Chapitre 9

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Mimi se réveillât, elle fut incapable de bouger. Allongée sur le ventre, sur ce qui sembla être une table en bois massif, ses bras et ses jambes étaient écartés, des menottes aux chevilles et aux poignets les lui maintenaient en place. Sa tête, comme sur la table de massage, était posée sur un trou dans la table. Elle ouvrit les yeux, pour ne voir que le sol.

La position lui empêchant tout mouvement, la jeune femme se concentrât pour se rendre compte que l'intégralité de ses vêtements était toujours sur elle, même le bijou anal et son string ce dernier sembla toutefois bien plus humide qu'avant de perdre connaissance.

- Hé ho ! Interpella-t-elle, totalement paniquée.

Un silence régna autour d'elle.

- Il y a quelqu'un ? Où suis-je ?

La jeune femme était au bord de larmes.

Soudain, après un grondement de bois qui se met en mouvement, la table se mit à se redresser. Jusqu'à la laisser presque à la verticale. La pièce dans laquelle elle se trouvait, était sombre. Dans son champ de vision maintenant agrandit, Mimi ne distingua que des murs ornés de bougeoirs. Ça ne faisait aucun doute, elle était dans le donjon de l'hôtel, quelqu'un était effectivement venu la chercher, pour la déposer ici.

Mimi se détendit alors, elle avait compris que cela faisait partie du scénario de la soirée. Elle prit alors son mal en patience, attendant sagement que l'on vienne la chercher, espérant que ça soit Mr Charles. L'attente lui sembla interminable, au point qu’elle en perdit la notion du temps.

Sa jupe se soulevant la fit hurler de peur, elle n'avait entendu personne s'approcher.

- Qui est là !? Criât-elle.

Il n'y eu pas de réponses, elle sentit juste le plug être poussé un peu plus sur son anus, ce qui la fit gémir.

- J'ai peur, c'est vous Mr Charles ?

Toujours aucune réponse. Une main toucha son entre-jambes, Mimi gémi de plus belle, ne sachant pas retenir le plaisir. Un claquement de langue négatif lui indiquât qu'elle devait se maîtriser.

- Je vous en supplie, qui est là ?

Une main se glissa sous son haut entre la table et elle. La chaleur de la main, sa douceur, la fermeté du touché, elle en fût sûre, elle connaissait très bien son propriétaire.

- Mr Charles ! C'est vous ! S'exclama Mimi

- Tu connais déjà si bien ma main ?! S'étonna Mr Charles.

- Oh oui monsieur, elle m'a donné tellement de sensations que je la reconnaîtrais entre mille.

- Bien ! Nous allons vérifier ça alors. Peut-être pas mille mais un certain nombre. Me fais-tu confiance ?

- Oui monsieur, je sais que vous veillerez sur moi.

- Bien, je vais te bander les yeux pour être bien sûr que tu ne vois rien.

- Oui monsieur.

- Je te rappelle que tu n'as pas le droit de jouir pour le moment.

- Humf ! Mais monsieur, vous aviez dit que …

- Je t'ai dit une chose, pas de discussion.

- Oui monsieur. Monsieur ?

- Oui Mimi.

- J'ai quelque, chose de très important à vous demander, pouvez-vous vous mettre à ma vue ?

- Si c'est la question à laquelle je pense, ça attendra, nous ne sommes pas seuls.

- Oh ?! Bien monsieur.

Mr Charles mit un bandeau à la jeune femme. Mimi senti l'excitation remonter d'un cran, il y avait Mr Charles, mais il n'était pas seul.

A sont grand étonnement Mimi se sentait de plus en plus excitée par la situation. Le fait d’être ainsi séquestrée, tourmentée par celui qui deviendrait sans doute son Maître. Le tout, sous les yeux d’inconnus.

Le professeur resta auprès de son étudiante, il lui tint la jupe levée, offrant ses fesses à qui voudrait les toucher. Un premier homme s'avança sur un signe de tête de Mr Charles, il s'approcha, posa doucement sa main sur une fesse, Mimi indiquât qu'il ne s'agissait pas de la bonne, l'homme lui donna une claque légère sur la fesse.

Ce fut le tour d'une jeune femme de s'approcher et de toucher, elle lui mit la main directement sur l'antre jambes, Mimi gémi, puis elle remontât sur ses fesses, les caressant sensuellement.

- Mais je connais cette main ! criât-telle dans une bouffée d'excitation. C'est celle d'Aurélie, celle qui m'a massé ! Non ?

- Tout juste ! Répondit-elle joyeusement. Elle est forte !

- Mr Charles lui claquant fortement la fesse, Mimi cria.

- Cette fois ci c'est vous Mr Charles !

Il l'embrassa à travers le trou de la table, comme pour la récompenser. Puis reprenant sa place fit signe a un autre homme, celui-ci joua avec le bijou anal, lui caressa l'entre-jambes. Mimi gémît sans retenue.

- Dur de tenir mais ce n'est pas Mr Charles.

Plusieurs hommes suivirent, sans que le professeur n'intervienne, Mimi refusa toutes les mains. De temps en temps, il lui donna un baisé de récompense, Mimi eu de plus en plus de mal à retenir sa jouissance. Elle tînt bon pour lui faire plaisir.

Certains passèrent trois, quatre voir même cinq fois touché, fesser, caresser Mimi. A un instant, la jeune femme désigna une main comme étant la bonne. L'erreur se fit sentir, une badine venait de s'écraser sur ses fesses, Mimi pleura, mais elle sentit également s'échapper d'elle le liquide signe de son plaisir.

Une autre main féminine la toucha.

- Mais … tu ne travailles pas toi ?! Cria Mimi s'adressant à Jessy, la vendeuse de vêtements.

- Je n'allais pas te dévoiler mes activités, non ?

- Tu aurais pu, tu vois ?

- Très bien même ! Dit-elle d'un air amusé. Pas comme toi ! Nous aurons l'occasion d'en reparler va.

- Oui Jess …

Mimi n'eût pas fini sa phrase qu'elle sentit son string s'écarter puis descendre légèrement, tirant sur ses cuisses encore écartées. Elle entendit un grognement, puis la contrainte sur ses chevilles disparaître, elle ne bougeât pas pour autant. Une nouvelle menotte se refermât sur sa cheville droite, puis une traction vers la gauche, lui resserrant ses jambes, et enfin une menotte se referma sur la gauche. Ses jambes étaient toujours écartées mais elle ne pût les resserrer plus. Son string fut descendu à mi-cuisses.

Mimi se mordit la lèvre inférieure pour ne pas gémir. Elle eut un peu honte de prendre du plaisir de cette situation.

Elle sentit une main prendre la température de son entre-jambe, elle n'eut aucun doute de son propriétaire. Et lui indiquât. Elle eût le droit une nouvelle fois à la même récompense.

La table repris sa position horizontale, soulageant Mimi de la tension sur ses poignets et ses bras. Elle sentit des doigts qu'elle ne reconnut pas sur son entre-jambe, la caresse fut très appuyée, Mimi cria, demanda d'arrêter car elle ne tenait plus. Puis la main disparut. Pour réapparaître dans sa bouche l’abreuvant de ses sécrétions.

Une main féminine, passa à son tour sur son antre jambes, de la même manière, Mimi supplia à nouveau d'arrêter, mais elle ne fit pas, la jeune femme se mordit la lèvre inférieure pour ne pas gémir, elle se crispa, pour ne pas jouir. Sa torture cessa soudainement.

Un petit moment s'écoula sans qu'il ne se passe rien.

Puis, la table bougea pour retrouver une position horizontale, les menottes attachées aux quatre membres, furent retirées. Mimi ne bougea pas, elle en fût en fait incapable. Puis une main, celle de Mr Charles, lui remit les bras en place, suivit de jambes, l'attrapa par l'épaule gauche puis la redressa pour la placer sur le côté droit, poussa sur ses cuisses pour lui plier les jambes. Elle fût toujours incapable de bouger. Son bandeau lui fut retiré.

Au bout de quelques secondes, Mimi fini par ouvrir les yeux, elle ne vit qu'un mur semblable à celui qu'elle vit quand la table était redressée...

- Mr Charles ? Demandât-elle.

- Oui Mimi.

- Sommes-nous seul monsieur ?

- Oui Mimi.

Mimi, gémit de soulagement, tenta, sans succès, de se retourner pour trouver son professeur qui semblait être dernière elle.

- Je … je n’arrive pas à bouger ! Paniqua Mimi.

- C’est normal, tu as subi de grandes tensions ce soir Mimi. Respire profondément, et prends le temps avant de bouger.

Mimi respira, profondément, ferma les yeux pour que l’opération soit la plus efficace possible. Puis elle tenta de nouveau de se retourner, cette fois-ci, avec succès. La douleur fut intense, tellement Mimi était engourdie. Elle faisait maintenant face à lui.

- Bien, maintenant que tu as retrouvé l’usage de ton corps, viens à moi ! lui ordonnât-il.

La jeune femme se glissa sur le bord de la table, laissant basculer ses jambes en dehors, et poussant sur ses bras pour redresser son torse. L’effort lui parut insurmontable, mais elle y parvint rapidement. Mimi repris son souffle avant de se glisser un peu plus pour que ses pieds touchent le sol, les talons qu’elle portait l’aideraient à y parvenir plus facilement. Puis, elle se dressa, pour se tenir debout et marcher jusque Mr Charles. A peine Mimi eut fait un pas, qu’elle s’effondra à quatre pattes sur le sol. La jeune femme leva la tête et assigna un regard de désespoir à son professeur.

- Je t’ai dit de venir à moi ! Quel que soit le moyen, approches toi au plus près de moi !

- B… Bien monsieur.

Mimi respira encore un grand coup en fermant les yeux, puis trainât une main sur le sol, puis le genou opposé, continuant ainsi pour se déplacer avec la plus grande difficulté. Elle prit son temps mais elle parvint aux pieds de Mr Charles. La jeune femme leva la tête vers lui, les yeux remplis de larmes, il lui fit un grand sourire moqueur.

- Dans nos échanges, nous avons parlé d’une position à genoux devant moi, t’en souviens-tu ? lui demanda Mr Charles.

- Oui monsieur. Répondit-elle essoufflée.

- Alors exécution !

Se redressant, la jeune femme posa les fesses sur ses talons, puis écartât les genoux autant que son string, toujours descendu jusqu’à la moitié de ses cuisses, lui permit. Elle se dressa droite, puis cambra le dos, et enfin elle posa ses mains sur ses genoux, paumes vers le haut, il s’agissait de la position de soumission.

- Bien, il n’y a pas grand-chose à redire, surtout dans ton état.

- Merci …. Monsieur, répondit-elle rougissante.

- Il me semble que tu voulais me dire quelque chose ?

- Oui monsieur.

Cette question eut raison du teint pâle de Mimi, elle fut maintenant totalement rouge, elle savait que la question qu’elle voulait lui poser pouvait tout changer. Elle en fut d’autant plus persuadée par la scène qu’elle venait de vivre.

- Monsieur, …. voudriez-vous faire de moi votre humble soumise ?

- Bien, voyons voir, il faut tout de même que j’y réfléchisse.

Mr Charles, lui répondit d’un ton moqueur, mais il voulut également lui montrer que, malgré la décision qu’elle-même avait prise, c’était lui qui était maître de la décision finale. Il reprit sur un ton plus solennel.

- As-tu conscience que, par ce cadeau que tu me fais, c’est, non seulement, ton corps, mais aussi, ton esprit et ton cœur que tu m’offre ?

- Oui Monsieur.

- L’excitation de Mimi repris de la vigueur en répondant à cette question.

- Sais-tu que, en me faisant ce cadeau, tu acceptes que dès que nous serons, physiquement ou virtuellement, ensembles, je serai le seul à être en mesure de prendre des décisions pour toi ?

- Oui Monsieur.

- As-tu, pris en compte que, je t’éduquerai à la soumission, totale et inconditionnelle envers moi, ou toute personne à qui je jugerai utile de te confier ?

- Oui monsieur.

Cette condition eut pour effet d’éveiller totalement Mimi. Elle en oublia totalement ses douleurs, ses doutes sa frustration.

- Bien, par la suite, nous aurons loisir, de discuter des limites franchissables ou tabou, ainsi que des désirs qui sont enfouis en toi. Pour l’heure, j’ai à mon tour une réponse importante à te donner.

Mr Charles fit une longue pause, observant la jeune femme en position, à ses pieds. Depuis le soir de leur première entrevue, il espéra cet instant. Il ne l’avait pas imaginé si rapide. Mais tout était prêt, en phase pour que l’instant se produise.

- Je suis ravi, même honoré de l’offrande que tu me fais. Je ne te ferais donc pas plus attendre.

Il se leva, passa derrière le siège sur lequel il était assis, ouvrît la fermeture éclair, de ce qui sembla être un sac à dos, et y plongeât une main.

- Fermes les yeux.

Mimi, excitée, obéît. Il sorti une bande de cuire ornée d’une boucle semblable à celle d’une ceinture, au détail près que la tige centrale comportait un anneau. Il s’approcha de la jeune femme.

- Ouvres-les maintenant.

La jeune femme les ouvrit, découvrant Mr Charles, debout, devant elle, il portait un sourire fier, ses yeux montrèrent l’envie, le désir et la perversité de son esprit.

- Par ce collier, Mimi, je fais de toi ma soumise, désormais, tu m’appartiens corps et âme.

Puis, il lui passa la bande cuir autour du coup, la serrant assez pour que Mimi ne puisse pas en oublier sa présence, mais pas trop pour ne pas étrangler la jeune femme. L’étudiante fut prise d’une montée d’excitation, il lui sembla que ce serait le commencement de quelque chose qu’elle ne comprenait pas totalement. Toujours est-il que, de son entre-jambe, coula la représentation de son excitation, il ne lui aurait pas manqué grand-chose pour jouir.

A son tour Mimi ne pouvait s’empêcher de sourire, elle regarda l’homme devant elle, le fait de le regarder la fit couler de plus belle. Il était à la fois beau, imposant et excitant. Il connaissait les femmes, et particulièrement celle qui se trouvait devant lui, il avait, sans prendre de mesure, réussi à connaître la totalité de sa morphologie, et lui offrir des vêtements parfaitement ajustés.

- Maintenant, Mimi, sais-tu comment tu me nommeras ?

- Mon …. heu non Maître ?

- Très bien.

Mr Charles sembla pris d’une bouffée de bonheur, le simple mot, prononcé par la jeune femme, “Maître” lui procura un plaisir sans faille.

- Tu deviens donc soumise Mimi.

- Bien Maître.

Il l’attrapa par les cheveux, pour la forcer à reculer.

- Regardes ma soumise Mimi, vois-tu ce que tu as fait ?

La jeune femme gémit et vit, sur le sol, une petite flaque de liquide.

- C’est que je suis excitée Maître.

- Salope ! Qu’est ce qui t’excite ainsi ?

- Vous, Maître … Ce collier, cette situation, votre prestance.

- Qui, va nettoyer ça ? Crois-tu que ce soit aux femmes de chambres de le faire ?

- Non Maître, ce lieu est secret je crois ?

- Oui ma soumise, c’est à toi de la faire !

- D’accord Maître, y a-t-il un chiffon ?

- Non tu dois trouver un moyen avec ce que tu as ! Mais pas tes vêtements !

Mimi ne trouvant pas d’autre solution, regarda son maître avec désespoir.

- Ma langue, Maître ?

Le professeur relâcha ses cheveux en signe d’approbation. Mimi se pencha alors, sorti sa langue.

- Bien, comme ça, applique-toi bien, cambre-toi le plus possible, et ne t’arrête que quand je ne te le dis pas.

Mimi gémit, puis exécuta les ordres, se cambra, au maximum, sa poitrine toucha et s’écrasa sur le sol, qu’elle léchât, sans rechigner, récupérant ainsi les traces de son excitation.

Pendant qu’elle était en train de terminer son ouvrage, Mr Charles l’observât avec attention, passant autour d’elle, ne manquant aucun angle. Finalement, il souleva la jupe de sa soumise et la caressât, d’abord sur les fesses, puis entre celles-ci, jouant légèrement avec le bijou qui la pénétrai toujours. Mimi gémi et dégoulina à nouveau, elle était dans un état tel que le moindre effleurement l’excitait intensément.

Le dominant, joueur, s’arrêta un instant, pour la flanquer d’une claque sur chacune des fesses de la jeune femme. L’effet fut le même, en plus intense, qu’une simple caresse, le sol s’humidifia une nouvelle fois, il y aurait de nouveau du travail pour la soumise.

- Ici c’est propre soumise. Retourne-toi, tu en as encore mis ici, lui indiqua-t-il en désignant la nouvelle tâche sur le sol.

Mimi, sans prononcer un mot, se retourna à quatre pattes, le string toujours sur ses genoux, et entreprit de lécher à nouveau le sol. La situation l’excita davantage, le regard de son nouveau maître, sa propre obéissance aveugle, aussi soudaine qu’étonnante.

- C’est que tu serais une parfaite petite chienne, ma soumise.

Mimi releva la tête, pour lui montrer, que l’insulte l’avait blessée.

- Oh tu n’aimes pas être appelée ainsi ?

Elle secoua la tête en signe de négation.

- La nuance est que tu es Ma chienne !

- Merci Maître.

Puis elle reprit son œuvre, pour effacer les traces sur le sol, elle senti que de l’autre côté elle serait obligée de recommencer, plus longtemps encore.

Les fesses de la jeune soumise furent à nouveau claquées, Mimi gémit, inondant le sol, elle n’arrivait presque plus à bouger, elle senti qu’une jouissance, qui lui était toujours interdite, était en train de s’approcher.

Une nouvelle salve de fessées lui indiquât de na pas s’arrêter, mimi pris le temps, mais réussi finalement à nettoyer le sol.

- Continue de l’autre côté Ma chienne.

- Je ne peux plus bouger maître.

- Pourquoi ça ?

- Si je fais le moindre mouvement je ….

Soudainement, l’écoulement de l’entre-jambes de la jeune femme fut d’une intensité qu’elle n’avait jamais connue, cette sensation lui coupa complètement la capacité de parler, elle se mit à trembler de tous ses membres.

Mr Charles, la fessa de nouveau, la caressa, joua du bijou, le sol fut inondé, mais Mimi ne laissa pas échapper sa jouissance pour autant, elle voulut montrer qu’elle méritait d’appartenir à son maître.

Il intensifia ses gestes, alternant toujours, la jeune femme se mit littéralement à inonder le sol. Elle devin incapable de contrôler quoi que ce soit, quand un jet humide fut éjecté d’elle, hurlante de plaisir.

Mimi venait de jouir, son maître profita de l’occasion pour sortir son sexe et le faire pénétrer en elle, faisant par la même occasion durer l’extase dans lequel elle se trouvait désormais.

Sentant sa propre jouissance arriver, Mr Charles, sorti, puis fit basculer Mimi sur le dos, s’accroupis au-dessus de sa tête et lui pénétra la bouche. Il lui fallut peu de temps pour jouir et inonder la bouche de sa soumise par sa semence, qu’elle garda chaude encore quelques secondes en bouche, avant de l’avaler avec un gémissement de plaisir.

- M… Mer … Merci Maître, bafouillât-elle.

Mr Charles, se rhabilla, puis redressa le torse de Mimi, s’accroupissant à côté d’elle et la câlinant de longues minutes.

Finalement, il lui retira totalement son string et le fit glisser sous son collier, ce serai le symbole de sa première jouissance en tant que la soumise, la chienne de Mr Charles.

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