La semaine complète passât avant que l’e-mail de Mr Charles n'arrive, le vendredi soir.

Mimi eût les réponses à ses questions et bien plus, le point de vue de son professeur la réconfortât, lui indiquant qu'elle ne reniait pas ses convictions féministes, juste que si elle décidait de se soumettre à lui, la jeune femme se libérait dans sa relation et dans sa sexualité, ça ne faisait pas d'elle un être inférieur à lui mais en quelques sortes la maîtresse de son épanouissement.

Paradoxalement, Mimi eût envie de se libérer en s'offrant à Mr Charles, son corps et son esprit lui appartiendraient, mais elle serait libre. La liberté résidant dans le simple fait de décider de lui appartenir et de décider d'arrêter. Dans la décision commune de pratiquer certains actes ou non. Le reste de sa vie ne lui seraient aucunement imposés, le maître qui lui passerait le collier serait là pour la guider dans ses choix, mais sur ces aspects n’imposerait rien.

En pièce jointe il y avait un document listant les pratiques envisageables, en légende une série de numéro servant à noter l'intérêt que la demoiselle portait à ces pratiques, 0 étant la répulsion totale, 5 l'envie la plus forte de pratiquer. Mimi avait également la possibilité de mettre une croix pour indiquer que pour elle c’était hors de question. Une seconde colonne lui permettait d'indiquer si elle avait déjà eu l'occasion de pratiquer ces actes. La dernière colonne était déjà renseignée par son professeur, elle contenait sa propre notation.

Dans le corps du message Mr Charles lui indiquât que cette liste n'était pas exhaustive, et que leurs notations respectives pouvaient évoluer dans le temps.

Mimi prit le temps de noter une à une les possibilités, pour celles dont elle ne connaissait pas la signification, Mimi fit la recherche sur Internet. La jeune femme fut excitée en découvrant la liste, mais restât concentrée sur ses réponses, elle ne se touchât pas.

En fin de document, la jeune femme fût surprise de découvrir des questions relatives à son état de santé, ses mensurations, et son état psychologique. Mimi se dit alors qu'à la vue des pratiques listées cela devait être nécessaire à rendre leur relation la plus saine possible, elle y répondit alors avec entrain. Comme pour un devoir écrit, l'étudiante se relut plusieurs fois afin d'être sûre ne pas s'être trompée dans ses notes.

Tout fut prêt alors pour répondre à son professeur. Ou presque, la jeune femme eût envie de lui compter ses aventures du week-end précédent, et de lui joindre une photo provocante d'elle-même. Le plus compliqué ne fut pas d’écrire, mais de prendre la photo. Son choix se porta sur une photo de ses fesses, en légende, Mimi y inscrit “Elles sont bien blanches”.

La jeune femme hésitât quelques secondes à envoyer l’e-mail, puis finit par cliquer. Voilà, plus de retour en arrière possible.

Quelques minutes plus tard, la jeune femme reçut la réponse de son professeur par SMS. “Il est surtout vide”. Mimi mit quelques secondes avant comprendre et sa réponse ne se fit attendre que le temps de prendre une nouvelle photo, cette fois-ci elle s'y écartait bien les fesses, un plug était nettement visible. “Regardez bien s'il est vide” lui écrit-elle.

“Lui non, mais ta chatte petite chienne” lui répondit-il sans attendre. Mimi fut surprise de sa réponse si rapide, elle n'avait gardé le plug que le temps de faire la photo, elle se prit alors aux jeux avec plaisir et excitation, remit le jouet annal, puis en inséra un second vaginal. L'étudiante n'eût aucun mal à l'insérer tellement le jeu l'excitât. Tremblante elle fit une nouvelle prise de vue, puis lui envoyât.

- Salope, lui répondit-il.

- C'est vous qui me rendez ainsi monsieur, répondit-elle, ayant toujours les orifices emplis.

- Monsieur ?

- Oui je n'ai pas encore pris de décision, et puis il ne me semble pas avoir votre collier autour du cou.

- Effectivement, pas sûr que je l'accepte, tu n'es qu'une petite salope, transformes-toi en véritable grosse salope, chienne prête à tout pour m'exciter.

- Je suis déjà pleine de jouets, comment voulez-vous que je fasse plus ?

- Surprends-moi !

Mimi réfléchit quelques minutes, puis posa son téléphone en mode caméra, fit une courte vidéo d'elle jouant des jouets dans ses orifices, puis l'envoya à son professeur.

- C'est mieux mais tu ne sembles pas très dilatée.

- Je n'ai rien de plus gros monsieur.

- En as-tu d'autres ?

- Non monsieur.

Mimi quelques secondes, puis pensât à un lot de bougie qu'elle avait acheté en emménageant, elles étaient larges et hautes, elle fit une vidéo d'elle en train de les insérer dans chacun de ses orifices, bouche comprise, elle gémit de plaisir et fut incapable de bouger pendant quelques secondes. Mais finit par envoyer le message, complètement fébrile et au bord de la jouissance.

“Beaucoup, beaucoup mieux !! Tu aimes ça grosse salope. Tel que je te connais tu n'es pas loin de jouir. Mets ton vibromasseur en plus dans ton cul de chienne et tu seras mûre.”

Mimi s'exécuta en vidéo, jouissante, expulsant la bougie de sa bouche par un cri fort et intense. Elle en était sûre, les voisins l'avaient entendue, ce qui l'excitât d'autant plus.

- Je t'offrirais peut-être le collier, lui répondit-il quelques minutes après avoir reçu la vidéo.

- Je l’accepterai peut-être alors.

- Si tel est le cas profites de jouir librement d'ici là, car tu risques d'être vite en manque après.

- Je note monsieur, combien de temps ai-je pour profiter ?

- Peut-être rapidement, ou peut-être plus tard, je ne sais pas encore.

- Vous êtes joueur monsieur, je vais vite profiter alors, bon week-end monsieur.

- Qu'est ce qui te dit que tu as tout le week-end ?

- Je ne suis pas en ville ce week-end monsieur, vous ne pourrez pas me passer le collier.

- Oh tu vas en famille ?

- Non monsieur je vais profiter de mon coup nu.

- Salope !

- Fière monsieur. Peut-être bientôt la vôtre. Mais pour le moment je suis une salope qui peut baiser avec qui elle veut. Je vous embrasse monsieur.

- Je te fesse.

Mimi fut surprise de son obéissance à Mr Charles, ainsi que des mots qu'elle avait utilisé dans la discussion. Le mensonge aussi, concernant son absence durant le week-end.

La jeune femme, avait une idée derrière la tête, si ça fonctionnait, elle n'aurait pas totalement menti. Jessy lui semblât être la bonne personne pour profiter d'un éventuel dernier moment de liberté totale.

Un échange par SMS lui apprit que la jolie vendeuse travaillera tard le lendemain et qu'elle ne serait pas disponible.

Le week-end ne serait donc pas passé avec Jessy, l'étudiante fit alors quelques recherches sur un éventuel cocon dans lequel se détendre, elle trouvât une nuit dans un hôtel proposant un service total en chambre, elle n'aurait pas à en sortir, en bonus la chambre serait munie d'un jacuzzi privé.

Mimi préparât sa valise avec le strict minimum, du maquillage, ses jouets, quelques bougies, les vêtements de rechange seraient superflus, elle ne comptait pas sortir de sa chambre. Elle hésitât sur des sous-vêtements, puis se ravisât, elle partirait et reviendrai sans, la jeune femme aimait la sensation des vêtements frottant sur sa poitrine nue, l'air passant entre ses jambes, la sensation que tout le monde puisse voir son intimité accidentellement si sa jupe venait à se lever, ou son chemisier faire un mouvement inhabituel.

Sa valise lui parut bien vide, Mimi la remplaça par un grand sac à main, y ajoutât des préservatifs, on ne sait jamais. Puis se douchât, sagement. En sortant, elle mit une jupe courte, et un chemisier blanc. Mimi ne mit pas de sous-vêtements, comme prévu, pas de superflus.

La jeune femme s'était fait plaisir en réservant sont escapade, l'hôtel bien entendu, mais aussi le train, un train de nuit, wagon couchette, en première classe.