Chapitre 14 Échec et mat ?

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Délivrance.

Le commando de soldats, sous les ordres du lieutenant Bruckner, se faufila dans les sous-sols de la villa, par une trappe, dissimulée dans des buissons. Comme prévu, les tirs de barrages sur les autres points de défense de la Domus consulaire, détournèrent juste suffisamment de temps, les regards des sentinelles ennemies, pour que le commando Terran puisse se faufiler subrepticement jusqu'au mur de la villa et depuis cet angle morts, ils purent s'engouffrer dans le soupirail ! Ils étaient dans les sous-sol et tombèrent sur deux serviteurs de la vice-consul , une jeune femme et un solide barbus au teint mâte, qui les y attendaient comme prévu dans le plan.

« Que les dieux soient loués !» , dit la femme en dirigeant sa torche électrique vers un des deux couloirs qui partaient depuis leur position... C'est par là que vous arriverez dans la cave, il suffit de pousser la petite porte ronde en bois que vous verrez tout au bout de ce corridor, cela donne sur un grand tonneaux de vin factice, qui est dans notre cellier, de là vous sortirez dans la pièce en question.»

« Mais soyez sur vos gardes, certains des extros y descendent parfois, ils ont découvert que le vin était une boisson très intéressante, alors discrètement, il y en a qui viennent en prendre, heureusement ils tapent pour l'instant dans les bouteilles et n'ont pas encore pensé à s'en prendre à nos barriques !» dit le serviteur, qui lui aussi avec sa torche montrait le chemin à notre équipe.

« Retournez-vous barricader et attendez que nous tapions à la porte blindée, deux coup long et deux courts ! Compris ?» leur dit Kuzack alors que Zoé suivit des autres soldats s'engageait dans le couloir.

Le serviteur acquiesça de la tête et une fois sa camarade rentrée, referma la porte du bunker.

Obster revint aux côtés du lieutenant Bruckner et le commando arriva devant la petite ouverture en bois, puis une fois dans la grande barrique vide, ils attinrent la parois ovale de bois qui permettait de sortir du faux-tonneau.

« Le Marshall et moi qui somme armés d'un MP, nous sortons en premiers et vous trois, » dit-elle en s'adressant à Nuno, Cow et Nemeria, « vous nous suivez en nous couvrant si cela tournait mal !» Puis elle chuchota au Marshall :

« Commandant, je vous recommande de mettre la sécurité sur votre arme et d'engager la fonction assommante, le but est de faire des prisonniers et si possible parmi l'élite ! »

« Bien sûr, pas de problème, Lieutenant ! » lui répondit-il à voix basse. « Toutefois, faites-moi la faveur de me laisser passer en premier, afin de vérifier si la voie est dégagée, galanterie oblige ! »

« Si vous le voulez, Marshall, mais je suis juste derrière vous.» répondit Zoé en la laissant passer.

Un judas, laissait voir discrètement ce qui se passait dans la cave. une lumière très faible en provenance d'une petite lucarne donnant sur les jardins de la demeure, permit de constater qu'il n'y avait personne. Obster poussa la paroi amovible de la grande cuve et avec la petite torche fixé à son arme vérifia la pièce. Une fois les divers recoins de la grande pièce de stockage, contrôlées, il fit signe à Zoé et aux autres de sortir.

Le groupe prit position devants les tonneaux, en demi-cercle, puis avança recroquevillé, vers ce qui leur avait été indiqué par le Commodore, comme l'unique sortie vers les jardins, un escalier en pierre.

Kuzack passait tout devant, accroupi, suivie juste derrière par Zoé, les deux commandants, armés de MP, alors que Nemeria et Nuno, eux armés de canons blasters extros vérifiaient les côtés. La première classe Paige, elle aussi armée de ce genre d'arme alien, vérifiait les arrières de la cave.

Alors que Kuzack arrivait accroupi devant les premières marches, menant au rez-de-chaussée, près de la sortie des jardins, une créature surgit de dans l'escalier. Elle se précipitât sur le Commandant des rangers et lui entaillât le bras gauche avec une genre de lame fixée à son poignet.

Obster lâchât sont MP 98 et se roulât par terre en se tenant le haut du bras, où le sang giclait. Cette créature, habillé d'une longue tunique noirâtre et dont le haut du corps était recouvert de plaques ressemblants à des grosses écailles de tortues, voulut se jeter sur l'homme à terre, blessé...mais elle n'en eut pas l'occasion. Délaissant son propre fusil d'assaut, le lieutenant Bruckner dégaina son couteau et se jeta à son tours sur l'alien. Et bien que celui-ci était plus massif que la jeune femme, elle eut rapidement le dessus sur le guerrier encarapaçonné*. Un râle sortit de la bouche de l'extros, au moment où la lame de la confédérée lui traversât la gorge.

« Et merde...c'est un des leaders...ah bravo !» lançât Kuzack, alors que Cow, accroupie, à côté de lui, commençait à lui déchirer sa manche tachée de sang pour arrêter l'hémorragie.

« Il n'y a pas de quoi, Commandant, toujours à votre service, pour sauver vos impériales fesses de ranger !» lui rétorqua sur un ton glacial Zoé.

« Par tous les démons du Bolchoï**...faites silence, ce n'est pas le moment de nous faire repérer !» chuchota aux deux commandants, Nemeria, avec un fort accent slave.

« Vous avez raison, première classe, » dit à voix basse le Marshall, à la jeune femme tatouée, puis se tournant vers Bruckner, il lui dit, toujours en baissant sa voix : « Pardonnez-moi lieutenant, cette réaction était tout à fait déplacée. Il est bien évident que je vous suis redevable pour m'avoir tiré de ce mauvais pas. Et je constate que votre réputation de combattante à l'arme blanche n'est point surfaite. "

« Bien, si on peut se remettre en route les gars, » dit Bruckner un peu énervée, «ce ne serai pas du luxe. Vous là,» dit-elle, en s'adressant cette fois à la première classe Alana Paige qui terminait de poser un bandage sur la blessure de son chef, après y avoir mis du gel hémostatique, prit dans la trousse de secours qu'elle portait comme chaque soldat confédéré ou impérial, à sa ceinture » qu'en est-il de sa blessure ?"

Cow lâchât le bras du Marshall et lui répondit tout en remettant, les produits dans sa trousse :

« Il survivra...je pense, notre vénéré Marshall en a vu bien d'autres, pas vrai chef ?»

« Oui, merci Cow...Bon on peut y aller et cette fois, il faut faire gaffe de ne pas se faire surprendre par ce genre de gentlemans, afin d'en chopper un vivant. Tout le monde me suis...» commença à chuchoter Obster, avant de se faire interrompre par Zoé :

« Dans vos rêve Marshall, je passe la première cette fois et c'est sans discussion, avec tout le respect que je dois à votre grade, garez vos miches derrière moi et on fait tous silence. Tiens justement il y en a un qui arrive...avec un peu de chance c'est son camarade le leader n°2 ! »

Effectivement dans la pénombre, alors que les cinq soldats étaient proche de l'escalier, un bruit se fit entendre, des cliquetis, suivit de pas qui descendaient les marches...

Un extros du même genre que celui qui gisait derrière eux dans une mare de sang et tout aussi encarapaçonné, était apparu en haut de l'escalier. Par chance, les soldats étaient eux, dans une semi-obscurité qui les cachaient.

L'extros émis quelques sons incompréhensibles, à voix hautes, puis commença à descendre les premières marches. A ce moment, Zoé, abaissa la sécurité de son MP97 sur la fonction assommante et tira sur l'alien depuis sa position. Le jet sonique toucha de plein fouet l'extros qui s'écroula, roula en bas de l'escalier et s'étala à l'entrée de la cave. Nemeria, avec son comlick, vérifia l'état du blessé, puis ayant constaté qu'il n'avait rien de cassé, juste quelques bosses, grâce entre autres à son armure qui avait dut le protéger dans sa chute, lui attacha ses longs membres supérieurs dans le dos ainsi que ces courtes jambes, avec du serflex***.

Ah ce moment même le comlick diffusa un message du Commodore via l'oreillette, que tous les soldats avaient :

« Ici Khan, à Leader Noir, je pense qu'ils vous est impossible de parler, mais si c'est le cas, contentez-vous de me répondre en appuyant sur le bouton d'urgence de votre radio : un coup pour oui et deux pour non. Avez-vous comprit Lieutenant ? »

Zoé appuyât une fois sur le bouton de scancom.

Uljay continua :

« Et Avez-vous pu vous mettre en position Leader Noir ? » voyant une réponse négative, elle continua, « Avez-vous capturé un de leur leader ? » ayant reçu cette fois une réponse positive, elle déclara, « Bien, je tiens à vous signaler que la flotte de secours du Feldmarschall Lazic est arrivée en orbite, une douzaine de croiseurs de tailles diverses. En ce moment des dizaines de barges d'assauts sont en train de descendre dont six sur notre positions...donc courage ! Ceci-dit, tâchons de terminer notre travail. Contact dès que vous serez en place ! Compris Leader noir ? »

Bruckner fit un clic sur son comlick, puis dit à ses compagnons :

« On bouge, il faut que dans cinq minutes on soit en haut, sur les positions prévues... »

Le commando grimpa, précautionneusement les escaliers. Les soldats arrivèrent devant les colonnades donnant sur le premier jardin intérieur. Tous prirent positions prêt à dégommer tout alien qui se montrerait, dans le périmètre au moment de l'assaut.

« Leader Noir à Leader Rouge ! » dit Zoé dans son micro qui pendait depuis son écouteur, « Nous somme en place et prêt pour votre assaut, nous avons en visée plusieurs extros différents, mais à première vue, aucun leaders... nous attendons votre signal Leader Rouge. »

« Copy That, Leader Rouge, tenez-vous prêt ! » leur répondit Khan.

Trois minutes plus tard, deux explosions retentissaient, une sur la lourde porte métallique de l'entrée principales de la Domus, alors que la seconde, fit sauter la porte secondaire tout au Nord du mur. Les extros se précipitèrent vers ces deux places où les portes avaient été littéralement explosées par les tirs de mini-missiles, tirés par les Héraclites en armures.

A ce moment, une fois que les aliens eurent été attirés vers les deux passages dont les portes avaient été démolies, une troisième explosions fit effondrer un pan du mur donnant sur le jardin intérieur où le commando était planqué.

Alors que Zoé et Nemeria surveillaient le côté sud des jardins, planqués tant bien que mal derrière les murs et les colonnes, Obster et sa ranger Cow, eux deux se chargeaient de la partie sud, également dissimulés derrière un muret et une fontaine. De la Rosa, quand à lui, surveillait leurs arrières, ainsi que le prisonnier Leviante saucissonné et bâillonné comme il se doit.

Alors surgirent une douzaines de marines, par ce qu'il restait du pan de mur qui venait de sauter...ces valeureux soldats prirent rapidement positions derrières les diverses statues et jardinières qui se trouvaient dans la pelouse au centre du jardin. Quelques soldats supplémentaires, de la garde noires, s'étaient mis en planque juste derrière les ruines du mur, alors que pendant ce temps les Héraclites et d'autres fusiliers marins continuaient à faire un tir de barrage depuis les deux autres points de pénétrations, qui n'étaient que des leurres en définitive. Mais malgré cela des extros surgirent de la partie sud du bâtiment en direction du jardin centrale, ainsi que de la partie nord de la Domus...

Mais c'est là que nos commandos ouvrirent le feux et stoppèrent net les premiers guerriers qui déboulaient des deux côtés. Les deux binômes de rangers et de soldats du Hammer, avaient des positions stratégique et malgré leur faible nombres pouvaient causer d'énormes dommage aux assiégés. soudain depuis un couloir près de l'entrée de la cave, où surveillait Nuno, un troisième leader Leviante surgit, toujours en armure type tortue. Il pointa son arme, qui comme celle des deux autres était de type revolver, mais d'un modèle très exotique, vers ce dernier. Mais le confédéré, n'ayant pas d'arme anesthésiante, eut le reflex de sortir son poignard de service et de l'appliquer sur la gorge non protégée par l'armure du leader alien, toujours dans les vapes. Le leader armé, hésitât une seconde, ce qui permit à Obster de lui balancer, n'étant pas trop éloigné de lui, une décharge sonique paralysante. Le leader extros s'affala K.O. sur la pelouse.

D'autres extros des autres races, tentèrent également une sortie depuis l'intérieur de la maison, mais ils furent repoussés par des tirs de barrages venant à la fois de la positions du commando et de ceux des fusiliers-marins positionnés dans le jardins près du mur en ruines. De nombreux corps de ces aliens gisaient sur la pelouse, étant donné que pour l'instant, la majorité des tirs venaient, d'armes conventionnelles et que toutes avaient une fonction taser, beaucoup de ceux-ci ne devaient être qu'étourdis ou blessés, car tels avaient été les ordres au départ : dans la mesure du possible on paralyse ou on blesse plutôt que de tuer, afin de faire un maximum de prisonniers.

Le Marshall Kuzack prit son comlick et appela son vaisseaux :

« Ici Kuzack, Mojito, tu me reçois ? »

« Haut et clair chef ! » répondit la caporale Nicole, « Tout va bien là-bas ? »

« Oui, on est en train de déborder leurs défenses. Il faudrait que tu demandes à Frenchy de nous ramener notre invité, ici, on va en avoir besoin sous peu. Qu'il soit bien saucissonné et qu'Horatio l'accompagne !» lui dit calmement entre deux coups de fusils, le commandant des ranger.

« Je transmets cela tout de suite commandant. Et à propos de transmissions, j'ai reçu il y a deux minutes une annonce du capitaine Frisch, du croiseur "la Licorne", sous le commandement du Connétable Lazic, qui nous annonçait qu'il était en route avec sa nef personnelle plus quelque spatio-jet en soutient. Les divers vaisseaux de la flotte ont débarqué des soldats sur les points stratégiques du continent. Entre autres sur Manticore. Selon le capitaine Frisch il n'y aura plus pour longtemps de résistance ennemie sur notre planète. La nef du Feldmarschall arrivera dans trente minutes... »

« Bien, je pense que tout sera fini d'ici là. Kuzack terminé ! » dit Obster tout en tasant**** un extros qui s'était aventuré hors de son abris.

Soudain cinq velosks en armures blindées sortirent d'une des pièces donnant sur la cour intérieur et se ruèrent vers le commando. Mal leur en pris, car des volées de jets de plasma fusèrent depuis plusieurs points du jardin. Les cinq guerriers cuirassés s'effondrèrent.

A moment une voie s'éleva depuis la zone ou le mur avait été fracturé, la voie dans le haut-parleur, était synthétique et traduisait en velosks ce que le commodore Khan, (qui venait de passer par l'ouverture principale de l'enceinte), disait :

« Honorables soldats de l'Alliance leviantes, nous avons l'avantage du nombre et des armes. Comme vous le constatez les armes des velosks n'ont plus de secrets pour nous et nous en avons suffisamment pour vous anéantir...mais nous ne le voulons pas...Notre intention est de libérer cet endroit et de discuter avec vos leader. Nous ne sommes ici qu'un simple détachement de soldats, nos force militaires sont en train d'arriver. Rendez-vous et vous avez ma parole que vous serez traités comme des prisonniers de guerre et peut être pourrons nous trouver un arrangement à ce conflit. Comme geste de bon vouloir de notre part nous avons amené un de vos soldats que nous avons capturé hier et qui peut témoigner de notre façon de traiter nos prisonniers de guerre ! »

Une fois que toutes les phrases du messages furent traduites dans l'étranges langue gutturale des rats-taupes***** Khan fit signe à un de ses hommes de faire approcher la créature que venait d'amener ligotée, la toubib des rangers.

L'extros une fois ses liens retirés, s'avança sur la pelouse et expliqua dans sa langue, qui fut traduite pour Uljay et les quelques soldats qui se trouvaient non loin d'elle, qu'il avait, lui et ses camarades, été traités correctement et que le commandant des terrans voulait leur proposer une reddition honorable. Puis il retourna auprès de ses geôliers ne sachant pas ce qu'il devait faire.

Le Leviante qui avait été tasé tantôt et qui apparemment s'était plus vite remis que son homologue qui attaché, était encore dans les vapes. Se remis debout et s'avançât vers le commando de Bruckner. Celle-ci sortit un traducteur de sa besace et le brancha. Le leader ayant compris que le langage des velosks serait plus facile à utiliser pour ce faire comprendre, parla dans cette langue qui ne devait pas être la sienne, mais qu'il maîtrisait parfaitement semble-t-il :

« Je suis Dorn, second Naark de la nation des Leviantes, je parle au nom de toute l'Alliance de l'espace libre d'Arush, vous détenez notre premier Naark, » dit-il dans la langue velosks, qui était immédiatement traduite par la machine, « je dois m'assurer qu'il va bien, je vais venir à vous sans armes, acceptez-vous Terrans ? »

Zoé, interrogeât du regard son camarade ranger, planqué un peu plus loin et voyant qu'il approuvait de la tête, tout en tenant en joue le commandant en second des Leviantes, avec son MP 96, elle lui répondit, via le traducteur :

« Approchez...second Naark, vous avez ma parole que si vous ne tentez rien, il ne vous sera fait aucun mal ! » puis voyant que le chef des leader extros commençait à revenir à lui, elle continua : « Votre chef n'est que sonné comme vous l'avez été vous-même, approchez et vous pourrez le voir, mais ne faites rien de stupide ! »

Alors l'officier extros se rendit lentement vers l'endroit où le Marshall et le lieutenant Bruckner étaient tapis, alors que le sergent Nuno de la Rosa trainait précautionneusement son prisonnier qui pour l'instant n'était pas encore tout à fait remit, vers eux deux.

Le commandant en second des aliens vérifiât à distance avec un appareil médical que son supérieur n'était pas trop mal en point et se tourna vers Zoé et lui lança :

« Bien, vous avez tenu parole, que dois-je faire maintenant ? »

Une fois la traduction faite, Bruckner avec sa radio demanda des instructions au Commodore Khan. Puis ayant eu des directives de cette dernière, dit à l'extros :

« Dites à vos guerriers de poser leur armes, toutes leurs armes à terre, que ceux qui possèdent, comme vous des armures les retirent et les posent aussi devant eux. »

Le leader alien, fit quelque pas en direction de ses hommes et leur dit (dans un autre langage que le traducteur ne put déchiffrer par manque de vocabulaire), quelque chose, suite à quoi tous les extros posèrent ou jetèrent leurs différentes armes à terre, puis pour ceux qui en avaient, se défirent de leurs armure. Le commandant en second se défit lui aussi de sa cuirrace, ainsi que de cet espèce de manchon supportant une lame, dont le premier des leviantes s'était servi pour blesser le commandant Kuzack. Toutefois une partie demi-sphérique de carapace resta accrochée au guerrier.

Kuzack, de loin désigna avec son fusils l'étrange coquille qui était accrochée, sur ce qui, chez la plupart des espèces humanoïdes, correspond au cœur et lança au Leviante :

« Et çà c'est quoi ? Cette partie d'armure qui reste sur votre poitrine ? »

L'alien répondit dans la langue velosks, qui fut immédiatement traduite :

« C'est un erg, un symbiote qui est implanté sur chaque guerrier et le protège naturellement sur cette zone sensible de notre anatomie. On ne peut le retirer à ce stade sans causer irrémédiablement la mort de son hôte,»

Zoé dit alors à l'alien :

« Ok, mais certains de vos soldat, qui n'ont, ni été anesthésiés, ni tués demandent des soins médicaux, avez-vous parmi vous un ou plusieurs médecins...ou guérisseurs ? »

Dorn lui répondit :

« Oui, nous en avons deux, mais l'un a été abattus par un tir de plasma, je pense qu'il est mort, avec votre accord, celui qui est indemne va vérifier qui de nos soldats touchés peut encore être sauvé... »

A peine avait-il dit cela que dans le ciel plusieurs petits vaisseaux de troupes commençaient leur approche pour l'atterrissage.

Obster Kuzack comprenant que cette arrivée brutale pouvait faire paniquer les extros, s'étant rapproché de sa camarade, se saisit du micro du translateur que tenait Zoé et lança :

« Ce ne sont que nos troupes, comme nous vous l'avions annoncé, restez calme, il ne vous sera fait aucun mal ! » puis alors que la machine terminait la traduction, il reçut un message de Khan dans son intercom. Il reprit le micro et continua : « Nous avons parmi nous juste en dehors de l'enceinte, le second plus haut Magistrat de notre Empire, il peut parler au nom de notre Commandant suprême l'Empereur, car il a été chargé de s'entretenir avec vous et votre Naark. Acceptez-vous une rencontre ? »

L'officier extros revint vers son chef et tout en le désignant dit :

« Détachez notre Naark, nous sommes maintenant à votre merci, nous n'opposerons aucune résistance. Vous pouvez dire à votre leader suprême en second, de venir ! »

Nuno détacha, le chef alien, qui se réveillait peu à peu, l'assit sur le muret qui était à côté d'eux, puis se recula tout en tenant ce dernier en joue, juste au cas où...

« Retirez l'a cuirasse de votre Naark et expliquez-lui la situation ! » dit le lieutenant Bruckner, alors qu'Obster dit quelques mots dans sa radio afin de contacter Marna pour s'assurer qu'elle et sa jeune dulcinée était bien à l'abris...tant que faire se peut. Apparemment leur équipe, elle, non plus n'avait pas eu de perte, ni de blessés graves.

A ce moment un groupe de personnes, dont le légat et ses deux gardes du corps, entrèrent par la brèche du mur d'enceinte. Parmi elle il y avait l'adjudante Pauline Dupuis, (alias Frenchy, la toubib de la troupe survivante des rangers d'Agriffon), trois fusiliers-marins et trois aliens dont un de la race des xylons. Ces derniers, il est peu courant d'en apercevoir parmi les terrans : car malgré le vaste empire qu'ils dominent, il n'étaient plus que quelque centaines de milliers, moins d'un millions, d'individus à ce qu'il semblerait.

De plutôt petites tailles, (1m60 environ), hermaphrodites et parthénogénétiques, les xylons, à l'instar des camusiens, sont pourvu de deux paires de bras. Leur peau est grisâtre, parfois tirant sur le brun, (cet individu, ci était d'un gris cendré) et leurs leaders, (officiers supérieurs, dirigeants ou scientifiques), portent un genre de rubis taillé, enchâssé dans la peau situé entre leur deux yeux globuleux, à la manière d'un troisième œil. Leur civilisation a des milliers d'années d'avance sur celle des terrans ainsi que sur celle des eriniens.

Les deux autre aliens l'accompagnants étaient par contre tous deux de la race des eriniens, des êtres amphibiens bipèdes, dont la peau de batracien était dans les tons violet-pâle, presque tirant sur le blanc, du peuple nommé l'Unité Erinienne, nation limitrophe à la fois du Dominion Terran et de l'Empire Xylon. Ils venaient sans aucun doute du croiseur erinien qui avait rejoint la flotte impérial sur le chemin depuis le système d'Auréus où se trouve un des mondes le plus sécurisé de tout l'Imperium, après TERRA Secundus, la fameuse planète X. Ces deux races extra-terrestres sont bien entendu des alliés des impériaux et des confédérés depuis des décennies.-

Les trois marines vinrent près du Commandant des ranger qui entre-temps avait rejoint sa collègue du Hammer et la première classe Nemeria et leur firent le salut réglementaire, le plus haut gradé des trois, un sergent-chef, dit au Marshall et à Zoé :

« Marshall, lieutenant, le Commodore souhaiterait que nous allions délivrer les civils de leur cachette. Donc avec votre permission, Commandant, nous allons descendre à la porte, du Bunker. Il semblerait que vous ayez donné un code pour vous identifier, quel est-il ? »

« Deux coups longs suivit de deux courts, sergent. » lui répondit t-il alors que le trio de fusiliers se dirigeaient vers la porte donnant sur l'escalier de la cave. Frenchy pendant ce temps s'était dirigée vers un groupe de marines qui tenaient en joue quelques-uns des extros prisonniers et leur demanda de l'accompagner pour assurer ses arrières, pendant qu'elle s'occupait des blessés. Elle vit que de l'autre côté, de la pelouse son homologue alien, un reptiliens, qui avait déjà commencé à soigner les guerriers qui en avaient besoin. Elle vit également qu'il prononçait quelques paroles dans sa langue de manière solennel en constatant le décès de certains, ce qui fit penser à Frenchy que ces extros devaient avoir un cérémonial religieux et donc un type de spiritualité.

Le légat s'était rapproché des deux leaders extros et les saluât alors que les trois aliens qui le suivaient, discutaient à voix basse, en regardant les diverses races extros présentes. Ils s'exprimaient dans l'idiome erinien pour les deux premier, quant au xylon, sa capacité télépathique lui permettait de se faire comprendre dans n'importe quel langage.

Maintenant que la réédition des extros était acquise, on put aussi bien du côté des impériaux que des confédérés, étudier de plus près les divers physiques des ennemis capturés.

Nous avions dans un coin du jardin, quelques velosks, plus beaucoup, car quatre de ces soldats en armures avaient été tués et seul un cinquième soldat s'en était sorti avec juste de grosses blessures.

Dans un autre coin du parc intra-muros, des soldats Zarkles, (les hippocampoïdes) étaient assis dans la pelouse, regardant le soleil qui arrivait au zénith, ce qui signifiait qu'il faudrait songer à pouvoir se sustenter. Il y avait bien sûr d'autre reptiliens en plus du guérisseur, assis eux aussi dans l'herbe. Leurs armes et leurs armures, pour ceux qui en avaient, posées devant eux sur le tapis végétal étaient collectées par les deux marins, qui escortait Frenchy.

Et une autre espèce d'extros qui n'avaient, tout comme les Leviantes jamais été encore aperçus jusqu'alors, des aviens, ressemblants à des chouettes mais dont le plumage serait très fin et tirant sur le brun foncé.

Leur gros yeux étaient vraiment comparable à ceux des rapaces nocturne de Terra Secundus. Ils ne semblaient pas avoir de réelle aile, car leur membres supérieurs, couverts là aussi d'un fin duvet de plume laisser à penser à des genre de bras, très fin et ressemblant fort à leur pattes, qui se terminaient l'un comme l'autre par des griffes. Et en parlant d'aile, il semblerait que les Leviantes eux-mêmes, devaient en avoir eu, avec leur morphologie de chauve-souris, mais leur évolution, comme ceux des aviens avait fini par les leur faire disparaître, bien qu'il semble que pour les leviantes, des bourrelets de peau lisse pendouillant entre leurs bras et avant-bras, pouvaient laisser à penser qu'ils devaient avoir un restant d'ailes atrophiés, peut-être qu'à l'instar de certains mammifère terraniens, ils pouvaient planer d'arbres en arbre, une fois leurs vêtements et leur carapaces ôtés.

Le Légat salua aussi bien les soldats du commando Terran, dont Obster et Zoé, que les deux leader extros et puis il prit le micro que le lieutenant Bruckner lui tendait pour dire aux deux prisonniers :

« Honorables adversaires, je suis le Légat Cynfeirdd, émissaire de notre vénéré empereur et en son nom je viens à vous, afin de comprendre ce qui s'est passé sur la planète de votre alliances pour que vous nous ayez attaqué de la sorte, car notre gouvernement n'est au courant de rien ! » Puis désignant ses trois homologues xylon et eriniens, il continua : « ces personnes que vous voyez là sont nos alliés, membres comme nous de la Coalition d'Orion, le délégué Guzokrat de l'empire Xylon et les deux autre sont le capitaine de croiseur Re'wuz et son ordonnance le lieutenant Ju'kiop, de la Nation érinienne. Je leur ai demandé de m'accompagner afin qu'eux aussi sachent ce qui s'est passé. Si vous êtes remis de votre paralysie temporaire, premier Naark, je vous propose de nous expliquer ce qui s'est passé. Mais nous serons mieux à l'intérieur, je pense que dans cette salle que je vois la bas, se sera plus confortable, veuillez nous suivre, vous et votre second et vous deux aussi, » dit t'-il en direction de Zoé et du Marshall. « Vous, ma chère vous serez les yeux et les oreilles de votre gouvernement, afin de rapporter ce que ces messieurs vont nous dévoiler. Bien que votre vice-amiral Nevelskói assiste sous vision holographique, je préfère qu'un officier confédéré soit présent en chair et en os. Allons-y et laissons le Commodore Khan remettre de l'ordre dans sa maisonnée. » finit-il par dire alors que les serviteurs enfin délivrés de leur cachette du sous-sol, sortaient les uns après les autres, tandis que Uljay, qui venait de passer l'ouverture creusée par l'explosion dans le mur, s'avançait entourée de quatre de ses gardes personnels.

Un officiers haut gradé, dans la cinquantaine, membre de l'infanterie mobile, (Infanterie impériale), suivit le Commodore, alors que tous les soldats de l'imperium présent se mettaient aux garde-à-vous, y compris le lieutenant Bruckner et ses sous-officiers confédérés présents, car tous avaient reconnu le fameux Feldmarschall Lazic, commandant en chef de toute l'Infanterie Mobile et pour quelques temps encore Grand Connétable, (l'empereur l'ayant confirmé dans cette fonction), de Stellar Force.

Puis escorté de deux fusiliers-marins de sa propre Garde Noire, le Maréchal entra dans une pièce que Khan leur avait désigné pour discuter, suivit du légat Cynfeirdd, des deux extros, libres de leurs mouvements, du Marshall Kuzack et de Zoé, laissant la Commodore accueillir ses serviteurs, qui venaient de sortir de la cave, précédés des trois marines qui étaient venus les délivrer de leur cachette. Le professeur Reyes, Lupe, le restant des soldats du Hammer et les autre rangers, étaient également arrivés à la suite du Feldmarschall Lazic et se tenaient un peu en retrait du Commodore.

Soudain, une fois que tous les serviteurs de la Domus furent sortis, une femme dans la trentaine, de type hindou, arriva dans le jardin, accompagnée de deux demoiselles très peu vêtues, lorsqu'elle aperçut Khan, elle dit quelques mots aux deux jeunes femmes, puis les délaissant, se précipita vers la Commodore et la prit dans ses bras en lui disant :

« Uljay, ma chérie, si tu savais ce que nous avons eu peur et comme je me suis languie de te voir ! »

Le Commodore, sans sourcilier, (en public elle restait stoïque et ne manifestait presque aucun sentiment, attitude qu'elle partageait avec le lieutenant Bruckner semble-t-il), lui répondit :

« Je suis heureuse de vous savoir tous sains et saufs, enfin presque tous...on a retrouvé les corps de Johann et Kurt, c'est horrible ! J'ai eu très peur qu'il ne t'arrive malheur, Jayala ! Toi aussi mon amour tu m'as énormément manqué, tous ces longs derniers mois, mais je veux te présenter une scientifique que tu connais peut être de réputation, vu que tu as fait des études en xéno-archéologie******. »

Elle voulut faire les présentations avec le Professeur Reyes, lorsque sa compagne s'écriât en voyant le Professeur Reyes :

« Marnie ? Marna Reyes ??? Alors là, si je m'attendais... »

Marna parut surprise, quelque secondes, puis se ravisa et dit à la jeune femme au teint mat qui s'avançait vers les deux scientifiques :

« Cannelle ?? C'est donc toi la vice-consul de cette planète ? »

Et sous les yeux stupéfaits de Lupita, l'édile agriffonaise, de surcroit Consul par intérim, depuis l'annonce du décès de ce dernier, prit les mains de l'archéologue et lui fit la bise.

Ce geste inattendu, ne fit pas s'émouvoir la stoïque Uljay, mais l'assistante du Professeur Reyes, qui elle n'était pas si froide, fit une moue de jalousie, à peine dissimulée.

Voyant, l'embarra de sa petite stagiaire, Marna lui expliqua :

« Lupe, je te présente, une ancienne camarade d'université, de la section géologie et xéno-archéologie, la vice-consule Jayala Singh, que nous surnommions Cannelle. Jayala, voici mon assistante Lupe Fuentes, qui était jusqu'à il y a quelques jours mon assistante sur le chantier de fouilles de Ca-Ham. » puis sur un ton un peu coupable, elle continua : «Cannelle et moi étions colocataires et très bonnes amies ! »

« Des amies vraiment très proches, n'est-ce pas, Marnie.. » ajouta la Consule en lui faisant un clin d'œil complice.

« Et cela, tu allais m'en parler aussi... Marnie ? » lançât la petite latina à sa compagne, sur un ton de reproche.

« Excusez-moi d'interrompre votre scène de ménage qui n'a pas lieu d'être Mesdames, » dit Uljay, « mais si nous passions dans l'atrium afin de prendre une collation, il est presque midi et cet assaut m'a ouvert l'appétit et je pense que c'est pareil pour nos hommes ? »

« Oui je manque à mes devoirs d'hôtesse de ne pas vous servir de quoi vous restaurer, » dit gênée Jayala.

« Cannelle, » dit Khan qui n'avait jamais entendu ce surnom avant cet instant, «Etant donné que les renforts sont là, je vais donner une permission pour le reste de la journée à mes soldats, qui l'ont bien mérités et leur dire de remonter sur le Temudjin, avec quelques bouteilles de nos meilleurs crus, vu que j'ai promis à tous nos combattants une tournée des meilleurs vins de notre cave. Ils pourront en profiter dans leur mess, mais en ce qui concerne nos autres invités, les rangers, les confédéré, les Héraclite et nos deux civils, sans oublier le légat et le connétable, je suggère que nous leur servions quelques pâtés et salades. Nous organiserons ce soir un dîner plus festif et digne des dignitaires que nous avons l'honneur de recevoir aujourd'hui. »

« Excellente idée ma chérie ! » dit Jayala. Puis elle se tourna vers la jeune étudiante et lui dit d'une voie mielleuse : « Lupita, ou plutôt devrais-je dire Torride Fuentes...oui j'ai déjà assisté à quelques-unes de tes exhibitions à Cairn, je suis ravie de te connaitre.

« Madame la Consule, vous me flattez ! » lui répondit Lupita, tout à fait calme cette fois.

« Quand à toi, Marnie», continua la jeune consule intérimaire, « il faut que tu me racontes ce que tu as fait une fois que nos routes nous ont éloignées, je veux tout savoir ! »

« On se voit tantôt, Cannelle...euh Madame la Consule par intérim ! » lui dit à son tour Marna.

Jayala s'éloigna et alla donner quelques ordres pour la collation à deux de ses serviteurs.

Khan quant à elle dit, avec le traducteur qu'elle avait avec elle, au guérisseur extros :

« Est-ce que vos guerriers ont avec eux de la nourriture, le cas échéant nous pouvons leur donner quelques pitances de notre garde-manger. »

« Nous avons de quoi alimenter nos soldats, merci de votre courtoisie Commodore ! » répondit le médecin extros, via le traducteur.

« Bien alors Mesdames, suivez-moi à l'intérieur ! » lança Uljay aux deux archéologues, puis précisa : «Vous aussi les rangers et les soldats de la légion noire et à moins que mon supérieur, le Connétable Lazic ne donne de contre-ordres, je vous donne quartier libre jusqu'à demain aux aurores. Les troupes fraîches venues avec notre Connétable vont prendre la relève et surveiller les prisonniers et assurer la garde du domaine. Considérez-vous comme nos hôtes, pour vous remercier d'avoir su reprendre cette villa sans trop l'endommager ! » Puis elle se ravisa, en constatant qu'il y avait quelques soldats confédérés près d'elle : « En ce qui vous concerne, soldats du Hammer, je ne peux pas parler pour votre hiérarchie, mais je pense qu'au moins pour ce qui est de la collation, il ne devrait pas y avoir de problèmes, c'est la moindre des choses. Une fois votre officier de commandement de retour, j'aviserai avec elle, il serait dommage que vous ne puissiez savourer notre cuvée spéciale. Adjudant Johnson, passez la consigne, que tous vos hommes rentrent avec nous à l'intérieur se restaurer. »

« Bien Commodore, à vos ordres ! » lui répondit le sous-officier confédéré. Puis il se tourna vers ses soldats et leur cria : « Vous avez entendu la dame, troufions, alors tenez-vous correctement, vous représentez la Confédération, ne l'oubliez pas ! » Et toutes ces unités aussi disparates qu'efficaces, pénétrèrent dans l'atrium de la résidence consulaire.

*Encarapaçonné : se dit de quelque chose ou quelqu'un qui est dans un genre de carapace, comme une tortue, un pangolin ou un tatou. Mot inventé par un auteur et humaniste suisse dans les années 2020 de l'ancienne Ère et dont les écrits ont inspiré Jean-Pascal Dumoulin (futur empereur Mýlos et citoyen suisse également), pour la base de sa politique du Nouvel Ordre Romain, des décennies plus tard.

**Par tous les démons du Bolchoï : expression des Terrans, originaire de la province du Russland, comme les parents de Nemeria, (qui ont déménagés depuis TERRA Secundus lorsqu'elle était encore enfant vers une planète de la Confédération) et qui utilisent encore quelques termes de la langue de leurs ancêtres.

***Serflex : collier de serrage en plastique, utilisé entre autres en lieu, et place des menottes. Au départ cela avait juste le but de maintenir des objets ensembles et servait aux ouvriers et électriciens.

****Taser : faire usage de son taser, ce qui revient à envoyer une onde sonique via une arme.

*****Langage des rats-taupes : au fur et à mesure des diverses traductions que la machine fait, l'idiome traduit se fait plus fluide, pour se terminer par une possibilité de dialogue quasiment sans erreur. Et ceci se ressent dans les deux sens. Ce qui fait que le velosk qui a été plus traduit que les autres langues, devient le langage utilisé pour se faire entendre de tous les extros, qui le parlent peu ou prou.

******Xéno-archéologie : autre nom donné à l'exo-archéologie, pareil pour la xéno-géologie.

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