Chapitre 3

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A peine sortie de la boutique de vêtements, Mimi montât dans la limousine qui l’attendait spécialement pour Mr Charles, encore tremblante de ce qui venait de se passer quelques minutes plus tôt. Elle ne voyait pas le chauffeur, la vitre fumée le séparant de l’arrière du véhicule était remontée de telle sorte que ni le chauffeur ni Mimi ne pouvaient apercevoir de l’autre côté.

− Bonsoir mademoiselle, émis le haut-parleur juste en dessous de la vitre. Je suis Armand, votre chauffeur pour la soirée.

La voix était rauque, déformée par le micro et le haut-parleur qui semblaient tous deux de mauvaise qualité. L’intonation semblait être familière mais Mimi n’y prêtât pas attention.

− Je vous prie de bien vouloir ouvrir le petit coffre au centre de votre espace, reprit le chauffeur. Il y a un masque dedans, Mr Charles a demandé à ce que vous le posiez sur vos yeux avant que nous partions pour la destination qu’il a choisi.

− Si je décide de ne pas le mettre ? Interrogeât Mimi, sur un ton inquiet et agacé.

− Nous ne partirons simplement pas.

− Et si je vous dis que je l’ai mis sans le mettre ? Demandât Mimi avec un ton audacieux.

− Je le saurais, c’est tout ce que je peux vous dire.

Mimi sans répondre, ouvrit le coffre, il s’agissait d’un coffre intégré, comme le sont souvent équipés ce type de véhicule. L’intérieur de la partie visible, par Mimi, de l’habitacle, était sobre, spacieux et chic, tout était noir, les sièges étaient en cuir et les vitres teintées de telle manières qu’il est impossible de voir ce qui se passe à l’intérieur lorsque l’on est dehors. Mimi découvrit, dans le coffre un joli masque en cuir, qui se refermait derrière la tête à l’aide d’une boucle, comme celle que l’on trouve sur les ceintures, ou sur les colliers de chiens, à l’exception peut-être de l’anneau se trouvant à l’extrémité de la tige passant à travers le cuir. Mimi ignorait totalement à quoi pouvait servir cet anneau.

La jeune femme hésitât quelques secondes avant de s’emparer du masque. Il était beau, le cuir était lisse et brillant, le révère doublé d’une feutrine douce, de manière à ne pas blesser la personne qui le porte. Elle le contemplât un instant avant de le poser sur ses yeux et de sentir la douce sensation de la doublure sur sa peau, elle restât figée dans cette position. Mimi fût prise d’une angoisse à l’idée d’être complètement dans le noir, dans le doute quant à l’endroit où elle était, où elle allait, resterait-elle seule à l’arrière de cette grande voiture. Après tout, puisqu’elle était là, autant aller jusqu’au bout, elle refermât la sangle derrière ses cheveux blonds.

− Je suis prête ! annonça-t-elle au chauffeur.

Celui-ci ne répondit pas, mais ouvrit la vitre teintée de quelques millimètres afin de pouvoir observer la jeune étudiante, et ainsi vérifier que le masque était bien en place, et la referma aussitôt. Quelques secondes se passèrent avant qu’une des portes arrière s’ouvre et se referme, puis sans un mot, la personne ayant pénétré dans le véhicule glissa un objet dans l’anneau puis le fît claquer. Puis une nouvelle fois, la porte arrière s’ouvrit et se referma.

Mimi, avec stupeur, passât les mains derrière sa tête pour se rendre compte que l’anneau servait en fait à recevoir un cadenas et ainsi l’empêcher totalement de retirer le masque.

− Nous pouvons partir, annonça la voix du haut-parleur.

− Att… Attendez, je ne veux pas garder le masque, ça ne va pas ! S’exclama Mimi. Vous ne pouvez pas me laisser cette chose sur la tête.

Le haut-parleur restât désespérément silencieux, la jeune femme, avec horreur tentât de retirer le masque en le faisant glisser, sans succès. La limousine démarra, puis commença à rouler, Mimi ne pouvait plus faire marche arrière, elle prît sur elle et se calma en prenant de grandes inspirations puis en expirant lentement. Ce n’était après tout qu’un masque. Certes, il lui était impossible de l’enlever, mais, sans le cadenas, elle ne l’aurait sans doute pas retiré. Mr Charles avait sans-doute ses raisons pour le lui boucler ainsi.

Pendant le trajet, l’habitacle restât complètement silencieux, seuls les bruits du moteur de la limousine et de la circulation environnante raisonnèrent dans les oreilles de Mimi. La jeune femme était seule avec ses pensées, ses doutes et, ce qui n’est pas négligeable, l’imagination de ce que pourrait donner la suite de la soirée. « Quel est ce mystérieux restaurant qui mérite une tenue de soirée ? Qu’a-t-il de si particulier pour nécessiter le port du masque pour s’y rendre ? », « Saurai-je résister à Mr Charles ? ». Tant de questionnements qui ne pouvaient trouver de réponse qu’à la fin du trajet.

Se sachant seule, Mimi se mît à l’aise sur la banquette, un peu affalée, les jambes écartées, laissant l’air refroidir ses cuisses et son entrejambe, que son aventure avec Jessy, la vendeuse, et ses pensées liées au déroulement de la soirée avaient contribué à rendre chauds et humides. Malgré ses efforts, rien n’y changeait, l’excitation monte, ses pensées l’emportèrent vers le souvenir de sa soirée avec Mr Charles dans la salle de classe, vers ses fantasmes passés, ceux d’être prise par son professeur.

Mimi se laissa aller, elle n’eut plus conscience de son environnement. Ses mains comme dotées d’une volonté propre se promenèrent sur son corps, ses cuisses et son entre-jambe, pour atteindre son point de plaisir. L’étudiante se caressa, et se donna du plaisir là, assise à l’arrière de la limousine, sans se demander si le véhicule roulait toujours, ou même si le chauffeur pouvait l’entendre gémir ou même la voir s’abandonner honteusement à un plaisir solitaire.

Après avoir laissé exprimer son plaisir avec intensité, elle avait joui sous la caresse de ses propres doigts, Mimi haletante reprît ses esprits. La limousine était arrêtée, les portes étaient toujours fermées, elle ne sentait pas d’air circuler autour d’elle. En revanche, en se concentrant elle entendit une respiration, celle du chauffeur ? Aurait-il ouvert la vitre de séparation pour profiter du spectacle ? Non, la respiration était trop proche pour venir de la place du conducteur. En réalité, la voiture n’avait roulé qu’une petite dizaine de minutes, mais Mimi était là depuis trente, le temps de l’abandon à elle-même fût rapide, et son plaisir solitaire avait duré beaucoup plus longtemps.

− Qui est là ? S'enquit-elle.

Personne ne répondit, mais la sensation d’une présence était toujours là, elle se sentait honteuse, elle ne savait ni qui ni depuis combien de temps elle était exposée ainsi au regard d’un inconnu. Puis la porte de la limousine s’ouvrît.

− Tu as mis du temps Mimi, lui indiqua Mr Charles.

− C’est vous monsieur ? C’est vous qui étiez avec moi dans la voiture ?

− Peut-être. Lui répondit-il amusé.

− Dites-moi s’il vous plaît, j’ai honte … dites-moi que c’était vous ! L'implora-t-elle la voix tremblante, rougie et toujours privée de sa vue.

− Qu’est-ce que cela changerait ?

− Rien monsieur, je serais toujours honteuse, mais je saurais qui était là.

− Tu n’as donc pas besoin de le savoir. Dit-il, amusé, puis il ajoutât. Donne-moi la main, il est temps de descendre.

Mimi lui tendit la main, Mr Charles lui attrapa fermement, la guidant pour descendre et se redresser hors du véhicule. Il lui laissa quelques secondes pour se détendre et s’étirer, féline, encore fébrile du fait de la jouissance qu’elle venait de se donner. Instinctivement elle lissa sa robe, puis tendit à nouveau la main à son professeur. Il lui reprit la main puis l'invita à le suivre. Au bout de quelques minutes de marche durant lesquelles ils ont passé des portes, prirent un ascenseur, puis passèrent une dernière porte. Il s'arrêta, la lâcha, puis après avoir bougé une chaise, la poussa délicatement devant, avant de la faire s'asseoir en avançant la chaise sous elle. Il passa derrière elle, puis avec la clef qu’il avait dans la poche, ouvrît le cadenas et lui retira le masque. La jeune femme se frottant les yeux, les ouvrît, mais elle était toujours dans le noir.

− Oh ! fit-elle étonnée. Où sommes-nous ?

− Dans un restaurant spécialement aménagé pour nous, le lieu est tenu secret pour ne pas attirer d’autres convives.

− Mais nous sommes dans le noir, pourquoi m’avoir fait m’habiller ainsi ?

− Pour mon seul plaisir, je savais que Jessy te plairait beaucoup.

− Je ne comprends pas, répondit-elle étonnée.

− Je savais Jessy attirée par les femmes, je savais également qu’elle saurait te tenter, par le fait que tu serais excitée quant à la particularité de la soirée, et par les gestes qu’elle ferait pour t’aider à t’habiller.

− Mais … qu’est-ce qui vous fait dire qu’elle m’a tenté ?

− Tout à l’heure quand tu es sortie de la boutique, tu transpirais la jouissance, ça se voyait comme un phare dans la nuit. Puis ensuite quand tu t’es abandonné à ton plaisir, dans tes gémissements, tu criais son nom.

− C’était donc vous le chauffeur ?

− Non, j’étais à côté de lui, c’est moi qui te parlais dans l’interphone, c’est encore moi qui t’ai mis le cadenas après que tu ais mis le masque. Et enfin c’est moi qui ai fait mine de sortir pour rester près de toi sur la banquette.

− Vous êtes un monstre ! s'écria-elle, dans un mélange de colère, de honte et d’excitation.

Mr Charles, avant de s'asseoir de son côté de la table, s’éloigna faisant claquer ses chaussures sur le sol. Mimi reconnu un bruit de parquet, c’est un bruit qui lui semblait familier, comme l’était le son de la voix du haut-parleur dans la limousine. Mais elle se dît que c’était une coïncidence, le son ressemblait à celui qu’elle connaissait, mais il était plus aigu, il ne raisonnait plus. Depuis que Mimi était dans le noir elle se fiait de plus en plus à ses autres sens, son ouïe en particulier. « Il n’est pas possible qu’il ait osé ! » se dit-elle, « Pas ici ! Comment aurait-il fait ? Non je dois me tromper. »

− Es-tu prête à manger ? S’enquit-il en revenant.

− Attendez, nous ne sommes pas où je pense ?

− Je ne sais pas, peut-être, lui répondit-il avec amusement. Es-tu prête à manger ?

− Vous n’allez pas me répondre ?

Il ne répondit pas.

- Bon et bien je suppose que je suis prête.

Mr Charles ne s'assit pas, mais resta debout à côté d’elle, puis lui tendant une fourchette remplie de nourriture :

- Ouvres la bouche Mimi, je vais te faire goûter.

Avec un peu de gêne, se faire donner à manger comme un enfant, à son âge, était gênant pour elle, elle ouvrît la bouche, puis son professeur lui inséra la nourriture, attendant que la jeune femme referme la bouche avant de retirer la fourchette. Comme les parents le font, Mr Charles fît le geste d'ouvrir la bouche et de la refermer en même temps que son invitée.

- Hum ! Qu’est-ce que c’est ? Demandât Mimi surprise du délice qu’elle venait de goûter.

- Essais au moins de deviner, lui intima Mr Charles.

- Je n’en ai … Attendez, c’est du caviar ?

- Bien ! Tu vois, tu le savais déjà.

- Mais c’est absolument délicieux ! S'exclama-t-elle.

- Et ce n’est que le début du repas, je te devais bien ça !

- Vous n’étiez pas obligé d’en faire autant !

- Non mais, entendre le plaisir que tu prends dès la première bouchée … en valait la peine. Puis ce que tu as fait sous mes yeux sans le savoir, est en soit une belle récompense.

Mimi rougi intensément, elle se rappela qu’elle venait de se donner en spectacle devant son professeur.

Le reste du repas Mimi pût manger par elle-même, des mets plus délicieux les uns que les autres, des vins accompagnant avec justesse tous les plats. La jeune femme prît un plaisir intense à goûter chaque nouveauté sur son palet, le fait de ne pas voir ce qu’elle mangeait décuplât son odorat et son goût.

Le moment venu du dessert arriva, Mimi dû attendre quelques minutes avant que celui-ci arrive, Mr Charles s’était absenté le temps de la préparation finale, visiblement sa présence était nécessaire en cuisine. L’attente parût interminable à Mimi. Soudainement, une main s’emparât du poignet droit de la jeune femme, puis fût tiré derrière elle pour atteindre sa hanche gauche, avec un claquement bref et ferme un bracelet se refermât sur son poignée, un second claquement, fît trembler la chaise, dans la foulée, le poignet gauche lui fût attrapé et fixé à la chaise à côté de sa hanche droite. La contrainte était rude, la position de ses bras l’obligea à se cambrer de manière à faire ressortir sa poitrine généreuse dans sa robe de soirée.

Mimi les larmes aux yeux, se mit à crier dans le noir.

- Mais que faites-vous ?

Le silence resta intense, la jeune étudiante ne pouvait voir ce qui se tramait autour d’elle, et son hôte semblait se déplacer avec la délicatesse d’un félin. Était-il encore en cuisine ? Ou bien à côté d’elle ? Qui lui avait ainsi menotté les poignets ?

- Mr Charles ? Où … où êtes-vous ? S’enquit Mimi tentant de briser ce silence pesant. Vous … Vous m’aviez promis que la soirée ne m’engageait à rien ! Libérez-moi je vous en supplie.

Le claquement d’une assiette se fit entendre sur la table.

- Un peu de patience jeune fille, il ne faut pas paniquer, tu es totalement libre de demander l’arrêt total de la soirée, lui annonça le professeur avec un ton calme et rassurant. Veux-tu que nous nous arrêtions là ?

- Oui ! Heu Non ! Je ne sais plus. Vous me troublez ….

- Prends quelques secondes, mais pas trop sinon le dessert va retomber …

Mr Charles, par cette phrase, mît le doute dans la tête de la demoiselle, perdue entre la peur, l’excitation et l’envie de voir où cela l’emmène. La réflexion de Mimi prit qu’une fraction de secondes, mais lui parût durer plus de dix minutes.

- Bien, continuons ….

Mimi n’eût pas le temps d’en dire plus qu’une main ferme lui ouvrit la bouche, une cuillère pénétra avec le la crème fouettée, le goût familier lui plût, c’était délicieux et intense. Puis un arrière-goût qu’elle connaissait mais ne l’identifia pas sur le moment vînt lui exciter les papilles. Il lui fallût quelques cuillerées avant de reconnaître précisément le goût d’une chose qu’elle n’avait réellement connu qu’une seule fois, le goût de la jouissance de son professeur.

- Oh ! Vous … avez osé ?

Une fois de plus, la jeune femme n’eût pas fini sa phrase que le sexe en érection de son professeur lui pénétra la bouche, violemment, profondément, lui arrachant un gémissement étouffé par la masse présente dans sa bouche. Puis des vas et viens de la part de Mr Charles lui violèrent la bouche jusqu'à une nouvelle jouissance de celui-ci, avec un râle résonnant dans toute la pièce. Mr Charles se retira puis lui maintînt la bouche fermée de manière qu’elle ne puisse faire autrement que d’avaler ce qui s’y trouvait. La puissance et l’abondance du jet de sirop dans la bouche de Mimi firent en sorte qu’une partie s’en était échappée lui coulant sur le menton le décolleté ainsi que sur la superbe robe de soirée de la jeune femme.

Mimi, reprenant son souffle et tentant de regarder Mr Charles, était perdue dans un mélange de sentiments, la peur que cela s'arrête, l'envie de plaire à son professeur, le désir lubrique que celui-ci lui donne du plaisir.

- Pouvez allumer la lumière Mr que je puisse vous regarder ? Interrogea Mimi.

- Non ! Répondit Mr Charles d'un ton sec. Toute la soirée se déroulera ainsi. Si je rallume cela signera la fin de la soirée, on peut toujours arrêter, tu n’as qu’à le demander.

Mimi ne sût quoi répondre. Elle se contenta de rester assise attendant la suite des événements. Elle ne tarda pas à la découvrir. Mr Charles défi les entraves à ses poignets, la saisît par le bras et la fît se lever, puis avec une corde de chanvre, il lui emprisonna les deux mains dans le dos, les paumes face à face, puis ayant fait un nœud, et faisant tourner la corde autour de ses avant-bras lui fit rapprocher les coudes de manière à augmenter la contrainte de celles-ci. Une fois arrivé au bout de la corde, presque au niveau des épaules, il en attrapa une seconde, la nouât à la première puis fit passer la nouvelle corde au-dessus de l'épaule droite de Mimi, la passât entre ses deux seins et, l'ayant brutalement extrait de la robe, entoura le gauche. Après quoi il fit passer la corde entre le dos et les bras de la jeune femme, puis revint devant, entourât le sein droit de Mimi, et, mélangeant la corde au passage déjà effectué entre les seins, remontât la corde au-dessus de l'épaule gauche et vin la nouer dans le dos, utilisant les premiers passages comme support pour le nœud. Mimi était excitée par les gestes de son professeur, mélange de sensualité, douceur et rudesse, mais aussi par l’odeur prenante du chanvre.

Mr Charles, se mis face à la jeune femme, privée de sa vue et du mouvement de ses bras. Il lui attrapa les deux tétons, un dans chaque main, entre ses pousses et ses index. Il commençât à presser, au début doucement, afin de connaître les réactions de la jeune femme, puis un peu plus fort, Mimi se mît à gémir doucement, et de plus en plus fort, l'étudiante criât, puis hurlât avec une puissance telle que toute la pièce en résonnât de son écho.

Mimi se tordit, pour essayer d'échapper à la torture que lui infligeait son professeur, puis, au fur et à mesure qu'elle prenait conscience du plaisir que lui donnait le pincement intense donné à ses jolis tétons, elle se calmât, arrêtant même de bouger, ses cris de douleurs laissant place à des gémissements de plaisir. C’est à ce moment-là, qu’inconsciemment, la jeune femme s’abandonnât totalement aux gestes et aux désirs de son partenaire.

Mr Charles relâcha Mimi avant de la saisir par les hanches et la soulever jusqu'à l'envoyer contre la table, sur laquelle quelques instants auparavant Mimi et lui mangeaient encore. Les pieds au sol, le torse plaqué sur la table, la jeune femme était impuissante, Mr Charles, en connaissance de cause, lui releva sa robe jusqu'aux hanches, puis lui asséna une fessée de plusieurs minutes, parfois de manière douce, d'autres plus rudes, Mimi gémissait de plaisir, se cambrait pour relever ses fesses et ainsi ressentir de manière plus précise chacun des coups. L'étudiante connaissait cette sensation qui l'excitait au plus haut point, en revanche à un moment donné la sensation devint totalement différente. Mr Charles avait attrapé un morceau de cuir souple légèrement molletonné, c'était un paddle. La jeune femme d'abord surprise du changement craignait les coups tombants, puis l'ayant apprivoisé, elle en prit un plaisir indescriptible, jusqu'à jouir. Une jouissance qui surprit nos deux partenaires de la soirée.

Mr Charles brisa le silence.

- Mais c'est que tu serais maso !!!

Mimi n'était pas en état psychologique de répondre, Mr Charles la prit alors dans ses bras pour la câliner et la réconforter.

La jeune s'endormit dans ses bras, le professeur entreprit alors de la porter puis de l'installer dans le lit de la pièce d'à côté, avant de retourner en cuisine éteindre tout ce qui était en fonction, et de ranger et nettoyer toute la cuisine. Puis il rédigea quelques mots sur une feuille, ensuite, le posa sur le lit, et prît congé de son étudiante.

Mimi ne le saura qu'au réveil mais la soirée c'est intégralement passée chez elle.

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