la sirène existe t-elle? hm vaste question que ce sont posés tout les aventuriers dignes de ce nom. derrière la sirène se cache quelque chose de plus grand qu'une simple créature. en effet, leurs beauté est connue comme sans pareil. mais toute fois pourquoi fascinent elles autant? je me demande bien ce qu'elles peuvent avoir de plus que nous. peut-être cette capacité à pouvoir vivre dans un empire qui n'est pas le notre et qui encore aujourd'hui nous paraît bien étrange. Finalement la sirène n'est pas aussi belle et dangereuse pour rien. Dans ses yeux, dans son regard se cache l'étrange inconnue, le trou noir au delà duquel nous ne pouvons voir. En fait, si elles nous font voir ce que l'on souhaite voir, ce n'est pas par magie mais juste notre esprit qui extrapole cette belle inconnue. l'humanité dans sa grande habitude en tira plusieurs jugements:
elle aura peur, peur de cette inconnue, peur de lâcher prise, elle luttera contre cette perte de contrôle, de pouvoir. Car nous recherchons dans notre court passage ici le contrôle, bien illusoire, le fait d'être maître. alors cette peur nous brûlera, nous consumera dans l'essence même de notre humanité. 
ensuite, l'homme sera comme à son habitude fasciné par ce qu'il ne comprends pas. Il verra cette étrangeté qui ne fonctionne pas comme lui et alors il imaginera tout et son contraire. Il pensera, bref il aura beaucoup à penser. Il jaugera, évaluera tel un bébé débarquant dans un nouveau monde.
pour finir, il aura à faire un choix des plus importants. Faire le grand saut, ou, alors, rester sur la bordure du connu. La sirène est en fait un des plus profonds dilemmes de notre humanité. J'aimerai dire que je serais de ceux qui sauterons mais la bordure est tellement confortable. L’expérience étant une bougie qui n'éclaire que celui qui la tient, ce choix ne sera jamais plus que propre à chacun. Néanmoins, il y a peu de sauteurs, il y a peu de ces gens là qui seraient prêts à quitter une vie pour une autre. Alors, à ceux la, à ceux qui choisissent la sirène. vous êtes les marginaux qui sauvent la majorité.