Chapitre 26 - Retour à la normal.

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Finalement le lundi Meryl est cloué au lit dans sa chambre. Les filles sont allé en cours avec les autres étudiant mais, étant donné qu’elle sort d’un accident entre guillemets grave, elle doit se reposer encore. Elle en profite pour écrire une histoire. Ne voulant utiliser son ordinateur, elle prend un carnet amagik. La simplicité est vivement recommandé dans ce cas. Par contre il lui faut une table d’écriture et un lit qui se relève comme dans les hôpitaux. C’est plus simple pour allier repos et écriture.

Elle va tenter de les faire apparaître. Ne pensant pas que c’est simple, elle part déjà défaitiste. Finalement c’est pas si compliqué que ça. Tout marche comme sur des roulettes. Elle va pouvoir écrire à sa guise toute la semaine. Par contre elle va avoir droit à des visites de temps en temps de l’infirmière et de différentes personnes.

Espérons que ce ne soit pas trop intrusif. Et surtout qu’elle pourra écrire sans être trop gêné. Pour le moment elle ne sait même pas sur quoi produire un récit. Peut-être sur l’amitié. Une belle amitié qui se construit au fil du temps. Des filles se rencontrent petites et deviennent les meilleurs amies du monde. C’est une excellente idée pour une nouvelle. En plus c’est une première sur cette thématique. C’est le reflet d’une partie de la vie. On fait des rencontres, on devient ami, on ne s’aime pas, on s’aime. Bref. Il faut de tout pour faire un monde.

Dans un monde ou tout n’est que chaos deux petites filles naissent à l’hôpital le même jour. Leurs mères sont de bonnes amies. La vie a bien fait les choses, les deux jeunes mamans ont eu une grossesse en même temps. Le chaos c’est de leurs fautes! Elles sont tellement paniqué et la douleur est si intense que l’hôpital est sans dessus dessous. On ne dirais pas et pourtant c’est vrai. Ma mère ne supporte pas le produit de la péridurale. Enfin il n’a pas fait effet ! Quand à ma meilleur amie, le produit a un peu trop marcher du coup panique à bord. Elle pensait que c’était pas normal de rien sentir du tout. Disons plutôt qu’il y a eu un manque d’informations. Forte heureusement une fois que nous sommes naît la tension est redescendu. Nos mère ne cessent de nous raconter cette histoire depuis que nous sommes en âge de comprendre. A un moment ça devenait gênant, surtout quand on était entre amis. Et je ne parle pas de moi et de ma meilleure amie! Je parle de nos amis qui venaient passer du temps à la maison. Apparemment cette histoire est la meilleur selon ma mère. Mais enfin de là a la raconter a tout le monde. C’est limite je vais voir tout les inconnus que je croise et je leur parle de ça. Des fois j’ai juste envie de lui hurler dessus. Bref! J’ai trouvé la solution. Je lui ai proposé un marché, elle se tait et je fais ce qu’elle veut à la maison. Si elle parle, je ne fais plus rien. Et quand on sait que de base je suis une flemmarde, elle ne veut pas que ça continue. Ce qui fait que j’ai un peu de tranquillité. J’appelle Coline qui me crie de loin qu’elle arrive:

«Deux secondes Lina, je viens.

- Ok, je t’attends. Par contre dépêche toi le film va commencer!

- Oui, oui, ça va, je suis là. Tu peux mettre pause aussi.

- Tu sais que ça marche pas ici.

- C’est vrai, j’avais oublié que tu n’avais pas la télé qui a cette option. Tu fais comment sans déconner?

- J’enregistre, je regarde sur internet ou je fais tout pour être à l’heure.»

Le film commence. Comme d’hab on regarde des film d’amour, c’est les meilleurs et on finit toujours par verser une larme à la fin quand le couple se marie. C’est bien des trucs de filles ça, pleurer devant un film à l’eau de rose. En fait pas vraiment ! les hommes aussi le font ! Seulement ils se cachent. Enfin c’est pas totalement vrai parce que j’ai des potes qui le font devant nous sans avoir honte. Il ne vont pas non plus le faire pour tout les films maiiisssss.... voila ! Si mes souvenirs sont bons une fois on a regardé un film qui faisait super peur et un des garçons a carrément pleuré pendant une heure. Que des petites histoires dans le style. J’en aurais des tas à raconté. Ça y est le film commence ! c’est une romance qui débute dans une ville du style New York. Le genre d’endroit que je préfère au monde est cette ville. Elle est grande, lumineuse la nuit, remplie de petit coins sympathiques. Le parc est géant. Tout est à porté de main.

Oh, non, pas la pub ! Je déteste la pub ! ils essaient toujours de vendre des objets qui ne marche pas correctement la plupart du temps. Au bout d’un moment c’est lassant. Si encore ça fonctionnait sans beuguer ou casser en même pas deux seconde je dis pas mais, la, stop. Voir tout le temps les mêmes produits, qui en plus sont bon à jeter avant d’avoir pu acheter. Je ne veux pas continuer la dessus. Je suis un vrai moulin à parole quand je m’y mets. Une fois j’ai tellement parlé que ma meilleure amie c’est endormie. À son réveil je me suis excusé et elle m’a dit: «oh non t’inquiète, tu ma grandement aidé. J’ai passé une mauvaise nuit.» La sensation de gêne était présente mais atténué. Le film reprends. On n’arrive pas à le finir. Le lendemain Coline et moi nous réveillons sur le canapé. Ma mère nous demande si on a bien dormi. La réponse est positive. Sur le moment elle rigole. Je lui demande rapidement une petite explication et elle me montre mon visage. Une fois devant le miroir, on peut voir les traces laissé par le canapé et la télécommande. Ma meilleure amie est morte de rire mais, après un rapide coup d’oeil devient moins joyeuse. Le sofa lui a laissé quelques marques aussi. Les rires reprennent de plus belle pour s’arrêter au moment ou le four sonne. Le petit déjeuner est servi. Ce matin c’est gâteau au chocolat. Ma mère a voulu nous faire plaisir en cuisinant un peu. On se fait un café pour commencé et on prend chacune une part que l’on pose sur un plateau. On se met un film et on petit déjeune. C’est un truc sur l’amitié je crois. Ah oui! C’est exactement ça ! Ces images me rappellent quand on c’est rencontré pour la première fois et qu’on est devenus amies à jamais. Ouai bon peut-être pas à jamais mais, en tout cas tant qu’on s’entendra rien ne nous séparera. Cette première rencontre est inoubliable. En fait quand on était petite mais, genre même pas un ans nos mères se voyaient. Je ne m’en souvient pas mais elle oui. C’est quand on a eu 3 ans que cette première rencontre eue lieu. Nos mères étaient tellement occupé avant qu’elles ne se voyaient plus du coup pour marquer nos trois ans elles avaient décidé de se voir et de nous organiser une fête avec des copains de quartier. Quand nous nous sommes vue, rien ne c’est passé au départ mais, lorsqu’un des garçons est venu m’embêter, elle a couru me défendre. Après ça on c’est juré d’être les meilleurs copines du monde. Littéralement ! On a fait les 400 coups quand on étais petites. Casser de la vaisselle par accident, mettre de la boue partout dans la maison, faire de la pâtisserie et en foutre dans toute la cuisine. Il y a eu quoi encore, ah oui! On a aussi fait fuir le petit amie de sa mère. Elle était rouge tomate. Finalement elle nous a remercié, il la trompais. Quand on a apprit ça, les rires n’ont pas cessé de s’entendre. On a quand même eu droit à un: «ne refaites plus jamais ça !» Après la solution a été toute trouvé. Il suffisait de dire quand le petit ami était pas apprécié. C’est pas arrivé finalement. Le suivant est devenu le bon. Mariage et tout ! Et puis quand cette bêtise est arrivé on était à l’école primaire. Quand on est à cet âge on a pas conscience de la situation ni de ce qu’elle peut engendré. Bon, la ça va ! c’était pas si mauvais que ça mais ça aurait pu être pire. Qu’est ce qu’on a fait d’autre aussi? Ah oui ! je m’en rappelle comme si c’était hier. On est aller dans une grande surface et on a piqué des trucs. Le meilleur c’est qu’on ne sait pas fais attraper. On ne réalisait pas ce qui c’était produit. C’est une fois arrivé à la maison, que nos parents qui nous avaient vu arriver avec les mains remplis, qu’on avait compris. On a plus jamais recommencer. Par contre on a conserver notre butin. Je crois que c’était des petit jouet et des écouteurs un truc comme ça. Oui des tamagotchi !  on avait pris les trucs dans le rayons et on avait commencer à les déballer pour jouer. Après test ils avaient atterri dans nos poches de pantalons. Je crois que les caméras n’étaient pas encore installé dans ce magasin.

Comme c’était pas quelque chose de trop grave. Les parents nous avaient fait bien comprendre que voler est mal. On est jamais retourné dans cette grande surface de peur de se faire prendre ou qu’on nous surveille. Jamais rien ne serait arrivé mais, par acquis de conscience c’est mieux. D’ailleurs je crois qu’on a conservé ce qu’on a pris ce jour là. Ouiiiiiiii ! C’est dans une boite. Les écouteurs sont encore dans l’emballage d’origine, jamais servi et les tamagotchi doivent plus avoir de piles. Que de bon souvenirs. Retournons à ce film. On profite du temps du film pour prendre le temps de manger. Le but est de finir le gâteau à la fin du film. Je pense pas que c’est possible mais, je vais bien voir si ça marche ou pas. Finalement si c’est possible. On a mangé le dernier morceau pendant le générique de fin. Après un bon petit-dèj, direction la salle de bain pour se préparer a sortir. On veux aller faire un tour à une foire pour faire quelques manèges. C’est les derniers jours pour en profiter, après elle se déplace dans une autre ville.

«Fiou, je suis fatigué. Je vais arrêter l’écriture pour le moment. Une petite sieste me fera le plus grand bien. Je me suis réveillé il y a quelques jours mais, la fatigue est encore présente. Je pense que c’est normal. J’entends frapper à la porte. Qui-est? :

Oui, entrez !

-C’est moi, la professeur d’écriture. Je viens prendre de tes nouvelles.

- Bonjour

- Bonjour, comment tu vas?

- Un peu fatigué mais ça va.

- Je n’avais pas eu l’occasion de venir te voir. Je profite de ma pause pour cela. Que c’est-il passé?

- J’ai étais victime d’un des sors de Haldaros. En fait il m’a envoyé un vidéo projecteur dans ma chambre. Cet appareil a diffusé une vidéo de mes parents me demandant de l’aide. À peine la vidéo fini, je suis tombé a terre. J’étais inconsciente apparemment. Je me suis réveiller quelques jours plus tard à l’infirmerie de l’école. La directrice m’a expliqué que j’ai été touchée par un sors qui apparemment n’était pas assez puissant pour moi. Je suis donc tombé au sol et c’est le choc à la tête qui aurait provoqué mon inconscience.

- Eh bain dit-donc, c’est un sacré choc. Repose toi bien cette semaine. Ne passe pas trop de temps devant les écran surtout, ça peut avoir des conséquences au niveau de la tête. Quand tu reprendra les cours on ira mollo. Normalement c’est sensé être intensif mais avec ce qu’il c’est passé mieux vaut ne pas trop forcé.

- ça se comprend. C’était prévisible. Après ce n’est que pour un petit temps. Je reviendrais vite à un rythme normal.

- Oui, tu es forte. Ce n’est pas un petit sors qui va t’arrêter. Repose toi bien et reviens en pleine forme.

- Merci. C’est l’objectif de la semaine.»

Après cette petite visite surprise, la fatigue se fait plus importante. Un peu de musique et hop ! «Sieste, me voila !» se dit Meryl [...] Réveil trois heures plus tard, la musique toujours allumé. Les filles sont arrivé il y a quelques minutes apparemment :

« Alors, bien dormis?

- Oui, très bien. C’était comment les cours?

- Normal, fin rien de spécial. Certains étudiants se sont demandé pourquoi tu n’étais pas la. Le classique quoi.

- Je vois. Des qu’il se passe un truc tout le monde veux savoir de quoi il retourne. Curiosité un peu mal placée mais bon. C’est pas grave on va faire avec.

-  C’est des idiots. Faut pas s’en occuper. Sinon tu as fais quoi aujourd’hui. Ah mais attends ton lit a changé. Il c’est passé quoi?

- J’ai transformer mon lit pour pouvoir écrire a la main. Je ne voulais pas prendre mon ordinateur. J’ai écris dans un carnet ce matin. Après j’ai reçu la visite de ma prof d’écriture/français. J’ai finis par m’endormir avec de la musique.

- Ah d’accord. J’ai cru qu’il c’était passé autre chose.

- Non Hanaé, rien de spécial. J’avoue que ça peut surprendre. J’ai bien envie de laisser ce lit la mais il est un peu moche. Je vais tenter de le transformé en lit plus sympa, toujours en gardant le même système. C’est plus simple.

- Oui et puis se sera moins surprenant. Et la tablette, c’est aussi ton œuvre?

- Yep. J’avais besoin d’un espace pour écrire à la main.

- Tu ne voulais pas prendre ton ordinateur?

- Non, l’écran aurait plus fatigué ma tête qu’autre chose.

- Ah mais, c’est vrai que le pc et ce genre de problèmes ne font pas bon ménage. Tu as eu raison.

- ( Brooklyn confirme) J’ai eu un choc à la tête et on ma recommander de ne pas utiliser d’écran pendant au moins une bonne semaine sauf le soir dans un environnement noir et pour regarder un film sans trop de petits détails style dessin animé.

Je te comprends totalement.

- On va pouvoir se faire un film du coup! Vous voulez regarder quoi?

- Je sais pas, un film d’amour, de science-fiction? Ouai nan on va éviter la science-fi. Un film sur des lycéens?

- Oh oui la dernière proposition est parfaite! On va bien rigolé en plus.

- Ça fait un moment que j’ai pas regarder ce genre de film. C’est excellent.

- AH et on a oublié de te dire. Professeur fureur a demander de tes nouvelles. Il ne voulait pas venir te voir. Peur de déranger sûrement.

- Merci pour le message. Si vous le croisez vous pourrez lui dire qu’il ne me dérange pas et que ça va mieux?

- On lui transmettra le message ainsi qu’aux autres professeurs. Ça évitera qu’ils passent par nous ou autre.

- Merci les filles, vous êtes des amours.»

On continue la soirée en discutant un peu avant d’aller manger. On commence à sortir de la chambre quand la directrice arrive pour nous accompagner. Elle ne veux pas qu’il y ai d’incident ou on ne sais quoi. Bref, elle est un peu inquiète. Même si tout va bien. On ne sait jamais. La magie peut rester quelques temps après un accident et causer des dégâts supplémentaires.

Meryl n’a pas envie de retourner dormir pour quelques jours. Lorsqu’elle arrive dans la salle de réception, non cantine plutôt, tout le monde la dévisage comme une attraction.

Elle est un peu gêné mais, avance sans vraiment y prêter attention. C’est prouvé que si on ignore les regards ils se calment. Et puis de toute façon ce ne sont que des yeux posé en sa direction. Rien de plus. On ne va pas en faire tout un foin. La meilleur des armes est de ne pas répondre, regarder ce qui se passe. On s’installe ensembles au bout d’une des tables sous les yeux du corps enseignant. La tension redescendra d’ici un moment. En espérant qu’il ne se passe rien de grave encore.

Concentrons nous sur ce qui se passe à table. La jeune fille ne sait pas quoi manger ce soir. La faim se fait ressentir. N’ayant pas mangé à midi, c’était prévisible. Ça ne veut pas dire qu’il faut se gaver pour autant. Sinon cette nuit, difficile de dormir. Trop manger n’est pas vraiment bon pour le sommeil. Elle a tester une fois. La pire nuit de sa vie. Elle avait tellement mal au ventre en plus de l’envie de vomir. On a tous fait ça un jour ! Ses meilleurs amies racontent justement les fois ou elles ont été malades. Au bout de leurs histoires Meryl dit stop. On se marre quelques minutes quand même. Après un repas bien mérité nous sommes raccompagner par le surveillent de notre étage. On prépare la chambre pour le film avec un écran géant et un peu de popcorn. Le canapé of course est apparu par magie. On a échanger les lits contre un petit sofa pour faire comme dans certains films qu’on adore. Évidemment dans un temps limité, c’est-à-dire qu’à la fin du film tout reprends sa forme.

La magie est un vrai plaisir, c’est tellement simple et rapide ! On a chacune un bol de popcorn et un plaid pour profiter du film. C’est parti ! Les film ou ça parle d’ados sont tellement simple à regarder. Le temps passe hyper vite et les scénarios se ressemblent beaucoup pour ne pas dire que ce sont les mêmes. Les dialogues sont un peu différents et parfois c’est très drôle. On est dans un univers typiquement féminin. La plus populaire se moque des autres et leur en fait voir de toutes les couleurs.

Une fille débarque en mode je connais pas et elle se fait avoir. Finalement elle comprend comment renverser la vapeur et gagne la partie. Ça détend ce genre de films. On se marre tout du long et on peut finir la journée sur une bonne note. Meryl commence un peu à fatigué en plein milieu du film. Elle change de position pour ne pas s’endormir.

«Ah, enfin un peu d’action. Oh non c’est trop drôle. La fille populaire c’est ramassé une boule puante dans la figure.»

Finissons se film, il est génial.Ce n’est pas un chefs-d’œuvre mais, le divertissement proposé est hilarant. Le temps passe vraiment trop vite ! C’est déjà fini. (bâillement) Et il est temps d’aller dormir, Meryl est crevée. Les filles ont remarqué que la fatigue été bien présente. On se pose sur nos lit et on discute un peu avant d’éteindre les lumières. Meryl finit par s’endormir avant l’extinction des feu. [...]

Réveil très léger, pas de soucis, sourire au lèvres, même pas fatigué. En même temps, c’était un sommeil réparateur. Elle a pas entendu le réveil par contre. Les filles lui disent que c’est parce qu’elles ont trouver une alternative pour ne pas la réveiller. C’est pour qu’elle se repose le plus possible. Son corps est tout de même réglé comme un coucou suisse. Disons qu’il sait quand dormir et à quel moment c’est fini. C’est un peu comme une application. Celles qui analysent les nuits et permettent un réveil en douceur. L’avantage, c’est qu’il n’y a pas besoin de réveil. Il sert juste de sécurité. Parfois il peut y avoir quelques beugs. On se prépare vite fait et file prendre un petit-déjeuner. Ce matin Meryl a envie d’œufs. La cantine est remplis.

Elle trouve quand-même étrange de se sentir aussi bien alors qu’hier soir elle était très fatigué. Pendant que les filles vont en cours la jeune fille remonte dans la chambre. Elle installe la installe sa tablette pour continuer d’écrire. Toute une semaine rien que pour ça, le pied total. Le repos sera de rigueur par contre. Il n’est pas question de se forcer. Il faut arrêter des que le corps ou la tête fatigue. L’infirmière passe voir comment ça va. Si tout se passe bien Meryl reprend normalement la semaine prochaine. Croisons les doigts pour que cela soit possible. Le repos c’est bien mais pas trop longtemps quand même.

Il faut s’assurer qu’il n’y a pas de résidus magiks avant. Certains sors, bien qu’inactif ou partiellement peuvent causer de graves blessures. Il en existe qui laissent des traces invisible à l’oeil nu. Elles se manifestent parfois quand on s’y attend le moins.

Encore une chance que Meryl ne soit pas restée dans le coma plus longtemps. Il y aurait eu beaucoup de problèmes à son réveil. Et puis qui se serait occupé de ses chats. Ils ont des besoins. Il y aurait eu beaucoup d’inquiétude de la part des proches aussi. Bref , passons. Meryl à envie d’aller se balader dans les jardins de l’école aujourd’hui. Il fait beau, pas trop froid et pas envie de rester dans sa chambre. Prendre l’air lui fera le plus grand bien. Un temps parfait pour se poser dans l’herbe avec un carnet et un crayon.

Lorsque la faune et la flore se trouvent à quelques centimètres d’elle, un bruit provoque un sursaut de peur. La directrice se trouve en face d’elle. Est-ce une bêtise de se trouver dehors ? non, c’est tout à fait normal. Elle vient aux nouvelles tout simplement. Elle est aussi ici pour avertir Meryl des dangers du soleil. Apparemment ça peut avoir des conséquences sur la tête. Pour prévenir de cela un parasol apparaît, se place dans l’herbe pour créé une zone d’ombre protectrice.

Ce n’est pas une demande personnel mais, un petit coup de main. Une bonne idée pour le prochain coup. La journée continue son cours et la fatigue ne se fait pas ressentir. Meryl se sent en pleine forme. Elle pense que les effets se sont dissipés. Tout est possible en fait. Le reste de la semaine passe sans vraiment se remarquer. La jeune ado ne s’attendait pas vraiment à ce que ses vacances forcées se finissent aussi vite. En vrai les cours c’est mieux que les vacances. L’infirmière vient la voir pour une dernière vérification.

Il ne faut pas laisser passer le moindre élément. Tout est normal. Les cours peuvent reprendre. Une nouvelle inattendue. Meryl s’attendait a ce qu’on lui dise qu’elle n’est pas totalement remise. Finalement tout est nickel.

Elle est joie et bonheur ! Le repos oui, mais, trop c’est pas bon. Enfin bon, tout est rentrée dans l’ordre. La reprise des cours est imminente. Il a fallu que la visite médicale se fasse un dimanche.

Elle ne croyait pas que le service serait actif ce jour. A moins que non mais il ouvre des qu’il y a un souci quelconque. Tout est possible. La jeune fille est impatiente de reprendre lundi.

Passer une semaine à écrire et regarder des films est un peu long. La nouvelle qu’elle a commencé à écrire n’est pas satisfaisante. Elle est range dans la boite de texte brouillons. Un texte qui servira d’exemple pour avancer dans ses écris. Ça ne lui arrive pas souvent mais, bon, elle fait avec. Et puis bon, en étant en convalescence, sa tête un peu déréglé, c’est normal. Ça reviendra petit à petit. On ne peut pas demander la lune non plus.

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