Flavia, une jeune fille de 14 ans, brune aux yeux bleus. Flavia vit avec sa mère à Mimiville, dans le pays de Roseland. Un village très calme où on entend les animaux chanter.

Flavia embrasse sa maman tendrement comme tous les soirs avant se coucher. Chaque soir, elle fait un rituel particulier, Flavia se met à la fenêtre regardant la lune éclairée et elle fait deux vœux même si elle pense que cela ne se réalise pas: Le premier, c’est connaître son père. Le second, avoir un instrument de musique. Elle voit des enfants joués mais personne ne veut lui prêtée un instrument. Tous les jours sans le dire à sa mère, elle est triste même si elle lui donne l’amour et l’affection qu’elle a besoin.

Le lendemain, Flavia se lève et va dans la cuisine retrouvée sa mère.

— Bonjour ma princesse, bien dormie ? Questionne-t-elle.

— Oui maman, en enlaçant sa mère.

— Tu sais que je n’ai pas oublié ce jour spécial ! S’exclame sa mère les yeux pétillant.

— Je suis impatiente depuis une semaine ! J’ai hâte d’avoir mon cadeau, répond Flavia en sautant partout.

— Flavia, calme-toi. Cela ne sert à rien, tu auras ton cadeau comme chaque année le soir, en faisant une énorme fête. Car ton cadeau est déjà prêt mais patience ma fille. Va te changer, c’est toi la reine !

Flavia monte se changer, enlève le pyjama. Elle se regarde dans le miroir et elle essaye plusieurs tenues, qu’elle jette sur son lit lorsqu’elle voit Guimauve le chat. Pourquoi Guimauve parce qu’il est toujours mou et fatigué.

— Oh non Guimauve, bouge de là ! Dis-je à cette boule de poil qui n’en fait qu’à sa tête.

Evidemment il ne bouge pas, il sait allonger sur une tenue dont je cherchais.

Flavia tire un grand coup sur sa tenue qui heureusement n’a rien, mais Guimauve est vexé, un grand hurlement résonne dans la maison.

Flavia met sa tenue choisie, une jupe mi-longue rouge au dessus de ses collants et une chemise blanche sans oublié son nœud papillon avec deux brillants que son père lui a offert avant son départ. Pour le choix des chaussures, elle opte pour des bottines marron. Flavia fait un tour sur elle-même pour voir si un détail cloche.

Soudain, elle entend sa mère :

— Flavia, on va être en retard pour se rendre sur la place ! Dépêche-toi ! Crie-t-elle.

— J’arrive !

Maman me regarde en écartant ses grands yeux vert et tend un large sourire qui me sourire aussi.

Nous empruntons le chemin vers la « Place géante », qui porte bien son nom.

Nous arrivons, nous sommes applaudis et accueilli avec des jets de pétales de fleur, c’est une tradition ici, lorsqu’un enfant fête son anniversaire des jets de pétales de fleurs fait l’ouverture de la cérémonie.

Chaque enfant se trouve à sa place avec son instrument, Flavia se retient de pleurer car c’est son jour. Elle danse, essaye plusieurs jeux, lancé de ballons, corde à sauté.

Bien essoufflée après avoir joué, le repas autour de la table de ronde est arrivé ! Flavia regarde tout le monde, le silence se fut ! Le mot prononcé « Bon appétit » tout l’assemblé se met à manger et à boire, entendait les rires, un joli moment de partage.

Quelques instants plus tard, l’instant que Flavia attend depuis ce matin est arrivé « L’ouverture des cadeaux ». Le dernier rituel de la journée, c’est d’ouvrir en dernier le cadeau de ses parents. Flavia ouvre tous les cadeaux sans vraiment d’enthousiasme. Le dernier cadeau celui de sa mère et énorme, Flavia s’empresse de l’ouvrir et découvre ce qu’elle rêvée depuis des années : Un ukulélé (petite guitare).

Flavia court vers sa mère, l’embrassant sur ses joues. Quelques heures après, Flavia et sa mère rentrent chez eux, épuisées de la soirée.