Chapitre 1

14 minutes de lecture

Le soleil est revenu. Enfin. Et les tenues légères avec lui. Voilà une journée de travail ponctuée de rêvasseries à regarder les jupes courtes, les décolletés généreux. Le genre de journée qui me donne envie de baiser à peu près tout ce qui bouge. Et je ne suis pas du genre maniaque qui ne craque que sur les rousses, ou que sur les grosses poitrines. Non, moi j’aime toutes les femmes qui s’assument en tant que telles et ne se sont pas laissées abuser par notre société qui tente de garder des bases patriarcales, tout en répétant aux gens qu’il faut changer et accepter le progrès. La vérité, c'est que cette élite a toujours eu peur du pouvoir des femmes. Moi, il m’attire, m’excite. J’en suis accro.

Je ne suis pourtant pas un soumis qui aime sentir la pointe d’une chaussure à talon sur ses bourses. Quoi que ça pourrait peut-être être une expérience intéressante. Non, moi, je suis plutôt du genre dominant. Sans non plus vivre uniquement de cette façon, mais dès que je sens la moindre petite goutte de désir chez une femme, et si cette femme me plaît un tant soit peu, c’est comme une brèche dans laquelle je m’enfouis corps et âme. C’est plus fort que moi. Mais je ne charme pas. Je ne joue pas avec les sentiments des femmes, du moins je m'efforce à ne pas le faire. J’ai retenu les leçons de Don Juan : le mensonge n’est pas un moyen acceptable pour arriver à ses fins. Je propose du physique, et si elles sont partantes, je fais tout mon possible pour que ce soit inoubliable.

Je vous entends déjà penser que je suis un de ces connards qui ne pense qu’avec sa queue, qui se croit le meilleur coup du monde, qui promet des parties de jambes en l’air dont elles ne se remettront pas et qui explose au bout de deux minutes. Je vais être honnête : je ne suis pas endurant, je ne peux pas limer une chatte pendant trente minutes d’affilée. D’abord parce que je jouis bien avant ça. Ensuite parce que je pense qu’on me retrouverait raide mort, au bout de quinze.

Et puis, je ne baise pas toutes celles que j’ai envie de baiser non plus. Beaucoup me fuient ou me font rapidement comprendre que ce n’est pas la peine d'espérer quoi que ce soit. Et contrairement à Don Juan, je supporte très bien l’échec !

Alors vous vous dites que si je multiplie les conquêtes mais suis encore célibataire à 38 ans, c’est que vraiment aucune d’elles n’a eu envie de plus que ce coup de bite. C’est vrai et faux à la fois. Ça n’est jamais allé beaucoup plus loin parce que ça n’a jamais été le but, et que je n’en ai jamais eu envie moi-même. J’ai bien eu des histoires d’amour, mais aucune n’a débuté de cette manière. Comment peut-on être monogame et heureuse avec un type qui ne peut s’empêcher d’avoir des attitudes pleines d’allusions sexuelles avec toutes les femmes qui le regardent un peu trop gentiment.

Mon problème, c’est mon imagination. Il suffit d’un geste, d’un regard, ou d’un mot. Puis elle se met en branle sans même que je ne puisse faire quoi que ce soit. Une femme désirable à mes yeux me touche le bras avec un poil trop d’insistance pendant une soirée, et la seconde d’après, je la vois me branler en me demandant de la prendre bien au fond. La plupart du temps, j’arrive à me tenir, je vous rassure. Je vis constamment avec les fantasmes qui m’accompagnent, je m’y suis fait. D'ailleurs, c’est plutôt agréable… Surtout quand il fait beau et chaud comme aujourd’hui et que les tissus sur les corps aiguisent mon imagination débordante.

Depuis mon bureau, au premier étage, j’ai accès à un petit balcon avec vue plongeante sur une rue passante. Il m’arrive souvent de faire une pause, accoudé au garde-corps en fumant une cigarette et sentir avec délice la naissance d’une érection, alors que je m’imagine le visage ou le sexe enfoui dans un décolleté qui passe sous mon nez. Tout à fait le genre de pause qui me remotive pour une heure ou deux de travail. Cette fois, ma pause est interrompue par la réception d’un message sur mon téléphone. Je pose ma clope dans le cendrier et vais jusqu’à mon bureau, puis reviens sur le petit balcon en lisant le texto de mon pote Stéphane : « Apéro-barbecue à la maison après le taf. Tu nous rejoins ? ». Aussitôt, mon érection grandit. Je réponds que j’en serai sans hésiter.

Stéphane est marié depuis quelques années à Annais. Une de celles que je n’ai jamais eues. Elle est belle à s’en damner. Elle dégage une sensualité à vous faire oublier toute convention. Quand elle vous sourit, il n’y a plus que ça au monde. Un truc de dingue. Je dois bien avouer que j’aime quand il m’invite chez eux. Je peux la reluquer discrètement, la surprendre dans des situations très inspirantes pour mon imagination. En plus, Stéphane est quelqu’un de cool. Même si je n’arrive pas à comprendre comment il peut faire pour ne pas passer son temps à la baiser. Il m’en a parlé. Ils baisent très peu. Il n’a même pas l’air d’être dérangé par ça. Autant vous dire tout de suite que cette discussion autour d’un énième verre, il y a quelques mois, a ranimé mes fantasmes.

Mais malgré ça, ils semblent sincèrement amoureux. Alors je refoule le plus possible. Mais des fois, c’est juste impossible. Surtout depuis l’été dernier. On était parti un week-end en camping. Stéphane, moi, Annais, et Katell, ma copine du moment. Enfin… Jusqu’à ce que j’apprenne qu’elle était mariée. Ça a donné un sacré coup dans l’aile à notre début d’idylle qui durait depuis huit jours.

Je pense que mes activités nocturnes avec Katell, une fois couchés, leur avait donné des envies, qui se sont concrétisées le matin, au réveil. Katell dormait profondément mais je les ai entendus. J’étais dans un état en imaginant Annais chevaucher Stéphane. Ça doit être quelque chose à voir, ça !

J’étais donc bien dur. L’idée de réveiller Katell m’avait bien traversé l’esprit, mais j’avais voulu attendre qu’ils aient fini, profiter de ses petits gémissements retenus, m’en imprégner, pour nourrir mes futurs fantasmes à propos d'elle. Je commençais d’ailleurs à caresser doucement la peau de Katell quand j’ai compris qu’Annais partait prendre une douche. Il était bien tôt, et peu de personnes étaient réveillées dans le camping. Justement le bon moment pour prendre une douche tranquille.

Je suis sorti de la tente peu de temps après elle. Je me suis dirigé droit vers le bâtiment dans l’espoir de je ne sais pas trop quoi… Apercevoir un bout de peau, avoir un petit moment d’intimité avec elle, le genre de truc qui peut faire déraper. En tout cas, quand on a une imagination comme la mienne. Contrairement aux toilettes, les douches sont mixtes. J’ai vite compris qu’il y avait d’autres personnes en train de se laver déjà, alors j’ai erré quelques secondes, l’oreille tendue pour savoir dans quelle cabine elle était allée prendre sa douche. Avec dans l’idée de prendre la mienne dans celle d’à côté.

Vous connaissez sûrement ce genre d’endroit. Les portes qui ont toutes un petit jour en bas. Lorsque j’ai reconnu sa voix fredonnante dans la cabine, mon regard est descendu sur le bas de sa porte. Et là, c’était comme si c’était fait exprès. Il ne dépassait qu’un tout petit peu, mais j’ai reconnu le tissu d’une culotte. J’ai tout de suite compris : elle avait joui puis avait remis sa culotte pour venir ici. Non seulement mes fantasmes allaient pouvoir être agrémentés de ses gémissements, mais pourquoi pas aussi de son odeur ? Un rapide coup d’œil vers la sortie et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire ou même le penser, je m’engouffrais dans la cabine juste à côté de la sienne avec sa culotte à la main, quasiment certain qu’elle n'avait rien remarqué.

Je me suis enfermé en tremblant. Et si elle comprenait que c’est moi ? Qu’est-ce qu’elle dirait ? Trop tard pour reculer. Autant en profiter pleinement. Et l’érection qui venait de se produire dans mon short ne pouvait pas passer toute seule. Je me suis donc mis nu, la sachant nue elle aussi de l’autre côté du mur. Je l’imaginais les seins ronds et fermes aux mamelons parfaitement dessinés, un ventre à la peau douce, des fesses rebondies, un pubis entièrement rasé, qui surplombe une vulve belle comme une fleur et je me suis caressé. Je me suis longuement branlé en reniflant sa culotte. Elle a un petit quelque chose de sucrée, sa cyprine. Je ne pensais même pas que c’était possible. Les yeux fermés, je me voyais la lécher, la faire jouir rien qu’avec ma langue, de nombreuses fois. Elle en redemandait constamment.

C’était tellement bon que je ne sais même pas si je n’ai pas gémi un peu en crachant mon foutre dans la douche. Mais le fait est que je n’ai jamais entendu parler de cette culotte manquante. En même temps, comment aurait-elle pu deviner que c’était moi ? Katell était une bombe, il faut bien l'avouer, et doublée d’une sacrée cochonne. Comment aurait pu Annais croire que je fantasmais à ce point sur elle ? Mais comme je le disais, c’est physique. Un jour, il faudra que je me sente en elle.

Et ce soir, comme bien souvent, en m'ouvrant la porte, elle m’accueille avec son sourire hypnotique. Sa jupe courte n’est pas sans effet sur moi mais j’essaye de ne pas m’attarder sur ses jambes. Ni sur son chemisier presque transparent, même si je remarque que le noir de son soutien-gorge dénote beaucoup avec le blanc de son haut. Elle me fait la bise et son parfum me fait l’effet d’un appel à la luxure.

Heureusement, Stéphane arrive rapidement et me serre énergiquement la main avant de m’offrir une bière fraîche. Arrivés dans le jardin où leurs enfants jouent, je constate que tout est déjà prêt. L’avantage d’avoir une femme qui travaille à domicile, j’imagine. L’apéro peut en tout cas commencer.

Je me détends un peu, la discussion est légère, agréable. J’arrive même à en oublier tous mes fantasmes, même si je ne peux m’empêcher de jeter des petits coups d’œil par-ci, par-là. Après la bière, Stéphane sort le vin, pour accompagner la viande qui a fini de cuire. Il part chercher les morceaux pour les enfants, qui attendent à l’intérieur.

Ces moments où je me retrouve en tête à tête avec Annais sont toujours une petite épreuve. J’ai l’impression qu’une légère gêne s’installe de part et d’autre, pendant quelques secondes. Comme quand on se retrouve face à quelqu’un à qui on n’a rien à dire et qu’il faut chercher un sujet de discussion. Sauf que dans mon cas, c’est plutôt qu’il y a des choses que je m’empêche de lui dire. Pendant quelques secondes, mon imagination est incontrôlable, et il me faut un certain self-control pour ne pas que ça se voit.

Elle lance une discussion, cette fois. Je crois qu’elle me parle du boulot, j’avoue être légèrement ailleurs. Je n'ai plus qu'une idée en tête : je veux voir la couleur de sa culotte. Oui, depuis le jour au camping, j’aime bien surprendre un petit bout de sa culotte. Je suis un grand nostalgique, que voulez-vous ! Elle a beau croiser les jambes en buvant son verre de vin, je laisse quand même tomber ma cigarette par terre. Rapidement, je tourne la tête vers ses jambes, juste au moment où Stéphane l’appelle.

Elle décroise les cuisses pour se lever. Je cligne des yeux, sursaute et me cogne la tête en-dessous la table. Elle n’en porte pas. Ce n’est pas mon imagination. J’ai clairement vu ses lèvres. Et lorsque je ressors de sous la table, je pense être écarlate. Je me frotte l’arrière du crâne et tombe devant une Annais qui me sourit en coin, déjà debout :

– Ça va, Julien ? Rien de cassé ?

– Non, non, t’inquiète ! J’ai l’occipital solide !

Elle ricane et s’en va rejoindre Stéphane avec les petits. Je suis hanté par cette vision. Et ce petit sourire en coin. Est-ce qu’elle a compris que j’ai vu ? Discrètement, j’avale mon verre de vin cul-sec pour me remettre les idées en place et m’en ressers un aussitôt.

Je veux absolument la baiser. Je veux sentir ma queue bien au chaud au fond de son ventre. La faire gémir comme dans le camping, goûter à sa cyprine sucrée.

Quasiment tout le long de la soirée, je lutte contre l'envie de mon cerveau et de mon corps de s’abandonner aux images salaces projetées dans mon esprit par mon imagination devenue incontrôlable depuis cette délicieuse vision. Stéphane et moi descendons plusieurs verres. J’ai beau être d’un gabarit bien inférieur au sien, il ne tient pas l’alcool aussi bien que moi. Il faut dire que j’ai commencé tôt. Peut-être trop tôt, diront certains. Mais ça me permet non seulement de bien tenir, mais en plus de savoir quand je dois ralentir, ou arrêter, suivant l’ivresse que je veux atteindre.

Mais ce soir, j'hésite. J’ai envie de boire assez pour oser faire comprendre à Annais que j’ai envie d’elle, mais pas trop pour ne pas le faire n’importe comment. Il est pourtant clair que j’ai bu assez pour ne pas réussir à m’empêcher de la reluquer de façon parfois insistante.

– Toujours avec nous ? me fait-elle alors que mes yeux s’étaient rivés au niveau des boutons de son chemisier, ouverts un peu plus tôt.

– Pardon ! Je pensais à un truc… Tu disais ?

– Je disais que si vous continuez sur ce rythme, je vais te préparer la chambre du bas. Tu ne vas pas prendre ta voiture.

– Ouais, reprend Stéphane. Comme ça, je pourrai te faire goûter la goutte de mon grand-père. Vingt-cinq ans d’âge, t’as l’impression de boire du petit lait !

Annais se lève pour aller jusqu’à la chambre. Une seconde, je reste comme subjugué. C’est comme si elle ne s’en rendait pas compte, mais elle a parfois des gestes qui sont d’une sensualité. Et l’innocence dont elle fait preuve en rajoute encore. Je me lève d’un bond :

– T’embête pas, Annais, je vais le faire. Donne-moi juste les draps, je les mettrai moi-même.

Stéphane en profite pour ranger les assiettes et préparer le digestif, pendant que je suis Annais jusqu’à la chambre que je connais bien, maintenant. Ce n’est pas la première fois que je reste dormir chez eux. Alors qu’elle se tend pour attraper les draps en haut de l’armoire, je reluque son superbe arrière-train. Qu’est-ce que je ne donnerais pas, là, pour me mettre à genoux derrière elle, lui soulever la jupe, et enfouir mon visage dans ses fesses. Bordel, je lui boufferais la croupe sans répit, jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter.

Je sursaute presque, quand elle se retourne vers moi. Elle me sourit encore en coin, sans savoir, sûrement, ce que ça provoque chez moi. Je fais de mon mieux pour ne pas le lui montrer, aussi. Je prends les draps en la remerciant et commence à les étaler sur le lit.

– Moi, je suis claquée, je vais te souhaiter une bonne nuit, me fait-elle.

Penché sur le matelas pour y mettre l’alèse, je me relève pour lui faire la bise alors qu’elle s’avançait vers moi pour faire de même. Sûrement à cause d’un verre de trop de sa part, elle évalue mal la distance et se retrouve tout contre moi quand je me redresse. Elle manque basculer en arrière, alors je la retiens. Je sens ses seins écrasés contre mon torse et je rougis malgré moi.

– Bonne nuit, me dit-elle en tendant sa joue. Et ne faites pas trop de bruit, les enfants dorment.

Gardant ma main calée dans le creux de son dos, j’embrasse sa joue chaude et douce, puis l’autre. Ma barbe de huit jours doit la piquer, mais elle appuie volontiers sa tête contre la mienne pour participer pleinement à cette embrassade. Amicale. Et pourtant, je sens que je vais bander. Au point que je la retiens sûrement une petite seconde de trop contre moi. Elle baisse le regard sans pour autant exprimer de gêne et pose sa main sur mon torse comme pour me repousser. Par réflexe, je la lâche et elle me sourit encore de cette façon en relevant les yeux sur moi avant de s’écarter d’un pas en marche arrière.

– Fais de beaux rêves, me lance-t-elle avant de se retourner vers la porte.

– Toi aussi.

C’est tout ce que je suis capable de lui répondre. Et merde, je bande. Comme un âne. Je me remets à mettre les draps et les entends à côté :

– Je suis crevée, mon chou, je vais monter me coucher.

– Ok, chérie. On essayera d’être discret.

– N’oublie pas que tu te lèves tôt, demain.

– Ouais, ouais, t’inquiète ! Mais c’est Sébastien qui se tapera les deux heures de route à l’aller, je pourrai me reposer encore un peu. C’était sympa, ce petit barbecue improvisé ! C’était une excellente idée !

Mon imagination n’a pas besoin de plus. Annais elle-même a eu l’idée de ce barbecue en semaine, la veille d’un jour où Stéphane doit partir très tôt. Je prends une grande inspiration pour me calmer, tout en terminant de mettre les draps. Et une fois que je suis sûr que mon érection n’est plus visible, je rejoins Stéphane dans le salon où nous attendent verres et bouteille.

J’aime beaucoup Stéphane. Vraiment, c’est un super pote. Mais pendant qu’on plaisante en buvant un verre, puis deux de la goutte du grand-père, je n’arrête pas de penser à la chatte de sa femme. Je dois bien avouer que je suis un peu soulagé lorsqu’il m’annonce qu’il va se coucher. On se souhaite une bonne nuit et je me retrouve seul dans la chambre. Seul dans le noir avec mes fantasmes qui me hantent. Je ne tarde pas à me branler en l’imaginant me sucer, un de ses doigts fins qui caresse ma prostate ; ou la prenant sauvagement sur mon bureau, lui tirant les cheveux et lui intimant de ne pas faire de bruit ; ou encore en 69, lui dévorant la croupe pendant qu’elle me pompe comme une folle. Il ne me faut pas longtemps pour jouir, à genoux sur le matelas, déversant mon foutre dans le creux de ma main avant de l’avaler. Ni vu ni connu.

Mon esprit peut enfin s’apaiser quelques minutes. Du moins cette tension en moi. Parce qu’au moment de m’endormir, je la vois m’offrir une sorte de lap dance, sentant sa poitrine s’écraser contre mon torse. Et juste avant de sombrer dans le néant, une certitude s’empare de moi : toute cette soirée était préparée par elle. Elle a fait en sorte que Stéphane m’invite, elle n’a pas mis de culotte, son chemisier transparent, ses petits sourires, son corps contre moi. Stéphane ne la baise plus assez et elle veut que je m’en charge.

Annotations

Vous aimez lire Zeppo ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0