Chapitre 4 : Canyon et combats féroces.

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Au pied des montagnes, se trouvait bien le dernier village séparant notre trio d'aventurier d'un chemin les menant de l'autre côté de la muraille de roche.

Et dans ces montagnes, point de villages ?

Alors si, mais bien loin du passage en question. Prendre ces routes, parcourir les habitations de ces plateaux rocheux leur aurait fait faire d'immense détour. Eux, ne cherchaient que le moyen le plus court, le plus rapide pour se rendre en Grèce, même s'ils préférèrent faire une dernière halte en début d'après-midi. Ils séjournèrent dans l'auberge jusqu'au lendemain.

Encore une histoire d'alcool... Le contraire aurait été surprenant.

L'auberge était une large bâtisse en bois en forme rectangulaire, ayant un étage comportant une vingtaine de chambres, et un vaste comptoir pour servir une cinquantaine de tables...


Vous tentez d'éviter le sujet ?


Pas du tout, mais parler de l'auberge reste plus pertinent, car c'était aussi et avant un point de relais pour tous ceux voulant traverser les Alpes. Ils avaient besoin avant tout de se renseigner sur le chemin qu'ils souhaitaient emprunter et c'était le meilleur endroit pour ça. Ils tentèrent de faire le tour des tables de l'auberge, mais personne ne put leur donner la moindre information car les lieux étaient étrangement presque vides. Quand ils louèrent des chambres au patron, un vieil homme massif et bien bâtit aux nombreuses cicatrices, révélant un passif de guerrier ou d'aventuriers, celui-ci qui avait compris ce que cherchaient les aventuriers. Tout en leur offrant à boire...


Ha ! Nous y voilà enfin.


Disons que ça compte comme un geste de sympathie, de convivialité.


Voilà ! Donc, il leur offrit à boire et commença à leur parler du sentier qui traversait les montagnes :



  • À votre place, les jeunots, j'éviterais de passer par là.


  • Pourquoi ça ? demanda Edris.


  • Ce chemin passe par un canyon très dangereux.


  • Il a quoi de si dangereux ? insista Kendraff.


  • Paraît que ces derniers temps de nombreux voyageur ont eu tendance à y disparaître. Plus personne n'ose s'y aventurer. C'est pour cela que mon auberge, autrefois si souvent fréquentée, se retrouve désormais au bord de la faillite.


  • On ne va quand même pas renoncer pour des rumeurs ! s'exclama Adarius. On ne sait même pas si ces voyageurs ont vraiment disparu ou s'il ne s'agit que de rumeur due à des histoires qu'on raconte pour se faire peur.


Alors, il est bien gentil votre adolescent romain, mais quand un vieux baroudeur donne un conseil, c'est rarement pour faire peur ou se moquer.


Vous êtes encore là, vous ?


Nous sommes toujours en Gaule dans cette partie du récit, donc oui. Je vous accompagnerais jusqu'au bout de cette aventure à travers les Alpes.


Soit, mais concernant le «vieux baroudeur», comme vous dites, ce n'était pas son conseil qu'Adarius remettait en question mais plutôt ce qu'impliquerait. Ils feraient un long détour et cela ne les effrayait absolument pas d'affronter le danger. Pourtant, le tavernier ne semblait pas vouloir les laisser suivre leur instinct.


  • Si j’étais vous, je descendrais Sud jusqu'au port de Massilia. Un voyage par la mer serait plus long, mais aussi plus sûr. M'est avis que si vous insistez pour passer par les Alpes, vous aurez certes de l'action mais vous ne vivrez pas très vieux.

  • On va y réfléchir, répondit Kendraff. Pour l'instant, on prendra juste trois chambres, ainsi que des repas pour ce soir et demain matin.

  • Comme vous voudrez, les jeunots. Mais tenez compte quand même des avertissements d'un vieux baroudeur.


Ha bah voilà ! Même lui il se qualifie en tant que tel.


Oui... bon... C'est surtout que nous on sait déjà ce qu'il s'est passé donc pas de quoi fanfaronner. Alors plutôt que d'interrompre ma narration pour ce genre d'ineptie, revenons-en à l'essentiel. Les trois guerriers s'assirent à une table et si le danger ne semblait pas au cœur de leur préoccupation, ils ne purent s'empêcher d'e débattre. Ce fut Edris qui posa la question la plus importante.



  • Finalement, on prend quand même ce sentier ?


  • Évidemment, on ne va pas se laisser impressionner par des histoires sans preuve, s'indigna Adarius. Si on recule maintenant, ça sera quoi une fois en Grèce ?


  • Moi aussi je suis d'accord, ajouta Kendraff. Et puis si ces rumeurs sont vraies, ce serait un bon moyen d'enquêter sur ces disparitions.


  • C'est tout de même prendre des risques sans rien savoir. On peut toujours rattraper le temps perdu en passant par la mer.


  • À condition de trouver un navire qui parte sans détour pour la Grèce, lui rappela Kendraff. Et le voyage sera payant. On a seulement les moyens ?


  • Et puis moi je m'ennuie, insista Adarius. On a rien fait d'intéressant jusqu'à maintenant.


  • Tu oublies le concours de chasse, et cette embuscade ratée, ironisa Kendraff.


  • Tu parles ! répliqua Adarius. Moi je veux de grands défis et ça ressemble à une quête intéressante, enfin, si le patron dit vrai. Il y aura peut-être même une récompense à la clé pour qui résoudra ce mystère.


  • Très bien, je ne pense pas que vous changerez d'avis vous. Et comme on a pas de meilleur projet, on va le prendre ce sentier en espérant que vos envies de combats ne nous fassent pas tuer. Sinon adieux la Grèce pour nous ! D'ailleurs adieu la vie tout court !


  • Très bien, dans ce cas rendez-vous ici demain, proposa Kendraff en quittant la table pour rejoindre sa chambre.


  • Ça me convient aussi, ajouta Adarius en partant à son tour dans sa chambre.


Le lendemain matin, malgré le patron qui insista une dernière fois pour les faire renoncer à cette idée, ils prirent la route du sentier. Ils s'engagèrent dans une succession de courbe à travers des plateaux touffus de végétaux sauvages et de hautes roches. Après une dizaine de Kilomètres, ils arrivèrent au canyon dont ils avaient entendu parler. Il s'était naturellement creusé par l’érosion avec le temps. Son sillon était irrégulier et les hautes parois rocheuses formaient des murs à la fois creux et bosselés.


Donc, une fois qu'on quitte la Gaule, on a le droit de décrire les paysages ?


Là, c'est différent. Ces descriptions sont capitales pour le récit.


Et les autres non ?


Y'avait vraiment rien d'utile à garder.


C'était en effet utile, surtout pour le contexte et l'ambiance du lieu. Il y régnait un silence de mort, et les trois aventuriers ne trouvèrent pas la moindre trace récente d'activité, ou de passage prouvant la présence d'un danger ni même d'une présence, ce qui leur fit penser que les rumeurs étaient fausses. Pourtant, à mesure qu'ils progressaient dans le canyon, des grognements étranges semblaient se rapprocher d'eux. Les mêmes sons se firent entendre de plus en fort, jusqu'à ce que Kros se fige dans leur direction, canines sorties et poils hérissés, tout en tremblant de peur sur ses petites pattes de louveteau. Puis, ce fut derrière eux que des grognements arrivèrent à leurs oreilles. Ce qui était problématique car cela signifiait, qu'en cas de danger ils ne pouvaient pas se replier.



  • Je ne sais pas ce que c'est, mais ça ne m'a pas l'air humain, annonça Edris


  • Ce n'est pas quelque chose que nous connaissons, vu la peur de Kros, c'est une odeur qu'il ne connaît pas et qui l'inquiète.


  • Cela on va très vite le savoir vu que les grognements se rapprochent de plus en plus, répondit Adarius.


De nombreuses formes commençaient à être visibles et le soleil couchant fit ressortir une multitude de points rouge sang et brillant qui bloquaient les aventuriers des deux côtés. Quand les créatures furent suffisamment proches, tous les trois furent surpris de voir ce qui les attendait. De longues griffes, des dents acérées dégoulinantes de bave, des yeux rouges dépourvus de pupilles, et une apparence bestiale à la peau cuirassée et nécrosée. C'était des...


Des putains de goules et en grands nombres ! Elles étaient plus d'une trentaine, et prête à les attaquer.


Doucement, c'est pas des bestioles des montagnes ça.


Peut-être des cousins éloignés ?


Sérieusement ? Vous avez vraiment besoin de discuter de ça ? C'est justement le rôle des aventuriers d'affronter ce genre de danger, d'enquêter et de comprendre. Alors merci bien de garder vos commentaires pour vous et observons la suite des événements. Les trois aventuriers se préparèrent au combat, mais Edris ne put s'empêcher de faire une remarque à ses coéquipiers concernant la situation.



  • Kendraff et Adarius, vous qui vouliez de l'action vous allez être servis.


  • Des goules ? s'étonna Adarius. Ce sont des créatures mort-vivantes qui habitent généralement les cimetières.


  • Au moins, cela explique les disparitions des voyageurs, répondit Kendraff. On a résolu ce mystère.


  • Vous ne semblez pas comprendre le problème, répliqua Adarius. Mais ce n'est pas le moment, je vous expliquerais une fois qu'on aura éliminé ces monstres. Faites juste bien attention à ne pas vous faire mordre, sinon c'en est fini de vous.


Une féroce bataille s'engagea face aux goules. Cependant, Kendraff et Edris n'ayant jamais vu de goule de leur vie, ils furent mal à l'aise en début de combat devant l'apparence hideuse et monstrueuse de leurs adversaires.


Et Adarius, non ? Alors que c'était le plus jeune...


Une fois le choc passé et la peur dissipée, le combat fut une véritable mêlée où chacun des combattants étant entraîné et équipé pour le corps à corps, tranchait ses adversaires en visant le coup qui était la zone où leurs corps étaient les plus fragiles.


Vous esquivez la question, là.


Oui parce qu'il y a une raison à cela. Adarius aussi était mal à l'aise, il rencontrait également ses premières goules. Mais certaines circonstances dont n'avons pas besoin de parler, pour l'instant, faisait qu'il l'était moins que ses coéquipiers. Pour l'instant nous sommes au cœur d'une féroce bataille qu'il nous faut narrer, pour une fois qu'il y a de vrais enjeux, et de l'action héroïque.


C'est Edris qui chargea le premier de front sur les goules. Magnifique taille circulaire qui entailla quatre ennemis face à lui !


Kendraff et Adarius arrivèrent sur ses côtés à peine une dizaine de secondes après cette première attaque, et entrèrent dans la bataille...


Une succession de frappes rapides et dispersées qui pleuvaient sur les goules. Kendraff, ses lames tenues fermement à l’horizontale, passa entre deux goules et les décapita avant d'en démembrer une troisième avec deux frappes verticales.


Et Adarius courut entre plusieurs goules ! Il leur trancha la gorge les unes après les autres à coup taille circulaire rapide et précises !


Le combat était en faveur des trois jeunes guerriers, mais la visibilité commençait à se réduire au profit des goules. Elles continuèrent à tomber les unes après les autres, mais plus lentement. Ils reçurent même...


Ho ! Incroyable ! Kendraff est en retard sur son esquive, et reçoit un coup de griffe dans le torse !


Aïe ! Et un autre dans l'épaule d'Edris, qui ne se laisse pas démonter pour autant ! Et voilà qu'il empale trois goules avec fureur.


Vengeance de Kendraff, qui... Oui ! Il en décapite deux en même temps !


Heureusement pour eux, malgré quelques blessures, la bataille prit fin assez rapidement. Cela restait une belle victoire malgré plusieurs coups de griffe reçus. Aucun n'avait subi la moindre morsure, mais les trois aventuriers se retrouvaient contraints au repos pour la nuit, ce qui était mauvais pour eux vis-à-vis de la nature de leurs ennemies.



  • Tout le monde va bien ? Adarius

  • Pas mal de coupures dues à des coups de griffes, répondit Kendraff.

  • Pareil pour moi, ajouta Edris. Il faut dire que ça change des momies qui traînent par chez moi. Ces goules sont plus rapides.


  • Heureusement, personne n'a été mordu c'est une bonne nouvelle.


  • En quoi ça change des coups de griffes ? demanda Edris.


  • Mon grand-père m'a parlé de ces créatures et m’a dit que les goules sont très dangereuses. Adarius.


Voilà la fameuse explication : Papi est un connaisseur et il a formé Adarius.


Oui, mais ce n'est pas aussi simple que ça, mais cela sera expliquer plus tard. Car oui, il y en a des choses à dire sur ce fameux grand-père. Mais l'important, c'était d'expliquer les goules à Edris et Kendraff. Ce dernier, se sentit pris de haut par Adarius, et répliqua machinalement.



  • Ça on avait compris !


  • Je crois que tu ne comprends pas le danger ! Les goules, selon leurs faims peuvent dévorer leurs victimes, ou juste les changer en goules en buvant leurs sangs.


  • On a donc intérêt à rester prudent, résuma Edris. Surtout que j'ai l'impression, qu'on va en croiser d'autres sur le chemin. Mais on ne risque rien avec les coupures ?


  • Non aucun risque de transformation, cela ne se produit que si la goule boit le sang de sa victime.


  • On va camper pour la nuit, ça nous permettra de reprendre des forces, proposa Edris. Et on doit aussi faire et entretenir un feu de camp, en cas de nouvelles attaques de goules, on pourra plus facilement les voir.


  • Sauf que ça va être risqué, on sera facile à repérer pour les goules, répondit Kendraff.


  • Nous le somme même sans feu de camp je te rappelle. Au moins, ça sera toujours mieux avec, surtout que les goules n'apprécient pas vraiment le feu.

  • Et qui se dévoue pour le premier tour de garde ? demanda Edris.


  • Je m'en occuperais, proposa Kendraff. Par chez moi les nuits sont longues. Je m'en sortirais bien, et Kros pourra se reposer pour vous aider pendant vos les vôtres.


Une fois trouvé un emplacement un minimum de sûr sur une zone large du canyon. Edris disposa alors autour de leur campement de l'herbe séchée à enflammer, pour faire fuir les goules mais de potentiels prédateurs et insectes venimeux. Les deux autres aventuriers allumèrent un feu puis pansèrent leurs blessures. Kendraff mangea le premier et vite pour prendre son tour de garde, qui se déroula sans le moindre problème. Ce fut ensuite le tour d'Adarius, aidé de Kros, aussi sans incident. À la fin du tour d'Edris, le louveteau se mit à grogner bruyamment là l'approche d'une vingtaine de goules.


Quand même ! Car deux tours de garde racontés pour rien de passionnant...


Certes, mais ça s'est passé comme ça, alors il nous faut le narrer ainsi. Donc, Edris réveilla ses équipiers, et ils lancèrent des bâtons de bois enflammés sur les goules. Plusieurs touchèrent leurs cibles, tandis que d'autres tombés au sol firent brûler l'herbe autour d'eux. Le brasier fit fuir quelques goules, et les aventuriers achevèrent les autres. À la fin du combat, l'aube approchait et ils renoncèrent alors à se rendormir. Ils reprirent leur route, mais un nouveau groupe de goules les attaqua après quelques Kilomètres parcourus. Ce scénario se répéta toute la journée, jusqu'à ce qu'ils soient enfin sortis du canyon. Ils arrivèrent proches d'un village ressemblant plus à une bourgade aux bâtisses de bois et de pailles. Quand les trois guerriers arrivèrent sur la place centrale, ils s'aperçurent que les habitants se retournaient sur leur passage, et discutaient à voix basse en les observant. Un vieil homme accompagner par deux gardes s'avança vers eux, avec une bourse à la main. Cet homme qui semblait être le chef du village commença à les interroger :



– Dîtes moi, les jeunes, c'est bien vous qui venez de sortir du canyon, non ?



– ça se voit pas ? demanda Adarius. En quoi cela vous intéresse ?



– Vous les jeunots, vous manquez d'éducation...



C'est vrai. De quel droit il répond ainsi à une personne âgée ?


Bah, en même temps le vieux avait l'air à moitié aux fraises. À part eux, il était désert leur canyon tout pourri.


Certes, mais c'était pas sa faute au vieux si le coin était moche et qu'il grouillait de goules. Par contre, en effet, le grand-père était à l'Ouest car il poursuivit comme si rien ne s'était passé...



  • Venons-en au fait. Cela fait bien longtemps que personne n'est arrivé ici par ce chemin. Comment avez-vous fait ? Savez-vous ce qu'il est advenu des autres voyageurs ?


  • Nous avons trouvé aucune trace de vie, mais nous avons dû combattre des goules pour traverser les montagnes et arriver ici, expliqua Edris.


  • C'est fort problématique comme situation, mais au moins nous savons désormais ce qu'il s'y passe. J'aimerais que vous acceptiez de rester quelques jours au village.

Et le vieux leur tendit une bourse pour les convaincre, sans doute la crainte que des goules viennent jusqu'au village pour se venger des aventuriers.


Vraiment aux fraises papy. Il engage des «jeunes» qui lui auraient manqué de respect, et en plus pour gérer des emmerdes qu'ils auraient potentiellement eux-mêmes ramenés ?


Je pense plutôt que le vieux tente de les escroquer, moi.


Cela me parait plus probable malgré sa sénilité manifeste. Car après tout, ils ont résolu le mystère du canyon, mais la bourse ne sert pas à les payer pour ça... Donc, ça m'a l'air d'une diversion pour ne payer qu'une mission sur deux, même si oui, la première n'avait rien d'officiel. Ils s'y sont engagés de leur propre volonté. Mais, Kendraff sembla surpris, lui aussi, du comportement du doyen.



  • Pourquoi cela ?


  • Vous nous avez rendu un grand service en éliminant ces goules. Même si une troupe devrait bientôt arriver, ce ne sera pas avant une semaine. Nous pourrions être attaqués à notre tour, et votre aide serait la bienvenue.


  • C'est que nous avions prévu de nous rendre en Grèce, lui répondit Edris. Nous avions pris la route à travers les montagnes justement pour gagner du temps. Si nous restons ici, nous aurons pris des risques inutilement.


  • Ne vous inquiétez pas, nous vous récompenserons à la hauteur de vos efforts. Nous vous offrirons ce dont vous aurez besoin pour continuer votre voyage. Et puis cela vous permettra de vous reposer et de vous soigner correctement. Bien sûr, votre séjour ici sera entièrement aux frais du village. La bourse que voici contient mille sesterces, et je vous en donnerais le double une fois les soldats arrivés ici.


Proposition forte avantageuse que leur fit le chef du village, là, même s'il tentait de les escroquer, il leur faisait une très bonne offre quand même. Les trois aventuriers acceptèrent et restèrent quelques jours au village. Leur séjour au village fut des plus calme, et lorsqu'ils furent relayés par les renforts militaires, le doyen les remercia chaleureusement. Ils repartirent vers le Sud vers le port le plus proche, et poursuivirent leur voyage sur un navire qui partait pour la cité d'Athènes : leur objectif n'était plus très loin.

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