18 années ont passé, Yéléna belle jeune femme à la crinière presque rouge, essaie tant bien que mal à cacher sa mèche argentée. Face au miroir orné de photos de ses deux meilleures amies Kendale et Marcie, un léger sourire vient éclairer son visage terni par l'angoisse qu'elle avait quelque minute auparavant. Liam devait la voir sous son plus beau jour. Car aujourd'hui Yéléna fête enfin ses 18 ans. Sa mère lui a promit une fête mémorable et une surprise qui la laissera sans voix.

Alice avait laissé un mot sur la table pour sa fille, la maison était toute à elle. À l'extérieur, toutes les mises en place étaient terminé. Yéléna pouvait enfin reçevoir ses invités. Soudain toute son attention a été attiré sur un enorme noeud papillon bleu qui dépassait du portail.

- Non ! Elle n'a pas fait ça ?

Et si, sa mère lui a offert un magnifique tout terrain rouge cerise. Sa couleur préféré. Elle avait raison, Yéléna en resta bouche bé ! Après un appel et plusieurs crie de joie à sa mère, la fête pouvait enfin commençer. L'objetif de cette nuit est d'embrasser Liam. (En espérant qu'il la remarque).

Après l'arrivé de l'équipe de natation, vînt au tour des COPS (Les copines). Ce sont cinq filles super canon qui se connaissent depuis le jardin d'enfants et donc inséparables. Mais Yéléna guéttait surtout l'arrivé de Liam, qui se faisait attendre.

- Il parraît qu'il ne vient jamais aux fêtes. Lui dit Kendale. Ces deux là sont amies depuis l'école primaire. Kendale à vraiment un sale caractère, elle n'a aucun filtre se qui fait qu'elle dit tout se qui lui passe par la tête. Tandis que Marcie a toujours les bonnes paroles pour réconforté. Un peu rondelette, avec ses beau yeux bleu azure elle ne jure que part la sincérité. mais ce sont des amies fidèle.

- Je vais prendre un peu l'air. Déçu que Liam n'est pas répondu à son invitation, elle se dirigea vers son Pick-up.

- Eh, salut jolie demoiselle. Elle ne les répondit pas. La jeune femme qu'elle est, sentait toujours les problèmes venir. Les trois jeunes hommes insistèrent et sortirent de leur vehicule. Ils commencèrent à s'approcher, (un peu trop même). Elle tantait de les repousser, mais plus elle insistait, plus ils la tenaient avec force.

- Lâchez-moi. Articula-t-elle. Personne ne l'entendait, la musique était bien trop forte à l'interieur, et à l'exterieur pas un chat. Sans s'en rendre compte un grognement sortis du plus profond de sa gorge, elle sentait ses muscles se raidir tant elle avait la haine. Pendant que deux des voyoux lui tenait les bras, l'autre essayait tant bien que mal à l'embrasser. Mais la petite ne se laissait pas faire.