Chapitre 11 : C'est fini...

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« Nos aventures s'arrêtèrent ici. Aujourd'hui, c'est le dernier jour. Au revoir Geag, ce fut un plaisir de travailler avec toi… »

Ils étaient de moins en moins "humains". Des dents et des griffes longues et acérées, les quatres membres ridiculement longs et disproportionnés, une multitude d'œil asymétrique disposée n'importe comment sur la tête, ces monstres n'étaient désormais conçus uniquement dans le but de tuer.

Mais malgré la fatigue et les blessures, je pouvais encore me battre. Cependant je n'avais plus de munitions, et j'aurais bien besoin d'une arme à projectiles ou juste assez longue et légère à manier pour me battre.

Je sortis alors mon ultime arme : un simple couteau en fibre de carbone. Ce n'est peut-être pas très tranchant, mais c'est léger et facile à porter sur soi, et n'entrave pas les mouvements.

Je devais à présent me battre de façon passive. J'attends que l'ennemi se jette vers moi pour esquiver ou parer et contre-attaquer. Mais surtout, je dois m'assurer d'achever mon assaillant en un coup. Jusqu'à là, leurs points vitaux sont les mêmes que ceux des humains. Mais comme à ce que je m'y attendais, cette fois ces monstres ont des points vitaux bien dissimulés.

Quand l'un d'eux se jetta sur moi, je l'esquivai et lui plantai mon couteau dans son cou, mais cela ne lui semblait pas être mortel. Il continuait à bouger vivement comme de rien était. Je retirai rapidement mon couteau pour ensuite le planter dans son cœur mais seul un immonde jet de liquide noir en jaillit de la plaie.

Je retirai alors mon couteau et fis un saut en arrière pour reprendre de la distance. Je retirai alors mon bandage sur l'œil droit, cet œil me permettant notamment de traiter les informations visuelles plus rapidement me permettant ainsi de voir au ralenti.

Cependant, faire fonctionner autant le cerveau me donne des migraines, et je ne peux l'utiliser que pendant quelques secondes avec un cooldown de 5 minutes à chaques fois. Pendant ces quelques secondes je dois immobiliser un maximum de ces monstres en visant les articulations.

Comme je ne connais pas leurs points vitaux, mieux vaut les affaiblir pour ensuite tester tous les endroits susceptibles d'en être.

Tout de suite après l'offensive de l'un d'entre eux, d'autres reviennent à la charge. J'esquivai puis je me baissai pour une posture de combat favorable aux attaques dans le bas du corps. Je plantai mon couteau dans le genou de l'un, puis dans l'épaule de l'autre.

Grâce à ma vision accélérée je pouvais viser avec précision entre les cartilages articulaires et les démembrer, au juste partiellement. C'était suffisant pour les affaiblir et les ralentir, mais je n'avais qu'environ 34 secondes pour en blesser un maximum.

Mais par une erreur d'inattention, ou juste dû à la fatigue, je glissai sur une flaque de sang et tombai à la renverse. Les monstres saisirent cette opportunité pour me plaquer au sol, mais je m'échappai en roulant sur le côté. Je me relevai rapidement et j'observai une dernière fois les alentours avant de fermer mon œil droit.

J'aurais bien aimé que je puisse utiliser mon œil droit sans activer la vision accélérée. Cela réduit mon champ de vision, mais heureusement j'ai pu à peu près mémorisé l'emplacement des monstres et les potentiels obstacles qui pourraient me gêner.

Je ne dois pas refaire la même erreur. J'ai pu m'échapper cette fois, mais rien ne garantie que la prochaine fois je puisse m'en sortir indemne. Je dois utiliser ces flaques de sang et ces restes de cadavres à mon avantage.

Je glissai sur les flaques de sang, ma posture de combat me permettant de rester stable, je les exploitais donc afin de rendre mes déplacements plus vives. Comme je ne pouvais asséner uniquement des coups rapides, je visais donc les tendons rotuliens.

J'enchaînais les coups, je donnais des coups de pieds arrière pour les offensives venant de l'arrière, et j'enchaînais avec des coups dans les tendons. Cependant, alors que je m'apprêtais à répéter le même cycle d'attaque, l'un me donna un violent coup de pied que je parai avec mon bras gauche.

La puissance du coup était phénoménale. Je fus projetée en arrière avant de rouler sur le sol sanglant. J'avais atrocement mal au bras, et je n'arrivais plus à le bouger. Il semblerait que mon bras gauche est fracturé. Bon, de toute façon il était déjà blessé, mais cela reste toujours un sacré désavantage. Maintenant je n'ai plus qu'un bras et qu'un œil pour me battre.

Je dois trouver un moyen de compenser ce désavantage, c'est alors que je vis les restes de cadavres à côté de moi : je pourrais les utiliser comme projectile afin de garder la distance et me reposer un peu. Et en regardant autour de moi, je remarquai aussi que bizarrement il n'y avait aucun meuble dans la pièce.

J'aurai pu peut-être utiliser les meubles, mais tant pis, regardons cela de manière positive, au moins il n'y a pas d'obstacles. De plus, j'ai pu déjà porter un coup à tous, ils sont maintenant moins agiles, plus lent. Je jetai alors des morceaux de bras, parfois des têtes vers les monstres, vu de l'extérieur j'avais l'air si misérable.

Mais j'en avais besoin pour gagner du temps et reprendre des forces. Ils étaient maintenant vulnérables, avec un dernier effort je pourrai tous les abattre.

Alors dans un élan de désespoir, j'enfonçai mon couteau dans le ventre de l'un, et je découpai le long de son corps jusqu'à arriver à la cage thoracique. Il s'écroula alors et ne bougea plus. Je remarquai alors dans le ventre que j'ai éventré un organe semblable à un cerveau.

Il semblait donc que j'ai enfin trouvé leur point faible. Je réactivai ma vision accélérée et j'enchaînai les coups d'estoc dans le ventre des monstres et il suffit en un rien de temps pour tous les décimer.

Finalement je m'écroula dans une flaque de sang, complètement épuisée. Puis, une nouvelle horde de monstres ressurgissèrent de l'ombre avant même que les cadavres fraîchement découpé aient le temps de se désintégrer.

Il semblerait que je l'ai trop sous-estimé. Mon orgueil aura eu raison de moi. Pourtant, elle m'avait prévenu de ne jamais lâcher sa garde…

Alors que je pensais que tout était perdu pendant qu'un de ses monstres se jetait sur moi, il s'arrêta brusquement et disparut en poussière. Les autres aussi se transformèrent en poussière, et la pièce reprit ses dimensions d'origine. Il semblerait que Geag et Justine ont pu retirer la cassette.

Puis l'instant d'après je m'évanouis et tombai par terre. Lorsque je rouvris les yeux, j'étais dans les bras de Geag. Qui lui a autorisé à me porter comme une princesse ?!

« Je remercie ta bienveillance, mais je peux marcher »

Sans un mot, il me posa doucement au sol, et s'excusa. En réalité il n'a pas à avoir si peur de moi, et c'est aussi un peu blessant… C'est vrai, j'aurais dû lui dire ça peut-être avec un peu plus de tact, mais j'ai fais de mon mieux.

En le regardant, il semblerait qu'il n'a pas de blessure grave. Mais j'imagine qu'il en a beaucoup souffert.

Soudain, je tombai vers l'avant et Geag me rattrapa de justesse. Il semblerait que je n'ai plus assez de force pour marcher seule, et les douleurs commencent aussi à se faire sentir. Je saignai de la cheville, de la joue, et des bras en plus d'une fracture.

Je devais donc ravaler ma fierté et accepter l'aide de Geag. Je m'appuyais contre lui, il me soutenait par l'épaule, et nous marchâmes tout doucement jusqu'à arriver au salon. Là-bas se trouvait Justine, en train de fixer un monstre du regard, à côté d'elle se trouvait tout un arsenal d'armes.

Le monstre étant cloué au sol, par un énorme pieux dans l'épaule, on dirait bien que les deux on fait du bon travail.

« Ma foi tu es sacrément amochée, le monstre devait être vraiment redoutable »

« Au lieu de me faire la remarque, vient plutôt me soigner ! »

Je m'approchai du gros sac que j'ai confié à Geag plus tôt. J'en sortis un kit de secours, avec du désinfectant, des plâtres et tout un matériel médical utile ou inutile. Je demandai ensuite à Justine de me soigner, elle qui a déjà reçu une formation de premiers secours et qui est douée pour ce genre de chose. C'était l'une des raisons pour lesquelles je l'ai invitée pour cette mission.

Mais malgré les soins reçus, ce n'était loin d'être suffisant. Je sentais mes forces me quitter, et j'avais du mal à rester éveillée, il fallait pourtant que je reste forte et que je ne laisse rien paraître devant tous. Je dois aussi m'assurer que la cassette ne représente plus aucune menace.

« Alors, qu'est-ce qu'on fait de lui ? »

« J'aurai encore besoin de lui, pour mes expérimentations "scientifique" »

C'est alors que Geag s'approcha de moi et me murmura à l'oreille :

« C'est bon, je m'occupe de tout, tu peux aller te reposer »

Je fus si surprise par les mots de Geag que je fus restée bouche bée sans pouvoir prononcer un mot. Où voulait-il en venir par "je m'occupe de tout " ? S'occuper de quoi ? D'où vient cette soudaine enthousiasme ? Sait-il seulement comment procéder ?

Mais non, il savait vraiment quoi faire. Il avait probablement deviné que je voulais faire quelques expériences sur le monstre pour mieux comprendre comment il fonctionne, et aussi le neutraliser d'une façon plus concrète. Ainsi, il sortit du gros sac un bocal remplit de liquide soporifique.

Il sortit ensuite une seringue avec laquelle il la remplit du liquide et l'injecte dans le bras du monstre immobilisé au sol. Très vite, le monstre tomba dans les bras de Morphée. Ainsi le monstre est neutralisé sans grands dommages collatéraux. L'instant d'après je tombai dans les pommes, rassurée que le danger n'était plus présent.

Lorsque je me réveillai, j'étais dans l'hôpital de l'Église. Même si l'Église avait un niveau moyen en terme de "chasse aux monstres", ils avaient beaucoup d'argent, beaucoup de relation, d'influence et d'argent que n'importe quelle autre organisation.

La porte de la chambre s'ouvrit, et une infirmière avec la tenue de l'Église s'approcha de moon lit. Me voyant réveillée, elle me posa quelques questions afin de s'assurer que je vais bien avant d'aller prévenir Justine. Avec des plâtres à la jambe et aux bras, je n'étais pas prête de sortir de l'hôpital de sitôt. Cependant, je possède une capacité de régénération hors norme, me permettant de me guérir d'une blessure mortelle en quelques semaines.

Lorsque Justine me rendit visite, je lui demandai alors ce qui s'est passé après la mission. Apparemment après avoir appelé l'ambulance de l'Église, "l'escouade spéciale de neutralisation de vice" est venue sur le terrain pour venir récupérer le monstre. Actuellement 2 jours s'est écoulés, et pendant ces deux jours le monstre est sous léthargie.

« T'es vraiment un monstre, toi, à t'en remettre de telles blessures en deux semaines ! » dit Justine avant de s'en aller.

Il est officiellement annoncé que je pouvais sortir d'hôpital, car j'étais guérie de toutes mes blessures. Quant à pourquoi je possède une capacité de régénération hors-norme, j'en parlerai une autre fois.

Pendant les deux semaines où j'étais restée à l'hôpital, j'ai pu lister toutes les choses que je devais clarifier au sujet de la cassette et de ces monstres. Après mon rétablissement, j'ai demandé à ce que je puisse récupérer la cassette et le monstre afin de faire ce que j'avais à faire.

« Où... est-ce qu'on est ? »

Une fois chez moi, j'ai pu observer que le monstre ne semble pas se souvenir qu'il a été sous léthargie. De plus, il a un corps suffisamment puissant pour resortir d'un état léthargique sans aucune séquelle, comme s'il se réveillait simplement d'un long sommeil. Bien qu'il ne semble pas vraiment comprendre ce qu'il dit, il semblerait qu'il veut imiter les humains pour me sensibiliser, bougeant dans tous les sens sur le lit chirugical sans vraiment avoir l'intention de s'échapper.

Malgré le fait qu'il avait un mental immature et un résonnement naïf, il a une capacité d'apprentissage impressionnante. Il est sûrement le monstre le plus dangereux que j'ai affronté jusqu'à présent. J'ai alors continué de faire des recherches sur ce monstre et, comme je le pensais, ce monstre est bien différent des autres monstres que j'ai combattu jusqu'alors.

Apparemment, du moment que la cassette est intacte, alors elle peut recréer des corps matériels à la chaîne, donc le plus dangereux reste la cassette, comme je le pensais. J'ai alors implanté une bombe que j'ai programmée afin qu'elle explose lorsque mon coeur s'arrête de battre. Cette bombe, je l'avais achetée chez Élio, je n'aurai jamais cru qu'il aurait tout ce que je lui demandai.

Mais cela m'arrangeait, il pouvait me procurer tous les outils dont j'en avais besoin à très bas prix. Cela me permet d'éviter d'aller dans des endroits louches à acheter des produits à des prix exorbitants.

...

C'est durant mes expériences que je développe le plus ma créativité, tant dans le bon sens que dans le mauvais. Après tout, l'imagination est parfois plus important que le savoir. J'ai pu donc acquérir de précieuses connaissances vis-à-vis de la cassette maudite :

- Tout d'abord, il semblerait qu'elle n'a aucun pouvoir du moment qu'elle n'est pas mise en marche.

- Deuxièmement, elle peut créer des "clones" qui sortent des écrans, leur taille est proportionnelle à la taille de l'écran par lequel ils sortent, et la limite de production est proportionnelle à la batterie de l'appareil par lequel sortent les clones. L'appareil risque de surchauffer si les clones sont produit sur un trop long terme (en général entre 25 à 26 heures). Pareil, si l'appareil n'est plus alimenté, et qu'il est vide de tout type d'énergie.

- Troisièmement, du moment que la cassette est activée, elle peut produire des clones à travers d'autres média via d'autres appareils électrique si le support est lié d'une quelconque façon avec ces autres appareils, et à conditions que ces appareils possèdent au moins un enregistrement audio ou visuel de la cassette, d'un enregistrement ou clone produit par la cassette.

- Quatrièmement, la mémoire et la personnalité du "fantôme de la cassette" sont réinitialisées chaques deux mois.

- Cinquièmement, même si les clones produits par la cassette sont soumis aux lois de ce monde, le fonctionnement de la cassette en lui-même n'est pas soumis aux règles de ce monde.

- Sixièmement, la cassette peut envoyer des personnes ayant visionné l'écran par lequel la cassette est projetée, dans une dimension alternative où la cassette contrôle l'espace-temps à sa guise. Cette dernière est particulièrement effrayante, mais il semblerait qu'elle ne peut pas faire de voyage temporel, ni faire revenir à la vie une personne comme la faire mourir de vieillesse.

Seulement, elle ne peut qu'accélérer ou ralentir le temps des objets et des consciences. Mais jusqu'à quel point elle peut accélérer ou ralentir les choses, je n'ai pas encore eu le temps de vérifier tout ça.

C'était donc à peu près ce que j'ai pu apprendre suite aux nombreuses expériences que j'ai menées en solo. Après avoir rendu un rapport plus détaillé de mes résultats à l'Église, le "vice" a été jugé trop dangereux, condamnant la cassette maudite à l'élimination immédiate. C'est compréhensible, malgré toutes les précautions que j'ai prises.

Après la réinitialisation à la fin du mois, Élio s'est arrangé pour que la cassette soit acceptée en tant que soutien afin de lui échapper à l'exécution. En quelque sorte il m'arrange les choses car il y a encore des choses que je doit clarifier à son sujet, cependant Élio devient de plus en plus intriguant avec cette histoire, jusqu'où s'étend donc son autorité sur l'Église ? Il faudrait vraiment qu'un jour j'aille clarifier les choses avec lui.

...

On peut donc dire qu'en quelque sorte, l'affaire est enfin terminé. Il était donc temps que je retourne en cours, et déclarer la fin de ma collaboration avec Geag. Il en a dû en baver avec moi, surtout que cette fois l'affaire était l'une des plus dangereuse que j'ai eu affaire. Il en va donc de mon humanité de le remercier comme il se doit, en travaillant en cours et m'appliquer un peu plus lors des exercices.

À mon retour, de nouvelles rumeurs avaient déjà commencé à circuler à mon sujet :

" Il paraît qu'elle s'est frottée à des Gangsters et qu'elle a finit à l'hosto ! "

" L'autre fois je l'ai vue en train de trainer avec un gros truc dans un sac, je savais qu'il y avait quelque chose de louche. Apparemment elle a été complice d'un meurtre ! "

" Oh non, cette sorcière est revenue ! "

Il semblerait que ce lycée n'a pas changé d'un poil à mon égard. Mais ce n'était pas grave, j'y suis déjà habitué. Là j'ai plus important à faire, alors je passait entre les gens sans y prêter attention.

Je retrouve alors Geag à sa place habituelle.

" Salut, ça fait longtemps. "

- Ah ! Euh, oui... Salut, t'es déjà guérie ? dit-il en sursautant.

Il aura beau essayer de paraître naturel, je vois la panique et la peur dans son regard. Ce doit être à cause des rumeurs à mon égard, mais lui il connaît la vérité, pourquoi croirait-il à ces bêtises ?

- Oui, je guérie très vite de mes blessures.

Je restai silencieuse un moment avant de reprendre. Geag me regarda attentivement comme s'il attendait un ordre.

- C'est à propos de notre marché...

- Oui je sais ! Désolé je suis vraiment inutile ! Mais je ferai mieux la prochaine fois promis ! dit-il en paniquant.

- Non, non. Justement, tu n'as plus besoin de t'en faire. Tu n'as plus à m'acconpagner, je me débrouillerai seule. Et je serai plus active en cours donc tu n'as pas à t'en faire pour le boulot que les profs t'ont refilé.

Geag resta confu. Puis il se reprit, et annonça d'une voix inquiète :

- Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Tu ne te sens pas bien ?

Ces paroles m'ont légèrement mis en colère.

- Non je vais bien, j'en ai décidé ainsi parce que... je trouve que je te mène la vie dure. Surtout que tu y risque ta vie, alors que tu n'es qu'un simple lycéen un peu sportif. Nos aventures s'arrêtent ici. Aujourd'hui, c'est le dernier jour. Au revoir Geag, ce fut un plaisir de travailler avec toi…

- Je vois... C'est vrai... Je n'aurai jamais pensé qu'au fond tu sois aussi gentille, merci. Au revoir.

Ainsi s'acheva notre collaboration.

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