Partie 4

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Joe qui regardais à travers la fenêtre depuis le début sans parlé sortie d'un coup de ses pensées :

— On doit trouver la maison de toute urgence, ceux qui ne sont pas d'accord me laisseront leurs doléances une fois que nous seront rentrés au journal. En attendant nous n'avons pas d’autres choix. Daniel, ouvrez les porte s'il vous plaît.

Daniel se dirigea vers l'avant du bus et appuya sur le bouton d’ouverture des portes. Elles s'ouvrirent lentement dans un grincement des plus désagréable.

Joe se dirigea à son tour vers l'avant du bus, s'arrêta devant les marches et se tourna vers Daniel.

— Daniel, venez avec moi nous ouvrirons la marche il n'y a pas de temps à perdre la route va être longue et difficile.

Cela faisait dix minutes qu'ils marchait le long de la route sous la pluie lorsque Daniel s'arrêta d’un entre deux immenses arbres et se tourna vers Joe.

— Ces deux arbres indiquent le début d'un sentier qui traverse une immense forêt et mène directement au manoir, à partir de là nous sommes à environ quinze minutes du manoir.

Jill , qui était derrière le groupe toute seule aperçue une pancarte en forme de flèche couverte de mousse devant le premier arbre.

Elle grata la mousse qui recouvrait la pancarte et découvrit une inscription :

FORÊT DE HIGHWOOD

5KM : MANOIR DE HIGHWOOD

Elle s’approcha de plus près de la pancarte et découvrit une toute petite inscription qui avait été faite en bas de la pancarte sûrement au couteau.

Elle s'approcha pour lire.

N'entrez pas dans cette forêt

Un frisson lui parcourut tout le dos

— Jill ?

Elle releva la tête et aperçue Henry qui l’attendait tout seul devant le sentier.

— Jill tous les autres sont déjà loin et j’ai pas trop envie de m’éloigner du groupe.

Ils se remirent à marcher en direction du groupe

— Tu as peur ? Demanda t-elle avec un petit sourire moqueur

— Je n’aime pas les immenses forêts sombres et encore moins la nuit et par un soir de tempête.

— Ne t’inquiète pas, regarde j’aperçois déjà des silhouettes devant nous à quelques mètres.

— C’est vrai désolé de paniquer mais j’ai vraiment peur des forêts depuis que je suis tout petit.

— Pourquoi ça ? Ya bien une raison non ? Demanda t-elle.

— Oui, et je veut bien te le dire à deux conditions premièrement tu ne te moques pas de moi et la seconde on en reparle plus jamais après que je te l’ai dit.

— D'accord c'est promis.

Ils se  remirent en route. 

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