Chapitre 21 - Mickaël

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Au secours, ça fait exactement 1h38 qu’on est dans ce putain de magasin pour trouver les fournitures de Jennie. Après avoir choisie le super cartable de la reine des pâquerettes, la super trousse de la reine des pissenlits, et bien sur l’agenda de la reine des casse-couille, il faut maintenant trouver tout un tas de cahiers.

- Alors il faut 1 cahier 24x32 avec des grands carreaux.

- J’ai ! Dis-je fièrement comme si j’avais trouvé de l’or.

- Non ça va pas aller, y a des spirales. Dit Marielle qui vient de briser ma victoire.

- Et alors ? On s’en tape, du moment où elle peut écrire.

- Non c’est bien marqué sur la liste faut pas de spirales.

- Non mais Marielle on s’en tape, le principal c’est qu’elle puisse écrire, y a des lignes, c’est bon elle ne fera pas chier sa maîtresse.

J’ai beau batailler pour garder ce foutu cahier, je me vois obligé de le remettre en rayon et repartir à la chasse.

- Trouvé !!! Y a pas de spirale, y a bien les grands carreaux et ça fait bien 24x32…alors c’est qui le boss ?

- Je n’aime pas le vert il est moche. Lance Jennie.

- Y a que du vert princesse.

- Je ne veux pas il est moche.

- Jennie on s’en branle qu’il soit moche, c’est d’abord fait pour écrire.

- Je veux du bleu.

Là elle commence à me gonfler !

Respire.

- Chérie si on colle des jolies gommettes, j’en suis sur que ce cahier peut devenir super joli. Dit Marielle

- Des gommettes de la princesse des Lilas ?

- Oui j’en ai vu toute à l’heure.

Jennie retrouve immédiatement le sourire et mon super cahier atterri dans le caddie, j’ai l’impression d’avoir gagné la médaille d’or.

- Il faut un protège cahier 21x29,7 transparent sans couleur.

Et allez ça continue. Bon au moins pendant que Marielle a le nez dans les fournitures, elle n’a pas la tête à son cul et à l’air moins en souffrance.

- Et voilà ça s’est fait, on peut aller en caisse. Dit Marielle

- Il me faut des affaires de sport maman.

Ah non pas les fringues pitié. Ça ne loupe pas, elles s’enfoncent dans les promos et moi je suis en train de crever sur place. Les courses de la rentrée scolaire on m’y reprendra plus. Je regarde ma montre, presque 4h qu’on est ici. J’ai les nerfs en pelote et Marie aussi, sans parler de ses envies qui sont revenus quand on est allé voir les soutifs. Je lui en ai pris 2 avec un string qui va caresser constamment la raie de son cul. Si je dois me réincarner, ça sera en string c’est certain.

- Non Jennie on n’achètera pas ça !

- Mais maman s’il te plait.

- Non ! Maintenant ça suffit on va en caisse.

- Non !

La mère et la fille se fusillent du regard, et Jennie balance les chaussures que Marielle vient de lui prendre qui n’est pas à son goût car elle veut les chaussures de l’autre pétasse de princesse. Mais là je crois que je dois intervenir.

- Jennifer tu ramasses les chaussures et tu les mets dans le caddie. Dis-je pour soutenir Marie.

- Non !

- Dépêche.

- Non !

Quel sale caractère ! Elle croit vraiment avoir le pouvoir mais là elle rêve.

- Ok, très bien, donc le sac, la trousse et l’agenda, tu peux leur dire au revoir.

- Non !!! Mick’ s’il te plait, s’il te plait !!! D’accord je prends les chaussures. Dit-elle en mettant les chaussures dans le chariot.

Trop facile ça. Je veux qu’elle comprenne bien qu’elle ne décide pas et que ses parents c’est nous. Je m’approche d’elle et m’accroupie pour être à sa hauteur.

- Tu vas bien m’écouter Jennifer, plus jamais tu nous parles comme ça, t’as bien compris ?

- Oui Mick’.

- Nous on te parle bien, on essaye de te faire plaisir mais on ne peut pas te dire oui à tout, alors va falloir que tu arrêtes tes caprices à 2 balles car clairement j’ai autre chose à foutre que de passer 4h dans un foutu magasin à courir après ta princesse de merde.

Jennie me regarde mais ne dit rien et j’avoue qu’il ne vaut mieux pas qu’elle se rebelle car là j’ai vraiment plus de patience. Nous allons en caisse sans un mot puis nous nous dirigeons enfin vers la sortie. Je crois désormais savoir ce que c’est d’être père.

- Faut que j’aille aux toilettes Mick’. Me chuchote Marie qui serre ses cuisses.

Je sais qu’elle a grave envie de se toucher, que l’excitation est puissante et je dois bien le reconnaître c’est grave bandant de la voir combattre son plaisir.

- On va rentrer, les chiottes dans ce genre d’endroit sont dégueu.

- Mick’.

- Je sais bébé, ça va aller.

Elle me suit, on installe Jennie dans la voiture et je sens Marielle à fleur de peau quand on range les courses dans le coffre. Ses jambes tremblent, elle est au bord des larmes et parfois s’arrête pour serrer ses cuisses. Nous arrivons enfin, Marielle envoie Jennie dans le jardin et elle vient me voler un baiser.

- Tu crois que c’est en me chauffant qu’on va baiser.

- Je t’aime.

- Moi aussi bébé, t’es magnifique.

Elle est toute tremblante alors je l’accompagne aux toilettes afin d’être sur qu’elle ne s’amuse pas sans moi.

- Tu vas rester ? Me demande-t-elle

- Ouais, j’en ai vu d’autre t’inquiète.

Elle n’a pas vraiment le choix et c’est très plaisant de la voir fébrile sur les chiottes à prendre presque du plaisir à pisser.

- J’ai tellement envie Mick’.

C’est trop tentant et je lui enfonce deux doigts dans sa chatte ouverte. Tout se resserre violement autour.

- Oh Mick’ !!!

- T’es si sensible bébé. Dis-je en bougeant mes doigts.

- Encore. Gémit-elle

- Ce soir ma belle, ce soir. Dis-je en retirant mes doigts.

- T’es qu’un connard !

- Surveille ton langage ou ça sera demain.

- T’as pas le droit de me faire ça !!! C’est comme si moi je te mettais de la drogue sous le nez !!!

- Compare pas, ça n’a rien à voir et de toute façon, même si tu me faisais ça, ça me ferait plus rien.

Menteur.

Ta gueule.

La soirée est plutôt tendue. Marielle fait la gueule par son manque, Jennie est crevée de sa virée et moi j’ai qu’une envie c’est de baiser pour ensuite dormir. Jennie finit par s’endormir sur le canapé et je la porte jusqu’à son lit. Enfin on se retrouve seul avec Marie qui n’attendait que ça. C’est assise entièrement nue qu’elle m’attend dans sa chambre. Elle écarte ses cuisses quand je ferme la porte derrière moi. Ses lèvres sont bien gonflées, d’un joli rose foncé.

- Mick’ baise moi.

Ahah la délicatesse de Madame s’est envolée pour laisser place à une chienne avide de ma queue.

- Patience bébé.

Je fais le tour de sa chatte du bout des doigts et j’ai comme l’impression que c’est une véritable torture. Elle ondule des reins, se soulève espérant se rentrer un de mes doigts mais c’est peine perdue. Je joue avec ses nerfs et l’amène au bord de la crise. C’est lorsqu’elle perd espoir de me sentir en elle, que je lui enfonce trois doigts d’un coup.

- C’est ça que tu veux hein. Dis-je en la doigtant fort

- Ouiiii !!! Encore !!!

Je recourbe mes doigts, les écarte et m’arrête net. Son corps se met à convulser, elle est au bord des larmes, il est temps que je la soulage. Tel un sauveur je me faufile à travers sa chair gonflée.

- Oh Mick’ !!!

- Je vais te baiser bébé.

Je l’amène droit à l’orgasme en quelques secondes. Elle s’accroche à moi comme si j’étais sa bouée de sauvetage. Je lui défonce sa chatte jusqu’à sentir notre sueur couler.

- Tu veux que je t’éclate hein bébé !!!

- Oui !!!

- Oh oui là bien au fond, putain j’adore ta chatte !!!

- Baise-moi Mick’ !!! Baise-moi !!!

- Oh Bitch.

Nos baisers n’ont plus rien de sensuels, on n’a juste envie d’échanger nos fluides. J’agrippe ses cheveux et je râle de bonheur. Tout mon corps me brûle de plaisir, c’est insoutenable autant que c’est bon. Mon gland lui bourrine le fond de sa chatte qui se resserre autour de ma queue. Bordel j’adore ! Et puis les derniers coups arrivent, ceux qui font le plus de bien et qui nous libèrent des tensions de la journée.

- Mick’ !!!

- Oh putain !!!

Nos deux corps s’effondrent sous l’orgasme et nous nous endormons encore l’un dans l’autre.

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