Chapitre 16 - C’est noël : Accro aux jeux vidéos.

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Dans quelques jours à peine c’est Noël. Meryl est trop excitée. A ce qu’on lui a dit les vacances commencent une semaine avant Noël et finissent le premier janvier. Ils reprennent les cours le deux. Ce n’est pas un drame, au contraire c’est mieux. On a plus de temps de cours donc plus de temps pour se préparer alors que plus tard on perdrait du temps. Elle sais déjà que plein de gens se disent que plus on est en vacances mieux c’est, mais quand tu as des pouvoirs tu as envie d’en profiter et pas de rester en vacances à rien foutre. En tout cas, c’est le cas pour Meryl. Pas une suiveuse. Elle n’est pas comme tout le monde. Bien qu’elle reste normal.  

Au collège tout le monde parle de métiers où il faut des études ou pas trop mais, un métier ou on est sûr de trouver du travail. Meryl parle de devenir écrivain, un métier incertain ou on n’est pas sûr de trouver du travail, ou on n’est pas certain de l’exercer à vie. Ok, il y en a qui arrivent à en vivre mais, c’est quand même galère de se faire une place dans ce monde. Enfin elle trouve. Elle se demande si dans le monde magik, elle va arriver à se faire une place dans ce milieu. Ses copines lui disent que vu son talent c’est sûr et qu’elle n’a pas a s’en faire. Elle verra lorsque le moment sera venu. Pour l’instant, elle doit se concentrer sur ses objectifs du moment. Elle veut réussir ce jeu vidéo pour trouver ce que ses parents ont caché à l’intérieur. Quand elle pense qu’elle va rester collée à ce jeu à cause d’un stupide sort et qu’elle ne peut même pas le briser. Il y a un risque de devenir dingue. Bon, en attendant il lui reste trois jours de cours donc Elle va en profiter un max pour se détendre et apprendre de nouvelles choses avant d’avoir le cerveau abruti par un écran et de façon non voulu. Le pire c’est qu’elle ne peut pas ne pas le faire. Elle n’arriverait à rien sans finir cette mission. La jeune file veut savoir ce qui est arrivé à ses parents peu importe ce qu’il s’est passé. Même si elle ne les retrouve pas, elle veut en savoir plus. Connaître leur vie, leur passé, ce qu’ils ont fait pour battre ou essayer de battre Haldaros. Elle ne sait pas où ils ont échoué mais, veut le savoir pour reprendre et réussir à leur place. Si elle ne les retrouve pas ou autre. Elle veut au moins leur rendre hommage en quelque sorte. Elle sait que ton geste sera compris.

«Qu’avons-nous aujourd’hui ? Humm ! Oui ! Le cours de cinéma. Enfin la présentation du cours. J’ai choisi cette option parce que je peux développer ma créativité et mon imagination.» Ce cours commence seulement après les vacances de Noël mais le professeur voulait faire une introduction avant pour les aider un peu à la préparation du cours qu’ils réaliseront seuls pendant les vacances. Elle ne sait pas si elle va pouvoir potasser pour cette option mais essayer. Meryl vient de se rappeler une chose qui va pouvoir lui sauver la vie si on peut dire. Ses parents disaient dans leur lettre que c’était un jeu magik mais en même temps amagik. Elle peut donc voir de quoi sont constitués les niveaux et faire des recherches sur le net pour trouver la solution. Dès qu’il y a un peu de temps, elle file dans la carte pour commencer le boulot. Elle a déjà hâte d’avoir fini. Elle n’a pas envie de rester collée sur une chaise pendant des jours et des jours. Idée de génie, ou pas si ça ne marche pas. Elle va aller demander comment faire ou chercher, c’est bien aussi, pour créer un sort pour ne pas rester scotchée à ma chaise. «Stop ! Laisse tomber !» Autant chercher des astuces pour aller plus vite c’est dix mille fois mieux et Elle est sûre d’y arriver. Un sort c’est bien mais ça peut ne pas réussir et elle ne veut pas se retrouver dans une mauvaise situation même provoquée par elle. Dans tous les cas quel que soit la personne qui tenterait un sort, s’il ratait se serait du pareil au même. Allez, go pour on ne sais combien temps de recherches et autres choses désagréables. «Ok ! J’aime bien les jeux vidéo mais, pas H24 !»

Heureusement qu’elle peut mélanger magie et non magie sinon, elle ne sait pas ce qu’elle deviendrait. Meryl pense qu’elle serait folle au bout d’une journée. C’est vrai que si il y avait le choix elle le ferait faire à quelqu’un d’autre. Après c’est la vie qui veut ça et elle le prend comme une expérience. Ses copines lui proposent une dernière fois leur aide pour Noël mais elle leur dis une énième fois non et qu’elles doivent passer ces fêtes en famille. C’est ce qu’il y a de plus important. Meryl comprend bien ce qu’elles veulent faire mais préfère les impliquer un minimum par peur qu’il leur arrive quelque chose par sa faute. Elle ne veut pas que l’autre monstre s’en prenne à elles ni à personnes d’autres d’ailleurs. Il a fait bien assez de dégâts comme ça. Maintenant elle doit aller en cours. Son esprit doit retourner en cours. Elle trouve le prof intéressant. Elle ne sait pas pourquoi mais sens qu’elle va bien s’éclater. La seule chose demandée dans ce cours, c’est de l’imagination et elle en a à revendre. Elle commence à devenir complètement dingue de cette école. «J’en ai pour combien de temps déjà ? Ah, oui, c’est vrai ! C’est un lycée donc trois ans.» Elle est contente de faire partie de cette école. Elle est surtout contente d’avoir de nouvelles amies et de partager des choses avec elles. «Comparé à ça le collège était nul à chier… Oui bon ! Un gros mot de temps en temps n’a jamais tué personne ni bouché un trou de balle que je sache. De toute façon mes amies sont entièrement d’accord avec moi sur le sujet. En tout cas, entre nous pas de limites. On ne s’insulte pas non plus mais on ne se contrôle pas quand on doit dire merde, on le dit. Allez, stop je vais encore parler pendant une heure et là je dois suivre, pas me disperser.»

Meryl sent qu’elle est bien parti. Le cours vient de se terminer et elle est en train de pleurer intérieurement parce qu’elle va aller en vacances et que le cours ne commencera pas officiellement avant deux voire trois semaines. Meryl est en pls (position latérale de sécurité). En gros elle est pas bien tellement ça lui fout mal de ne pas pouvoir commencer tout de suite. Elle est trop pressée mais heureusement, patiente, c’est une qualité rare on dirait. En tout cas, elle ne l’a pas vu beaucoup. En attendant, il faut profiter du week-end parce que c’est le dernier qu’elle passe avec ses copines. Elle les reverra mais seulement à la rentrée et elles vont lui manquer pendant le temps où elle sera scotchée à une chaise qui, s’il faut, sera de très mauvaise qualité et lui fera mal en deux-deux. «Attends un peu !» Elle pense pouvoir faire quelque chose pour ce problème. Ce ne sera peut-être pas parfait. De toute façon parfait n’existe pas, mais, au moins elle sera bien assise et n’aura pas mal. Après il faut voir si elle peut le faire ou pas parce qu’avec la magie de ses parents, elle ne sai pas à quoi s’attendre. Ah oui et pour ses copines elles ne peuvent pas partir dès ce soir ni ce week-end, leurs parents ont des imprévus et ne veulent pas qu’elles soient toute seules à la maison. «Attends un peu ! Elles ont un âge plus que suffisant pour être seules un week-end ! Tout dépend des parents mais quand même. Faut que je leur parle :

Les filles je viens de tilter quelque chose !

- A bon ! c’est quoi ?

- Question !

- Oui ?

- Vous êtes sûr que vous ne pouvez pas rester seules chez vous ? Je sens un truc louche ! Je pense que j’ai cramé le truc !

- Bon ok ! On pouvait rentrer mais on a demandé à rester pour passer ces jours avec toi.

- Oh, trop mignon ! Mais fallait pas. Je vous ai donné mon programme et je vous ai dit de ne pas vous en faire pour moi, de profiter de votre famille.

- Le truc de nos parents est vrai donc on en a profité pour leur dire que plutôt que de rentrer, on allait rester avec toi.

- Dit comme ça c’est un peu mieux. Mais, plus de mensonges entre nous !

- Ok !

- En attendant profitons de ces deux jours ensemble.

- Exactement ! »

Maintenant que Meryl sait, elle va pouvoir se détendre un peu et passer un bon moment avec ses copines. Elle ne sais plus du tout ce qu’elle voulai faire avant de leur parler. «Ce que je peux être tête en l’air parfois ! Hmmm ! Ah ! Ça y est je me souviens ! Je voulais transformer une chaise pour la rendre plus confortable. Je le fais maintenant où j’attends lundi d’arriver sur place ? Hmmm ! Lundi !» De toute façon ce n’est pas une priorité absolue. Elle pense d’abord à ses amies avec qui elle va bien s’amuser et profiter avant le reste. Elle essaie de vivre le moment présent et de penser sur le cours terme. Meryl n’aime pas se projeter trop loin et penser à l’avenir sauf cas exceptionnel du style : battre une personne ou en sauver une autre. C’est un peu comme aux échecs, il faut penser au coup d’après pour anticiper un peu et ne pas perdre. «A part ça, que va-t-on faire samedi et dimanche ?» Ses copines veulent L’emmener faire du shopping mais pas du classique. Apparemment en se rendant invisible et en rendant invisible les choses on peut bien s’amuser. Elle demande à voir. Les filles viennent de lui expliciter qu’avec leur sort amélioré lorsque l’on va toucher un objet, il deviendra invisible mais personne ne le verra même pas la caméra. Ah oui et elle vont dans des endroits où aucun sorcier ne va normalement, si jamais, Hanaé a un détecteur. Il est tout petit. C’est une montre classique avec le détecteur intégré. «Pourquoi je n’ai pas su ça plus tôt ?!» C’est un rêve, elle est en plein rêve et va se réveiller dans quelques secondes. Elle demande aux filles de la frapper pour vérifier qu’elle ne rêve pas. Ça fait plus mal qu’autre chose donc non, ce n’est pas dans sa tête, c’est bien réel. Woah pour une fois elle est excitée comme une puce. «Je n’ai pas fait ça, jamais.» C’est une bonne occasion et en plus on ne risque presque rien. Le seul risque est de se faire choper par un sorcier mais, comme on a de quoi les détecter, no problèmes de ce côté-là. C’est parti pour une journée de folie et d’amusement comme elle n’en a jamais connu. Les filles ont commencées par se rendre invisible et indétectable à l’aide d’un sort. Elles l’ont fait dans le seul endroit de l’école ou on ne peut pas les voir puis elles se sont transformé en fantôme. C’est un sort pour pouvoir passer à travers des murs. Ah et oui ! Tout ce qu’elles touchent devient invisible sans être vu. Bref ! Le groupe est paré ! Déjà trop hâte d’arriver en magasin. Meryl demande aux filles par quoi elles veulent commencer :

« Les filles, question ?

- Oui ?

- On commence par quelle boutique et on va où ?

- Etant donné que tu es novice et que tu ne connais pas vraiment c’est toi qui va choisir la première le centre commercial où tu veux aller mais il ne faut pas oublier ton sac à dos. Tiens !

- Il n’est pas à moi ! Ah ! Attends ! Tout ce que je mets dedans se rétréci comme un porte-clés, c’est ça ?

- Oui, exactement !

- Génial ! Pourquoi je n’ai pas su ça plutôt. J’aurais embarqué toute ma chambre pour me trouver un appart et l’y mettre.

- Bonne idée et ton oncle et ta tante dans tout ça ?

- Non mais, je parle d’avant. Maintenant, j’ai digéré un peu la nouvelle et je ne compte pas partir mais, comme je sais qu’ils veulent potentiellement un enfant je vais peut-être les aider.

-  Pourquoi pas, fais attention à ce que tu dis. La magie peut être fourbe de temps en temps pour les novices.

- T’inquiète. Je ne vais pas me lancer à l’aveugle. Je vais d’abord me créée des personnages fictifs et m’entraîner sur eux.

- Hmmm, bonne idée. Tu en as dans le citron ! Comment tu fais ?

- Alors la ! Inconnu ! Je pense que c’est naturel.

- Tu es vraiment douée ! Je suis sans voix !

- Merci ! Bon ! On y va ou … ?

- Oui, oui ! Allez ! »

«Je suis en train de me demander si je peux me prendre un abonnement à internet pour ma salle d’entraînement ou pas ! Hmmm ! Si, si, je vais le faire. Au moins pas besoin d’aller ailleurs.» Comment créer une ligne internet dans un monde imaginaire ? Meryl n’est pas sûre que ce soit possible. «Suis-je bête !» Avec la magie « everything is possible », tout est possible en gros. Elle adore l’anglais c’est pour ça qu’elle l’utilise quand elle parle. «J’aime aussi l’espagnol mais ce n’est pas pour autant que je m’en sers en parlant» lui dit Brooklyn. Elle à pas tort. En plus ça peut prêter à confusion. À part ça, c’est parti pour une journée folle en émotions. «Woah ! Je suis sur un petit nuage.» Lorsqu’elle était dans les boutiques, elle flippait, mais en sortant, étais dans un état second. Le midi, elles sont allé dans un sous-sol et sont devenu visible pour pouvoir aller manger dans un fast-food, enfin c’est ce que Meryl a imaginé avant qu’elles aillent dans le fast-food en question. Elles ont pris tout ce qu’elles voulaient et mit le tout en sachet pour l’embarquer et se poser, bien sur de façon invisible. Le truc, c’est qu’elles ne voulaient pas se faire voir ni entendre donc Brooklyn a créé une bulle insonorisée pour ne pas être entendu en plus d’être invisible. Et ça a super bien marché, tellement que la directrice c’est tapé l’incruste avec elles. Sans qu’elles s’en aperçoivent. Elle se met à parler :

« - Les filles, pardon de couper court à votre journée d’initiation mais, il faut que je vous parle.

- Woah……. ! On a eu peur ?! Comment vous avez fait ?!

- Magie !

- Vous auriez pu prévenir !

- Non ! Pas question ! Au moins vous avez eu peur !

- Un peu oui !

- Bon, je vois tout, j’ai des yeux partout, je vous vois depuis ce matin et je n’apprécie pas tellement ce que vous faites. Je comprends pourquoi mais, stop. Vous avez assez fait de bêtises toute seules.

- Hein, comment ?!

- Oui maintenant vous ne serez pas seules pour cet après-midi, je n’apprécie pas trop ce genre de choses mais je n’ai jamais pu essayer donc, c’est l’occasion.

- J’ai eu peur l’espace d’un instant.

- Attention, vous pouvez pour aujourd’hui mais après fini. Tant que vous serez dans cette école vous êtes sous ma responsabilité. Compris ?!

- Oui ! »

La directrice qui s’incruste ce n’est pas top au premier abord mais quand on y pense et quand on en fait abstraction de son poste, de sa catégorie et qu’on se lance c’est le pied total. Elles ont passé une journée de dingue et n’ont pas vu le temps passé tellement elles ont fait de choses. Ça lui fait un peu changer de point de vue sur Fidji. Pas totalement, c'est-à-dire qu’elle ne lui fais pas entièrement confiance. Meryl sait qu’elle est sympa, qu’elle peut être cool, protectrice mais, ne lui fais pas entièrement confiance. Mis à part cette journée le week-end était amusant elle doit bien le reconnaître. Maintenant, il est temps de se coucher le sommeil risque d’être difficile sinon. Heureusement, Meryl accompagne ses amies à la gare, ça retardera le moment où elle devra aller dans la carte/plan, c’est pas mal. Elle a un peu de mal à leur dire au revoir mais, les laisse partir. C’est enfin les vacances et le cœur n’y est pas. Elle devrait peut-être appeler son oncle et sa tante pour leur parler un peu avant d’entamer la maxi session de jeu. Et puis, elle doit leur parler pour leur expliquer que la situation est digérée ou tout du moins est en cours de digestion. Elle pense qu’ils n’osent pas l’appeler ou autre par peur de rejet. Elle le comprends et c’est pour ça que c’est à elle de les appeler. Composons ce numéro :

« - Allo !

- Bonjour, ça va ?

- Oui et toi.

- Oui.

- Il est là... tonton ?

- Oui, oui dans le salon, pourquoi ?

- J’aimerais vous parler à tous les deux. Tu es à coté de ton ordinateur ?

- Je suis dessus, j’appelle ton père, bah tiens il arrive, il a dû nous entendre.

- Bon, je raccroche et je t’appelle en vidéo.

- Ok. »

Elle vient de dire père. Soit elle a oublié soit elle veut pas trop changer les habitudes. Passont à autre chose.

Meryl allume son pc et lance l’appel :

« - C’est bon, ça marche.

- Je ne m’attendais pas à ce que tu nous appelle.

- Ça se comprend. En fait, j’ai bien eu le temps de réfléchir et je ne vous en veux presque plus.

- C’est une bonne nouvelle. Je suis contente. Ça veut dire qu’on va pouvoir se reparler.

- Oui. On ira doucement mais, on reparlera c’est sûr.

- Je suis soulagé de l’entendre.

- Sinon comment est ton école ?

- Elle est bien... tonton. Je m’éclate et je profite en même temps que j’apprends. Et je peux même faire des « bêtises » sans me faire prendre.

- Tu peux me raconter ?

- Oui, à une condition, tu ne me dise rien de mauvais.

- Ok, ok, vas-y, raconte.

- C’est frais du week-end. En gros, grâce à la magie et à des amies géniales, hier je suis partie faire du shopping gratuit si tu vois ce que je veux dire. Le top c’est que personne n’ait pu me voir, vu que j’étais invisible.

- D’accord ! Je ne suis pas trop pour mais, tant que tu ne te fais pas prendre ça va. Disons que je ne viendrais pas te chercher au poste.

- Ça ne risque pas d’arriver vu que je ne recommencerais pas. Explication. Vu que je suis novice et que je ne connais pas grand-chose en « magie », elles ont voulu me montrer ce qu’elles faisaient quand elles étaient au collège, qu’elles ne font plus. La directrice s’est invitée à notre journée. Elle nous a autorisé à la finir mais nous a demandé de ne pas recommencer. Ce à quoi nous avons dit oui.

- Je vois. Donc pas de soucis. Cool ! Heureusement que tu me l’as expliqué. Je ne sais pas ce que j’aurais imaginé après la fin du chat vidéo.

- On ne va pas imaginer, ça me suffit comme ça ! Je ne deviendrais Jamais une délinquante ou autre. »

La jeune fille termine le Skype et ferme son ordinateur. Nouvel ordinateur plutôt. Elle le trouve génial. Il contient tout ce qu’il faut pour faire du montage vidéo, de la photo et de l’écriture. Et puis la directrice est au courant donc no soucy. Elle est tranquille. «Par contre je fais quoi de l’ancien ? Je suis bête ou quoi ?! Rien de plus simple, je fais un transfert de fichiers vers le nouveau et je le bazarde. Donc, le nouveau deviendra nono bis sans le bis.» En plus, elle n’a pas pris le plus petit ni le moins cher mais le plus grand et le plus cher ou le meilleur en terme de qualité et pour pouvoir travailler. À ce qui parait, elle peut le rendre magik avec une puce qu’elle doit brancher. Elle ne se voit pas et c’est tout simplement un logiciel qui se lance comme un jeu vidéo mais qui est en fait un système d’exploitation magik. Par contre, lorsqu’un amagik utilise son ordinateur, soit il ne voit pas le logiciel, soit il se transforme en jeu vidéo du style Les Sims ou World of Warcraft. C’est à elle de choisir l’option.Elle préfère que ce soit invisible. De toute façon, elle prends cet ordinateur pour écrire principalement. En secondaire pour aller sur les réseaux sociaux et pour l’actualité. Elle ne pense pas s’en servir pour jouer ou faire d’autres choses. Occasionnellement, peut-être. Avec cet ordi, elle a prit une box internet et piraté le système d’un fournisseur d’accès à internet pour se créer une ligne et la mettre là où elle veut. Maintenant c’est partie pour la salle d’entraînement.

«Le coach n’a pas l’air d’être là, bizarre ! Ah, ok il était dans une autre pièce ! Tout d’un coup j’ai commencé à flipper. Ouf !» Il lui demande ce qu’elle tient dans ses mains. Meryl lui explique que c’est une technologie amagik. Il dit qu’il sait ce que c’est mais qu’il veut savoir pourquoi il y a ça ici. Elle lui raconte le pourquoi du comment de a à z et il ne sait plus quoi dire. Il est impressionné par ces idées. Par contre il lui demande d’enlever le système dès qu’elle a fini parce que comme c’est un boîtier internet qu’elle a rendu magik, on peut la suivre à la trace. Donc dès qu’elle sort il faut embarquer cette chose. Meryl va le rétrécir pour l’accrocher à ses clés et avoir le net partout. Maintenant que tout est prêt, Elle va pouvoir s’asseoir et commencer à faire des recherches sur les différents niveaux. Elle ne sait pas ce que ça va donner mais espère y arriver rapidement pour pouvoir s’entraîner un peu et retourner dans sa chambre se préparer pour son cours cinémagik. «J’ai fait un raccourci entre cinéma et magik. En fait non. C’est le vrai nom du cours.» Quand elle a lu l’intitulé, elle c’est dit, non ce n’est juste pas possible et en fait si c’est tout à fait possible. C’est même incroyable ce que le nom peut être banal. Il ne faut pas se fier à ce genre de choses parce que c’est comme cela qu’on passe à côté d’occasion en or parfois. Une de ses meilleurs amie au collège l’a vécu donc ! Voilà ! Bref, il y a du boulot et il faut se concentrer. Merci à ses parents pour leur magie très inventive ! C’est ironique bien sûr. Rien que de savoir ce qui l’attends, elle n’est pas bien. Mais bon, elle compose avec. Parfois il faut savoir s’adapter. Heureusement que Meryl peut bouger sur cette chaise,elle ne peux juste pas en sortir. «Je sens que ça va être long ! Alors ! Qu’est-ce que je peux trouver sur internet, le fameux internet qui regorge d’astuces en tout genre ? Apparemment tout ce que j’ai besoin. Super ! Pas besoin de traîner ! Je vais maintenant enregistrer les infos dans mon cerveau pour ne pas avoir à retourner sur mon pc. N’empêche, la magie c’est vachement cool et pas prise de tête.» Son entraîneur lui dit que c’est normal à partir du moment où on a des facilités, tout roule. Meryl sait bien qu’à certains moments, ce sera dur mais, n’y pense pas. Elle ne veux pas se plomber le moral direct. De toute façon, ça ne prévient pas donc elle fera au feeling. «Allez, commençons le premier niveau. Nan ! Je le crois pas ! C’est les Simpson ! Mais, je suis fan de cette série ! Et depuis qu’elle a commencé en plus ! Je ne l’avais pas vu venir celle-là ! Il faut que je lui demande s’il y a des surprises encore dans la borne» :

« - Euh… !

- Oui ! Qu’est-ce que je peux faire pour toi ?

- Tu peux me dire s’il y a des niveaux avec des surprises ou des niveaux dont je ne connais pas le contenu ?

- Oui tout n’est pas dit dès le départ.

- Ah, bah merci, tu m’en apprends une bonne. Et comment je fais ?

- Comme avant de commencer mais en jouant.

- D’accord ! La prochaine fois dit le moi direct !

- Si tu me le demande oui.

- Ok ! Merci quand même ! Sinon tu peux te retirer, je n’ai plus besoin de toi !

- Pas de soucis je te laisse ! »

«Comment je vais faire ? That is the question ! Oh me***e, comment je fais pour aller au petit coin ? Nan, pas ça ! J’aurais trop l’impression d’être une personne malade. En fait, je suis en train de penser à la sonde et je me l’imagine carrément, ça me dégoutte mais s’il le faut je le ferais. Il faut que j’avance dans la partie sinon je ne finirais jamais le jeu, je ne trouverais jamais rien et je ne sortirais jamais de là. Je pense que j’aurais fini avant la fin de la journée. Là pour faire les cinq premiers niveaux je viens de mettre moins de dix minutes. Quoi ?! C’est une blague ?! Il vient de me dire que c’est normal parce que c’est les premiers les plus simples et après surprise. Lui-même ne sait pas, il n’a pas pu voir plus loin que sept jeux. Je commence à flipper sérieux. Tiens une lettre ! Mais, comment ? Ah, oui magie. C’est vrai ! J’avais oublié que tous les cinq niveaux je recevais un cadeau. Lisons cette lettre :»

Ma chère Sarah, à ce que je vois tu as réussi cinq niveaux. Sache que maintenant tu n'es plus en capacité de te lever de cette chaise. Tu as dû certainement te poser la question des toilettes, la réponse est que tu n’as pas besoin de sort ou de magie. Ton corps est comme figé donc tu ne ressentiras pas d’envie. Par contre, la faim sera là donc le coach t’aidera  pour ça. Maintenant, je vais te donner quelques informations sur Haldaros pour que tu puisses apprendre quelque chose qui va pouvoir t’aider. Attention ! Ne fais rien sans être préparée, ni sans savoir. C’est un sorcier fort et puissant qui n’hésitera pas une seconde. Tant que tu es à l’école ou cachée dans le monde amagik, il ne peut rien faire contre toi. Écoute, la carte est un bon endroit pour t’entraîner mais, si tu veux vraiment devenir plus forte, il faut que tu ailles dans un endroit qui est protégé de Haldaros. C’est un lac enchanté. La carte est la clé pour y entrer. Ton coach sortira de la carte pour t’aider lorsque tu sera dans ce lac. Il y retournera lorsque tu le quitteras. Maintenant passons aux informations pratiques.

- Première chose à savoir, ta bague baguette n’est pas assez puissante pour te battre contre Haldaros. C’est pour ça qu’au niveau 25 on a caché une bague spéciale. C’est la plus puissante du monde magik. Elle te permettra d’accomplis pleins de choses . Pour apprendre à la maitriser tu pourra aller au lac.

- Seconde chose, ta bague est constitué du même matériau  que les notres, un peu comme si elle en sortait. Cela veut dire que les sorts jeté a nos bagues peuvent se répercuté sur la tienne et inversement. Fais très attention a ce qu’aucun sort ne soit jeté sur ta bague.

- Troisième chose, il y a des bagues qui sont énnemies à la tienne. Dans ce cas les sors jeter par une baguette énnemies vont avoir des effets inconnus. Il est possible que les sors ne marchent pas ou qu’ils fonctionnent très mal. Fais attention à ne jamais utiliser ta baguette avec une énnemie.

Je te laisse continuer ton marathon, je suis sûre que tu vas réussir.

Ta maman qui pense à toi.

«Oh trop mignon la lettre. J’aimerais avoir ma mère à côté de moi. Faut que je continue. Je n’ai pas de temps à perdre !»

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