quoi pouvait ressembler leur sexe. Car il est clair qu'aucun d'eux n'est son petit copain. Alors dès que son regard croise le mien, je lui fais signe de faire le tour.

Le premier laisse sa place à un autre pour ne pas décharger tout de suite, en promettant aux autres qu'il n'a jamais été aussi bien sucé de sa vie. Amandine est tellement à son aise qu'elle se met à quatre pattes sur son siège et passe son torse à travers la fenêtre. Alors les choses accélèrent. Elle branle, suce, de droite et de gauche. Les garçons ayant un accès plus libre à son corps ne se font pas prier, ricanant et gémissant à la fois. Ses seins sont pelotés, malaxés, tirés et même giflés. Tout comme ses fesses tournées vers moi. Sa croupe dégoulinante se fait rapidement doigter et quand un gars n'a pas la place pour enfoncer son doigt dans son con, il le met dans son cul.

Obnubilé par le spectacle, je sors ma queue à mon tour et me branle, sans remarquer que la jeune brune est arrivée de mon côté. Je sens sa main se poser sur mon torse et sursaute presque en me tournant vers elle. Timidement, elle me sourit et se penche un peu pour faire glisser sa main jusqu'à mon membre tendu. Je passe alors ma main dehors et lui caresse les fesses moulées dans un legging pour l'inciter à continuer.

Régulièrement, elle pose ses yeux sur moi, de moins en moins timide. À travers son pantalon, je la caresse entre les cuisses, ressentant la chaleur qui l'habite alors que les grognements de plaisir ne cessent plus de l'autre côté. Avec douceur, pendant qu'elle m'astique énergiquement en se mordant la lèvre inférieure, je tire son legging vers le bas, à la fois ravi et surpris qu'elle me laisse faire. Mes doigts découvrent un vagin étroit et ruisselant de cyprine que je m'empresse de goûter en lui souriant, avant de lui demander:

-- Tu veux y goûter? Tu peux me sucer, si tu veux.

Le regard fuyant, elle hoche pourtant la tête et je sens bien la contraction sur mon doigt en elle que provoque ma proposition. J'ouvre alors la portière et termine de baisser mon pantalon. À côté de moi, ma blonde semble déjà sur le point de les faire jouir. Ils se sont mis en demi-cercle devant elle et les suce et branle chacun leur tour, sans en délaisser un seul, littéralement déchaînée. La demoiselle se penche vers mon chibre reluisant de présperme et se met à me suçoter le gland, une main fermement accrochée à sa base. Elle se met à aller et venir alors que je tends le bras pour accéder à sa croupe à l'air, et écarter son petit vagin de deux de mes doigts. Elle se met à couiner sans s'arrêter de pomper, ses cheveux caressant mon ventre et mes couilles.

-- Putain, elle est en train de le sucer! s'exclame un des gars de l'autre côté.

-- Elle a bien raison de profiter, lui lance un autre avant de grogner de plaisir.

Vu qu'ils ont délaissé les orifices de ma blonde, je décide de m'en occuper en même temps que ma petite suceuse. Je pose ma main sur son cul et enfonce mon pouce dans son sexe, rapidement suivi de mon index dans son anus. Les deux mains offrant du plaisir, la queue sucée par une inconnue qui semble vouloir s'essayer à m'avaler le plus possible, je me laisse aller au fond de mon siège, aux anges. Je ne suis même pas certain qu'Amandine ait réllement remarqué l'introduction de mes doigts, tellement elle aime sucer ces quatre gars en même temps.

Ma jeune pompeuse prend une bonne inspiration avant d'enfoncer mon sexe le plus possible dans sa bouche, puis je sens mon gland se faire emprisonner, les contractions de sa gorge. Pourtant, elle force encore, me fait râler d'un plaisir intense tout en bavant sur mon bas-ventre. Dans le même temps, elle se met à jouir. Elle relève rapidement la tête et remue la croupe sur mes doigts comme s'il s'agissait d'une queue, une main pressant mes bourses, l'autre enfonçant ses ongles dans la peau de mon ventre. Elle couine, râle, grogne, s'agite de plus belle et je lui offre ce dont elle a besoin en enfonçant fermement mes doigts tendus en elle, les remuant en rythme avec ses spasmes de jouissance. Le relâchement de son corps me fait penser au mien lorsque je jouis. Et pour cause! Un véritable tsunami sort en geyser de ses cuisses et arrosent ma main autant que son legging en lâchant des petits cris aigus à chaque jet abondant qui s'échappe de son sexe.

Au point que même Amandine se retourne pour voir ça. Elle est en sueur, les cheveux en vrac, les larmes sur les joues. Les quatre garçons se penchent aussi pour regarder, hallucinés de ce qu'ils voient. De mon côté, si je suis aussi impressionné qu'eux, je compte bien profiter du moment. Mes doigts quittent Amandine pour attraper la tignasse de la fille et lui plaquer la tête contre mes cuisses, son visage caressant ma verge. Et je la branle. Sauvagement. Les jets diminuent mais sont bien présents. Les yeux fermés, elle subit avec autant de plaisir que de honte.

Je finis par retirer mes doigts de son antre et elle rouvre les yeux sans oser les poser sur qui que ce soit. Amandine est loin de n'être qu'une salope sans cervelle, je le sais depuis longtemps. Un voile attristé passe sur son visage en voyant la jeune femme honteuse, essayant de remonter un legging trop collant en marmonnant des "putain, mais qu'est-ce que j'ai fait". Alors elle se remet assise sur son siège et détourne l'attention des gars de leur copine qui aura sûrement du mal à s'en remettre:

-- À votre tour, mes mignons. Venez me donner votre foutre.

Elle se met à en branler un, passant son pieu à travers la vitre pourqu'il éjacule sur elle, sur ses seins de préférence, ou son visage. Je décide alors de la laisser gérer, ne pouvant laisser la jeune femme avec ça. Alors qu'elle essaye de se relever pour partir, je lui attrape le bras et elle a d'abord le réflexe de se défaire de mon emprise. Je ne force pas. Je ne force jamais.

-- Comment tu t'appelles? lui demande-je lorsque son regard plein de honte et de reproches se pose sur moi.

-- Carine, me répond-elle en baissant les yeux.

Voyant qu'elle ne semble plus avoir envie de s'éloigner, je prends le temps de remonter mon pantalon alors que le premier crache son foutre sur le visage d'une Amandine aux anges qui le remercie en aspirant les dernières gouttes, avant de passer au second. Celui-ci n'a même pas besoin d'aide. Il se vide les couilles sur les seins de ma blonde et laisse la place au troisième avant même que j'ai refermé les boutons de mon pantalon, pas vraiment aidé par la trique qui ne redescend pas d'un poil. Carine reste accroupie près de moi, n'osant sûrement pas se relever tout de suite et affronter le regard de ses amis, mais les regardant furtivement jouir sur Amandine. Je lui caresse la joue et lui relève le visage vers moi en lui souriant, juste après avoir vu le foutre du dernier gicler abondament sur le visage et les cheveux d'Amandine. Celui-ci n'hésite pas un instant et se penche pour l'embrasser, mais Amandine se dépêche de les renvoyer à leur voiture, devinant parfaitement mes intentions:

-- Merci mes chéris, vous avez été adorables, leur dit-elle d'une voix sensuelle. On vous la rend rapidement. Et soyez cools.

Ils hochent la tête et lui promettent de rester corrects envers leur amie avant de filer vers leur voiture. À peine ont-ils commencé à s'éloigner que la jeune Carine nous dit:

-- Je vous ai gâché votre plaisir.

-- Crois-moi, tu n'as rien gâché du tout, lui répond Amandine en se laissant tomber au fond de son siège.

-- Tu n'as pas à avoir honte de ce qui s'est passé, lui dis-je.

-- Comment ils vont me voir, maintenant?

-- Comment tu les vois, toi? Tu les apprécies moins parce qu'ils se sont fait sucer par ma chienne?

-- Non, mais... C'est des gars, c'est pas pareil...

-- Hé ben dis-toi bien que s'ils ne te respectent plus après ça, c'est pas des gars, mais des connards finis qui ne méritent sûrement pas que tu t'attardes sur eux, lance Amandine après s'être nettoyé le visage de ses doigts fins. Tu sais quoi, Carine? Si un de ces mecs te fait quelque misère que ce soit, tu n'hésites pas à m'appeler et je m'en occuperai.

Elle attrape un papier et un crayon dans la boîte à gants sous les ricanements nerveux de Carine. Elle pose les doigts sur le papier et hésite un instant, en entendant ce que lui dit Amandine:

-- Même s'ils ne te font pas chier, tu peux m'appeler... Et terminer ce que tu as commencé, rajoute-t-elle avec un coup d'oeil vers ma bosse encore bien visible.

Carine reste regarder ma blonde, interdite, puis me regarde, rougissant. Elle ramasse enfin le papier dans sa poche avant de se relever.

-- Je le ferai, l'entends-je dire avant qu'elle ne s'éloigne, le regard toujours baissé mais le pas assez décidé.

Dans le rétroviseur, je guette leur réaction et suis rassuré en voyant que tout semble normal. Ils reculent et s'en vont alors que je me tourne vers Amandine qui me sourit:

-- Merci du fond du coeur, Maître. C'était une expérience délicieuse. Je te suis tellement reconnaissante!

-- Par contre, va falloir me finir, salope. C'est pas le tout de faire jouir des gosses, il y a ici une queue qui ne demande qu'à te remplir.

Et sans hésiter un seul instant, ma belle et délicieuse compagne, amante et chienne se fait un point d'honneur à me rendre aussi heureux qu'elle l'est. Amandine dans toute sa splendeur qui fait remuer les amortisseurs de la voiture.

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