Chapitre 18

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Je devais donc rejoindre Louise à dix-huit heures à la sortie de son bureau. J'étais sur la route en train de penser à ce que je lui avais demandé. Y aurait-elle pensé ?

« Je suis garé sur ton parking »

« J'arrive »

Au bout de quelques minutes, je la vis sortir par la porte d'entrée, elle avait un pull beige et sa jupe blanche, celle que je lui avais demandée et des talons hauts (ceux que j'avais vus sur ses photos de lingerie). Aussitôt, ma queue réagit, à l'idée de la main que j'allais glisser sous sa jupe.

Je sortis de ma voiture. Elle me sourit et vint m'embrasser.

- Bonjour, ma chatte.

- Bonjour mon chat.

- Tu es belle...

- C'est que je suis amoureuse.

- Où es-tu garée, dis-je.

- Là juste deux rangées plus loin.

Elle montait dans sa voiture, côté conducteur et moi, après avoir mis ma valise dans le coffre, côté passager. A peine parti, je posais ma main sur sa cuisse. Immédiatement, sa peau réagit par une légère chair de poule et une accélération de sa respiration.

- Attention, je ne voudrais pas avoir un accident.

Je ne disais rien et continuais mon exploration en remontant vers son sexe. Un léger gémissement de surprise sorti de sa bouche.

- Tu veux que j'arrête ma chatte ?

- Non...

Je profitais de notre arrêt à un feu rouge, pour glisser un doigt dans sa fente. Ses deux mains glissèrent le long du volant comme si elle le caressait.

Le feu venait de repasser au vert, et la voiture derrière nous nous avertit par un léger coup de klaxon. Je retirais mon doigt et Louise démarra.

- Il reste seulement cinq minutes, dit-elle plaintive.

- Alors dépêche-toi, dis-je en lui prenant la main et la posant sur mon sexe en érection, compressé dans mon pantalon.

Nous étions arrivés, je sortais de la voiture et la prenais par la main.

- Tu ne prends pas ta valise, dit-elle.

- Pas le temps.

Je marchais d'un bon pas, devant elle et ses talons lui faisaient faire de tout petits pas rapides. Je pris les clés de ses mains, pour ouvrir vite la porte, que je claquais dès que nous fûmes entrés dans l'appartement.

J'ouvrai mon pantalon et sorti ma queue dure et impatiente. L'attrapant par la taille, je la pris contre le mur violemment. J'entendais ses gémissements, ses petits cris au creux de mon oreille. Tout en maintenant ses fesses avec ma main gauche, je levais son pull pour laisser apparaître sa poitrine compressée dans son bustier en dentelle. Je le glissais sous ses seins et commençais à lécher sa poitrine et ses tétons délicats. Je sentais à sa respiration qu'elle était sur le point de jouir. De mon côté, je sentais monter rapidement l'orgasme, que je n'arrivais plus à retenir. Le sexe de Louise se contracta sur ma queue en même temps qu'un gémissement de jouissance sorti de sa bouche. Il déclencha mon orgasme, intense et puissant.

Elle était agrippée à moi, essoufflé, souriante.

- Et bien, tu étais pressé mon chat...

- Je t'aime ma chatte.

- Je t'aime mon chat.

Après quelques minutes, elle se dirigea vers la douche et de mon côté, j'allais m'installer dans le canapé pour reprendre mes esprits. Je répondais à quelques messages et commençais à imaginer une nouvelle histoire. Malheureusement ou heureusement Louise sortit très rapidement de la douche.

- Au fait, je voulais te faire la surprise. Mercredi en huit, j'ai rendez-vous à mon ancien boulot, pour une réunion, dis-je

- Super, comment ça se fait ?

- Tu sais que mon entreprise a gagné un appel d'offres pour un gros projet. Et j'ai donc une réunion de travail.

- Donc pas ce mercredi, mais celui d'après ?

- C'est ça ! J'arriverai donc mardi soir et je repartirai jeudi matin de bonne heure.

- Cool, ça me frustre de te voir seulement le week-end.

Elle était en train de préparer à manger, habillée seulement par la lingerie qu'elle avait achetée pendant la semaine.

- Mon chat, tu peux mettre de la musique ?

- Tu veux écouter quoi ?

- Mets juste ma playlist Spotify, ça sera parfait.

Immédiatement, elle se dandina sur la musique en épluchant et coupant les légumes. J'avais très envie de glisser derrière elle et de mettre mes mains sur ses jolis seins.

- Tu pourrais aller chercher une bouteille de vin rouge, dans le placard. J'en ai acheté une pour ce soir. Il faudrait l'ouvrir.

Obéissant, je m'exécutais, allant chercher la bouteille et le tir bouchon dans le tiroir juste à côté de ma belle. Négligemment, une de mes mains effleurait sa fente à travers sa lingerie qui laissait déjà transparaître son désir.

- Hummm, lui chuchotais-je en même temps à l'oreille.

Elle fit mine de rester parfaitement stoïque. J'ouvrais donc la bouteille de vin rouge que je laissais sur le plan de travail et rangeais le tire-bouchon.

- Tu crois que tu peux te dandiner comme ça ? lui dis-je en venant glisser mes deux mains sur sa poitrine.

Ce coup-ci, sa respiration se bloqua et elle arrêta un instant de couper ses légumes.

- Le repas ne va jamais être prêt à ce rythme-là.

- M'en fou, dis-je en lui prenant le couteau des mains.

Je l'attrapais par la taille, la faisais pivoter vers moi et la montais sur le plan de travail. Je la pris violemment, ne pouvant résister à ce corps qui m'avait tant manqué toute la semaine. Elle gémissait de nouveau, allongée devant moi pendant que je martelais son intimité. Mes coups puissants la firent de nouveau rapidement jouir et je la rejoignais quelques secondes après.

- Mais que t'arrive-t-il, mon chat ? C'est la lingerie ? Il va falloir que j'en achète plus souvent.

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