Chapitre 2

13 minutes de lecture

Plusieurs semaines sc’étaient écoulées depuis ce moment intense entre Mimi et son professeur Mr Charles.

Chaque séance de travaux dirigés fut une torture pour Mimi, qui avait pris l'habitude de mettre ses tenues les plus sexy pour provoquer son professeur.

Mais celui-ci semblait tout faire pour l'ignorer et faire comprendre à la jeune femme que ce qui s'était déroulé en fin de journée dans la salle de classe ne se reproduirait pas.

Mimi avait rencontré d'autres hommes, elle avait couché avec eux, mais jamais rien de comparable à ce que lui avait fait ressentir Mr Charles.

Le temps passant Mimi se sentit sale, sale d'avoir ainsi succombé à son professeur, sale d'avoir cherché à reproduire avec d'autres hommes ce qu'elle avait vécu ce soir-là.

Ce jour-là, elle décida de ne plus provoquer son professeur, inconsciemment ces esquisses le faisaient déjà, elle avait arrêté depuis bien longtemps de se mettre en scène dans une sensualité qui ne laissait aucune place au doute.

Elle fît tout d'abord ressortir de la tristesse, puis de la colère et, depuis une semaine ou deux, c'était du dégoût qui transparaissait de ses esquisses. Un dégoût intense d'elle-même et des hommes, qui en devinrent transformés en monstres hideux, crasseux, dégoulinant de substances nauséabondes.

Tellement décidée de ne plus provoquer son professeur, qu'elle mit un jogging, un pantalon très large, au moins trois tailles de trop, un t-shirt XXL et un sweat de la même taille, peut-être même plus grand, les cheveux attachés, plus aucune part de féminité ne ressortait de Mimi ni de sa tenue.

C'est ce jour-là bien-sûr que Mr Charles décida d'avoir un nouveau tête-à-tête avec Mimi. Il lui indiqua en passant à côté d'elle qu'ils devaient avoir une discussion en sortant. Le cours se déroula normalement, Mimi ne pensait plus à ce qu'il pourrait se passer pendant un tête-à-tête avec son professeur.

Puis comme la fois précédente, les autres élèves sortirent un à un sans un mot, laissant la jeune femme seule avec son professeur.

− Mimi, commença-t-il d'un ton grave, ton travail depuis notre dernière entrevue ... Ça ne va pas du tout. Peux-tu me l'expliquer ?

− C'est de votre faute monsieur ! Vous m'avez fait vivre un fantasme, puis comme si je n'en valais pas la peine, ou comme si je n'étais qu'un mouchoir jetable, vous m'avez totalement ignorée.

Mimi fit une pause, regardant droit dans les yeux Mr Charles. Elle n'avait jamais osé faire ça, comme un défi envers lui. Il lui soutint le regard, relevant le défi et lui montrant toute la perversion de son âme, les envies qu'il avait de l'utiliser à nouveau, d'en faire sa chose, sa chienne. La jeune femme n'avait jamais vu ce genre de regard, elle tenait bon, elle était bien décidée à ne pas lui céder, malgré l'excitation qui montait à cause de son regard.

− Vous pensez m'intimider ? Dommage ça ne marche pas !! Vous pensez me faire craquer pour vous, avec votre regard ? Rien, vous ne pouvez pas disposer de moi sans un mot et revenir comme si rien n'était.

Pendant que Mimi tenait ce discours son corps devint fébrile, humidifiant ses sous-vêtements. Mais elle ne perdit pas pied.

Mr Charles quant à lui entreprit d'aller chercher quelque chose dans l'armoire derrière elle, elle ne vit pas ce qu'il en sortit. Il glissa un ou plusieurs objets dans son cartable.

− Je suis conscient que c'était une mise à l'épreuve idiote, je voulais savoir quel serait ton comportement après cette soirée, je dois me faire pardonner ! Je t'invite à manger.

− Je ne sais pas, hésita Mimi, qu'est ce qui me prouve que vous n'avez rien derrière la tête ? Et puis une liaison entre nous, si elle venait à se savoir, nous causerait de graves ennuis ! A tous les deux !

− Je ne peux pas te dire que je n'ai rien derrière la tête, bien au contraire. Lui avoua-t-il. En revanche, le repas n'a aucune obligation pour toi. Tu seras libre de rentrer chez toi directement après.

Fouillant dans un tiroir de son bureau, il en sortit une carte de visite.

− La seule chose que je te demande est d'aller dans cette boutique et choisir une robe de soirée, ils sont au courant de ta venue, tout est payé.

− Une robe de soirée ? Pour un dîner ?

− Oui j'ai déjà réservé, nous y sommes attendus, c'est un restaurant très spécial.

Puis il s'assit sur le bord de son bureau, Mimi était toujours face à lui.

− Tu vas pouvoir repartir de la salle de classe. Si tu décides de venir, vas dans la boutique, une limousine sera appelée à ton arrivée et t'attendra devant à ta sortie. Le chauffeur te déposera devant le restaurant, moi je serai sur place.

Mimi abasourdie prit

la carte, c'était un des magasins les plus chics de la ville. Elle rougit puis sortit de la salle de classe sans un mot.

La jeune étudiante, maintenant sortie de la salle de classe, était sans voix. Elle prit le chemin du retour, bien décidée à ne plus répondre aux avances de son professeur.

Pourtant, elle n'arrivait pas à se sortir la proposition qu'il lui avait faite quelques minutes plus tôt. Il veut se faire pardonner, il veut l'emmener dans un restaurant chic, il lui offrait une tenue de soirée dans un des magasins les plus distingués, des plus chers de la ville.

Elle y était attendue, une voiture viendrait … Mimi avait la carte de visite du magasin dans la main, elle ne put s'empêcher de la regarder, après tout il lui avait dit que la soirée ne l'engageait sur rien, elle serait libre de partir ensuite.

Au mieux elle gagnait une belle tenue de soirée et un repas dans un grand restaurant. Ça ne lui coûtera rien. Mimi commençait sérieusement à douter alors que, sans s'en rendre compte, ses rêveries l’ont menée juste devant le magasin dans lequel elle était attendue.

− Pourquoi pas !! se dit-elle.

Elle entra dans le fameux magasin, elle ne se sentait pas à sa place, ce n'était pas son univers, en plus elle était toujours en jogging. Mimi jeta un coup d'œil tout autour des étals, puis fit demi-tour pour rentrer chez elle.

La journée avait été longue pour Mimi, elle entreprit de prendre une douche avant de s'allonger quelques minutes pour se reposer avant de manger. Elle avait toujours cette invitation en tête.

Retirant son jogging, elle se rend compte que son corps réclamait les caresses d'une main, que son intimité trempée réclamait la jouissance, alors sous la douche Mimi se donna du plaisir.

Forte de se réconfort solitaire, la jeune femme s'apprête.

− J'y vais, je verrai bien. Annonça-t-elle à haute voix pour elle-même.

Quelques minutes plus tard Mimi était de retour dans le magasin si chic, elle ne se sentait plus mal à l'aise, sa tenue précédente devait y être pour beaucoup, le plaisir prit également, mais surtout ce désir enfoui, celui qu’elle tentait de retenir, d’enfermer en elle.

Elle sortit la carte de visite du magasin qui se trouvait au fond de sa poche, puis la tendit à la vendeuse.

− Oh ! La carte de Mr Charles ! S'exclama la vendeuse sans même avoir eu le temps de la regarder en détail.

La vendeuse était une superbe femme brune au teint mat, grande et élancée, certainement vêtue avec les articles qu'elle vendait. Mimi se dit que ce magasin était fait pour des femmes comme cette vendeuse, elle fit un signe de tête timide pour acquiescer.

− Je m'appelle Jessy, je m'assure de pouvoir m'occuper de vous et j'arrive tout de suite.

La vendeuse se retourna et partit doucement dans l'arrière-boutique. Elle revint au bout de quelques secondes, puis se dirigea vers la porte d'entrée. Avec la clé qu'elle avait dans la main verrouilla le système d'ouverture automatique des portes.

− Mr Charles, déclara Jessy, a expressément demandé de privatiser le magasin pour vous.

Mimi était abasourdie et ne savait trop quoi dire, elle se contenta de hocher la tête, intimidée par tant d’attention.

− Il nous a donné quelques instructions quant à l'endroit dans lequel il vous emmène, le reste sera en fonction de vos goûts. Je vous invite à passer dans le showroom.

En indiquant le rideau à droite, la vendeuse accompagna Mimi.

− Passez par ici. Mettez-vous en sous-vêtements. Je vous retrouve de l'autre côté.

Mimi toujours silencieuse s'exécuta. Une fois de l'autre côté du rideau elle découvrit une petite pièce avec un fauteuil, des crochets pour y déposer ses vêtements. Elle se mit donc en sous-vêtements comme l'avait demandé la vendeuse, non sans hésitation et gène, la demoiselle était pudique, et n’avait pas pour habitude de se présenter en sous-vêtements devant une inconnue, même vendeuse.

Mimi ne se sentait pas à l'aise, presque nue avec tous ses défauts, seule avec une inconnue dont le métier allait l'amener à la regarder en détail, sous tous les angles.

La jeune femme se décida finalement à sortir, de ce qui ressemblait à une cabine d'essayage, les bras en croix, mains sur les hanches, recroquevillée sur elle-même comme pour remplacer les vêtements qu'elle n’avait plus.

− Ne vous en faites pas, annonça Jessy, d’une voix douce et calme. Vous êtes superbe, il n'y a pas de honte à avoir. Puis, si vous restez comme ça vous n'allez pas pouvoir enfiler les vêtements que je vais vous proposer.

Mimi se faisait déjà violence d'être venue jusque-là, et la voilà maintenant en petite tenue devant cette femme magnifique. Elle prit encore sur elle pour tenter de se détendre et relâcha ses bras qu'elle tenait croisés devant elle, se redressa et, comme un réflexe, bombe le torse pour se donner du courage. Ses joues trahissaient son manque d'assurance, elles étaient rouges de timidité et de honte.

− Je peux vous proposer un café, un thé, ou un verre de vin blanc frais, proposa Jessy d'une voix calme et très souriante.

− Je prendrai du vin, répondit Mimi timidement, ça me détendra peut-être un peu.

Les deux jeunes femmes explosèrent de rire. Ce qui contribua à détendre Mimi, son corps était presque détendu, mais ses joues étaient toujours rouges.

Jessy revint avec le verre de Mimi, mais aussi avec un verre pour elle.

− Je vous accompagne, dit-elle avec un large sourire.

Mimi se rendit alors compte que la vendeuse était peut-être encore plus tendue qu'elle, mais qu'elle prenait sur elle.

− Vous semblez stressée mademoiselle, que se passe-t-il ? Demande Mimi.

− Mr Charles est l’un de nos meilleurs clients, si ce n'est le meilleur pour la collection homme tout du moins. Sa demande de privatiser le magasin, pour vous trouver une robe de soirée, la limousine, le tout est étonnant et perturbant. Répondit Jessy.

Les deux jeunes femmes étaient maintenant assises dans les fauteuils du showroom.

− Je vois, j'avoue que je suis perturbée aussi, reprit Mimi oubliant sa tenue. Vous avez peur de le décevoir j'imagine ?

− Oui, c'est exactement ça. Et puis il nous a demandé de ne vous poser aucune question sur vous et lui. Moi je suis curieuse c'est difficile de résister, j'en ai tellement à vous poser.

− Je pense que quelques soit vos questions, je ne saurais pas y répondre, alors prenez des « je ne sais pas. » comme réponse à toutes vos questions, répondit Mimi en riant.

Les deux jeunes femmes se mirent à rire de bon cœur. Les essayages allaient commencer. Les deux jeunes femmes parcoururent les portants présentant les robes, Jessy en proposant une ici ou là, Mimi un peu perdu ne les acceptant pas.

Quelques minutes s’étaient écoulées, Mimi, avec l'aide de Jessy, avait finalement sélectionné trois robes, deux noires et une rouge. La jolie vendeuse accompagna alors Mimi vers la cabine d'essayage. La complicité naissante entre les deux femmes, Jessy propose alors à Mimi de l'aider à enfiler les robes, ce que la jeune étudiante accepta volontiers.

− Je vous propose de commencer par celle-ci, annonça Jessy, en proposant la seule robe rouge.

− Bien-sûr, c'est celle que je préfère ! Répondit Mimi avec entrain.

Mimi était de plus en plus joyeuse de ses essayages, la vendeuse l'avait mise en confiance. Le verre de vin bu avant la recherche de cette robe était aussi responsable de cette détente absolue.

Jessy, ouvrit la fermeture de la robe, qui se trouvait sur le côté droit, allant de l'aisselle à la hanche, puis la présenta fasse à la jeune femme, lui faisant passer d'abord les bras, puis la tête, et finit de la glisser tout en la déroulant le long du corps de Mimi, celle-ci ressentit la douceur de la robe, elle était en coton, doublée de satin, mais ce n'était pas cette matière qui la perturbait le plus. Les mains si douces de la vendeuse glissant le long de ses formes généreuses et voluptueuses, geste d’une sensualité qu'elle ne pensait pas possible, elle rougit, son entre jambes était de nouveau humide.

Jessy tenta de fermer la robe, mais la poitrine de Mimi l'en empêcha.

− Il va falloir que vous retiriez votre soutien-gorge mademoiselle, déclara la vendeuse, cette robe, de toute façon, se porte sans.

- C'est juste ....

Avant que Mimi eût le temps de finir sa phrase, la jeune vendeuse avait déjà dégrafé son soutien-gorge.

− Oh ! quel doigté ! S’écria Mimi, à la fois choquée et admirative.

Ce fut au tour de Jessy de rougir, le compliment la touchait.

− C’est la force de l’habitude, répondit Jessy en riant.

La vendeuse finit finalement par remonter entièrement la fermeture de la robe rouge. Mimi se regarda dans le miroir, ce qu’elle voyait lui plaisait, la robe la mettait bien en valeur, ses formes et le décolleté la rendaient irrésistible.

− Je ne pense pas qu’il faille en essayer d’autre, cette robe est juste parfaite sur vous, annonça la vendeuse.

Mimi rougit de plus belle, et vit le regard de Jessy, ce regard qui semblait la déshabiller, la désirer et se délecter des saveurs de son corps. La jeune femme n’avait jamais été attirée par une femme, même dans ses fantasmes nocturnes. Malgré ce désir nouveau, elle se contenta de l’imaginer, mais elle aurait voulu poser ses mains et ses lèvres sur la vendeuse.

− Merci, je la trouve parfaite aussi, je n’ai plus envie de l’enlever, répondit Mimi, les yeux brillants.

− Maintenant, il faut suivre les dernières instructions, je reviens.

Quelques minutes plus tard, Jessy revint avec une paire de bas rouges, assortis à la robe. Il s’agissait de bas traditionnels, sans auto-grip comme on pourrait en trouver en grande surface. Avec les bas la vendeuse avait amené un porte-jarretelle rouge également.

− Mr Charles a expressément demandé que vous portiez ce type d’accessoires assortis à votre robe, laissez-moi faire, je vais vous ajuster le porte-jarretelle.

Mimi n’eut pas le temps de répondre, que Jessy était déjà à genoux devant elle, lui relevant la robe, et sans avertissement lui descendit sa culotte, étant noire, elle n’était pas assortie à l’ensemble. Mimi troublée par ce geste inattendu émit un léger gémissement que la vendeuse ignora. Ce geste excita légèrement Mimi, le retrait du sous-vêtement, le fait que les mains de la vendeuse effleuraient ses jambes, le souvenir du retrait rapide de son soutien-gorge, la vendeuse à genoux devant elle, le tout lui faisait monter un fantasme de plus en plus présent. Mimi commença à mouiller légèrement. Sa culotte était maintenant à se pieds, qu’elle leva tour à tour afin de la libérer, Jessy l’attrapa, puis dans un mouvement qui lui semblait discret l’approcha une fraction de seconde à son nez afin d’en sentir l’odeur féminine de sa cliente qui lui faisait envie, cette odeur de mouille l’excitât au plus haut point.

− Asseyez-vous je vais vous enfiler les bas, déclara Jessy, d’une voie plus tout à fait normale.

Mimi ayant aperçu la vendeuse porter sa culotte à son nez s’exécuta fébrile et lui tendit une jambe. Jessy enroula le premier bas dans ses mains, puis l’enfila d’abord sur le pied de la jeune femme, puis le fit dérouler tout au long de sa jambe et, sans décoller les mains de la cuisse de Mimi, attrapa les fixations du porte-jarretelle pour les mettre en place. Mimi, posa son pied sur le fauteuil afin de laisser la vendeuse libre accès à toute sa cuisse. La cuisse de la jeune étudiante faisait partie de ses zones les plus sensibles et érogènes, le geste de Jessy ne manquât donc pas d’amplifier son état actuel.

Jessy entrepris d’enfiler le deuxième bas sur l’autre jambe dans le même geste empreint de sensualité. Les deux jeunes femmes semblaient mutuellement attirées, mais aucune n’osait parler, ni inviter l’autre à un geste supplémentaire. Mais lorsque Jessy fut en train de fixer le deuxième bas au porte-jarretelle, Mimi ayant gardé son premier pied sur le fauteuil, elle se trouva entre les cuisses écartées de la jeune femme. Mimi avait son intimité dévoilée et offerte à Jessy qui, tentant de se concentrer sur les fixations avait le plus grand mal à attacher la dernière, tellement la situation la troublait. C’est une cliente, recommandée par le meilleur client de la collection homme, elle ne pouvait pas se permettre une frasque sexuelle et ainsi risquer de perdre son travail et sa réputation.

Le regard troublé par l’excitation, Jessy approcha la tête pour mieux voir ce qu’elle faisait sur la première attache, l’odeur de la féminité de Mimi était de plus en plus présente, l’excitation était partagée, Mimi commençât à mouiller de plus en plus. La vendeuse ayant enfin réussi à fixer la dernière attache tourna légèrement la tête pour annoncer sa victoire à Mimi, elle n’eut pas le temps de se relever pour voir le visage de sa cliente.

La timide Mimi n’en pouvant plus et voyant le visage de la belle vendeuse ainsi entre ses jambes, l’attrapa par les cheveux et lui colla le visage entre les jambes, tout en poussant un cri de plaisir, soulagement de se laisser aller à son envie la plus profonde du moment, sentir la langue de la jeune femme lui donner du plaisir au féminin. Jessy ne se fit pas prier elle lui lécha son intimité se délectant de l’interdit, faire ça à une cliente au sein même du magasin. La vendeuse, excitée, sentit le plaisir de Mimi glissa sa main sous ses propres vêtements pour se donner du plaisir simultanément se faisant gémir au même rythme que Mimi.

Les deux jeunes femmes continuèrent ainsi jusqu’à ce que mimi jouisse dans un cri puissant, puis la main tenant les cheveux de la vendeuse, elle la fit remonter pour lui arracher un baiser fougueux, la faire s’assoir à côté d’elle, replacer sa main sous ses vêtements et continuer à lui donner du plaisir du bout des doigts afin d’en obtenir sa jouissance.

Elles se câlinèrent quelques minutes, essoufflées, puis se promirent de n’en parler à personne, ni à la patronne de Jessy, ni à Mr Charles. Puis Mimi, après s’être rafraîchie dans les toilettes, avec l’aide de Jessy réajusta sa robe, et ses sous-vêtements. Avant de quitter la boutique, elles échangèrent leurs numéros, elles se reverront certainement dans un tête-à-tête encore plus intime.

Mimi sortit de la boutique rêveuse, la limousine l’attendait.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 2 versions.

Vous aimez lire Marque Déposée ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0