Chapitre 4 - quand l’inspiration est là, elle est la !

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Ce n’est même pas Halloween que les idées fusent dans la tête de Meryl. Une semaine et demi et beaucoup de temps pour écrire. Il n’est pas question pour la jeune fille de traîner dans un canapé devant la télé ou de ne rien faire. Des le matin elle se met au pied d’oeuvre sur son petit nono. Le but est de créer une nouvelle oeuvre. Son idée est basée sur la période du moi d’octobre. Il y a toujours pleins de choses à creuser. La première chose qui lui est venu à l’esprit est l’université. Ce n’est pas commun. Meryl veut exploré d’autres univers. Elle n’a pas, voir peu parlé de ce genre d’école. Ce n’est pas un endroit familier pour elle. Elle y a jamais pensé à vrai dire. Ce n’est pas pour tout de suite, il lui reste le lycée avant. Meryl se met donc à écrire une nouvelle sur Halloween et l’université.

Le lieu de toutes les rencontres et expériences, l’université. Comment, pourquoi ? Un endroit ou tout les étudiants sont indépendants enfin presque tous. La gestion de budget, le logement, la vie sans les parents. Des éléments qui réunit montre un autre niveau d’indépendance. C’est le cas de Lina. Une jeune femme qui vient d’arrivé en première année de licence de journalisme. Elle souhaite écrire pour l’un des plus grand journal mondiaux et elle est venu a east-town, une des université les plus réputé pour apprendre ce métiers de rêve. Du cours de rédaction à la tenu d’un vrai journal, tout y est enseigner. Chaque journée commence par une conférence de rédaction pour la jeune Lina. C’est le programme établi par la licence depuis des lustres pour plonger les étudiants dans le bain dés la première année. Une petite chose toute simple en apparence qui en faite est un des pilier de la profession. Sans ça un journaliste ne peut pas commencer une journée de travail. Ce n’est pas évident les premiers jours. Lina est loin de chez elle, trois cent kilomètres environ. Elle s’installe donc dans les dortoirs de l’université le temps de se trouver un endroit pour y vivre.

Ses parents l’aident financièrement le temps qu’elle trouve un job étudiant. Le but est qu’elle puisse avoir un peu plus d’argent pour vivre par la suite. Ce début d’année est très prometteur. Le second jour La jeune femme rencontre un groupe de filles dans la salle de conférence réservé pour les début de journée. Elle décide d’aller à leur rencontre. Se faire des amis est important pour se sentir bien dans un nouvel univers. Le moment se passe à merveille. La jeune femme fait connaissance pendant cette petite conférence. Des chuchotements pendant que les professeurs discutent avec les étudiants. Le moment idéal est vite stoppé lorsqu’un prof élève un peu la voix pour se faire entendre de tous. Il ne demande pas de silence mais son action parle d’elle même. Le but est de proposer une selection d’article à rédiger dans la journée pendant les cours. Le rendu se fait le soir avant vingt et une heure pour correction et assemblage du journal. Le but de cet exercice est de faire travailler et évoluer les élèves rapidement. Ils sont plonger dans le bain dés le premier jours sans attendre. Il s’agit d’une grande université, pas le droit à l’erreur. Une des règles établi est la selection durant l’année. C’est a dire que si un des professeurs trouve qu’un étudiant n’est pas au niveau ou n’a pas le talent nécessaire il peut être renvoyé. Il est assez peu fréquent que ça arrive en première année mais, une des étudiante il y a longtemps en a été victime.

Une jeune femme travailleuse, passionné de journalisme en première année c’est vu renvoyé à la fin su premier semestre parce que son travail ne satisfaisait pas le corp enseignant. Son nom, Mélane. La jeune femme ne vivait que pour ça depuis le collège. Les club de journalisme de ses écoles la comptaient tous parmi les membres. Lors de son renvoi le choc était tel qu’elle ne savait plus quoi faire. La vie n’avait plus de sens pour elle. C’est d’ailleurs le jour d’Halloween que tout a basculé. Mélane n’ayant plus de raison de vivre avait fait une tentative de suicide lors de la conférence de rédaction. Tout le monde était sous le choc. Les professeurs, ne savaient pas comment réagir. La nouvelle est paru dans le journal de l’université, écrit par un étudiant externe à la formation à la demande d’un prof. Une tragédie sur le campus.

Après cet événement les parents de la jeune femmes avaient porté plainte contre l’établissement, le jugeant responsable de ce suicide. Malheureusement cela n’avait pas abouti. La sélection était juste. Aucun traitement de faveur quelque soi l’étudiant. S’il n’est pas fait pour ça il est remercié comme n’importe quel autre. Une seule fois un étudiant a utilisé son argent pensant réussir. Ce don a servi à faire évoluer le matériel informatique de l’unité journalisme. L’élève en question n’a pas eu plus qu’un autre et c’est même vu refusé l’entrée en seconde année par manque de qualité suffisante. Il s’agit vraiment d’une école très difficile aussi bien moralement que physiquement. Il n’y a pas de place pour les personne faibles.

C’est un peu ce qui est arrivé avec Mélane. Entre les élèves une légende circule. Apparemment son âme est encore dans la salle de conférence et chaque année à Halloween elle revient hanté les lieux. Elle ferait du mal à tous les professeurs et étudiants quel qu’ils soient. Aucune preuve apporté jusque la mais, ça semble un bon reportage pour le groupe de filles qui vient de faire connaissance. Ce n’est pas simple à traiter, mais justement si elles le font en groupe elles trouveront plus d’éléments à apporter pour un article. C’est du travail en plus du reste mais le groupe se dit que ça peut être une bonne expérience. Pour ne pas perdre de temps elle décident ensembles de commencer la semaine suivante. Il faut d’abord se faire un peu à toute ces nouvelles choses. Une semaine leur semble largement suffisant. Il n’est pas question de perdre plus de temps.

Ce qu’elles ignoraient c’est que cette recherche ne serait pas de tout repos. Ce genre de phénomènes récurrent est troublant pour tout le monde. C’est pour ça qu’il faut faire la lumière dessus. Savoir ce qui se passe. Peut-être arrêter ce phénomène. Finalement il y a pleins de scénarios possibles. Le groupe de fille y pense un moment avant de reprendre le cours de la journée. Une bonne rentrée pour le moment. Disons que la pression ne se fait pas encore ressentir. Les choses sérieuses doivent commencer la semaine suivante. En générale la première semaine les étudiants commences par des sujets très libres et léger pour se faire un peu la main sur le rythme. Il faut s’adapter rapidement. Les professeurs ont expliqué que certaines écoles prenaient plus de temps. Ça ne faciliterais pas du tout le parcours des élèves par la suite. Disons qu’il y a une école qui est excellente par rapport aux autres selon certains. Les professeurs sont catégoriques. Il n’y a qu’une école qui peut former les journalistes.

Une histoire circule même sur une université concurrente. Apparemment tout les étudiants qui en sortent ne seraient pas former de la bonne façon. On leur apprendrait à voler le travail des autres. Les amies savent depuis peu que se sont des mensonges pour décrédibiliser leur potentiels futurs collègues. Que de choses passionnantes en ce début d’année. Le groupe fini cet échange avant de partir pour une journée de cours intensive.

Il y a beaucoup de matières condensé en peu de temps pour laisser le temps aux étudiants de rédiger des articles. La tenu du journal est primordiale pour les études. Tout les soirs à la même heure il y a le rendu des articles Chaque semaine des secrétaires de rédactions sont désigné pour faire la correction et la mise en page des travaux. Tout les corps de métiers relié au journalisme sont étudiés. Il y a même une option photographie. Certains veulent être photo-reportères. Il est impératif de suivre ce cours pour pouvoir réaliser de bonnes images. Pleins de petits détails qui permettent de faire des articles parfaits.

Une journée bien remplie se terminent. Trop fatiguées les filles décident de commencer les investigations dans le week-end. Le temps disponible est largement suffisant pour débuter. Dans tout les cas il faut plusieurs sessions pour avoir de la matière. Lina se souvient d’un détail, le «fantôme» ne fait apparition qu’à Halloween. En octobre tout du moins. Ce n’est que le mois de septembre, il risque de ne pas y avoir grand chose. C’est un peu dommage mais, ça laisse le temps d’organiser les recherches, trouver des personnes à interviewer. Lina s’imagine un scénario type. Elle est loin de ce qui l’attend. Personnes ne peut prévoir ce qui peur se produire. Ce genre de phénomène est inconnu de beaucoup de monde. Une occasion pour le petit groupe de lire des ouvrages sur les sciences occultes et l’ésotérisme. Justement le professeur de pratique journalistique demande si des élèves sont volontaires pour s’occuper de cette catégorie pour le journal de l’école. Ce n’est que la partie astrologie et horoscope mais, on demande quand même de lire et d’apprendre ce qui touche à cette thématique. La jeune étudiante intrigué par cet univers propose de la faire. Cela lui donnera plus de temps pour préparer son article. La première semaine est celle des répartitions. Le vendredi les professeurs donnent les thèmes à chaque étudiants. Le seul basé sur le volontariat est l’astrologie. Si il est assigné, les articles seraient de moins bonne qualité. C’est ce que tout le monde dit. La jeune Lina est persuadé que ce n’est qu’une tromperie. Elle établie le lien entre les événements étranges et cette proposition. Disons que l’étudiant ne peut pas discuter son choix. S’il a choisi ce thème il ne peut pas contester alors que si on lui impose il a droit de faire opposition. En règle générale personne ne conteste une décision de l’école.

Ce n’est pas trop grave dans ce cas. La jeune étudiante est ravie de son choix. Il n’y a pas mieux pour débuter un processus d’information. Surtout si il y a un bel article à la clé. Ses amies la félicitent de ce choix. Une jeune femme, par contre, la regarde de travers. Apparemment celle-ci voulait ce sujet. Non pas pour tout ce qui y est rattaché mais, il serait plus simple à travailler. Les professeurs seraient aussi plus souple. C’est comme si elle savait qu’elle ne tiendrai pas avec d’autres thématiques. Lina n’avait aucun problème avec ça. Le plus important était la découverte.

Surtout que chaque année les étudiants changent de rubrique. Enfin chaque semestres pour éviter la routine. Ils sont initié à différentes choses. Ça permet de trouver sa voie, selon les journalistes. Certains étudiants ont deux rubriques. Rien de bien compliqué, il s’agit de la critique culinaire et des spectacles. Moins fréquent donc moins de travail. Enfin pas totalement parce que deux rubriques, pour cette école, c’est très lourd. Apparemment les professeurs seraient moins regardant mais, ça reste compliqué. Disons que certain élèves on du faire doublement attention. Ce qui est dit n’est pas la réalité.

Le groupe de filles s’en sort bien pour le moment. Elles ont obtenu les sujets désirés. d’un commun accord elles se sont laissées le plus de temps possible pour effectuer les recherches. Chacune c’est répartie une part du travail. La première semaine est crucial. Si elles ne s’organisent pas dès le départ, le ko arrive bien vite. Enfin bon, rien ne leur fait peur. Prêtes à tout pour réussir. [...]

Le mois de septembre est passé à une vitesse folle. Pas le temps de faire grand chose. Selon le professeur de journalisme d’investigation c’est la que tout se met en place. Les élèvent doivent être moins débordés en octobre. En ce mois si spéciale la légèreté est au rendez-vous. Il n’y a pas autant de travail que la normal. Toute cette période laisse place au doute et au stress de la fin de semestre. Halloween approche à grand pas.

Personne ne sais ce qui se prépare. Tout le monde imagine des plans sur la comète pensant que tout ceci n’est que mascarade. Ils pensent que le corp enseignant fait un premier tris avant même le début du mois de novembre. Ce n’est pas commun comme méthode mais, possible. Il faut s’attendre à tout dans une école aussi prestigieuse.

Le premier octobre tombe un lundi. Ce n’est pas habituel. Comme à l’habitude toute la classe se retrouve en salle de conférence le matin pour l’attribution des articles du jour. Étant donné que c’est la première année, personne ne s’attend à ce qui survient. La salle se met à trembler. Tout le monde se place sous les tables pour se protéger. Une voie dit:

« tout ce mois durant je viendrais vous hanter ! Vous ne passerez un jour sans ressentir ma présence. Tout ce qui sont ici sont condamné à me supporter jusqu’à ce qu’ils quittent cet établissement.»

Tout le monde se met à hurler de panique. Le professeur en charge de la conférence leur demande de se calmer. Tout ceci n’est qu’une farce selon lui. Il explique donc que chaque année un groupe d’étudiant s’amuse à les terrorisé durant tout le mois d’octobre. Personne ne les a jamais attrapé. Lina et ses amies comprennent alors que ce n’est pas une plaisanterie. Il s’agit vraiment d’une entité. Un fantôme qui est la pour une raison. Il leur faut donc trouver pourquoi. L’objectif à atteindre peut enfin débuter. La jeune femme ne veut pas perdre de temps. Après cette réunion, elle file à la bibliothèque rechercher des ouvrages sur les phénomènes paranormaux. Il y aurais toute une section dessus. La bibliothèque est organisé par thématique. Chaque salle contient de multiples ouvrages sur une des catégories traité dans le journal. La salle ésotérisme se trouve tout au fond pour des raisons de sécurité, de croyances. Certaines des employées de la bibliothèques pratiquent le catholicisme ou d’autres religions.

Les allées regorgent de livres qui pourraient être lus. Il n’y aurait pas assez de toute une vie pour le faire. La jeune femme tombe sur un ouvrage qui parle d’aide aux entités. Il se trouve sur la table avec rien autour. Avant de faire quoique ce soit elle jette un œil autour d’elle. Personne ne se trouve dans cet espace. Une personne doit l’avoir oublié ici ou il n’a pas été rangé se dit-elle. Aucun tampon se trouve en première page. Elle s’assoie et commence à lire ce qui semble être un guide. Une petite étincelle se produit. Mais c’est bien sur ! Le livre l’attendait. Il était posé la pour elle. Comme si quelqu’un savait qu’elle en aurait besoin. La jeune femme se demande si le fantôme de l’étudiante ne l’aurait pas fait exprès. Après tout il est fort possible qu’elle veuille de l’aide au delà d’une simple vengeance. Rester coincer dans un endroit peut poser beaucoup de problèmes.

Lina décide d’emprunter ce livre pour le lire tranquillement chez elle. Ça lui permettra aussi de faire des photos de ce qui l’intéresse. Les appareils photos sont mal vues dans la bibliothèque du campus. Avant de quitter l’école elle envoie un message au reste du groupe pour les informé de la trouvaille. La réponse est sans appel : «génial,fonce ! » Une journée qui s’annonce bien. Avant de passer à de la lecture, l’étudiante fais ses devoirs. Il n’y a qu’un article à écrire pour cette fois. La conférence de rédaction était tellement mauvaise que les professeurs n’ont pas voulu donner de travail histoire de ne pas trop déranger les étudiants. Il faut qu’ils s’habituent à cette situation. La réalité dépasse tellement de choses que personne ne s’y attend. Une partie des élèves est un peu choqué mais, oublie assez vite cet événement. La pression est telle que le reste devient poussière. Arrivé chez elle, la jeune femme se pose quelques minutes le temps de se faire un petit goûter. Des céréales et un peu de lait végétale pour le réconfort. Avant tout, elle allume son enceinte pour mettre un peu de musique. Toujours se détendre en musique. Ça ouvre plein de possibilités. Une fois bien posée sur son bureau, Lina commence à lire quelques pages. Elle se sent happé par la lecture, comme si elle ne pouvais décoller son regard des pages. Rien ne pouvait la dérouté. En même temps elle mangeait ses céréales mais, de façon presque robotique. Rien ne pouvait la sortir de cet état. Le livre devait faire une bonne centaines de pages environ. Ce n’est qu’aux alentours de vingt deux heures que la jeune femme sort la tête du livre.

La dernière page atteinte, le dernier mot et hop, l’attirance disparaît. Comme un bouton off. L’incompréhension total pour l’étudiante. Elle ne sait pas comment elle a fait. Une note en bas de page indique que toute personne qui commence ne peut en décrocher que si elle le finit. Il ne s’ouvre que lorsque quelqu’un en a besoin. Ce n’est pas commun du tout. Un livre qui serait magique ? La jeune femme n’en revient pas. Maintenant revenue dans la réalité, elle décide de se faire à manger. Elle réalise alors ce qu’elle vient de lire. Pour résumer la chose, il faut trouver la source du problème du fantôme pour pouvoir l’aider à passer dans l’au delà. Quels pourraient êtres les raisons qui pousse quelqu’un à rester? Personne ne le sait vraiment. Est ce que c’est le différent avec tout les professeurs ou un en particulier ? Le contact risque d’être difficile à établir. Le groupe de fille n’a jamais fait ça. Avant de continué Lina saisi son téléphone pour envoyer une note audio à ses amies. Elle veut leur faire part de cette avancée. Aucun détail n’est à négligé. Le group décide alors de faire une visioconférence pour établir un plan d’action. Le but est de trouver la meilleur façon d’entrer en contact avec l’entité qui hante la salle de conférence.

«Alors, les filles ! vous avez des idées ? Malia ?

- Peut-être une. Avant de faire quoique ce soit il faudra se protéger avec des objets. J’ai regarder sur internet et j’ai trouvé quelques talismans, pierres qui pourraient nous aider. Quand on sera assez équipé on pourra aller dans la salle de conférence à un moment ou elle est vide et essayer de parler avec elle.

- Tu es sûre que nous serons protégé avec ce que tu as trouvé ? Je ne veux pas risqué de problèmes.

- il ne se passera rien si on suit les instructions. Elle ne pourra que nous parler normalement. Ma grand mère m’a assuré que c’est safe.

- Tu as demandé à ta grand mère !?

- Oui elle a longtemps pratiqué ce genre de chose, la protection. Elle a toujours senti qu’elle en avait besoin.

- C’est un bon point. Au moins on sera en sécurité. D’après le livre que j’ai lu il faut parler avec le fantôme pour découvrir ce qui va pas. Une fois protéger on ira dans la salle et on essaiera de découvrir le plus d’infos possible pour l’aider. Vous êtes ok?

- Oui (en chœur). De toute façon, on peut plus reculer, c’est le sujet de l’année.

- C’est vrai ! et si on réussi, on aura sûrement un beau cadeau. On pourra faire évoluer cette école. Je suis pour la selection mais ce renvoi pour pas grand chose peut causer trop de dégâts. «

Passer cet appel, Lina se prépare pour aller dormir. Les prochains jours promettent de folles aventures.

Meryl décide de faire une pause. Elle ne parvient pas à développer son histoire. Il se fait tard et elle commence à tomber de fatigue. Il y a tellement à trouver sur ce sujet. Ça part dans tout les sens. Pour éviter de se perdre elle se met une vidéo avant d’aller dormir. Un petit moment calme sans reflexion. Il lui arrive parfois de bloquer un peu sur des histoires. Ça s’efface assez rapidement en règle générale. Un petit truc et hop, tout repart. Il suffit parfois d’un mot. L’imagination va et vient tout les jours. Un moment elle est débordante, l’instant d’après elle disparaît dans les nuages. On ne peut pas la contrôler. Ce serait comme essayer d’apprendre un tour à un animal qui ne veux pas. Il arrive même que le syndrome de la page blanche apparaisse. Heureusement il disparaît aussitôt. La jeune Meryl ne connaît pas vraiment la panne d’inspiration. Le plus longtemps, une journée sans écrire.

Que ce soit quelques mots, lignes, pages, à la main ou sur ordinateur l’adolescente passe son temps à écrire. Ses parents sont même obligé de la rappeler à l’ordre pour qu’elle fasse ses devoirs avant. Le point positif, elle lit beaucoup et travaille énormément son français. C’est une des matières ou elle a les meilleures notes. Ça fait le bonheur de la famille. Elle peut faire des métiers variés sans trop de difficulté. En tout cas tout ce qui nécessite d’être bon en français. Les maths ne lui plaisent pas trop. La jeune ado peut se débrouiller sur des petites choses mais, dès que ça se complique un peu elle n’y arrive plus. Il y a des personnes qui n’ont aucune préférences, tout leur réussi. Pour d’autre c’est l’inverse. Une matière est plus forte que les autres. D’ailleurs une des amies de Meryl se trouve dans cette situation. En sport elle est excellente mais, pour le reste c’est compliqué. Ses parents lui payent des cours particuliers pour qu’elle réussisse son année de troisième. Une des plus importante. Le reste à coté parait minuscule. Tout ce qui à été fait au paravent n’est que poussière. Elle aurait oublié une grande partie de ce qu’elle a vue.

Selon les professeur, le sport ne lui amènera rien. Le seul qui est derrière elle est le prof de sport. Une femme qui croit que tout le monde peut devenir champion du monde au dessus de 15 de moyenne. Il est vrai qu’un des élèves a fait les JO il y a plusieurs années mais, ce n’est pas le but de tout le monde.

Il faut avoir des prédisposition et commencé assez jeune. Enfin bon tout dépend des personnes. Bref il est temps de dormir. Il reste encore une semaine de vacances avant la reprise. Le temps est idéal pour se poser au coin du feu et écrire un peu. Un cahier à la main ou devant l’ordinateur peut importe. Le lendemain matin, après un réveil tardif la famille décide d’aller se prendre un brunch. Il n’y à pas mieux pour un dimanche. Le temps est inhabituellement beau. Pour une fois il fait plutôt chaud. Le jour idéal pour sortir. Avant d’y aller la jeune fille se prépare. Un jean, un tee-shirt, des boots et une jolie veste bordeaux. Elle ne prend pas d’écharpe. Un petit message sur les réseaux sociaux et hop dans la voiture direction le jenny’s. C’est un des meilleurs endroits de la ville. Un décors rétro style diner Américain, parfait pour des photos. Il faut immortaliser ce moment. Chaque sortie est unique. Il ne se passe jamais la même chose.

Les albums de familles se remplissent de plus en plus chaque années. Ce n’est que le fruit de la passion d’une maman qui veut créer des souvenir. Elle à peur d’oublier plus tard. Ce n’est pas une façon de voir les choses qui correspond à Meryl. Elle ne pense pas à l’avenir. C’est bien trop loin pour elle. Pourtant sa mère prévoit, pense, réfléchie à cet avenir. Il peut arriver tellement vite.

D’ailleurs les plats sont déjà sur la table. Un des rares restaurants à servir aussi vite. D’ordinaire il y en à bien pour trois quart d’heure. Chez Jenny’s c’est un quart d’heure le grand maximum. Quel est leur secret ? Personne ne le sait. La jeune fille se doute que certaines choses sont préparé à l’avance. Tout est fait maison. Le temps se fige pendant que la petite famille mange. Personne ne parle. Ils se délecte de chaque bouchées. Ils auraient presque envie que ce moment ne se termine jamais. Il n’est pas question de faire vite. Il aimeraient que ce soit comme ça tout les jours.

C’est à ce moment que la réalité les rattrape. Le lendemain il faut aller travailler. Les vacances se finissent dans une semaine à peine. Ce n’est pas assez pour Meryl. Il faudrait un mois entier au moins. À peine elle commence à s’y faire qu’il faut retourner sur les bancs de l’école. Ce n’est pas plus mal finalement. Les amies peuvent de nouveau passer leur journées ensembles. Ils se passeraient bien de certaines matières mais, ce n’est pas possible. Tout est une question de vision. Certaines des amies de la jeune ado s’amusent à sécher les cours, notamment ceux de sport. Tout est bon pour ne pas faire d’efforts. Le pire c’est qu’elles sont mince sans rien faire. Tout le monde en est jaloux. Sauf certaines qui se doutent que ce n’est pas naturel. Il doit y avoir beaucoup de sport derrière ces corps.

Que de pensées qui traversent la jeune fille pendant de moment hors du temps. Le brunch est déjà fini. Il faut rentré à la maison. La petite famille décide de regarder un film pour passer le temps. Et pourquoi pas écrire en même temps se demande Meryl. Tout les moment sont bon pour ça. Après tout rien n’est impossible. A peine arrivé à la maison, elle file chercher son ordinateur avant de sauter sur le canapé du salon. Sa mère lui demande de ralentir. Il y a le temps, ce n’est que dimanche. Il ne faut pas perdre une minute quand il s’agit d’écriture. Même devant un film. D’ailleurs le choix c’est porté sur une comédie. Rien de mieux pour rigoler en famille. Une excellente source d’inspiration au passage. Même si le projet en cour est une histoire d’horreur. Parfois un simple gag peut être source d’idée pour une scène. Le film commence tout en douceur. Une nouveauté de cette année. Il est sorti il y a à peine trois mois au cinéma. Le trio attend toujours que ça passe à la télévision pour regarder ou ils achètent le film directement. Sait-on jamais, il peut ne pas correspondre aux attentes de la famille. En réalité ce n’est pas un cas isolé. Beaucoup de monde fonctionne comme ça. Malgré la popularité des salles de cinéma. Ce qui est le plus attirent, les blockbusters ou les saga fantastiques. En général c’est les plus gros succès.

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