Chapitre 3- Une passion dévorante

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Après deux semaines sans écrire Meryl décide de prendre une heure ou deux pour commencer son texte de concours. Tous les devoirs sont fait et elle est toute seule pour la journée. Un samedi de libre, c’est rare ces temps-ci. Il y a beaucoup de devoirs, de révisions. Il est vrai que le brevet est à la fin de l’année scolaire mais, être aussi chargé des le début ! les élèves n’apprécient pas tellement. Ils pensaient tous que le premier semestre serait tranquille.

Personne ne s’attendait à de telles exigences. Ce samedi est l’occasion rêvé pour se changer les idées. Pas question de perdre du temps.

Après le petit déjeuner l’ado sort son carnet et commence à noter ses idées. Il faut prendre la meilleure possible.

Son thème favori, la médecine. Elle adore les séries télés qui se déroulent dans des hôpitaux. Il y a tellement d’action, de rebondissement. La science est mystérieuse. C’est ce qui en fait son charme.

C’est une industrie qui fonctionne bien en général. Au même titre que les séries policières. Ce sont de catégories qui sont très populaires à la télévision. Dès qu’une nouvelle sort, tout le monde regarde.

Est-ce l’attrait du sang ? De l’adrénaline ? On ne peut le savoir. Apparemment selon une étude c’est un mélange de plusieurs éléments dont certains sont inconnu. Les gens ne pourraient décrire cet attrait pour le monde médicale et ou policier. C’est un mélange de pleins de choses qui donne ces séries si attirantes pour le public. Il n’y a pas d’autres raisons apparemment. Enfin c’est difficile à dire. Le plus important avant d’écrire c’est de savoir ou l’on va.

La première idée qui lui vient est une maladie alimentaire mais, elle la trouve trop banale. Une autre idée lui vient en tête. Ce serait une passion qui prendrait trop de place. Elle en prendrait tellement que le personnage de l’histoire en deviendrait malade. Ce n’est pas simple à écrire mais, un beau défis pour Meryl. Par contre il faut voir comment faire pour que ce soit assez long pour le concours. Il n’est pas question de faire moins de mots qu’il n’en faut. Cela pourrait lui faire perdre la sélection au concours. Enfin elle ne serait pas recevable du tout.

Les idées fusent dans son esprit. Elle ne sait pas trop comment les assembler. Cet exercice demande plus de choses que prévu. Entre la réflexion et les cours ce n’est pas simple. Le temps manque un peu. Mais, c’est une passion qui l’aide à se vider la tête. Il faut qu’elle écrive ! Sans ça elle est perdue. En y repensant cela lui donne une idée. Parfois ce sont dans les choses simples que naissent les meilleurs idées. La passion peut prendre beaucoup de place parfois et ce n’est pas toujours bon.

Une bonne thématique à aborder dans une petite histoire. Une passion dévorante qui en devient maladive. Il existe des troubles de toutes sortes et ce n’est pas une mauvaise idée de transformer une passion en trouble grave. Autant faire un essai, cela ne coûte pas grand-chose. Et il est toujours possible de faire des modifications au cours de l’écriture. Par contre, Meryl ne sait pas vraiment si elle prend un cahier ou son ordinateur.

L’un est plus simple, l’autre plus silencieux. Le cahier a des avantages non négligeables mais, le PC... C’est... Tellement plus qu’un simple ordinateur. Après, ce n’est que le matin. Il y a encore du temps pour faire un choix. L’ado décide donc de mettre en suspend cette activité pour regarder un peu la télévision. Elle sait que c’est un bon moyen de réfléchir, une bonne source d’inspiration aussi.

Il lui reste un épisode de série à rattraper. C’est le moyen de finir de se réveiller en douceur. Le petit déjeuner lui a fait du bien mais, ce n’est pas assez. Elle se plonge dans le dernier épisode de sa série médicale «surgeons» C’est la seconde saison et il ne reste plus beaucoup d’épisode avant la fin de la série. Normalement la saison trois doit sortir d’ici quelques mois.

Un épisode dure environ une demi-heure trois quarts d’heures. Le temps passe tellement vite à chaque fois. Meryl ne se rends même pas compte que c’est déjà fini. Elle se dirige vers sa chambre et prend finalement son ordinateur pour écrire.

Il vaut mieux avoir un texte prêt à être envoyé plutôt qu’avoir un brouillon pas transmissible. Il manque une dernière chose, une boisson froide pour accompagner ce temps. Il fait encore un peu chaud. Le calme avant la tempête.

Après avoir installer son poste de travail, il est temps de se mettre à écrire.

Le chant peut être banal pour certains, une vie entière pour d’autres. C’est le cas de Milie, douze ans, en classe de cinquième. Depuis qu’elle c’est parlé elle chante. Enfin avant d’avoir commencé à parler elle c’est mise à chanter.

La musique fait partie de son ADN. Comment dire que ce n’est pas dès plus simple. Ses parents ne font pas de musique. Ils n’ont pas de talent particuliers.

Ils n’avaient même jamais jouer d’un instrument. Il est possible que le gêne ai sauté une ou plusieurs générations. La grand-mère de la jeune fille a raconté à ses parents que son grand-père aurait été chanteur connu apparemment. Le dont de la chanson est assez rare dans la famille. En gros ils ne savent ni jouer ni utiliser leur voie.

Disons qu’ils chantent assez mal. Le fait quel leur fille chante aussi bien en est presque incroyable. Ils ne sont pas capable d’en croire leurs yeux. C’est tellement irréaliste !

Le pire n’est pas encore arrivé. Lorsque Milie était petite ce n’était pas aussi présent que maintenant. À son âge elle grandit et se développe sur différents points. Personne ne peut s’avancer sur sa voie mais ils parient sur le fait qu’elle sera encore plus développé dans le futur. Il n’est pas impossible qu’elle soit repérer par une agence ou un label. C’est ce que tout le monde se dit depuis qu’elle est arrivé au collège.

Une belle jeune fille qui ne cesse de grandir, de s’embellir avec le temps. Un mode de vie simple. Milie, fait du sport dans un petit club, mange normalement, s’habille comme tout le monde. Pas grand-chose qui sort de l’ordinaire. Tout sauf le chant. Celui-ci prend beaucoup de place dans sa vie depuis sa plus tendre enfance. Même à l’école.

Le cours de musique est quelque peu chamboulé à chaque fois qu’elle y assiste. Le professeur demande aux élèves d’apprendre des morceaux qui ne plaisent pas à tous mais, peu importe. Dès qu’il s’agit de chanter elle est toujours la. Pas question de louper un seul instant. Tous les moments sont bons à prendre pour chanter. Ça en devient presque flippant par moment. Ses parents ne voient pas ce qui se passe réellement dans leur quotidien mais ça prends de plus en plus d’importance.

C’est un peu comme un téléphone. On passe toute la journée dessus même, quand il ne faudrait pas y touche. Mais on ne peut y résister. C’est comme si c’était une drogue.

La jeune fille se met à chanter des le réveil. Son téléphone sonne et elle chante la chanson qui passe. Juste après elle enchaîne avec une autre jusqu’à ce qu’elle prenne bus direction le collège. Ne pouvant chanter dans les transports en commun elle chuchote ou mime les paroles. Dès qu’elle se trouve dehors, du son sors de sa bouche. Pas question de rester sans chanter. Les moments dans le bus sont un peu une épreuve pour elle. Ne pas pouvoir chanter normalement est un peu un supplice.

À un moment les professeur commencent à se poser des questions parce que même en classe elle fredonne des airs de musique. Cela les gênes par moment. Elle se prends souvent des punitions pour tapage en cours. Elle n’en fait rien. Sa passion est tellement forte qu’elle ne peut s’en empêcher. Il lui est impossible de s’arrêter. Le problème vas beaucoup plus loin que ça. Le midi normalement elle mange à la cantine de l’école. Mais ne pouvant faire comme elle veut, elle demande à sa mère de ne plus y manger. Elle commence alors à aller au parc d’à côté tous les midis pour chanter et se vider la tête. Elle ne mange plus du tout. Son temps est occupé à autre chose. La musique, est prioritaire.

Sa passion commence à la dévorer de plus en plus. Il n’est plus question de chuchoter, de mimer ou de le faire en silence. Pas une minute se passe sans son. Sa bouche, bouge tout le temps. Elle finit même par arrêter de prendre le petit déjeuner pour pouvoir chanter. Le dîner se transforme en concert pour ses parents.

Au bout de presque un mois sans manger du tout la jeune fille finit par s’écrouler au sol en plein milieu d’une rue piétonne. Elle se réveille dans une chambre d’hôpital deux jours plus tard. Son premier réflexe est de chanter. La voie ne sort pas normalement. Elle est un peu coincé pour une fois. Milie se met donc à hurler pour appeler à l’aide. Elle ne comprend pas ce qu’elle fait ici. Il faut qu’elle aille chanter de toute urgence. Ses parents sont appelé assez rapidement pour la rejoindre.

Dans un autre temps le médecin demande a un psychiatre de venir l’examiner pour voir ce qui se passe. Il ne comprend pas pourquoi elle veut tant chanter.

Il faut faire un diagnostic rapide pour pouvoir lui donner le bon traitement.

Lorsque celui-ci arrive, il n’y a aucun doute. La jeune fille à, le syndrome du chant chronique.

Il est tellement développé qu’elle en est arrivé au stade de ne plus s’alimenter pour chanter. Il faut agir au plus vite. Pour commencer il lui prescrit un traitement léger. Lors de l’arrivé des parents il faut annoncer la nouvelle. Pas facile de leur dire. Une fille à la voie d’or, à une maladie qui la fait chanter à en mourir, n’est pas vraiment commun. D’ailleurs c’est le premier cas dans le pays.

Les parents n’en reviennent pas. Ils ont du mal à le croire. Leur fille est plongé dans un sommeil profond avec un puissant sédatif. Le but est de la faire se reposer et de lui donner des compléments alimentaires. Étant donné que son corps manque de beaucoup de choses il lui faut une sonde naseau-gastrique pour l’aider à reprendre des forces. Elle ne pourras manger que si la sonde fait effet. «Elle sera d’abord utilisé seule, couplé avec une alimentation puis réduite progressivement jusqu’à ce que l’alimentation redevienne normal.» explique le médecin.

Le chant est donc interdit pour le moment à la jeune fille. Pas question qu’elle refasse une crise. Et avant toute chose il faut tester un traitement. Ce genre de maladie est assez rare et parfois difficile à traiter. La jeune fille pourrait retourner dans son état second et chanter jusqu’à ce qu’elle ne tienne plus.

Le médecin prévient la famille que désormais il faudra faire très attention. si la jeune fille se met à chanter plus que la normal, c’est-à-dire, pendant la nuit au lieu de dormir par exemple, à table, pendant qu’elle fais des taches qui ne nécessitent pas de chanter. Cela ne veut pas dire qu’il faut l’empêcher de le faire mais, vérifier que ce n’est pas trop. Il risquerait d’y avoir des dommages aux cordes vocales. Une conséquence irréversible.

Milie doit donc rester à l’hôpital le temps de trouver le médicament et le dosage approprié. Le chant fait partie de sa vie, son ADN. Elle ne peut accepter la nouvelle. Après un sommeil forcé, difficile de revenir. Sa vie est bouleversé à jamais.

Elle met du temps à émerger et comprendre ce qui se passe. Pourra-t-elle chanter encore? Est-ce que sa vie est fichue? Les larmes coulent à flop au moment où elle se retrouve seul dans son lit. Il n’est pas question de le montrer à ses parents. Une nouvelle si déchirante. Elle veut les épargner un peu.

Au début elle ne veut pas parler de ce qui se passe dans sa tête. Milie prend son traitement sans rien dire. La psychologue n’arrive pas à discuter avec elle non plus. Lorsqu’elle arrive, pas un son sort.

C’est presque comme si la jeune fille était éteinte. Ce n’est qu’au bout d’une semaine que les premiers mots sortent. Une idée traverse la psychologue. La praticienne lui propose de chanter ses émotions et questions. Il faut choisir une musique française qui retranscrit ce qu’elle ressent. Elle a le droit de chanter comme elle veut. Il ne lui ai pas interdit de le faire. Sur le moment elle hésite un peu. Peur que ce soit encore son cerveau qui lui joue des tours. La femme la rassure en lui disant que les médicaments bloquent le mécanisme.

Rassuré elle décide de se lancer dans cet exercice périeu. La peur l’envahi mais, elle la dompte rapidement. Plongé dans sa réflexion elle trouve le morceau idéal et finit par se lâcher. Tout devient plus clair maintenant. Il y a plusieurs aspects à prendre en compte. Le choc de l’annonce, les effets de la maladie, la famille, son futur avec le traitement.

Rien n’est jouer pour le moment mais, Milie veut s’en sortir plus que tout et retrouver une vie normal.

Un premier jet de quelques pages pour le moment. Meryl n’est pas encore satisfaite du projet. Il ne s’agit que d’une première ébauche. Après quelques relectures, réécritures, il devrait y avoir assez de matière pour le concours. Il ne lui semble pas que cette thématique soit beaucoup abordé en général. Une bonne chose finalement. Ça lui laisse libre choix pour travailler. Le pus compliqué dans ce genre de concours sont les thèmes les plus courants.

Il faut réussir à sortir du lot et ce n’est jamais gagné d’avance. Souvent ça se joue à peu de choses. Un texte avec plus d’émotions ou un certain charme. Ces thèmes sont bon pour tout le monde mais le jeune Meryl sait que pour avoir une chance il faut un peu innover. C’est ce qu’elle souhaite faire avec ce texte.

Un premier jet qui lui plaît beaucoup. Il ne manque pas grand-chose pour le rendre encore meilleur selon elle. Après ce n’est que son avis. Elle aime ce qu’elle fait et c’est le principale. Elle se dit que l’important est de participer. il n’est pas question de gagner a tout prix. Ce serait impossible ou il faudrait user de ruses et ce n’est pas son genre. Elle a déjà vu des personnes tricher et elle sait au combien c’est compliqué de s’en sortir par la suite.

La seule chose qu’elle veut c’est en parler à ses parents. Son objectif est de montrer qu’elle peut tout gérer. Son année scolaire et sa passion. Pas question de se louper. Si elle n’obtient pas le brevet des collèges, adieu la bonne école de lettre pour travailler dans une maison d’édition.

Elle ne sait pas encore quel serait le métier exact mais, ce qui est sûre c’est que ce serait dans une maison d’édition. Tout ce qui compte est de travailler dans le monde du livre. Son amour de toujours. Peu de gens comprennent cette passion pour l’écriture mais c’est tellement plus qu’un simple passe-temps. Ça lui permet de s’exprimer d’une autre façon, de raconter quelque chose, de faire passer des messages. Et le plus important se lâcher, vider ses émotions, son esprit dans des histoires et des mondes totalement imaginaires.

La vie est parfois loin d’être belle tous les jours. Elle est bien dans son monde mais ce qui s’y passe est pesant par moment. Toutes les personnes qui doivent se battre pour avoir une vie correcte, les problèmes d’égalité entre les genres, la société qui est basé sur des concepts archaïques. C’est pesant à la longue. Dans une histoire il est possible de créer une société rêvé. Même si on n’y parvient pas, on peut l’imaginer, le vivre au travers d’un texte. Parfois juste des mots peuvent faire un bien fou. C’est le cas de Meryl.

À chaque fois qu’elle ouvre un document pour écrire tout se transforme. C’est comme si tout devenait vivant. Rien que de penser à écrire la met en joie. Il arrive même que ces moments soient tellement prenant qu’elle en oublie le temps. Personne ne peut l’arrêter quand elle est dans cet état. Une seule fois c’est arrivé. La jeune ado a fini en larme, coupé de son monde, de cet état presque second, comme une personne drogué mais sans avoir pris de médicaments. C’était assez surprenant. Personne ne s’y attendais. Même pas elle.

La vie réserve parfois de belles surprises. Depuis ce moment personne ne la dérange quand elle est dans une bulle bien fermé. Ils ne veulent pas prendre de risques. Fort heureusement de n’est que de cours moments une fois ou deux dans l’année. En général ça arrive pendant les vacances. C’est assez troublant mais, une fois sorti de cet état, la jeune fille est très calme, apaisé. Il n’y a plus rien qui se passe. Elle se pose dans son lit et s’endort comme si de rien était.

Lorsque sa mère a assisté a un de ses épisodes, elle a prit peur mais le médecin a dit que c’était totalement normal. Il n’y avait pas à s’inquiéter. Ce n’était que sa passion qui faisait son travail. En gros pour certaines personnes des activités comme ça, peuvent être un puissant anti-stresse. Les effets sont parfois la fatigue et le sommeil. Un très bon signe de bonne santé mentale d’ailleurs.

Une fois rassuré la maman a pu laisser sa fille continuer normalement. Fort heureusement ce n’est pas le cas pour ce concours. Meryl ne saurait pas comment ne pas se faire prendre. Enfin bon, pour le moment le projet est en phase de bêta. Elle le laisse comme ça et passe à autre chose pour cette fin de journée. Un peu de télévision lui ferait du bien. Avant elle doit répondre aux messages de ses ami(e)s. elle était tellement absorbé qu’elle ne les a pas vu. C’est assez impressionnant le pouvoir de l’écriture.

Elle esquive aussi le concours dans la réponse aux messages. Pas question de se porter la poisse, ni d’avoir des rires ou autres choses de ce genre. Ce serait pas productif du tout. Il est environ quatre heures quand elle saisit son téléphone pour taper une réponse.

La jeune fille décide alors d’aller dans la cuisine se prendre un goûter. Du pain et du chocolat à tartiner. Il n’y a rien de plus bon que ça pour un goûter. Le meilleure du monde après les viennoiseries.

Ses parents ne devraient plus tarder à rentrer de leur journée a deux. L’occasion de se poser devant une série ou un film avant que la télévision ne sois prise pour un autre programme.

En général quand ils arrivent ils se posent quelques minutes dans la cuisine pour boire de l’eau, discuter. Ensuite ils rangent ce qu’ils ont sorti de la voiture et se posent devant la télévision.

Le même programme à chaque sortie.

Il n’y a donc pas de surprise. Meryl c’est à quoi s’attendre. La série du jour est Surgeons. Comme d’habitude, il y a des épisodes a regarder. Cette fois-ci ce n’est pas la dernière saison mais une rediffusion. Les chaînes télés aiment bien mettre des anciens épisodes en même temps que les saisons actuelles pour rappeler des souvenirs ou faire découvrir à de nouveaux téléspectateurs. C’est aussi une bonne façon de remplir le programme télé.

La jeune fille en est contente. Elle adore quand il y a de bon programme. Ce sont les seules séries qu’elle regarde. Pour le reste tout se passe en ligne. Les vidéos sont plus intéressantes que certaines émissions. Il y a trop de choses négatives à la télévision, qu’elle ne retrouve pas sur internet. Il y a du faux aussi mais, pas au même niveau. C’est un peu au petit bonheur la chance parfois. Les gens peuvent avoir un dont pour mentir comme des professionnels. Heureusement il y a des techniques pour les trouver.

«Aller, c’est partie pour Surgeons. Un ou deux épisodes et je retourne devant mon ordinateur»

Finalement, pas le temps pour un autre. Ses parents arrivent avant même la fin du générique du premier épisode. Le jeune ado laisse la télévision allumé et file leur dire bonjour. Après quelques minutes d’échange, il est temps de retourner travailler. Ce concours ne va pas se faire tout seul.

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